Since the early 1990s with the AIDS pandemic, there has been an increasing interest on the importance of risky sexual behaviors, especially among men who have sex with men (MSM). An important antecedent for these behaviors is alcohol use. Studies consistently show an increased frequency of both alcohol use and risky sexual behaviors in MSM populations. However, to date, there has not been a precise estimate of the effect size in these diverse populations and a consistent way to measure it. More so, the importance of context is often cited as a source of variability, but is rarely measured in these studies. Contextual factors are different and specific for MSM, as they have been approached by two theories, both of which will be guiding this dissertation: Singer’s Syndemic Theory and Meyer’s Minority Stress Theory. Chapter 1, then presents a comprehensive review of both theories as they apply to alcohol use, risky sexual behaviors, and contextual factors driving them. Chapter 2 answers the first research question about effect sizes through a systematic literature review. The effect sizes or measures of association of these contextual risk and protective factors were summarized using meta-analytic techniques. Using five electronic databases, we identified 26 studies in 26 years (1990–2015), all diverse in terms of sampling techniques, assessment of sexual orientation, operationalization of alcohol use and risky sexual behaviors, contextual factors included, and measurement of effect sizes. Despite this diversity, studies reporting an effect size were pooled and summarized using both descriptive and meta-analytic techniques, as appropriate. Meta-analyses were conducted using Cochrane’s guidelines for generic inverse variance outcomes with random effects. The pooled effects of alcohol use on condomless anal intercourse (CAI; OR 1.73 [95% CI 1.43, 2.10], I2 0%), heavy episodic drinking on CAI (OR 1.88 [95% CI 1.25, 2.81], I2 32%), and heavy episodic drinking on condomless oral sex (OR: 8.00; 95% CI 2.48, 25.81), as well as the effects of substance use, mental health status, violence and victimization, and self-reported HIV status as contextual factors in the pathway between alcohol use and risky sexual behaviors were calculated, reported, and discussed along with study limitations and implications for public health. Chapter 3 answers the second research question regarding a standardized measurement model for effect sizes and the multiple mediation of contextual factors. We used the male subset of Wave IV of the AddHealth dataset to test our hypotheses through structural equation modeling approaches, including measurement analysis with invariance testing, path analysis for direct effects, and multiple mediation analysis through bootstrapping for indirect effects. The AUD scale was invariant between MSM and MSW, but the risky sexual behavior scale was not. For MSM, the standardized direct effect of AUD onto risky sexual behaviors was –1.25 and the standardized total indirect effect of the multiple mediation model was 1.58, 95% CI [1.42, 1.73]. Among the mediators, the strongest indirect effect for any measured or latent mediator was the mental health construct (2.09). We conclude that even though AUD has the same measurement structure for MSM and MSW, its effect on risky sexual behaviors does not operate the same way for these two populations, supporting both causal and contextual behavioral theories. Conclusions are individually discussed, respectively, in Chapters 2 and 3. However, Chapter 4 puts both manuscript conclusions in context and further discusses future implications for public health research, practice, and policy.

In 2010, men who have sex with men (MSM) represented 4% of the population in the United States (US) and accounted for 78% of all new Human Immunodeficiency Virus (HIV) infections among Hispanic men. Hispanic men who have sex with men (HMSM) accounted for the third largest number of new HIV infections (6,700 cases). This dissertation explored the effects of age, loneliness, substance use, depression, and social support on high risk sexual behaviors that predispose middle aged HMSM to sexually transmitted infections (STIs) and HIV infection risk. A sample of 150 urban HMSM aged 40 to 65 were surveyed in this study. Singer’s Syndemics Theory (1996) provided this study’s theoretical framework. Data was analyzed using a variety of parametric and non-parametric statistics. Loneliness, social support, depressive symptoms, alcohol/drug use, and sexual risk behaviors were found to have an influence on HIV infection status in this study. Partner status, religious affiliation and age did have an influence on alcohol use in this study’s participants. Also, participants with increased age had increased depressive symptoms in this study. Lastly, depressive symptoms, substance use, social support, and loneliness did have an influence on sexual risk behaviors in this study’s participants, specifically alcohol use and illicit drug use. The findings from this study should be used to assess, diagnose, plan, implement and evaluate prevention strategies geared to reduce STI and HIV infection in this population. Future research should build on these findings and develop tailored risk reduction interventions addressing HMSM, with particular attention to the understudied age group of the middle aged HMSM.

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On s’accorde à dire que les adolescents constituent l’avenir quel que soit le temps et l’espace considéré. Il est également reconnu que le développement de leur capital humain et social, nécessaire pour une vie adulte de qualité, dépend des conditions dans lesquelles ils vivent et de l’environnement dans lequel s’opérera la transition vers cette vie adulte. Plus que dans toute autre partie du monde, ce constat est encore plus d’actualité en Afrique sub-Saharienne où, à la situation socio-économique déjà précaire, s’ajoutent d’importants problèmes de santé sexuelle et reproductive auxquels font face les adolescents en particulier le VIH. Conscients de l’enjeu majeur que représente la santé des adolescents, les gouvernements en Afrique sub-Saharienne, aidés en cela par les organismes non-gouvernementaux et toute la communauté internationale, ont inscrit la promotion de stratégies efficientes en santé sexuelle et reproductive des adolescents comme haute priorité dans leurs agendas. Mais force est de constater que l’élaboration et la mise en œuvre de telles stratégies supposent la production de connaissances sans cesse actualisées ainsi que la formulation de politiques innovatrices basées sur des données probantes et éprouvées en matière de santé sexuelle et reproductive, ce qui n’est pas toujours le cas. De plus, le fait que ce segment particulier de la population ne constitue pas un groupe homogène pose un défi supplémentaire quant à l’élaboration de stratégies généralisables. Fort de ce qui précède, le présent travail, qui porte sur le Burkina Faso, le Ghana, le Malawi et l’Ouganda, fait d’abord le point sur les problèmes majeurs de santé sexuelle et reproductive auxquels fait face cette frange spécifique de la population, tout en jetant un regard critique sur les efforts déployés par les sciences sociales pour les analyser. Il apporte ensuite des réponses à des questions spécifiques de recherche que nous nous sommes posées à travers les trois articles qui constituent l’ossature de cette thèse et dont l’essentiel de l’analyse empirique peut être résumé comme suit : Dans le premier article, nous sommes partis du constat suivant : dans les quatre pays étudiés, une importante proportion des adolescents qui se déclarent non encore sexuellement actifs pensent paradoxalement que leurs chances de contracter le VIH sont très grandes. Face à un tel constat, la question que l’on est en droit de se poser est celle de savoir pourquoi sont-ils si préoccupés? Quels sont les facteurs qui déterminent cette perception du risque? Les résultats confirment ce que certaines études ont déjà démontré à savoir que les individus élaborent leur propre définition du risque qui peut ne pas se résumer nécessairement à une opposition binaire «risque/aucun risque», mais est plutôt fonction des caractéristiques individuelles mais aussi du contexte social et épidémiologique dans lesquels ils vivent. Le deuxième article de la thèse analyse le contexte dans lequel s’opère la transition vers le premier rapport sexuel chez les adolescentes des quatre pays étudiés. Il part du constat selon lequel les recherches ont très souvent abordé les comportements sexuels des adolescents sous un angle marqué par la dichotomie entre les «sexuellement actifs» et les «non encore sexuellement actifs». Or le calendrier de l’entrée en sexualité et le contexte dans lequel elle a lieu (dans l’union ou hors union) sont non seulement des marqueurs des comportements sexuels à risque vis-à-vis du VIH, mais ils conditionnent aussi et surtout la qualité de la transition vers l’entrée dans la vie adulte. Les résultats montrent ici également que le contrôle parental est significativement associé à une faible probabilité pour les adolescents d’initier la sexualité hors de l’union. Quant au troisième article, il se penche sur un cas précis de comportement à risques chez les adolescents: le multipartenariat sexuel aggravé par la non utilisation systématique du condom, pourtant le seul moyen pour l’instant (en dehors de l’abstinence) de se protéger contre les infections sexuellement transmissibles et le VIH/SIDA. Les résultats montrent entre autres que le contrôle parental est significativement associé à une faible probabilité de comportement sexuel à risque, défini ici comme étant la co-occurrence de plusieurs partenaires sexuels au cours de 12 derniers mois et la non-utilisation systématique du condom avec chacun des partenaires. Sur un plan programmatique, ce résultat est plutôt encourageant car il prouve que l’autorité parentale jadis considérée comme érodée, demeure une pierre angulaire dans les stratégies de prévention du VIH chez les adolescents. / Adolescent girls and boys represent key segments of the population for the future in all societies across the world. The readiness of these young people to assume adult roles and responsibilities in the future, both for themselves and for their countries, depends in large part on how successfully they manage their critical transitions to adulthood and on the support they receive from their families, communities and governments during this period of their lives. Investment in adolescent sexual and reproductive health is likely to be of enormous importance to the development prospects of sub-Saharan Africa and the future wellbeing of African populations, as it enables adolescents to grow into healthy and productive adults. While protecting the health of young Africans is recognized as a priority at the community, national and international levels, policies and programs, if they are to be effective, need to be evidence-based and appropriate to each local context. This thesis focuses on the sexual and reproductive health of adolescents in four sub-Saharan African countries: Burkina Faso, Ghana, Malawi and Uganda. It aims to expand the knowledge base needed to develop and implement programs and policies that will increase adolescents’ ability to prevent HIV and contribute to the creation of a safe and supportive environment essential to their growth and development. The research is organized around three empirical articles along with introductive chapters and a general conclusion, and is designed to answer a number of questions of policy importance. The first article deals with the perceptions of HIV risks by adolescents who are not yet sexually active. The topic is of considerable interest because of its potential importance for HIV prevention programs, particularly when sexually inexperienced adolescents report high levels of concern over their likelihood of contracting HIV over time. Findings show that there is no single influence on adolescents’ HIV risk perception, but rather a range of determinants that operate at the individual, environmental and community levels. This finding suggests that programs and policies should take into account factors that extend beyond the characteristics of adolescents when addressing their sexual and reproductive health needs. The second article of the thesis examines the context in which adolescent girls’ transition to first sexual intercourse occurs in the four countries. Going beyond the usual dichotomy of sexual experienced versus inexperienced adolescents, it analyzes simultaneously the factors associated with sexual initiation before and within the first union for adolescent girls aged 12-19. The results show that a high level parental monitoring is significantly associated with a decreased risk of adolescents’ becoming sexually active prior to marriage. A policy recommendation of this study is that public and nongovernmental organizations need to more fully integrate parents into their programs on adolescent sexual and reproductive health. The third article examines two specific aspects of sexual risk behaviour among adolescents: multipartnership and condom use. Our findings show that adolescents who report high levels of parental control are less likely to have multiple sexual partners. In terms of policy and programmatic implications, this result again suggests that parents’ influence over their children’s behavior, widely assumed to have declined over time, remains important to reproductive health interventions in diverse contexts in sub-Saharan Africa.

On s’accorde à dire que les adolescents constituent l’avenir quel que soit le temps et l’espace considéré. Il est également reconnu que le développement de leur capital humain et social, nécessaire pour une vie adulte de qualité, dépend des conditions dans lesquelles ils vivent et de l’environnement dans lequel s’opérera la transition vers cette vie adulte. Plus que dans toute autre partie du monde, ce constat est encore plus d’actualité en Afrique sub-Saharienne où, à la situation socio-économique déjà précaire, s’ajoutent d’importants problèmes de santé sexuelle et reproductive auxquels font face les adolescents en particulier le VIH. Conscients de l’enjeu majeur que représente la santé des adolescents, les gouvernements en Afrique sub-Saharienne, aidés en cela par les organismes non-gouvernementaux et toute la communauté internationale, ont inscrit la promotion de stratégies efficientes en santé sexuelle et reproductive des adolescents comme haute priorité dans leurs agendas. Mais force est de constater que l’élaboration et la mise en œuvre de telles stratégies supposent la production de connaissances sans cesse actualisées ainsi que la formulation de politiques innovatrices basées sur des données probantes et éprouvées en matière de santé sexuelle et reproductive, ce qui n’est pas toujours le cas. De plus, le fait que ce segment particulier de la population ne constitue pas un groupe homogène pose un défi supplémentaire quant à l’élaboration de stratégies généralisables. Fort de ce qui précède, le présent travail, qui porte sur le Burkina Faso, le Ghana, le Malawi et l’Ouganda, fait d’abord le point sur les problèmes majeurs de santé sexuelle et reproductive auxquels fait face cette frange spécifique de la population, tout en jetant un regard critique sur les efforts déployés par les sciences sociales pour les analyser. Il apporte ensuite des réponses à des questions spécifiques de recherche que nous nous sommes posées à travers les trois articles qui constituent l’ossature de cette thèse et dont l’essentiel de l’analyse empirique peut être résumé comme suit : Dans le premier article, nous sommes partis du constat suivant : dans les quatre pays étudiés, une importante proportion des adolescents qui se déclarent non encore sexuellement actifs pensent paradoxalement que leurs chances de contracter le VIH sont très grandes. Face à un tel constat, la question que l’on est en droit de se poser est celle de savoir pourquoi sont-ils si préoccupés? Quels sont les facteurs qui déterminent cette perception du risque? Les résultats confirment ce que certaines études ont déjà démontré à savoir que les individus élaborent leur propre définition du risque qui peut ne pas se résumer nécessairement à une opposition binaire «risque/aucun risque», mais est plutôt fonction des caractéristiques individuelles mais aussi du contexte social et épidémiologique dans lesquels ils vivent. Le deuxième article de la thèse analyse le contexte dans lequel s’opère la transition vers le premier rapport sexuel chez les adolescentes des quatre pays étudiés. Il part du constat selon lequel les recherches ont très souvent abordé les comportements sexuels des adolescents sous un angle marqué par la dichotomie entre les «sexuellement actifs» et les «non encore sexuellement actifs». Or le calendrier de l’entrée en sexualité et le contexte dans lequel elle a lieu (dans l’union ou hors union) sont non seulement des marqueurs des comportements sexuels à risque vis-à-vis du VIH, mais ils conditionnent aussi et surtout la qualité de la transition vers l’entrée dans la vie adulte. Les résultats montrent ici également que le contrôle parental est significativement associé à une faible probabilité pour les adolescents d’initier la sexualité hors de l’union. Quant au troisième article, il se penche sur un cas précis de comportement à risques chez les adolescents: le multipartenariat sexuel aggravé par la non utilisation systématique du condom, pourtant le seul moyen pour l’instant (en dehors de l’abstinence) de se protéger contre les infections sexuellement transmissibles et le VIH/SIDA. Les résultats montrent entre autres que le contrôle parental est significativement associé à une faible probabilité de comportement sexuel à risque, défini ici comme étant la co-occurrence de plusieurs partenaires sexuels au cours de 12 derniers mois et la non-utilisation systématique du condom avec chacun des partenaires. Sur un plan programmatique, ce résultat est plutôt encourageant car il prouve que l’autorité parentale jadis considérée comme érodée, demeure une pierre angulaire dans les stratégies de prévention du VIH chez les adolescents. / Adolescent girls and boys represent key segments of the population for the future in all societies across the world. The readiness of these young people to assume adult roles and responsibilities in the future, both for themselves and for their countries, depends in large part on how successfully they manage their critical transitions to adulthood and on the support they receive from their families, communities and governments during this period of their lives. Investment in adolescent sexual and reproductive health is likely to be of enormous importance to the development prospects of sub-Saharan Africa and the future wellbeing of African populations, as it enables adolescents to grow into healthy and productive adults. While protecting the health of young Africans is recognized as a priority at the community, national and international levels, policies and programs, if they are to be effective, need to be evidence-based and appropriate to each local context. This thesis focuses on the sexual and reproductive health of adolescents in four sub-Saharan African countries: Burkina Faso, Ghana, Malawi and Uganda. It aims to expand the knowledge base needed to develop and implement programs and policies that will increase adolescents’ ability to prevent HIV and contribute to the creation of a safe and supportive environment essential to their growth and development. The research is organized around three empirical articles along with introductive chapters and a general conclusion, and is designed to answer a number of questions of policy importance. The first article deals with the perceptions of HIV risks by adolescents who are not yet sexually active. The topic is of considerable interest because of its potential importance for HIV prevention programs, particularly when sexually inexperienced adolescents report high levels of concern over their likelihood of contracting HIV over time. Findings show that there is no single influence on adolescents’ HIV risk perception, but rather a range of determinants that operate at the individual, environmental and community levels. This finding suggests that programs and policies should take into account factors that extend beyond the characteristics of adolescents when addressing their sexual and reproductive health needs. The second article of the thesis examines the context in which adolescent girls’ transition to first sexual intercourse occurs in the four countries. Going beyond the usual dichotomy of sexual experienced versus inexperienced adolescents, it analyzes simultaneously the factors associated with sexual initiation before and within the first union for adolescent girls aged 12-19. The results show that a high level parental monitoring is significantly associated with a decreased risk of adolescents’ becoming sexually active prior to marriage. A policy recommendation of this study is that public and nongovernmental organizations need to more fully integrate parents into their programs on adolescent sexual and reproductive health. The third article examines two specific aspects of sexual risk behaviour among adolescents: multipartnership and condom use. Our findings show that adolescents who report high levels of parental control are less likely to have multiple sexual partners. In terms of policy and programmatic implications, this result again suggests that parents’ influence over their children’s behavior, widely assumed to have declined over time, remains important to reproductive health interventions in diverse contexts in sub-Saharan Africa.

A random sample of 365 students attending a university in northern Texas returned a mailed questionnaire measuring the students' knowledge of Acquired Immuno-Deficiency Syndrome (AIDS), their perceived susceptibility to AIDS, and their sexual practices during the last year. The students had high knowledge levels about AIDS in general. However, 70% did not worry about getting AIDS. Collectively, there was a display of concern until it became a personal issue. The students (59%) saw themselves as less likely than most people to get AIDS. Although 70% of this sexually active group did not use condoms, they still did not perceive themselves as susceptible to AIDS.

Solicitud de envio de manuscrito como artículo científico. / Propósito: La presente investigación busca describir las conductas sexuales (antes, durante y después del diagnóstico) de mujeres adultas jóvenes peruanas diagnosticadas con el virus del papiloma humano (VPH). Método: Se desarrolló un estudio cualitativo aplicando la técnica de la entrevista semiestructurada a 8 mujeres peruanas, cuyas edades oscilaron entre los 21 y los 28 años. A partir de lo manifestado por las participantes, se realizó el análisis de los datos utilizando elementos de la teoría fundamentada y el software Atlas.ti v. 7.0. Resultados: Los principales hallazgos revelaron que las participantes, al contar con escasa información sobre salud sexual, tuvieron relaciones sexuales sin preservativo; exponiéndose al contagio del VPH. Durante el diagnóstico, sintieron miedo, enojo e incertidumbre por las relaciones sexuales. Luego, señalaron que obtuvieron más información sobre salud sexual, retomaron sus relaciones sexuales, recuperaron la confianza en sí mismas y fueron capaces de disfrutar su sexualidad. Actualmente, son conscientes de su diagnóstico y conocen las consecuencias del VPH en su salud; sin embargo, relataron conductas de riesgo como no usar preservativo en sus relaciones sexuales. Conclusiones: Las mujeres adultas jóvenes peruanas diagnosticadas con el VPH cambiaron sus conductas sexuales. Antes, no utilizaban preservativos ya que utilizaban otros métodos para evitar el embarazo y no el contagio de ITS. Durante el diagnóstico, la mayoría decidió abstenerse sexualmente. Más de un año después del diagnóstico, las participantes cuentan con más información sobre salud sexual y han aprendido a disfrutar de su sexualidad. / Objective: This research is aimed at describing the sexual behavior (before, during, and after diagnosis) of young peruvian adult women diagnosed with human papillomavirus (HPV). Method: A qualitative study was conducted and the semi-structured interview technique was applied to 8 women living in Lima (Peru), whose ages ranged from 21 to 28 years. Based on what was stated by the participants, the data collected were analyzed by using the elements of grounded theory and with the support of Atlas.ti v. 7.0 software. Results: The main findings show that participants, having little information on sexual health, had sex without using a condom. This exposed them to HPV infection, and, at the time of diagnosis, they felt fear, anger, and uncertainty about sex. Participants point out that they then obtained information about sexual health, resumed their sexual relations, regained self-confidence, and now are able to enjoy their sexuality. While they are now aware of their diagnosis, they know how to take care of themselves and the health consequences of HPV. However, they report risky behaviors, such as not using a condom or other barrier methods in their sexual relations. Conclusions: Women diagnosed with HPV have changed their sexual behaviors. Previously, they used methods to prevent pregnancy but not the spread of a STI. During the diagnosis, most of them decided to abstain from sex. More than one year after diagnosis, participants report that they have information on sexual health and that they have learned to enjoy their sexuality. / Tesis

La PrEP pourrait avoir un impact sur la perception du risque du VIH et ainsi influencer les comportements sexuels d’hommes gais, bisexuels et autres hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes (gbHARSAH). Les buts de l’étude étaient 1) de comparer les caractéristiques sociodémographiques, les habitudes de vie, les comportements sexuels et relationnels, les antécédents d’infections transmissibles sexuellement et des facteurs psychosociaux liés à la prise de risque d’hommes gbHARSAH en fonction de la perception du risque du VIH et 2) d’examiner l’association entre cette perception du risque et les relations anales sans condom (RASC) selon l'utilisation de la PrEP. Cette étude descriptive corrélative consistait en une analyse secondaire de l’étude ENGAGE réalisée auprès de 945 hommes gbHARSAH. Comparativement au groupe qui se percevait moins à risque du VIH (n = 773), celui qui se percevait plus à risque (n = 172) différait quant aux comportements sexuels. Dans l’analyse non stratifiée, le risque perçu élevé du VIH était associé aux RASC (RC = 2,87; 95 % IC = 1,84 - 4,47) et l’utilisation de la PrEP était associée aux RASC (RC = 12,75; 95 % IC = 3,43 - 47,41). Dans l’analyse stratifiée, parmi les hommes qui n’étaient pas sous PrEP, seule l’association entre le risque perçu élevé du VIH et des RASC était maintenue (RC = 2,91; 95 % IC = 1,86 - 4,57). Cette étude montre l’influence de la perception du risque sur les comportements sexuels, suggérant ainsi la pertinence d’une approche globale de la prévention du VIH. / PrEP may impact self-perceived risk for HIV infection and influence the sexual behaviors among gay, bisexual and other men who have sex with men (gbMSM). The aims of this study were 1) to compare the sociodemographic characteristics and lifestyles, sexual and relational behaviors, history of sexually transmitted and blood-borne infections, and psychosocial factors related to risk-taking behaviors of gbMSM according to self-perceived risk for HIV infection, and 2) to examine the association between self-perceived risk for HIV infection and condomless anal intercourse (CAI) according to PrEP use. This descriptive and correlational study was a secondary analysis of data collected by the ENGAGE study which involved 945 gbMSM. Compared with gbMSM with lower self-perceived risk for HIV (n = 773), those with higher self-perceived risk (n = 172) differed in terms of sexual behaviors. An unstratified analysis showed high self-perceived risk for HIV infection to be associated with CAI (aOR: 2.87, 95% CI: 1.84–4.47) and PrEP use to be associated with CAI (aOR: 12.75, 95% CI: 3.43–47.41). A stratified analysis by PrEP use showed that, among gbMSM who did not use PrEP, only the association between high self-perceived risk for HIV infection and CAI was maintained (aOR: 2.91, 95% CI: 1.86–4.57). This study reveals the influence of risk perception on sexual behaviors and highlights the importance of a global approach to prevention of HIV infection.