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Sculpture programs in the Moissac Cloister Benedictine culture, memory systems and liturgical performance /

Rutchick, Leah, January 1991 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Chicago, Department of Art, August 1991. / Includes bibliographical references.
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The Romanesque architecture and sculpture of Saint Caprais in Agen

Wands, Frances Terpak. January 1900 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Yale University, 1982. / Includes bibliographical references (v. 1, leaves 260-267).
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La place et le rôle du romanesque dans la poétique d'Émile Zola / The place and the role of romanesque in Zola's poetic

Ndiaye, Assane Faye 20 October 2015 (has links)
Les Rougon-Macquart, immense composition littéraire, comportant vingt romans, est le témoignage le plus saillant de la poétique zolienne du récit. Cette poétique trouve son fondement dans les principes directeurs du Naturalisme qu'Émile Zola, maître à penser de ce courant, a élaborés dans ses différents écrits, comme théoricien et comme critique littéraire. Parmi les caractéristiques que Zola attribue au récit naturaliste se trouve un refus du recours au « romanesque » dans la poétique de l'œuvre. L'adjectif « romanesque », certes, est forgé sur le radical de « roman ». Mais, pris sous sa forme substantive, le romanesque entretient avec le genre du roman des relations complexes ainsi que l'a montré, par exemple, Jean-Marie Schaeffer. Il convient de rappeler, avec lui, l'origine linguistique du terme et ses évolutions, ainsi que le glissement sémantique qui propulse la notion hors de son contexte littéraire. Pour cerner cette notion, il n'est pas inutile de la replacer, comme il le fait, dans un contexte anglo-saxon : car l'anglais, on peut le souligner, distingue entre romance, que l'on peut traduire en français par « roman romanesque », et novel, qui est l'équivalent de « roman à visée réaliste ». « Romanesque » possède, ainsi, une double signification : il désigne ce qui est relatif au roman en tant que genre, mais aussi ce qui est propre au roman comme romance. En ce sens, il est devenu, au fil des siècles, péjoratif : il renvoie en effet à une peinture de passions idylliques, conduites à leurs extrêmes, jusqu'à frôler l'invraisemblable. On peut ainsi comprendre que des théoriciens du roman, notamment au XIXe siècle – moment où le genre aspire au sérieux et développe des esthétiques réalistes – s'en prennent à quelques-uns de leurs prédécesseurs, leur tenant grief de ne pas assez peindre la réalité des choses, de proposer une représentation idéalisée de la vie, dans laquelle le bon triomphe du mauvais, les nobles sentiments prévalent sur les mauvaises pensées et où la représentation des passions atteint des proportions incommensurables.Ainsi, si nous convoquons les principes du Naturalisme appliqués dans la poétique du récit de Zola, nous nous rendons compte que le romanesque, dans sa conception thématique, (on entend par là la peinture idyllique des passions et du monde) et non générique, est écarté dès les prémices du courant. Zola fustige en effet le comportement de ses contemporains et de ses prédécesseurs à qui il reproche de perdre le lecteur dans des rêves puérils, dans une peinture trop abstraite de la vie. Le XIXe siècle, qui a vu l'affirmation de la science et de ses méthodes, a conduit Zola à une nette rupture avec les poétiques antérieures du roman. Il ressort, dès cet instant, que Zola ne veut plus faire dans les récits qui ont bercé son adolescence ; il entend se démarquer de ces fantômes du rêve, de ces romans des dieux et des héros, personnages d'une aspiration irréalisable parce que trop abstraite. Son dessein avoué, il s'arme de la science et de ses méthodes d'analyse pour aller à conquête d'une représentation juste et véridique de la réalité dans l'œuvre littéraire, le roman en l'occurrence. Et puisque, en outre, « le romanesque » est marqué par une axiologisation négative très forte dans sa signification non littéraire et dans laquelle émergent « des connotations de sentimentalité, de sensiblerie, voire de kitch », il se voit automatiquement disqualifié par la conception zolienne du roman.On peut néanmoins s'interroger sur la réalité de l'éviction du romanesque dans le récit et la fiction zoliennes. Peut-on imaginer une poétique du roman qui parvienne à se dégager totalement des schémas et d'une topique constitutifs d'un genre à ses origines, et véhiculés par une tradition séculaire ? Le romanesque ne fait-il pas retour dans l'œuvre de Zola ? Ce sont ces écarts qui se font jour entre la poétique réelle de l'œuvre et les déclarations théoriques de l'auteur que nous avons étudiés dans cette thèse. / Les Rougon-Macquart, a huge literary composition containing twenty novels, is in many respects the most prominent testimony of Zola's poetic narrative. This poetics is grounded on the guiding principles of Naturalism that Emile Zola, prominent leader of this movement has developed in his various writings, as literary theoretician and critic. Among the features that Zola attributed to the naturalist story is the refusal to use "romance" in the poetics of his work. The adjective “novelistic" certainly derived from the radical of "novel". But taken in its noun form, romance has to do with the genre of the novel and the complex relationships as demonstrated by Jean-Marie Schaeffer for instance. It is worth recalling with this one the linguistic origin of the term and its evolution, and the semantic shift that propels the notion out of its literary context. To understand this concept, it is useful to replace it, as it does in an Anglo-Saxon context. Because, in English, one can distinguish between romance, which can be translated into French by "roman romanesque", and novel, which is the equivalent of "novel that has a realistic target." "Romance" has thus a double meaning: it refers to what relates to the novel as a genre, but also what is unique to the novel as romance. In this sense, it has become, over the centuries, pejorative: it indeed refers to a painting of idyllic passions, led to their extremes to graze the improbable. One can thus understand that the theoreticians of the novel, especially in the nineteenth century - the time when the genre aspired seriously and developed realistic aesthetics - are attacking some of their predecessors for not giving a realistic picture of things, to provide an idealized representation of life in which good triumphs over evil, the noble sentiments prevail over evil thoughts and where the representation of passions reached immeasurable proportions.Thus, if we refer to the principles of Naturalism applied in the poetics of Zola's story, we realize that the romance in its thematic design (through that by which we mean the idyllic painting of passions and the world) and not generic, is aside from the beginnings of the current. Zola criticizes indeed the behavior of his contemporaries and his predecessors whom he accuses of misleading the reader in childish dreams, in a too abstract painting of life. The nineteenth century, which saw the affirmation of science and its methods, Zola led to a sharp break with the past poetic novel. It is clear from that moment that Zola does not want to do the same in the stories that have rocked his adolescence; he intends to stand out from the ghosts of dreams, the novels of gods and heroes, characters of an unattainable aspiration because they are too abstract. For this avowed purpose, he is armed with science and its methods of analysis to conquer a fair and truthful representation of reality in the literary work, the novel in this case. Thus, since the "romance" is marked by a very strong negative axiologisation in its non-literary meaning and in which emerging "connotations of sentimentality or kitsch", it is then automatically disqualified by Zola's concept of the novel.Nevertheless, one can ponder over the reality of the ouster of romance in the story and in Zola's fiction. Can you imagine a poetic novel that manages to completely break with the usual schemes and the constituents of a genre to its origins, and conveyed by a secular tradition? It is interesting to wonder whether the romance is taken back into the work of Zola or not? It is these differences that have emerged between the actual poetics of the work and the theoretical statements of the author that we have studied in this thesis.
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Devenirs du romanesque au début du XXIe siècle : les écritures aventureuses de Jean Echenoz, Jean Rolin et Patrick Deville. / The evolution of “Romanesque” from the early 21st century : the adventurous writing of Jean Echenoz, Jean Rolin and Patrick Deville

Sennhauser, Anne 05 November 2014 (has links)
Cette thèse s’attache à étudier les infléchissements du romanesque dans la littérature contemporaine française, à travers un corpus de narrations écrites dans la première décennie du XXIe siècle. Les œuvres de Jean Echenoz, Jean Rolin et Patrick Deville, nourries à leurs débuts des modèles extravagants de la littérature d’action, ouvrent depuis peu l’invention romanesque à d’autres espaces. Elles portent une attention singulière au réel (biographique, historique, social), s’approprient de multiplies dispositifs génériques, en écho aux questionnements qui émergent avec le nouveau siècle. D’un côté, le romanesque souvent considéré comme un rêve, une utopie, est amené à se défaire de sa structure ; de l’autre côté, il subsiste dans le récit à l’état d’impulsions narratives, de fragments, de motifs, capables d’alimenter et de renouveler le roman. On observe ainsi une homologie entre les sujets de prédilection des trois auteurs – l’aventure, l’agir humain, pensés à même le réel – et le traitement générique du roman : loin de se présenter comme un genre codifié, il est plutôt dynamisé par une écriture aventureuse, qui explore les domaines du savoir et les frontières du littéraire. Cette étude entend ainsi montrer comment la déceptivité première de l’aventure permet aux auteurs de réinvestir la puissance exploratoire du romanesque et de questionner le sujet, transformant ses principes en une liberté formelle et intellectuelle. Jean Echenoz, Jean Rolin et Patrick Deville font ainsi écho aux évolutions des discours critiques qui, depuis la fin des années 1990, affichent des formes de résistance à la « fin des idéologies » et à son relativisme supposé. / This thesis sets out to study the evolution of “Romanesque” in contemporary French literature, through a corpus of narratives written in the first decade of the 21st century. The works of Jean Echenoz, Jean Rolin and Patrick Deville first inspired by the extravagant patterns from action literature opened the fictional invention to other places. They particularly focus on (biographical, historical, social) reality, and use various devices of the genre, taking into account interrogations that echo the questionings borne by the new century. On the one hand, the “Romanesque”, often considered as a dream, an utopian ideal, is led to be deprived of its structure; on the other hand, it remains active in the form of fragments, impulses and topics able to boost and regenerate narratives. An homology appears between the favourite subjects of the three authors – stories of adventure, human action, considered as they appear in reality – and the way novel is handled: far from being used as a codified genre, it is rather boosted by an adventurous writing, which explores the field of knowledge and the boundaries of literature. This study aims at showing how the deception of adventurous stories enables the authors to use the power of narrative exploration and to question the subject, turning its principles into a formal and intellectual freedom. Jean Echenoz, Jean Rolin and Patrick Deville echo the evolutions of critics’ discourses, that have put forward some forms of resistance to the « end of ideologies » as well as to its alleged relativism, since the end of the 90’s.
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Återbruket av bildstenar i romanska kyrkor på Gotland / The reuse of picture stones in Romanesque churches on Gotland

Hardy, Jeremy January 2016 (has links)
In the ongoing discussion about the gotlandic picture stones, there is a highly debated question if we can interpret their reuse in gotlandic churches as a ritual practice or not. Also, if the reuse was of ritual character, was it in order to oppress and humiliate an earlier faith?  Or to redeem and initiate the old faith into Christianity, in a respectful manner towards the past?      This work focuses on the churches with Romanesque architecture since they are the closest kept monuments that could shed more light on the time period that spans on the transition from Viking age to Middle age Gotland. The aim of the thesis is to shed more light on the period when the first stone churches on Gotland were built as a manifestation of Christianity. It is of great interest here to question how the first stone church builders on Gotland looked upon their forefathers and their past.       Investigations of how picture stones are placed and reused in Romanesque churches have been made, with overviews of their context and dating. This in order to contribute to the ongoing debate about the reuse of picture stones. The discussion is completed by pointing out clear examples of meaningful use in accordance to the churches heavily symbolic room and space. The Romanesque churches were seen as representations of the temple of Jerusalem. Connecting the placing of picture stones to the value of these churches room and space, can result in interpretations of continuity and cultural process.
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La prose romaneque dans la revue" Pandore" (1850-1872) : les sources étrangères / Non communiqué

Sachpazi, Antonia 14 December 2011 (has links)
Le XIXe siècle est, en général, qualifié comme le siècle des revues pour l’Europe et pour la Grèce en particulier, où on assiste à la naissance d’un bon nombre de revues, réalisées, pour la plupart à l’image des revues étrangères. A l’origine de la presse périodique, on employa le terme journal pour désigner un écrit qui s’imprimait tous les mois et contenait le compte rendu des nouveaux livres et de ce qui se passait de plus mémorable dans le milieu des lettres. Par la suite, le terme journal fut étendu à des publications périodiques qui étaient en même temps politiques et littéraires et qui s’imprimaient une fois par mois: c’étaient les Mercures. Les revues actuelles furent les descendantes des Mercures et leur nombre se multiplia fortement tout au long du XIXe siècle. C’est par la littérature et non pas par la politique que grandit la presse et, avant d’être une puissance politique, elle fut une puissance littéraire. [etc.] / Non communiqué
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Avant les falaises ; suivi de L'apostrophe et la majuscule : écrire en héros

L'Allier, Alexis January 2006 (has links) (PDF)
« Le froid dans le dos », première partie du roman Avant les falaises, relate à la première personne les péripéties intérieures d'un jeune Québécois ayant quitté sa patrie pour s'établir dans une ville italienne coupée des lois de l'État. Poussé par le spectre de son frère jumeau, qu'il voit mener une bande d'homosexuels fanatiques vers cette ville qu'ils croient être leur terre promise, il s'établira dans la famille du maire lors de la tenue de célébrations en l'honneur de Leonardo da Vinci. Ainsi, il servira d'intermédiaire entre les bouleversements qui surviennent à San Leonardo et l'intimité de ses hôtes, dans laquelle il s'insère graduellement. Comme simple indication, je me permets d'ajouter que la seconde partie du roman, « Les mains à la pâte », raconte les actions posées par les fanatiques pour s'établir dans la ville qu'ils prennent pour leur terre d'élection, ainsi que les mesures prises par le maire pour se débarrasser d'eux. Tiraillés entre un passé taillé dans la pierre et un avenir qui s'amène en prophète et s'amuse à l'effriter, les Léonardiens se désunissent avec l'arrivée des deux frères et remettent en doute les principes qui font l'indépendance de leur ville. En filigrane s'élabore une relation entre le narrateur et le fils du maire, qui tentent d'échapper à la folie du monde extérieur. À l'intérieur du volet réflexif de ce mémoire, L'apostrophe et la majuscule, j'explore la figure du héros et les rapports qu'elle entretient avec l'écriture romanesque. La mort de Dieu, tel que proposée par la pensée nietzschéenne, aurait permis l'apparition du héros-narrateur dans le territoire romanesque, ce je dont l'agir n'est plus voué au monumental et au divin, mais à l'humain et à l'introspection. Cet héroïsme moderne, lié à la remise en question de l'agir dans le monde et à la quête de liberté, se construit dans un rapport à la filiation littéraire et au temps, de manière à résister à l'autarcie et à l'individualisme contemporains. Par la narration romanesque, l'écrivain se crée une communauté langagière dédiée à une mission éthique paradoxale: compléter le monde, en soutenir une fraction, sans toutefois l'achever. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Héros, Héroïsme, Roman, Narration, Liberté.
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L'homme qui racontait des histoires ; suivi de, "Le bâton brisé"

Boisvert, Julien-Pier 06 1900 (has links) (PDF)
L'homme qui racontait des histoires est une expérience littéraire sur le phénomène de la voix et sur l'impact de la matérialité du texte sur celle-ci. Trois voix différentes racontent des épisodes d'une même histoire. Pourtant, les trois voix proviennent de la même plume. C'est en jouant sur la relation entre les voix narratives et le langage qu'elles utilisent comme rapport au monde que se construit le roman. Chacune de ces voix porte en son sein une vision du langage qui l'anime, et cette vision langagière est intrinsèquement liée à une façon de voir le monde. Trois voix, trois postures langagières, trois perceptions du monde. Le bâton brisé témoigne de prises de position sur deux enjeux de l'écriture romanesque. Le premier : la fiction comme moteur de l'esprit du roman, ainsi que l'appelle Kundera, qui invoque l'ambiguïté et le questionnement comme raisons d'être principales de l'écriture romanesque. Le second enjeu : un engagement pour une stylistique personnelle par opposition à l'académisme, le style journaleux, comme l'appelle Céline, celui des prosateurs imperméables à l'émotivité du langage, dont les mots étouffent toute possibilité de ressentir; un engagement, donc, pour une langue vivante, libérée de ses mécanismes lourds, une langue qui se joue d'elle-même, qui s'amuse avec ses propres règles, une langue travaillée avec minutie afin qu'elle puisse résonner dans la tête du lecteur grâce à sa prosodie, à son rythme, à son écart par rapport à la langue normative, celle de tous les jours, celle qui ne saurait animer un roman, sauf à être sublimée par le style. ______________________________________________________________________________
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The cult of the Matronae in the Roman Rhineland /

Garman, Alex G. January 2002 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Missouri-Columbia, 2002. / Typescript. Vita. Includes bibliographical references (leaves 185-197). Also available on the Internet.
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The cult of the Matronae in the Roman Rhineland

Garman, Alex G. January 2002 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Missouri-Columbia, 2002. / Typescript. Vita. Includes bibliographical references (leaves 185-197). Also available on the Internet.

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