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Spanish Romantic Drama Sources of Giuseppe Verdi OperasFleming, Leon O. 08 1900 (has links)
The Italian composer of operas, Giuseppe Verdi, relied heavily on plays of the Romantic Era as sources for opera librettos. Three such plays were from the Spanish Romantic School: El trovador and Simon Bocanegra by Antonio Garcia Gutierrez, and Don Alvaro o la fuerza del sino by Angel de Saavedra, el Duque de Rivas. The operas which Verdi composed using these plays as sources--Il trovatore, Simon Boccanegra, and La forza del destino--range in popularity from near zenith (Il trovatore) to near nadir (Simon Boccanegra). The study attempts to assess the suitability of the three Spanish dramas as source material for operas, and to determine if this suitability is correlated to each opera's popularity.
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Entre la scène et le livre : formes dramatiques publiées dans la presse à l'époque romantique (1829-1851) / Between the stage and the page : dramatic forms and print media in the Romantic era (1829-1851)Calderone, Amélie 27 November 2015 (has links)
Entre 1829 et 1851 le champ dramatico-médiatique s’est vu reconfiguré : l’apparition de grandes revues littéraires, la naissance de la presse à quarante francs, la multiplication des périodiques et l’augmentation de leurs tirages sont conjoints des bouleversements économiques, politiques et sociaux faisant suite à la période postrévolutionnaire, et de mutations théâtrales majeures sur les scènes parisiennes. En résulte un accroissement de la présence de textes dramatiques diffusés dans la presse, sous de multiples formes : pièces jouées à lire en feuilletons, extraits, fragments, mais aussi ensembles de scènes théâtrales et d’articles théâtralisés ou dialogués à lire le temps de la fréquentation d’une feuille. Il existe ainsi à l’époque un troisième canal d’accès du théâtre vers l’espace public – entre la scène et le livre –, la presse. Parce que le théâtre partage avec le périodique des caractéristiques discursives, stylistiques et formelles, ses limites s’en trouvent diluées sinon abolies. En cet espace spécifique qu’est le journal, il n’est pas de concept de « genre dramatique » qui tienne. Ce que nous avons coutume de nommer « théâtre » n’existe pas, et vient à former une masse textuelle impure, mêlant matières journalistiques et dramatiques. Aussi est-ce au regard de ce contexte éditorial pleinement signifiant qu’il convient d’interpréter les pièces en bonne et due forme alors diffusées, parfois composées à sa destination : un pan entier de l’écriture dramatique romantique a été « médiatique », et doit se comprendre comme tel, recontextualisé et « recotextualisé » dans un cadre éditorial soumis aux modes, à la temporalité collective, à la collaboration et aux effets de lecture redevables à la présence d’autres articles qui lui sont contigus. Étudier le lien intime que les formes dramatiques éditées dans la presse entretiennent avec leur support de diffusion dans le second tiers du XIXe siècle permet de faire émerger une autre histoire du théâtre romantique, médiatique et en grande partie textuelle, en mettant au jour des auteurs, des tentatives dramatiques ou des événements aujourd’hui oubliés, mais aussi en ouvrant à la relecture de textes consacrés, tels ceux de Sand, de Vigny ou encore de Musset. / During the period 1829-1851, numerous factors brought about a reconfiguration of the relationship between print media and dramatic genres: the appearance of major literary journals, the introduction of low-priced printed press, the proliferation of mass periodicals and their increased print runs. These factors echoed not only the economic, social and political upheavals that characterized the first half of the 19th-century in post-revolutionary France but also the sweeping changes that affected the Parisian stage. As a result, one notes an increased presence of dramatic texts in the printed press. They may appear in various forms, as serialized theatrical plays, extracts, fragments but also collections of scenes and dramatized or dialogue-based articles – their length tailored to the newspaper format. Thus, between the stage and the page, dramatic forms could reach the public through a third access channel: print media. Their shared discursive, stylistic and formal features blur and even obliterate the boundaries between dramatic texts and periodical writing. In this particular context, the concept of “dramatic genre” does not apply and what we call “drama” does not exist as such. The result is a mixed mass of text, combining journalistic and dramatic materials. The “proper” plays that were circulated in the press, or even written for it, should be studied against the backdrop of this fully significant editorial context. An entire branch of Romantic playwriting was “media-oriented” and should be understood as such, with a new focus on context and co-text within an editorial framework subject to trends, collective temporality, collaborations and reading effects resulting from the influence of adjacent articles.The study of the close relationship between dramatic forms and their means of dissemination in the second third of the 19th-century gives a new, media-oriented and largely text-centered perspective on the history of the Romantic drama. Besides highlighting long-forgotten authors, events or diverse dramatic forms, it also prompts a new approach to the dramatic writings of well-established authors such as George Sand, Alfred de Vigny or Alfred de Musset.
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Les derniers feux de la tragédie classique : étude du genre tragique en France sous la Restauration et la Monarchie de Juillet / The last manifestations of classical tragedy : a study of the tragic genre in France during the Restoration and the July MonarchyMelai, Maurizio 31 May 2011 (has links)
La présente étude porte sur la pratique du genre de la tragédie classique au XIXe siècle, en particulier sous la Restauration et la Monarchie de Juillet. Ce qui nous intéresse, ce sont les développements les plus tardifs du genre tragique en France, genre dont nous documentons l’évolution et le déclin progressif au cours de la première moitié du XIXe siècle, c’est-à-dire jusqu’à sa disparition des théâtres français, qui a lieu autour de 1850. En nous basant sur un corpus de quatre-vingt pièces, nous essayons de brosser un tableau complet de la tragédie et des auteurs tragiques de la Restauration et de la Monarchie de Juillet, ou plus exactement des quarante années comprises entre 1814 et 1854. Conçu comme l’étude d’un code littéraire, ce travail s’articule en deux parties : dans la première, nous définissons le code tragique post-napoléonien sur la base des constantes formelles qui le caractérisent, en montrant l’évolution que le genre connaît des points de vue stylistique, structurel et plus strictement dramaturgique ; dans une seconde partie, nous examinons les constantes thématiques de ce code, en étudiant les stratégies par lesquelles la tragédie transpose, à travers les sujets historiques fortement allusifs qu’elle traite, les grandes problématiques politico-sociales de son temps. En documentant la continuité qui existe entre cette tragédie tardive et le drame romantique, nous cherchons enfin à valoriser les pièces de notre corpus et à mettre en évidence leurs traits modernes, ce qui nous conduit à rechercher les raisons de la persistance d’un genre traditionnel comme la tragédie classique et les facteurs qui déterminent sa revitalisation au XIXe siècle. / This study concerns the practice of the genre of classical tragedy in the nineteenth century, particularly during the Restoration and the July Monarchy. It focuses on the last developments of tragedy in France and documents the evolution and the progressive decline of this genre during the first half of the nineteenth century; that is until its disappearance from French theatres, which took place around 1850. By considering a corpus of eighty plays, this work aims to give a clear picture of the tragic genre and tragic authors of the Restoration and the July Monarchy, or more exactly of the forty years from 1814 to 1854. This work is conceived as the study of a literary code and is divided into two parts: in the first part, we try to define the tragic code of the post-Napoleonic era on the basis of the formal constants which characterise it, showing the evolution of the stylistic, structural and dramaturgic features of tragedy. In the second part, we look at the thematic constants of this code, studying the strategies that tragedy uses to transpose – through the historical and highly allusive subjects that it treats – the principal social and political problems of its time. Finally, by showing the continuity which exists between the declining tragic genre and the romantic drama, we try to valorise the texts in our corpus and to underline their modern features. This leads us to look for the reasons behind the persistence of a traditional genre like the classical tragedy and for the factors which revitalise it in the nineteenth century.
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Le dramaturge dissident. Le théâtre de Louis Lemercier entre Lumières et Romantisme (suivi de l’édition critique d’Agamemnon et Pinto, ou la journée d’une conspiration) / A dissident playwright between Enlightenment and Romanticism. The dramatic productions of Louis Lemercier. (followed by critical editions of Agamemnon and Pinto, ou la journée d’un conspiration) / Il drammaturgo dissidente. Il teatro di Louis Lemercier tra Illuminismo e Romanticismo (seguito dall’edizione critica di Agamemnon e Pinto, ou la journée d’une conspiration)De Santis, Vincenzo 04 March 2013 (has links)
La production dramatique de Jean-François-Louis-Népomucène Lemercier s’inscrit justement dans ce moment de transition entre ce que l’on a appelé Néoclassicisme et le Romantisme. Né en 1771 et mort en 1840, cet homme de lettres et académicien a assisté aux bouleversements qui ont caractérisé l’histoire de France du tournant des Lumières jusqu’à la Révolution de Juillet et même après. L’étendue de sa vie et surtout de son activité de dramaturge dépassent donc amplement ce « long dix-huitième siècle » que l’histoire littéraire tend à prolonger jusqu’en 1820. Ce travail s’intéresse donc à la production d’un dramaturge qui, dans son ambigüité intrinsèque, s’avère à plusieurs égards révélatrice d’une ambigüité caractérisant de manière plus générale l’ensemble de cette période de transition. Auteur de celle que l’on retient souvent comme la dernière tragédie classique – c’est le cas de son Agamemnon de 1797 – Lemercier est également considéré, déjà à partir du dix-neuvième siècle et notamment par Schlegel, comme l’un des premiers auteurs proprement romantiques, son Pinto de 1800 étant justement une protoforme de drame romantique. Ce travail se compose de deux grandes parties, la première consistant en une étude monographique sur l’ensemble de la production dramatique de Lemercier, la deuxième en une édition critique des œuvres majeures du dramaturge, son Agamemnon, qui représente un de plus grands succès tragiques de la période directoriale dont les reprises continuent jusqu’en 1826, et Pinto, une « comédie historique » qui fut en revanche un succès de scandale lors de sa création à la Comédie-Française et qui encourût par la suite la désapprobation de cinq régimes politiques. / The dramatic productions of Jean-François-Louis Népomucène Lemercier (1771-1840) reveal a transition between Neoclassicism, Preromanticism and Romanticism. This writer and academician witnessed the political and social upheavals that characterized France from the twilight of the Enlightenment until the July Revolution and thereafter. The span of his life and works amply exceeds the "long Eighteenth Century" that literary historians have extended to 1820 (Claude Pichois). This dissertation includes two main parts: a monographic study of Lemercier’s dramatic production and a critical edition of the playwright’s major works, Agamemnon (1797), one of the most successful tragedies during the “Directoire” and to 1826; and Pinto, a “historical comedy” composed between 1798 and 1800, and which was seen as a “romantic” triumph in 1834. Lemercier has often been regarded as the author of one of the last classical tragedies (Agamemnon i.e.); nevertheless, in spite of being, at times, one of Romanticism’s fiercest detractors, he emerges in Nineteenth century criticism – and above all in Schlegel’s writings – as one of the most influential pioneers of romantic drama. The intrinsic ambiguity of Lemercier’s dramatic production reveals the uncertainties of this transitional age. This ambiguity thus demands a holistic approach: the context of Lemercier’s literary works will be analyzed from an esthetic, historical and political point of view, emphasizing their intricate relationships with literary and political authorities and censorship issues throughout the period. / La produzione drammatica di Jean-François-Louis Népomucène Lemercier si inserisce in quel momento di transizione tra Neoclassicismo, Preromanticismo e Romanticismo che caratterizza gli ultimi anni del Diciottesimo e il primo trentennio del Diciannovesimo secolo. Nato nel 1771 e morto nel 1840, questo scrittore e accademico ha assistito agli sconvolgimenti che hanno caratterizzato la storia della Francia dal tournant des Lumières fino alla Rivoluzione di Luglio e anche oltre. La sua vita e la sua attività poetica oltrepassano ampiamente il “lungo Settecento” che la storia letteraria tende ad estendere sino al 1820 già a partire dalla periodizzazione proposta da Claude Pichois. Questo lavoro si concentra sulla produzione di un autore che, nella sua intrinseca ambiguità, è sotto molti aspetti indicativa di un’indeterminatezza che caratterizza più in generale questo periodo di transizione estetico-letteraria. Spesso considerato, in primis da Madame de Stael, come l’autore dell’ultima tragedia classica - è il caso di Agamemnon del 1797 - Lemercier è stato visto, già a partire dal XIX secolo e in particolare da Schlegel, come uno dei primi autori di drammi romantici, di cui Pinto, ou la journée d’une conspiration (1800) rappresenterebbe una protoforma. Il presente lavoro, che si focalizza sul macrotesto teatrale di Lemercier senza tuttavia negligere altri aspetti della sua variegata opera, consta essenzialmente di due sezioni, una dedicata allo studio del macrotesto teatrale dell’autore, con un’attenzione particolare al contesto-storico letterario e alla ricezione; l’altra all’edizione di due opere, Agamemnon e Pinto, che rappresentano per molti aspetti due degli esempi più significativi della sua produzione drammatica. Il rapporto conflittuale di Lemercier con l’autorità politica e con la nascente “scuola” romantica saranno inoltre oggetto di questa riflessione.
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Lector in drama. Les enjeux fictionnels et imaginaires du suicide dans le théâtre français du XIXe siècle / Lector in drama. Fiction, imagination and suicide in 19th-century French theaterEinman, Maria 04 May 2018 (has links)
Cette étude examine la lecture des textes de théâtre comme des textes de fiction, visant à faire sortir ce genre de lecture du cadre de l’analyse textuelle au sein duquel on a tendance à l’enfermer. L’examen s’effectue à la lumière de l’interrogation sur le suicide dans le drame français du XIXe siècle : son objectif est de cerner l’effet que le suicide d’un personnage exerce sur le lecteur. Pour ce faire, nous nous servons du concept de lecteur virtuel, destinataire implicite et atemporel des effets du texte selon Vincent Jouve ; ce lecteur immerge au sein du monde possible de fiction soutenu par le dispositif qui se fonde sur la tripartition Réel - Symbolique - Imaginaire de Lacan.La réflexion est structurée en cinq parties : l’introduction théorique est suivie des analyses qui portent, respectivement, sur le mélodrame, le drame romantique, le drame naturaliste et le drame symboliste. En nous penchant sur l’effet du suicide fictionnel sur le lecteur, qui est systématiquement relié au questionnement de la catharsis, nous traitons également de l’évolution des formes et genres théâtraux évoqués dans l’optique de la lecture « virtuelle ». Ainsi, lire le drame français du XIXe siècle, c’est voyager de la certitude optimiste du mélodrame à l’indétermination tragique du drame symboliste, du suicide effectif aux morts probablement volontaires, de la catharsis « larmoyante » à l’anticatharsis... / This study examines the reading of drama texts as the reading of fictional texts, aiming to broaden the current approach according to which the reading of drama texts is mainly limited to text analysis. This question is examined in the light of the issue of suicide in 19th-century French drama. The principal aim of this study is therefore to understand the impact of the character’s suicide on the reader via the detailed analysis of the ins and outs of the suicidal act. The study applies Vincent Jouve’s concept of the virtual reader, who is defined as an implicit and atemporal recipient of the text effects. This reader emerges in a fictional world that is supported by an operative device (dispositif) based on the Lacanian triptych of the Real, the Symbolic and the Imaginary.The dissertation consists of five chapters. The theoretical discussion is followed by four chapters that deal, respectively, with melodrama, romantic drama, naturalist drama, and symbolist drama. In addition to the effect of the fictional suicide on the reader (which is systematically connected to the catharsis), the evolution of theatrical genres and forms is explored from the perspective of “virtual” reading. Thereby, the reading of 19th-century French drama could be viewed as a journey from the optimistic certainty of melodrama to the tragic indeterminacy of symbolist drama, from actual to probable suicides, from “sorrowful” catharsis to anticatharsis.
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