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La pensée du religieux au siècle des Lumières : études sémiostylistiques d'oeuvres littéraires et picturales / Religious Thinking in the the Age of the Enlightenment : semiostylistic studies of literary and pictorial works of art

Di Rosa, Geneviève 27 November 2012 (has links)
L’importance du religieux au siècle des Lumières n’est plus à démontrer, tant dans sa dimension historique que philosophique ou artistique. Mais il s’agit de savoir s’il existe une pensée du religieux au XVIII° siècle, i.e. des modes spécifiques de peser des sens qui ont à voir avec l’invisible, le surnaturel ou le divin. Plutôt qu’une idée en particulier, idée de bonheur, de nature, d’énergie ou d’inquiétude, nous étudions un rapport, une relation articulée entre l’homme et le symbolisable: comment une société donnée mesure ce rapport au surnaturel, et à travers quels médias. L’enquête privilégie la littérature d’idées, la production d’une pensée qui n’adhère jamais ni à l’identité ni au concept, mais qui est plutôt écart et mouvement, et qui par cela même peut s’aventurer sur des terra incognita ; elle privilégie aussi la peinture d’histoire, le genre où l’iconographie est par excellence cosa mentale, manifestation visuelle des méditations d’une pensée. Les analyses sémiostylistiques des œuvres sont orientées par deux pôles, l’intertextualité biblique et la praxis socio-théologique de la Querelle des refus de sacrements. Elles permettent de saisir les mutations du paradigme biblique, de la pensée rationaliste et de l’esthétique mimétique tout en mettant au jour les obstacles épistémologiques, les points de résistance, les skandalon. La pensée du religieux au XVIII° siècle, entre audace et effroi, apparait marquée par l’expérience et l’ethos, une esthétique du témoin qui doit beaucoup à la pensée janséniste du témoignage, ainsi qu’une remise en cause de la pensée rationaliste au profit d’une nouvelle philosophie du langage / The importance of Religion in the Age of the Enlightenment is no longer to be proven, whether it be historically, philosophically ar artistically. The question is to make out if there exists a way of thinking Religion in the XVIIIth century, i.e. specific modes of weighing meanings which are related to the invisible, the supernatural or the divine. Rather than one idea in particular (happiness, nature, energy, anxiety), we are studying a connection, an articulate relation between man and what can be symbolized : how a given society assesses this connection to the supernatural, and through wich media. Our investigation favours essays, the production of a thinking which never adheres to the identity or the concept, but which is rather a swerve, a movement, which allows it to explore terra incognita ; the investigation also favours history painting, the genre in which iconography is by essence cosa mentale, a visual manifestation of the mediations of a thinking. The semiostylistical analysis of the works are orientated by two poles, the biblical intertextuality and the socio-theological praxis of the quarrel over the refusal of sacraments. These analysis allow to grasp the mutations of the biblical paradigm, the rationalist thinking and mimetic aesthetics while they make light on the epistemological obstacles, the resistance points, the skandalon. Thinking Religion in the XVIIIth century, between audacity and dismay, appears marked by the jansenist thinking of testimony, as well as a questionning of rationalist thinking in favour of a new philosophy of language
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[fr] LE PARDON DE DIEU: INDIVIDU ET COMMUNAUTÉ DANS LA FORME ACTUELLE DU SACREMENT DE PÉNITENCE / [pt] O PERDÃO DE DEUS: INDIVÍDUO E COMUNIDADE NA ATUAL CONFIGURAÇÃO DO SACRAMENTO DA PENITÊNCIA

CARLOS ANTONIO DA SILVA 03 February 2005 (has links)
[pt] O sacramento da penitência requer uma reflexão teológica que enfatize o que lhe é específico dentro do conjunto da teologia sacramental católica. Requer também que se redescubra o seu potencial evangelizador. Nossa dissertação faz uma abordagem teológico-pastoral desse sacramento ressaltando o seu núcleo fundamental: o perdão de Deus; e dando ênfase à sua dimensão sóciocomunitária. Analisa a importância da relação indivíduo-comunidade nas diversas configurações históricas que este sacramento já assumiu. Propõe uma reflexão teológica que fundamente a necessidade de configurar o sacramento da reconciliação eclesial a partir do contexto em que se encontra a Igreja hoje. O fio condutor de nosso estudo é a distinção entre penitência como virtude e como sacramento. A primeira, deve ser considerada como conatural à vida cristã. A segunda, como uma mediação específica para a concessão do perdão de Deus ao cristão em estado de conversão. Em ambos os casos, é tarefa urgente para a teologia e para a pastoral redescobrirem a Igreja como comunidade do perdão e da graça e o sacramento da penitência como uma mediação para a remissão dos pecados e para a reconciliação em todos os níveis. / [fr] Le sacrement de pénitence demande une réflexion théologique qui souligne ce qui lui est spécifique placé dans l ensemble de la théologie sacramentelle catholique. Cela demande aussi que soit redécouvert son pouvoir évangélisateur. Notre dissertation se veut un abordage théologique pastorale de ce sacrement, faisant ressortir son noyau fondamental qui est le pardon de Dieu et veut aussi souligner sa dimension sociale-communautaire. Nous analysons l importance de la relation individu-communauté aux diverses caractéristiques historiques assumées par ce sacrement. Nous proposons une réflexion théologique qui prouve la nécessité de caractériser le sacrement de la réconciliation éclesiale a partir du contexte où se rencontre l Eglise d aujourd hui. Le fil conducteur de notre étude est de distinguer entre la pénitence comme vertu et comme sacrement. La première doit être considérée comme étant co-naturelle à la vie chrétienne et la seconde doit être considérée comme une médiation spécifique pour l attribution du pardon de Dieu pour le chrétien en état de conversion. Dans les deux cas la tâche est urgente pour la théologie comme pour la pastorale. Il s agit de redécouvrir l Eglise comme communauté du pardon et de la grâce et le sacrement de pénitence comme une médiation pour la rémission des péchés et pour la réconciliation à tous les niveaux.
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L'être chrétien, un être de communion

Lavoie, Johanne 06 September 2021 (has links)
Le but de cette recherche fut de mieux cerner l'être et l'agir chrétiens à la lumière de la notion de communion. Nous avons posé comme intuition de base que l'être chrétien est fondamentalement un être de communion. Voilà ce qui définit l'identité spécifique du chrétien et qui commande toute son existence dans l'Église et dans le monde. Nous nous sommes appuyé sur le présuppose suivant: "l'agir suit l'être ". De l'être de communion qu'est le chrétien découle un agir de communion. Pour ce faire, nous avons, dans une première partie qui comprend deux chapitres, développe une conception communionnelle de la personne humaine et rappelle les aspects de communion inhérents au mystère trinitaire. Or, l'être humain ne peut participer à cette communion trinitaire qu'en Église. C'est pourquoi dans une deuxième partie qui comprend aussi deux chapitres, nous avons analysé le terme de koinonia dans le Nouveau Testament et nous avons étayé la dimension de communion de l'Église à partir des textes du Concile Vatican II. Cela nous a conduit dans une troisième partie à mieux cerner l'agir découlant de l'être communion qu'est le chrétien. L'être chrétien est un être de communion. L’être chrétien est avant tout une personne humaine ouverte à la communion par sa nature même. Dieu, par sa grâce, vient combler l'attente de la nature humaine a cet égard en s'offrant à l'esprit humain comme objet de connaissance et d'amour. L'homme devient ainsi un être nouveau capable d'agir surnaturellement, en fils de Dieu. Cet agir puise son dynamisme communionnel dans le baptême par l'inhabitation de l'Esprit Saint qui, par les vertus théologales et morales, rend l'homme apte à communier à Dieu et, de ce fait, aux autres. Cette vie de communion est stimulée et soutenue par les autres sacrements. La vie baptismale s'épanouit par l'exercice du sacerdoce baptismal dans les vertus et dans les sacrements.
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La trilogie Christ-Salut-Église, clé herméneutique de l'ecclésiologie de J.-M. Tillard : enjeu du débat sur la sacramentalité de l'Église

Mobiala Ngamana, Jean 24 April 2018 (has links)
"Thèse en cotutelle." / La richesse de la théologie de J.-M. Tillard appelle plusieurs lectures. On y accède soit à partir d’un concept clé, soit à partir d’une perspective théologique particulière qui en serait le noyau principal. Ainsi, la porte d’entrée est tantôt le concept de communion, l’eucharistie, l’œcuménisme, etc. C’est dans ce contexte qu’est né notre questionnement : n’y aurait-il pas une autre entrée dans la théologie de J.-M. Tillard ? Cette question se concentre sur son ecclésiologie qui est le domaine propre de notre recherche doctorale. Comment comprendre l’ecclésiologie de J.-M. Tillard ? Ainsi, ce travail postule le passage de la christologie à l’ecclésiologie par la sotériologie. Ces trois disciplines sont donc interreliées dans l’ecclésiologie tillardienne. Ce lien est abondamment abordé dans l’enseignement de Tillard plus que dans ses monographies. C’est ainsi que son enseignement reste un moyen primordial pour la compréhension de son ecclésiologie. Cette recherche se structure en six chapitres. Après la présentation de notre source principale (les cours) qui est méconnue par plusieurs théologiens, notre travail présente l’interrelation dynamique entre la christologie, la sotériologie et l’ecclésiologie, dans la théologie de Tillard. Émerge alors la question du caractère instrumental de l’Église en regard du salut acquis par le Christ et apprécié diversement par les Églises chrétiennes, en particulier par la théologie luthérienne. C’est la compréhension de la notion de sacrement pour parler de l’Église adopté par Vatican II et reçu dans la théologie postconciliaire qui fait débat. Nous avons examiné en particulier la controverse entre le catholique Tillard et le luthérien Birmelé. Mots clés : Christologie, communion, ecclésiologie, eucharistie, sacramentalité, salut, sotériologie, J.-M. Tillard / The richness of the theology of J.-M. Tillard called several readings. You can access either from a key concept from a particular theological perspective that would be the core. Thus, the entry door is sometimes the concept of communion, the Eucharist, ecumenism, etc. It is in this context that is born our questioning: Would there not be another entry in the theology of J.-M. Tillard? This issue focuses on his Ecclesiology which is the own field of our doctoral research. How to understand the Ecclesiology of J.-M. Tillard? Thus, this work postulates the passage of Christology in Ecclesiology by Soteriology. These three disciplines are therefore linked in the tillardienne ecclesiology. This link is extensively discussed in the teaching of Tillard more than in its monographs. It is as well that his teaching remains a vital means for the understanding of its ecclesiology. This research is structured in six chapters. After the presentation of our main source (school) which is unknown by many theologians, our present work the dynamic interrelationship between Christology, Soteriology and Ecclesiology in the theology of Tillard. So emerges the question of the instrumental nature of the church next to the salvation by Christ and appreciated variously by the Christian churches, particularly by Lutheran theology. It is the understanding of the notion of sacrament to talk about the church adopted by Vatican II and received in the post-Conciliar theology that has been debated. We examined in particular the controversy between the Tillard Catholic and Lutheran Birmelé. Key words: Christology, communion, Ecclesiology, Eucharist, sacramental nature, Salvation, Soteriology, J.-M. Tillard.
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L’appartenance à une Église de droit propre dans l’Église catholique. D’un principe juridique établi à une réalité malmenée / Belonging to a sui iuris church in the catholic Church. from an established judicial principle to an manhandled reality

Gonçalves, Bruno 25 June 2014 (has links)
Au sein de l’Église catholique, les critères d’appartenance à une Église sui iuris ont évolué dans l’histoire du droit canonique notamment à l’occasion de la promulgation encore récente du code latin de 1983 et du code des canons des Églises orientales de 1990. Le droit positif témoigne du souci du législateur de privilégier désormais l’objectivité du critère, sans empêcher qu’interviennent des éléments d’appréciation liés à la volonté des personnes qui souhaitent changer de rite par exemple à l’occasion de leur mariage. La loi et la praxis du Saint Siège manifestent cette recherche difficile d’un équilibre entre un déterminisme objectif de l’appartenance rituelle et une liberté subjective de choisir son rite ou d’en changer. Mais, les mutations sociales et structurelles ecclésiales récentes, caractérisées par la multiplication de structures ecclésiastiques à caractère personnel dans le monde latin, qui font droit à la volonté subjective des fidèles et l’augmentation importante du nombre des catholiques orientaux en diaspora, conduisent à s’interroger sur la pertinence de privilégier le critère territorial par rapport au critère personnel des structures ecclésiales orientales. Sauf à les condamner à la marginalité, voire à la disparition, il convient désormais de réfléchir sur le lien institutionnel qui unit les Églises de droit propre à leurs fidèles. Le poids de l’histoire, celui des relations avec les autres Églises orientales orthodoxes et enfin celui de la tradition canonique doivent être à la fois intégrés et dépassés pour ne pas enfermer les Églises orientales catholiques dans une logique mortifère. / Within the Catholic Church, the criteria for belonging to a sui iuris Church have evolved throughout the history of Canon Law, particularly after the fairly recent promulgation of the Latin Code in 1983 and of the Code of the Canons of the Eastern Churches in 1990. Positive Law is proof of the care the legislator now takes to give priority to the objectivity of the criteria, whilst not preventing other elements to be taken into account, such as the desire of people who wish to change the rite, for example in the case of their marriage. Holy See law and Praxis are a witness to this difficult search for a balance between an objective determinism concerning adherence to the ritual and a subjective freedom to choose one’s rite or to modify it. However, society and Church structures have changed in recent years, changes which are characterized by the multiplication of ecclesiastical structures with a personal character in the Latin world, giving the Faithful the right to have their own personal wishes; and a growing number of Eastern Church members in Diaspora. This has led us to reconsider whether it is now at all pertinent to favour territorial criteria as opposed to personal ones in Eastern Church structures. Unless we wish to condemn them to a marginal position or even to disappear altogether, we must now reflect carefully on the institutional link between the Sui Iuris Churches and their Faithful. The weight of History, of the link with the other Eastern Orthodox Churches, and of the tradition of Canon Law must be simultaneously integrated and transcended if Eastern Catholic Churches are not to be trapped within a death-inducing logic.
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Analysis of the religious practices of Hindus at Saint Joseph's Oratory : transmission of Christian faith after the Second Vatican Council

Jomon Kalladanthiyil, John 03 1900 (has links)
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