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The concept of armed people : France, 1870-1871Tyner, Richard Jay January 1974 (has links)
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Money and politics : European Monetary Unification and the International Gold Standard (1865-73)Einaudi, Luca January 1998 (has links)
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L'Art de Paraître dans le Portrait Photographique sous le Second Empire / Self-Fashioning in Portrait Photography under the Second Empire (1852-1870)Kowsar, Shabahang 20 March 2015 (has links)
L’essor de la photographie au milieu du 19ème siècle est contemporain de changements importants survenus au sein de la société française. A Paris sous le Second Empire, la forte hausse du pouvoir d’achat, due en grande partie aux travaux haussmanniens, influence l’image publique des citadins. La ville et ses grands boulevards offrent aux plus privilégiés la possibilité de se promener, de s’exhiber, de paraître selon certaines normes pour se mettre en lumière. Représentations qui seront ensuite fixées par les artistes : écrivains, peintres, sculpteurs, caricaturistes et photographes, ils concourent tous à immortaliser ce nouveau mode de vie et ses acteurs.Le portrait, ce moyen de représentation par excellence auparavant réservé à l’aristocratie, deviendra finalement accessible aux autres milieux sociaux. En comparaison avec les autres techniques, le portrait photographique gagnera davantage de succès et ce, grâce à de multiples critères : la baisse progressive de son coût, sa vitesse d’exécution, sa véracité reconnue par le public, sa capacité d’être reproduit à l’identique en grand nombre depuis l’invention du procédé collodion humide, sans oublier la naissance du portrait-carte de visite qui accélère sa démocratisation.Notre recherche repose sur un dépouillement minutieux d’archives photographiques. Elle aura comme objectif d’analyser le rôle joué par la photographie dans la procédure de représentation sous le Second Empire en répondant à un certain nombre de questions. / When portraiture was made accessible to French citizens in the nineteenth century, someconservative critics did not consider all individuals to be “portrayable”. This did notprevent people of means from hiring portrait painters to create their own “visiblememory”. In the process, they redefined the nature of the artist’s model. These newsitters, who were employers rather than employees, were not obedient: they insisted uponimposing their individual style and references. Photographic artists, on the other hand,persisted in directing their sitters—as artists did their paid academic models—and had toseek compromises that, without relinquishing their favoured styles, would satisfy theirdemanding clients. Some photographers published manuals and treatises explaining howto produce a good portrait without being unduly disturbed by the model’s whims andfancies. Furthermore, self-proclaimed experts in modern “etiquette” taught people how totalk, how to walk and how to appear in society. A careful examination of the conditionsbehind the production of photographic portraits, especially those representing fashionablecitizens taken during the era of the carte-de-visite, reveals the importance of the rolesplayed respectively by the model, the portrait photographer and the social codes ofconduct of the day.
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Théophile Silvestre (1823-1876) : critique d' art / Théophile Silvestre (1823-1876) : art criticPenet, Lyne 08 December 2016 (has links)
Depuis les années 1980, la critique d’art du XIXe siècle a bénéficié d’un regain d’intérêt dans l’historiographie contemporaine. Malgré cela, la période du Second Empire reste encore mal connue. Notre thèse est consacrée à l’un des critiques d’art de cette période : Théophile Silvestre (1823-1876). Après une approche biographique de son parcours, notre travail montre comment, dans son grand œuvre critique intitulé Histoire des artistes vivants, Silvestre choisit d’étudier les peintres et sculpteurs les plus célèbres de son temps pour examiner la validité de leur notoriété. Confronté à ce qui lui apparaît comme un monde malade, en perte d’idéal, Silvestre est à la recherche des artistes qui sauront régénérer l’art et la vie. Ainsi Delacroix, dont l’imagination puissante transfigure le réel, est-il consacré comme « le plus grand artiste du XIXe siècle ». Après la mort de Delacroix, Silvestre dirige ses préférences vers les peintres de l’école de Barbizon qui, comme lui, tournent le dos au monde nouveau qui s’élabore selon les directives du progrès et de l’industrie, et dont la peinture semble un remède possible aux maux de la société moderne. Chargé à la fin de sa vie de rédiger le catalogue de la collection d’Alfred Bruyas, Silvestre s’attachera à faire entrer le romantisme dans l’histoire, employant le musée comme un rempart à la décadence de l’art moderne. De l’Histoire des artistes vivants au catalogue de la Galerie Bruyas, notre thèse montre quels vestiges de son temps Silvestre a voulu laisser aux historiens futurs et comment il s’est fait le gardien moral de l’histoire de l’art en donnant à son siècle la forme d’une pièce de musée, déjà classée et déjà jugée. / Since the 1980s, there has been a renewed interest in contemporary historiography for the art criticism of the nineteenth-century. The Second Empire era remains nevertheless little-known. Our thesis is devoted to an art critic of that particular time : Théophile Silvestre (1823-1876). After a biographical approach of his career, our research will focus on his criticism masterpiece, Histoire des artistes vivants. We will attempt to show that, when Silvestre chooses to study the most famous painters and sculptors of his time, it is in order to investigate the legitimacy of their popularity. Confronted to a world he deems sick and deprived of faith, Silvestre is looking for artists that will revive art and life. He thus considers Delacroix, whose powerful imagination transcends reality, as "the greatest artist of the 19th century". After the painter's death, Silvestre focuses his interest on the painters of the Barbizon school who, just like him, disapprove of the emerging new world based on the principles of progress and industry, and whose painting appears as a potential cure against modern society. Being towards the end of his life assigned the writing of the Alfred Bruyas' collection's catalog, Silvestre endeavours to give romanticism a rightful place in history, using museums as a frontline against the decay of modern art. From Histoire des artistes vivants to the Galerie Bruyas' catalog, our thesis shows which memories of his time Silvestre decided to pass on to future generations of historians, and how, by shaping his century like a museum item, already classified and already judged, he made himself the moral guardian of history of art.
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La garantie des libertés. 1852-1870 / The protection of the liberties under the Second French EmpireHabert, Benoît 26 June 2017 (has links)
Le Second Empire a pour réputation d’être un régime politique ennemi des libertés. Pourtant, la constitution du 14 janvier 1852 reconnaît, confirme et garantit les principes de 1789 comme la base du droit public des Français. Elle crée même des mécanismes pour les protéger. Le régime louis-napoléonien, dès son texte fondateur, s’intéresse donc à la garantie des libertés. Cela fait-il du Second Empire un régime politique libéral ?Le règne de Napoléon III est coupé en deux périodes : l’autoritaire et la libérale. L’expression « Empire libéral » doit beaucoup au travail d’Émile Ollivier qui a cherché à réhabiliter, après 1870, son ralliement à l’Empire. Ainsi, quelle pertinence de qualifier de « libérale » la période s’étendant de 1860 à 1870 ou d’« autoritaire » celle s’étendant de 1852 à 1860 ?Fidèle aux idéaux de la Révolution de 1789, l’Empereur resta soucieux de maintenir le système traditionnel selon lequel la garantie des libertés relevait des missions de l’État, même s’il accepta, progressivement, de laisser à la société la capacité de garantir elle-même les libertés. Un changement de paradigme s’est donc opéré. De la protection des libertés par l’État, la doctrine libérale passa à la protection de la liberté sans l’État, voire contre lui. En fonction de la définition retenue, le Second Empire aurait donc toujours ou jamais été libéral. / The Second Empire has for reputation to be a political system, enemy of freedoms. Nevertheless, 1852-January 14th’s constitution recognizes, confirms and guarantees the 1789 principles as the basis of the public law of the French people. The constitution creates even mechanisms to protect people. The Louis-Napoleonic regime, from its founding text, is thus interested in the guarantee of freedoms. Does that make of Second Empire a liberal political system?The reign of Napoleon III is divided into two periods: the authoritarian and the liberal. The expression " Liberal Empire" owes a great deal to the work of Émile Ollivier, who seeked after 1870, to rehabilitate its rallying to the Empire. Consequently, what is the relevance of qualifying as "liberal" the period extending from 1860 till 1870 or as "authoritarian" the one extending from 1852 till 1860?Faithful to the 1789-French Revolution’s ideals, the Emperor remained aware of the need to maintain the traditional system, according to which the guarantee of freedoms was part of the State’s missions, even if he gradually accepted to leave these guarantees to the society itself. A change of paradigm thus took place. From the protection of the freedoms by the State, the liberal doctrine moved towards the protection of the freedom without the State, or even against it. According to the adopted definition, the Second Empire would thus have still or never been liberal.
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La colonie de Passy : un cercle d’amateurs aux origines de la photographie / The Passy Colony : a Circle of Amateurs During Photography’s Early YearsMondenard, Anne de 22 February 2013 (has links)
La colonie de Passy est constituée d’hommes et de femmes issus du même cercle familial qui ont pratiqué la photographie, seuls ou de façon collective, depuis le début des années 1840 jusqu’au début des années 1860 : Léon de Laborde, Valentine de Laborde, Benjamin Delessert, Cécile Delessert, Edouard Delessert, Edouard Bocher… Au moins six praticiens amateurs, sans compter les modèles, sont identifiés au sein d’un cercle qui appartient à l’aristocratie ou à la haute bourgeoisie éclairée. Leur production, demeurée dans sa plus grande partie inédite jusqu’à notre découverte, révèle une pratique précoce du portrait. La liberté de pose affichée par les modèles ranche avec les premiers portraits, pour le moins figés, que l’on connaissait jusqu’ici. L’étude de cette production familiale incite même à réécrire l’histoire du portrait photographique, et à réévaluer la notion de « portrait intime » dont Félix Nadar passe pour être l’inventeur. Le cercle de Passy doit son nom à la commune située alors en périphérie de Paris où ses membres habitaient, sur les hauteurs de la Seine. Ce cercle joue également un rôle central – et méconnu – dans la promotion de la photographie juste après son invention : commandes publiques, créations de sociétés, projets de diffusion des oeuvres d’art, participations à des jurys, etc. L’étude des images et des archives familiales, toutes inédites, montre enfin que les traits d’une pratique amateur, telle que nous l’envisageons aujourd'hui – recherches ludiques, expériences et inventions, échanges d'images, constitution d’albums qui tiennent la chronique familiale – sont déjà en place au lendemain de l'invention de la photographie. / The Passy Circle consisted of men and women photographers from the same family circle who worked alone or collectively from the early 1840s to the early 1860s: Léon de Laborde, Valentine de Laborde, Benjamin Delessert, Cécile Delessert, Edouard Delessert, and Edouard Bocher…. No fewer than six photographers, plus models, can be identified in this group of upper-middle class, wealthy bourgeoisie. Their oeuvre, unknown until this current research, reveals some of the earliest existing works in portrait photography. The free, casual nature of the poses contrasts sharply with previously known portraits of the period, which were much more stiff. Knowledge of this family-based production may lead historians to rewrite the history of portrait photography, as well as to reassess the notion of the “intimate portrait,” thought to be an invention of Felix Nadar. The Passy Circle, which owes its name to the city where its members lived along the Seine (Passy was then situated on the Paris outskirts), also played a central but previously undiscovered role in promoting photography: public commissions, society foundations, projects for distributing artworks, jury participation, etc. Finally, their images and family archives, which have never before been investigated, reveal that the characteristics of amateur photography, as it is currently perceived, were already in place soon after photography’s invention: its members regularly exchanged photographs, created albums chronicling family history, and in their practice were daring, playful, experimental and inventive.
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La législation sociale du Second Empire / Social legislation of the Second EmpireWerba, Nicolas 12 December 2018 (has links)
Cette thèse a pour titre la législation sociale du Second Empire. Depuis la dichotomie imposée par Ernest Lavisse, ce régime est traditionnellement divisé en deux périodes : une autoritaire et une libérale. Un tel changement de cap est généralement expliqué par la perte des soutiens traditionnels du régime. Tentant de séduire l'électorat ouvrier, le gouvernement aurait alors décidé de se lancer dans une législation sociale plus ambitieuse. Un tel schéma voit donc dans l'accélération des mesures sociales de la deuxième moitié du règne, une simple réponse circonstanciée à un contexte politique défavorable ; la législation sociale du Second Empire laissant dès lors peu de place à une cohérence d'ensemble. Il ressort de cette étude que Louis-Napoléon Bonaparte s’est, dès ses premiers écrits de jeunesse, penché sur la question sociale. Ses solutions en la matière tenant en deux principes essentiels : l’ordre et le progrès. En favorisant la prospérité et le développement économique, la stabilité était considérée par le futur Empereur comme le premier remède aux difficultés des classes laborieuses. L’ordre retrouvé, Napoléon III souhaitait ensuite l’adoption de mesures sociales plus ambitieuses.Ainsi, loin d’être guidée par des contraintes extérieures, la législation sociale du Second Empire s’inscrit en réalité dans une logique définie dès l’origine du régime, formant dès lors un ensemble cohérent. / This thesis is entitled social legislation of the Second Empire. Since the dichotomy imposed by Ernest Lavisse, the Second Empire is traditionally divided into two periods : an authoritarian and a liberal. Such a change of direction is usually explained by the loss of the traditional support of the regime. Trying to seduce the working electorate, the government then decided to launch into a more ambitious social legislation. Such a scheme considers the acceleration of the social measures of the second half of the reign as a simple detailed answer to an unfavorable political context; social legislation of the Second Empire leaves little to overall consistency.It is precisely such a presentation that this thesis wished to question. For that, it proposed to redraw the history of the social legislation of the regime, from its origins to the last projects of power interrupted by the Franco-Prussian War.Well, this study underlines that Louis-Napoleon Bonaparte, from his earliest youthful writings, turned his attention to the social question. His solutions in this area are based on two essential principles : order and progress. By promoting prosperity and economic development, stability was considered by the future Emperor as the first remedy for the difficulties of the working classes. The order regained, Napoleon III then wanted the adoption of more ambitious social measures.Thus, far from being guided by external constraints, social legislation of the Second Empire is actually part of a logic defined from the origins of the regime, forming a coherent whole.
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Les catholiques français face à l'unification italienne (1856-1871) : une mobilisation internationale de masse entre politique et religion / The French catholics and the Italian unification (1856-1871) : a mass international mobilisation between politics and religionHérisson, Arthur 23 November 2018 (has links)
La thèse étudie les répercussions de l’unification italienne sur le catholicisme français de 1856 à 1871. Alors que les catholiques avaient été jusque-là un des piliers du régime impérial, l’appui donné par Napoléon III au mouvement national italien mit un terme à cette situation. Parce qu’ils remettaient en cause le pouvoir temporel du pape, les événements italiens donnèrent lieu à une vaste mobilisation des fidèles. Tandis que cette mobilisation a longtemps été analysée par les historiens comme un mouvement ayant surtout impliqué le clergé et les notables légitimistes, ce travail montre qu’il s’agit en réalité d’un mouvement de masse. La thèse met en évidence les conséquences d’une telle mobilisation dans le domaine politique et dans le domaine religieux. Elle montre l’assimilation par les catholiques des formes classiques de la lutte politique moderne, utilisées à gauche comme à droite, et l’élaboration de moyens d’action plus originaux, fondés sur la politisation de la parole et de la pratique religieuses. Elle replace la mobilisation dans le cadre de la stratégie diplomatique du Saint-Siège, visant à s’appuyer sur les fidèles, en analysant les engagements dans l’armée pontificale et la mobilisation financière des catholiques. Enfin, l’étude met en évidence l’influence de la question romaine sur plusieurs mutations touchant le catholicisme depuis le début du siècle, qu’il s’agisse du mouvement vers Rome, de l’affirmation du catholicisme intransigeant ou de la place nouvelle des laïcs au sein de l’Église. C’est, en somme, une voie de modernisation alternative, construite en opposition aux principes de la modernité libérale, que cette étude entend mettre en évidence. / This dissertation examines the impacts of Italian unification on French Catholicism from 1856 to 1871. Whilst Catholics had until then been one of the imperial regime pillars, the support given by Napoleon III to the Italian national movement put an end to this situation. Because they were challenging the Pope's temporal power, the Italian events gave rise to a vast mobilisation of the faithful. Whilst this mobilisation has long been analysed by historians as a movement that mainly involved the clergy and the legitimist notables, this work shows it was actually a mass movement. This dissertation highlights the consequences of such involvement in political as well as religious matters. It shows the assimilation by Catholics of the classical means of modern political fight, used by the left as well as the right wing, and the elaboration of more original means, based on the politicisation of religious speech and practice. It replaces the mobilisation in the context of the Holy See’s diplomatic strategy, aimed at relying on the faithful. To do so, the dissertation analyses the enlistments in the pontifical army and the financial support provided by Catholics. Finally, the study shows the influence of the Roman question on several changes affecting Catholicism since the beginning of the century: the movement towards Rome, the affirmation of uncompromising Catholicism as well as the new status of the laity in the Church. It is, in short, a way of alternative modernisation, built in opposition to the principles of liberal modernity, that this study intends to bring to light.
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Un juriste républicain, Emile Acollas : une "refondation" du droit et de la famille / A republicain jurist, Emile Accolas : a "rethinking" of law and familyGranjard, Benoit 17 December 2011 (has links)
Emile Acollas (1826-1891), brillant juriste républicain spécialiste des questions de droit civil, est une figure mal connue du monde juridique. Son combat s’inscrit dans la lutte radicale contre le Second Empire et la codification napoléonienne. Homme de convictions juridiques, ce professeur libre enseigne dans ses ouvrages critiques sa conception de la République qu’il veut gouvernée par le Droit et la Liberté. Son ambition d’instituer et de pérenniser la République le conduit à initier la refondation de l’ordre juridique. Une formule nouvelle permettra de mener à bien ce projet, « l’idéal démocratique ». Elle renferme l’héritage des principes de 1789 résumés dans la théorie de l’autonomie de l’individu. Régissant toute la « science politique », cette valeur suprême guidera donc la refonte du Droit. Dans ce processus de changement, la priorité doit être donnée à la famille car elle est l’assise même de la société, la pierre angulaire de l’ordre nouveau. C’est animé par son « Idée du Droit », qu’Acollas conceptualise l’avènement d’un droit familial républicain garant de l’individu et de la morale. Sa philosophie naturaliste de la liberté contredit le droit civil paternaliste de l’époque dicté par le Code Napoléon. Ses analyses juridiques sont pédagogiques et décèlent les lacunes existantes dans le droit du mariage et de la filiation. L’évolution du droit de la famille consacrera, indirectement, les solutions refondatrices du civiliste. Les tous récents aboutissements législatifs semblent même consacrer ce que fut son plaidoyer pour l’égalité / Emile Acollas (1826-1891), brilliant scholar of law, is a figure whose work demands to be discovered in the judicial world. As a civil rights specialist, he took part in the radical movement and fight against the Second Empire and the Napoleonic Code. He was a man of judicial convictions: throughout his work, he exposes his concept of a Republic that he believes should be governed by Law and Liberty.Acollas’ ambition to institutionalize and perpetuate the Republic leads him to initiate a rethinking of the judicial order. His « democratic ideal » becomes the new order that will serve to carry out this reform. It encompasses the heritage of the principles of 1789 summarized in the theory of the autonomy of the individual. It is this supreme value that will thus guide the revision of Law. In this process of change, priority is to be given to the family as the foundation of society and the cornerstone of the new order. Motivated by his « Idea of Law », Acollas creates this concept of Republican Family Law as a guardian of the individual and of ethics. His naturalistic philosophy of liberty contradicts the paternalistic civil law of the times dictated by the Napoleonic Code. His judicial analyses are pedagogical and bring out the existing gaps in the laws governing marriage and filiation. The evolution of Family Law will consecrate, indirectly, the reforms proposed by this civil rights advocate. The very latest legislative breakthroughs seem to consecrate his plea for equality
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Vocação agrícola: a inserção do Império brasileiro no comércio internacional e a percepção de viajantes britânicos e norte-americanos (1840-1870) / Agricultural propensity: the entry of the Brazilian Empire in international trade and the perception of British and American travelers (1840-1870)Gerbovic, Tathiane Pinto 06 November 2017 (has links)
O Brasil do Segundo Reinado é objeto de relatos de viajantes britânicos e norte-americanos produzidos no contexto imperialista do século XIX. Na busca por mercados produtores e consumidores, a vocação agrícola brasileira é abordada pelos viajantes articulada à influência britânica mantida no Brasil e à crescente confiança dos Estados Unidos em ampliar as relações com o Império brasileiro, no jogo de interesses geopolíticos e econômicos em que o país atuava como fornecedor de produtos agrícolas e matérias-primas, tendo parte considerável de seu aparato produtivo e infraestrutura voltados a atender à procura desses gêneros nos países de origem dos viajantes. No apêndice há o resumo biográfico dos viajantes estudados. / The Second Empire Brazil is the subject of reports from British and North-American travelers produced in the imperialist context of the nineteenth century. In the quest for producer and consumer markets, Brazil\'s agricultural propensity is approached by travelers hinged to British influence upheld in Brazil and the growing confidence of the United States regarding broadening relations with the Brazilian Empire, in the game of economic and geopolitical interests in which the country played as a supplier of agricultural commodities and raw materials, with a considerable portion of its production apparatus and infrastructure aimed at handling the demand for such genres in travelers home countries. The researched travelers biographical abstract can be found at the Appendix section.
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