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Totenkult der SkythenRolle, Renate. January 1900 (has links)
Habilitationsschrift--Göttingen. / Errata slip inserted. Includes bibliographical references.
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Totenkult der SkythenRolle, Renate. January 1900 (has links)
Habilitationsschrift--Göttingen. / Errata slip inserted. Includes bibliographical references.
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Forrástanulmányok Herodotos Skythika-jához. Quellenstudien zu den Skythika des HerodotHarmatta, J. January 1941 (has links)
Doktori értekezés--Tudományi-Egyetem, Budapest. / Study of Herodotus's Historia, Bk. 4, ch. 16-32. Bibliographical references in "Jegyzetek": p. [69]-70.
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Believing the Ancients: Quantitative and Qualitative Dimensions of Slavery and the Slave Trade in Later Prehistoric EurasiaTaylor, Timothy F. 06 1900 (has links)
No
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Steppe nomads and Russian identity: the (in)visibility of Scythians, Mongols and Cossacks in Russian history and memoryMaximick, Katherine 06 May 2009 (has links)
The Russian people and the steppe nomads have maintained a symbiotic relationship for 2600 years that was undeniably fluid; however, for the most part mental and sometimes physical barriers have been erected in Russian society and historiography in an attempt to deny or suppress many aspects of Russia’s “Asian” features or historical past. This thesis aims to bring to light the fluidity and cross-cultural exchanges of this relationship, the substantial influences of steppe societies on Russian society and history, as well as to examine the motives and ideologies behind Russia’s anti-nomadic sentiments that ultimately shaped and censored Russian national history. The invaluable benefits of nomadic and steppe customs in Russian society and on Russian identity have previously been ignored, dismissed or downplayed in Russian historiography, and revisionist historians hope to reverse this and introduce the concept that the rise of the Russian nation would not have been possible without the influence of steppe nomadic societies.
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Présence et influence iranienne dans les régions pontiques des origines à la chute de l’Empire achéménide / The Iranian presence and influence in the Pontus regions from the origins to the fall of the Achaemenid EmpireBikas Shourkaei, Hamid 25 July 2011 (has links)
La présence iranienne dans les régions pontiques, bien qu’apparaissent de manière incidente dans de nombreuses études, n’a jamais fait l’objet d’une thèse de doctorat. Ce travail de thèse se propose de retracer l’histoire de la présence des Iraniens dans les régions pontiques des origines à la chute de l’Empire achéménide. Dans la première partie de notre thèse, nous passons en revue les discussions les plus récentes sur l’origine, les stades de la formation et la répartition des populations nomades iranophones dans les steppes eurasiatiques. Nous nous penchons notamment sur les rasions du passage au grand nomadisme pastoral monté de ses tribus à l’aube du Ier millénaire avant J.-C. Dans la deuxième partie de notre thèse, nous retraçons d’abord l’histoire du peuple cimmérien, puis nous traitons in extenso du problème de leur appartenance linguistique et anthropologique. Dans cette partie sont également examiné l’origine de la culture de la Scythie du Pont, l’établissement des Scythes en Asie antérieures et leur retour aux steppes nord-pontiques. A la fin de cette partie, nous reprenons l’analyse de la première légende d’origine des Scythes rapportée par Hérodote et nous tentons, en utilisant la méthode comparative dumézilienne, de démontrer que les éléments constitutifs de cette légende sont la résurgence et l’assemblage de schémas narratifs des mythes fondateurs des peuples iraniens. La troisième partie de notre thèse est consacrée à l’étude de la présence iranienne dans les régions pontiques à l’époque achéménide. Nous nous appliquons à dresser le portrait historique de ces espaces géographiques sous la domination achéménide et nous tentons d’identifier les traces de l’occupation achéménide ainsi que les « marqueurs » de la présence iranienne dans ces régions. Les documents de natures diverses et complémentaires permettent de confirmer non seulement la présence iranienne, mais aussi la profondeur des contacts inter-culturels entre les Iraniens de la diaspora impériale, les Grecs et les populations locales de ces régions. / The thesis studies the presence and influence of the Iranian peoples and tribes in the Pontus region from the origins to the fall of the Achaemenid Empire. While the sedentary Iranian people have been the center of attention, this work focuses firstly on the nomadic Iranian peoples originally living in western Siberia and who moved later in the north-Pontic region. In the absence of Cimmerian and Scythian written documents, the first part of thesis attempts to reconstruct a historical narrative of the migration and invasion of these people through the references made to them in ancient Greek and Assyrian texts, as well as by archaeological evidence. Modern debate about the Cimmerians’ linguistic and ethnic affiliation continues at a lively pace, for the existing documentation is both sparse and full of contradictions. Nonetheless, the inclination today is to consider them as an Iranian people. The second part of thesis traces the history of Scythian tribes in the North Pontic region. The first Scythian legend of origin, as related by Herodotus is studied and it is suggested that this legend incorporates typical features of Iranian legends of origin. The third part of the thesis studies the history of Pontus regions in the Achaemenid period and attempts to evaluate the impact of Persian and Iranian presence there. This part discusses the political status of the Pontus regions within the Achaemenid empire and attempts to determine the nature and the level of political incorporation of these regions into Achaemenid administrative organization. The work concludes by reviewing the written, archeological, artistic and various other sorts of evidence which suggests that there was not only a permanent presence of Persians and Iranians of the imperial diaspora, but also a considerable impact by the Achaemenid political and cultural influence in the Pontus region. This was due to the intense intercultural exchange between these Iranians and local populations.
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Origines indo-européennes des deux romans médiévaux : Tristan et Iseut et Wîs et Râmîn / Indo-European origins of two medieval novels : Tristan and Isolde and Wîs and RômînNosrat, Shahla 03 February 2012 (has links)
L'examen attentif des concordances ponctuelles et annexes des romans de Tristan et Wîs et Râmîn de Gorgâni dévoilela survivance d'un passé idéologique commun provenant de I'idéologie tripartite des Indo-européens. Comme le récitdu roman persan date de l'époque parthe, cette thèse pour découvrir l'énigme d'une transmission ou d'un emprunt, se focalise sur I'origine iranienne de certains thèmes et motifs du roman de Tristan et retrace la migration d'un rameau des peuples iraniens en Europe jusqu'en France. Ce peuple que la mémoire historique connaît sous le nom des Alains était I'un des descendants des Scythes qui étaient eux-mêmes les frères nomades des Parthes. / A careful examination of occasional concordances and appendices of Tristan and Gorgâni's Wîs and Râmîn novel reveals the survival of a common ideological past borrowed from Indo-Europeans tripartite ideology. As the narration of the Persian novel dates from the Parthian period, this thesis to solve the enigma of a transmission or an adaptation focuses on the Iranian origin of some themes and motifs of Tristan novel and retraces the migration of a branch of lranian people in Europe, even to France. This people who is known by historical memory under the name of the Alans, was one of thedescendants of the Scythians who were themselves the nomadic brothers of the Parthians.
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Les provinces orientales de l’empire parthe / The eastern provinces of the Parthian empireBaratin, Charlotte 28 November 2009 (has links)
Le croisement des sources écrites permet de restituer des confins parthes comprenant la Margiane, l’Arie, la Drangiane, l’Arachosie, une partie de la Bactriane et la vallée de l’Indus. La rareté et l’ambiguïté des sources avaient fait négliger les indications sur la Bactriane et envisager l’indépendance des autres régions à partir du Ier siècle de notre ère. Les récents renouvellements de la documentation, en particulier numismatique et archéologique, concernant l’Asie centrale et le nord-ouest de l’Inde, et les progrès accomplis par la critique des sources permettent aujourd’hui de reconsidérer la question. L’objectif de notre enquête consiste à explorer l’hypothèse d’une intégration politique de cet espace à l’empire parthe, occupé en partie par des populations réputées scythes et dont les pratiques monétaires sont habituellement interprétées comme le témoignage d’une indépendance politique. La reconstitution d’un corpus adéquat, la relecture critique des sources écrites et la reconsidération du matériel disponible montrent que la réinterprétation des données permet d’intégrer celles-ci de façon plus cohérente dans une synthèse d’ensemble enrichie. Cette étude, en faisant intervenir des « Sakas-Parthes » de Bactriane, des Parthes « scythisés » de Margiane et des « Indo-Sako-Parthes » dans les régions sud-orientales, veut montrer que la question de l’origine ethnique est de peu d’intérêt pour rendre compte de la culture et des pratiques politiques de groupes que leur position géographique frontalière vouait à avoir un peuplement ethniquement mêlé et à subir de puissants effets d’acculturation communs aux pays voisins et constamment renouvelés. / Intersecting written sources allows a restitution of Parthian eastern borders comprising Margiana, Aria, Drangiana, Arachosia, one part of Bactria, and the Indus Valley. The rarity and the ambiguity of sources had caused us to neglect the indications pertaining to Bactria and to envision the independence of the other regions from the 1st century of our era. The recent revival of sources -- in particular numismatic and archeological ones -- concerning central Asia and north-west India, as well as the progress accomplished by the criticism of sources allow us today to reconsider this statement. Our investigation aims at exploring the hypothesis of a political integration of these regions to the Parthian Empire, partly occupied by populations known as Scythian, whose monetary practices are usually interpreted as a mark of political independence. The reconstitution of an adequate corpus, the critical re-evaluation of the written sources, as well as the reconsideration of the available material allow us to reinterpret the data and to integrate them in a more consistent way within an overall improved synthesis. This study involves so called Bactrian 'Saka-Parthians', Margian 'scythianized Parthians' and south-oriental 'Indo-sako-Parthians'; it seeks to demonstrate that the issue of ethnical origin is of little interest to understand the cultural and political practices of these groups, which, due to their geographical position on the frontier, were doomed to have an ethnically mixed population and to undergo powerful acculturation effects which were common to neighbouring countries and which where constantly renewed.
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Nikolaj Kljuev de 1917 à la fin des années 1920 : trajectoire intellectuelle et oeuvre poétique / Nikolai Klyuev from 1917 to the end of the 1920’s : intellectual evolution and poetic worksSinichkina, Daria 10 December 2016 (has links)
Nikolaj Kljuev (1884-1937) est l’une des figures les plus fascinantes de l’« Âge d’argent » russe et du modernisme. Longtemps interdite après son exécution, son œuvre n’a été redécouverte qu’à la faveur du « boom » éditorial de la perestroïka, la publication de poèmes épiques tardifs suscitant un vif intérêt pour son œuvre témoignage de la violence de la collectivisation. Né dans le Nord russe, engagé pour la cause paysanne, correspondant d’Alexandre Blok entre 1907 et 1915, idéologue du néo-populisme dans les années 1910, bolchevik en 1919, Kljuev est devenu, dans les années 1920, une référence pour la génération des jeunes poètes soviétiques (Harms, Vvedenskij, etc.), un conservateur de la culture russe ancienne et un modèle d’anti-comportement, dans le contexte d’un champ littéraire en pleine reconfiguration. Attirant un public très divers, modulant sa personnalité littéraire et sa voix en fonction de son auditoire, Kljuev s’épanouit sur scène comme dans le cadre privé du cercle et du couple. Alors qu’il a trouvé, au cours des années 1910, un matériau esthétique de choix dans le folklore russe, la vieille foi et les chants populaires, c’est le « je » qui demeure au centre de son univers poétique, sous la forme d’un héros lyrique évoluant au sein des cycles. Ceux des années 1917-1932 occupent une place cruciale dans sa trajectoire poétique, dans la mesure où c’est en leur sein que s’élabore le « cosmos de l’Isba », au cœur de l’univers poétique kljuevien. Éminemment charnel et homoérotique, le «je» est aussi désincarné dans un Verbe qui devient le vecteur de l’intentionnalité du texte poétique, au même titre que les masques du poète se font le véhicule de son identité narrative. / Nikolai Klyuev (1884-1937) is one of the most fascinating figures of the Russian «Silver age» and modernism. Forbidden for half a century after the poet’s execution, his work was almost fully recovered only at the end of the 1980’s, and the publication of the late epic poems sparked an intense interest in those poetic testimonies of the violence of collectivization. Born in the Russian North, committed to the peasant revolution, Alexander Blok’s penpal between 1907 and 1915, ideologist of neo-populism in the 1910’s, bolshevik in 1919, Klyuev became in the 1920’s a reference for the young generation of soviet poets (Harms, Vvedenski, etc.), a keeper of Russian folk culture and an example of anti-behavior whithin the frame of a mutating literary field. Attracting a diverse crown and modifying his literary persona as well as his voice regarding his audience, Klyuev thrives on stage as well as within the private circle and couple. Whilst he has found during the 1910’s a valuable aesthetic material in Russian folklore, old belief and popular songs, his poetic universe gravitates around his «self» in an egocentric manner. The utopian formula of the «isba cosmos» is formulated precisely within the lyric cycles of the 1920’s that correspond to the intimate intention of his verse. Carnal and homoerotic, the «lyric hero» is also disembodied in the Word that carries the poetic intention, the same way the mask Klyuev dons in public becomes the vehicle of his narrative identity in perpetual representation
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