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Politique des limites, limites de la politique: la place du droit dans la pensée de Hannah Arendt

Lefebve, Vincent 13 December 2013 (has links)
Dans cette thèse de doctorat, je m’attache à interpréter, à systématiser et à soumettre à un examen critique la pensée politique du droit de Hannah Arendt. En effet, alors que le versant politique de cette œuvre a fait l’objet d’une attention tout à fait considérable, on n’a toujours pas pris la mesure de l’intérêt évident de la philosophe pour le droit et les institutions juridiques et judiciaires les plus essentielles. Or, selon la thèse que je défends, l’une des raisons qui expliquent l’originalité de cette pensée et son caractère stimulant est à chercher du côté du positionnement qu’elle adopte vis-à-vis de la question du droit.<p><p>Pour atteindre ces différents objectifs, ma thèse est structurée en deux grandes parties qui correspondent à deux points de vue que l’on peut adopter par rapport au droit et qui se révèlent tout à fait opératoires si l’on accède à une vision panoramique des écrits dispersés qu’Arendt a consacrés au droit. Je distingue ainsi, et ne cesse de faire dialoguer dans ma thèse, le « pôle objectif » (première partie) et le « pôle subjectif » (seconde partie) de la philosophie du droit de Hannah Arendt.<p>1/ Dans la première partie de mon étude, je montre comment la philosophe s’attache, dans ses livres les plus célèbres, à construire des modèles politiques qui ont tous pour particularité d’être aussi – et de manière indissociable – des modèles juridiques. a) Mon premier chapitre est dédié à l’intérêt manifesté par Hannah Arendt pour les sources de l’Antiquité, et vise en particulier à clarifier le rapport qu’elle entretient vis-à-vis des sources romaines. b) Dans mon deuxième chapitre, je propose une interprétation de sa réflexion consacrée aux deux grandes révolutions modernes de la fin du XVIIIe siècle, les Révolutions française et américaine. Je mets en lumière de quelle façon Arendt, en s’inspirant du précédent américain, élabore un modèle républicain et peut ainsi approfondir sa conception de l’articulation entre droit et politique. c) Dans mon troisième chapitre, je précise les contours d’un contre-modèle élaboré par Arendt dans ses premiers écrits politiques d’envergure, ceux qu’elle a consacrés au totalitarisme.<p>2/ Dans la seconde partie de mon étude, je me concentre sur le « pôle subjectif » de la philosophie de mon auteur :j’indique comment Arendt mobilise des situations existentielles limites pour penser la condition de l’homme contemporain. a) Dans mon quatrième chapitre, je montre que c’est à partir de la situation des réfugiés et des apatrides de l’entre-deux-guerres que Hannah Arendt nous invite à repenser non seulement les droits de l’homme, mais aussi leur titulaire, que j’appelle l’« homme des droits de l’homme ». b) Dans mon cinquième chapitre, je m’attache à mettre en évidence, dans toutes ses nuances, la figure du « juge » que Hannah Arendt s’attache à reconstituer après avoir assisté au procès d’Adolf Eichmann, après avoir ressenti ce que je nomme le « choc » du procès Eichmann. c) Dans mon sixième et dernier chapitre, enfin, je m’interroge sur les raisons profondes qui incitent Arendt à voir dans les grandes campagnes de désobéissance civile qui éclatent aux États-Unis durant les années 1950 et 1960, non le signe d’un déclin des institutions, mais, au contraire, la marque d’une renaissance de l’action citoyenne.<p><p>Je conclus en synthétisant l’apport de Hannah Arendt à notre pensée juridique. Dans cette œuvre, le droit n’apparaît jamais comme une simple contrainte extérieure pour la politique, ni comme son « supplément d’âme », mais comme sa condition d’existence :en conférant à la liberté politique ses limites, limites spatiales mais aussi relationnelles et temporelles, en lui offrant un cadre stable au sein duquel elle peut s’épanouir, le droit n’ampute pas la politique d’une part d’elle-même mais, au contraire, participe de sa constitution. Me fondant sur trois catégories centrales de la réflexion juridique (législation, constitution, juridiction), je souligne en outre tout l’intérêt d’une confrontation approfondie et détaillée entre l’œuvre arendtienne et les questions classiques et contemporaines qui animent le champ de la théorie et de la philosophie du droit, ce qui me permet d’ouvrir un certain nombre de perspectives de recherches futures.<p> / Doctorat en Sciences juridiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les métamorphoses de la pensée politique de Fichte: du cosmopolitisme républicain au messianisme national allemand

Vogel, Jean January 2003 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Ethique et démocratie: la problématique du personnalisme de Jacques Maritain :essai d'éthique politique

Nkulu Kabamba, Olivier January 1995 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Discipline "Éducation à la citoyenneté" dans le programme de formation de l'école québécoise : une évaluation critique

Tremblay, Bruno 17 April 2018 (has links)
L'éducation à la citoyenneté est une discipline qui a fait son entrée, en 2000, dans le Programme de formation de l'école québécoise, aussi connu sous le nom de Renouveau pédagogique. Il a fallu près de dix ans de réflexion afin de concevoir un programme de formation qui avait le mandat de préparer les élèves québécois à la vie que leur réserverait le vingt-et-unième siècle. Cette réflexion a notamment conduit à inclure la discipline Education à la citoyenneté dans l'enseignement de l'histoire. Au cours de ce mémoire, nous nous intéresserons plus particulièrement à cette décision et nous poserons un regard critique, ancré dans une philosophie politique contextualisée et appliquée, sur la capacité de ce choix pédagogique de préparer adéquatement les futurs citoyens.
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L'ambiguïté anthropologique et sa dimension temporelle chez le premier Merleau-Ponty

Tremblay, Félix 08 1900 (has links)
Ce travail est consacré à la conception de l’être humain qui se dessine discrètement dans les deux premiers ouvrages du philosophe français Maurice Merleau-Ponty, à savoir La Structure du comportement (1942) et Phénoménologie de la perception (1945). Le premier ouvrage, qui adopte la perspective des sciences empiriques de l’homme (psychologie, biologie, psychopathologie) et le second ouvrage, qui revendique un point de vue phénoménologique, visent conjointement à mettre en échec les paramètres métaphysiques et épistémologiques hérités de la tradition cartésienne et à révéler l’irréductibilité de notre être-au-monde. L’anthropologie philosophique qui en découle en est une de l’« ambiguïté », laquelle se perçoit le mieux dans une perspective temporelle. / This work is dedicated to the conception of the human being that is discreetly outlined in the first two works of French philosopher Maurice Merleau-Ponty, namely "The Structure of Behavior" (1942) and "Phenomenology of Perception" (1945). The first work, which adopts the perspective of empirical sciences of man (psychology, biology, psychopathology), and the second work, which claims a phenomenological point of view, both aim to challenge the metaphysical and epistemological parameters inherited from the Cartesian tradition, and to reveal the irreducibility of our being-in-the-world. The resulting philosophical anthropology is one of "ambiguity," which is best perceived from a temporal perspective.
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L'étude des idées politiques au sein des partis de la social-démocratie européenne: de l'utilité du concept du révisionnisme

Sente, Christophe 30 November 2010 (has links)
La thèse s'attache à étudier la validité conceptuelle de la notion de révisionnisme pour la compréhension de la dynamique idéationnelle et programmatique de la social-démocratie européenne. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Carl Schmitt, l'Europe et la démocratie universelle: la question d'une Europe schmittienne et son impact sur le débat français actuel autour de la construction européenne

Storme, Tristan 10 May 2011 (has links)
Dans notre thèse de doctorat, nous avons cherché à tester l’hypothèse selon laquelle l’enjeu européen constituerait, en France, l’épicentre d’une "actualisation" — pour partie assumée, pour partie occultée — de la pensée du juriste allemand Carl Schmitt. Les réflexions politico-philosophiques de Schmitt représentent en soi un assemblage rhétorique et systématique puissant, aisément mobilisable dans le cadre des débats théoriques sur la construction européenne, afin de battre en brèche les affirmations néo-cosmopolitiques, que l’on soit de droite ou de gauche. Il s’est agi, pour nous, de vérifier jusqu’à quel point la pensée politique du juriste se retrouvait "recyclée" dans le débat français contemporain relatif à l’idée d’Europe. Était ainsi ouverte l’opportunité d’évaluer, de manière systématique, la facticité ou la pertinence d’une antinomie :une Europe schmittienne contre une Europe kantienne. Dans un premier temps, nous avons tâché de reconstruire ce que fut la position schmittienne concernant la gestion de l’espace européen, avant d’évaluer, dans un second temps, l’impact causé par une telle pensée sur les réflexions qui animent le débat français contemporain.<p>La première partie de la thèse visait à rendre compte de la vision schmittienne de l’Europe. Schmitt a pensé la décision politique en des termes statonationaux :l’ordre juridique étatique serait modelé sur la base de la nature axiologique et culturelle de l’amitié politique, de la communauté des citoyens soudés par un seul et même critère d’appartenance, souvent religieux ;critère qui précéderait la nationalité et la réalisation "politique". Il s’ensuit que l’ordre mondial ne peut se présenter que sous la forme d’un pluriversum d’États, animés dans leurs relations mutuelles par la dynamique de l’ami et de l’ennemi. Le libéralisme et le pluralisme provoqueraient des regroupements fonctionnels, dont le pan-européisme serait l’une des manifestations les plus visibles, à l’origine d’un sapement du politique et de l’unité souveraine de l’État. Quatre points analytiques permettent d’expliquer l’appréhension schmittienne de la gestion juridico-politique du Vieux Continent :l’indissociabilité du couple conceptuel État-politique, l’idée que la nation demeure l’horizon indépassable de la démocratie, la critique de la notion d’humanité et de toute morale universelle, et l’idée que le droit serait nécessairement d’origine politique, donc particulariste.<p>En France, l’intérêt pour l’œuvre de Schmitt s’est largement accru ces dernières années. Le débat théorique actuel autour du problème de la construction européenne offre d’ailleurs une place particulière à la réactivation de l’argumentaire schmittien statocentré, antilibéral et culturaliste. À gauche comme à droite de l’échiquier politique, intellectuels et philosophes mobilisent raisonnements et schémas discursifs, tantôt réclamés de Schmitt, tantôt très proches des arguments du juriste de Plettenberg. En passant en revue les réflexions d’auteurs aussi différents qu’Étienne Balibar et Pierre Manent, Alain de Benoist et Marcel Gauchet, Daniel Bensaïd et Pierre-André Taguieff, nous avons tenté d’approcher et de rendre compte de la pluralité des emprunts à la pensée de Schmitt et à son appréhension de l’ordre européen, dans le cadre des discussions françaises relatives à l’intégration régionale européenne. Chez certains de ces auteurs, la construction européenne apparaît comme la manifestation avancée d’un phénomène général de dilution du politique. Autrement dit, elle incarnerait un idéal de société qui ramène le politique au niveau du marché. Pour d’autres, Carl Schmitt aurait diagnostiqué mieux que quiconque la mort du droit des gens européen et les travers de l’universalisme abstrait que brandirait l’Union européenne en expansion. Par ailleurs, la théorisation schmittienne de la souveraineté constituerait une référence incontournable pour éclairer les thématiques actuelles relatives à une mutation des niveaux de pouvoir.<p> / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La société comme corps: de la théologie politique à la chair :pour une approche sémiotique

Boumedian, Naoual 27 November 2007 (has links)
Recherche sur l'imaginaire de la société comme corps. Le point de départ est la théologie politique médiévale. Malgré les différences de fondation (non plus religieuse mais séculière), l'imaginaire théologique médiéval de la société comme corps s'est retrouvé dans la pensée politique moderne, à travers notamment les doctrines de la souveraineté et de la représentations (J. Bodin, J.-J. Rousseau, T. Hobbes). Qu’implique sur le plan de la représentation politique la métaphore corporelle ?Cette représentation implique notamment la difficulté à penser la supranationalité (la métaphore corporelle a servi – et sert encore – à penser les Etats dans le cadre de la Nation). Quelles sont les conditions de la dilution de l'hypostase de la société comme corps ?La nécessité est posée de passer à un paradigme de l'intersubjectivité et de la communication. Une attention particulière est accordée à une approche sémiotique de la communication à travers les icônes et les indices (et non uniquement les symboles). / Doctorat en sciences sociales, Orientation sociologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Singularité des traditions et universalisme de la démocratie: étude critique, inspirée d'Eric Weil, sur l'espace négro-africain dans la "mondialisation"

Kabisa Bular Pawen, Jean-Baptiste January 1998 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'idée weilienne de l'état mondial: un procès de légitimation d'un ordre social supranational

Kabisa Bular Pawen, Jean-Baptiste January 1997 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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