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L'architecture totalitaire. Un monographie du Centre civique de Bucarest / The totalitarian architecture : A research monograph of Bucarest's civic center

Racolta, Radu-Petru 30 June 2010 (has links)
Le centre civique de Bucarest est le projet étudié d'une façon approfondie et il devient progressivement, avec l'avancement de cette thèse, l'élément de référence qui nous permet de faire des parallèles et des comparaisons avec d'autres projets construits sous un régime totalitaire. La confrontation directe entre des réponses architecturales différentes a le mérite de mettre en exergue des traits communs de l'acte d'édifier et ses conséquences dans l'atmosphère urbaine, en un mot, d'identifier la production architecturale totalitaire. Elle permet aussi de souligner le parcours intellectuel que les dictateurs empruntent pour arriver à imaginer et matérialiser le monde qui est le leur. L'architecture est une expression incontournable, une dimension inéluctable pour la compréhension de l'esprit totalitaire. / Bucharest's civic center is the main subjetc studied in detail in this thesis. It becomes gradually the base point which allows us to draw parallels and comparisons with other projects built up under the totalitarian regime. The direct comparisons of various architectural answers enabled us to highlight common points between the fact of building and it's consequences to urban atmosphere. Beyond, more than helping to identify the totalitarian architecture, these comparisons lead up to understand the intellectual exercise done by dictators. Indeed, it brings us to understand their way of imagining and materializing their vision of the world. Architecture is the key dimension of understanding totalitarianism.
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L'architecture totalitaire. Un monographie du Centre civique de Bucarest

Racolta, Radu Petru 30 June 2010 (has links) (PDF)
Le centre civique de Bucarest est le projet étudié d'une façon approfondie et il devient progressivement, avec l'avancement de cette thèse, l'élément de référence qui nous permet de faire des parallèles et des comparaisons avec d'autres projets construits sous un régime totalitaire. La confrontation directe entre des réponses architecturales différentes a le mérite de mettre en exergue des traits communs de l'acte d'édifier et ses conséquences dans l'atmosphère urbaine, en un mot, d'identifier la production architecturale totalitaire. Elle permet aussi de souligner le parcours intellectuel que les dictateurs empruntent pour arriver à imaginer et matérialiser le monde qui est le leur. L'architecture est une expression incontournable, une dimension inéluctable pour la compréhension de l'esprit totalitaire.
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La communauté politique dans le cinéma de Chris Marker / The political community in Chris Marker’s cinema

Mary, Nathalie 12 July 2010 (has links)
Ce travail tente d’analyser de quelle manière la communauté politique cherche en vain l’unité et l’entente, quelle représentation le cinéma en général et celui de Chris Marker en particulier donnent à cette recherche, ainsi qu’aux rapports entre les différents acteurs de cette communauté (Etat, société civile), au fonctionnement de celle-ci, aux événements qui la traversent (révoltes, révolutions, guerres). Il étudie aussi comment l’utopie, désir de fonder des communautés plus justes, se trouve au coeur du destin de l’humanité, à tel point que les pouvoirs, les idéologies et les totalitarismes ont toujours su manipuler cette aspiration, en utilisant, par exemple, le cinéma pour rendre compte d‘une union, en apparence réalisée, de la communauté politique. Cette thèse examine encore la place de l’individu et les différentes formes de regroupement social se trouvant, selon les cas, à l’intérieur ou en dehors de la communauté politique. Elle rend compte enfin de l’originalité d’une oeuvre exceptionnelle d’un point de vue politique, celle du cinéaste Chris Marker. / This work tries to analyse how the political community searches in vain for unity and harmony ; how cinema in general, and that of Chris Marker in particular, portrays this search, as well as the relationships between different actors of this community (state, civil society), its workings, and the events which run through it (uprisings, revolutions and wars). It also considers how utopia - the wish to create fairer communities - is at the heart of mankind’s destiny, so much so that authorities, ideologies and totalitarianisms have always been able to manipulate this aspiration, for instance by using cinema to show a seemingly accomplished union of the political community. Then, this thesis examines the place of the individual and the different types of social gathering being, depending on circumstances, within or outside of the political community. It finally shows the originality of a politically exceptional work, that of the filmmaker Chris Marker.
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Construction de l'acteur " ennemi " et institution concentrationnaire : étude comparative entre les camps de Rivesaltes (sous Vichy) et de Béléné (République populaire de Bulgarie)

Gruev, Radoslav 08 November 2013 (has links) (PDF)
Notre étude s'interroge sur la construction de l'acteur " ennemi " dans l'institution sociale totale du camp de concentration à travers la comparaison de deux formes ; ceci dans des contextes sociaux, nationaux, idéologiques et étatiques différents - le camp de Rivesaltes et l'État Français et le camp de Béléné et la République Populaire de Bulgarie. Ces deux institutions sont traitées à partir de l'hypothèse de " différence de degré ", qui se décline dans les notions de " singularité " et " pluralité ", permettant de les saisir aussi bien au niveau politique qu'au niveau de l'institution concrète. Cette étude concerne la construction de la figure de l'acteur " ennemi " en partant du niveau social et politique pour arriver à la vie quotidienne au sein des deux formes concentrationnaires. Nous avons analysé la figure de l'ennemi, tout d'abord comme un produit d'une dynamique tournée vers la transformation sociale fondamentale. Nous avons également voulu comprendre les raisons d'apparition des formes concentrationnaires comme partie intégrante de ce " projet de société ", et puis nous les avons analysées à travers la vie quotidienne qui s'établit en leur sein. L'institution concentrationnaire a assuré en soi une certaine stabilité qui lui a permis de bien remplir sa fonction dans la dynamique de transformation de la société. Cette stabilité est assurée par l'insertion de l'individu dans une série de cercles, sa soumission à une forme spécifique de pouvoir qui le transforme dans son essence de personne et d'être humain, mais aussi le posant comme un acteur dans un univers interactionnel particulier. Alors, quelle est la place de l'acteur " ennemi " dans la vie concentrationnaire et quelles interactions s'établissent-elles entre les différents acteurs au sein des camps ?
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Nationalisme roumain et monumentalité. Le centre civique comme affirmation de réussite nationale / Romanian nationalism and monumentality. The civic center as an assertion of national success

Iosa, Ioana 01 December 2009 (has links)
La volonté d’inscrire l’apologie monumentale que représente le Centre civique de Bucarest dans une histoire urbaine et sociale nous a poussé à analyser les raisons qui ont guidé sa mise en œuvre et, plus largement, à reconstruire le fil narratif de l’histoire bucarestoise à travers l’héritage bâti prestigieux de la ville. C’est ainsi que nous nous sommes intéressés aux rapports entre édification des bâtiments et espaces remarquables et (re)construction d’une identité nationale roumaine, depuis de la déclaration d’indépendance jusqu’à l’intégration européenne perçue comme reconnaissance suprême de l’État roumain. Ce travail analyse donc les techniques d’instrumentalisation de la production architecturale et urbaine dans la définition et la promotion de l’identité nationale. Il complète également le peu d’études scientifiques traitant du Centre civique, à la fois emblème et stigmate en raison des efforts exceptionnels octroyés pour sa construction. Enfin, il aborde la question de la réception d’un ensemble « idéologiquement chargé » et, plus largement, les divers emplois faits des héritages urbains par les régimes politiques qui se sont succédés à la tête de la Roumanie. / This paper aims to place the monumental apology represented by the Civic Center of Bucharest in its urban and socio-political context. Therefore we have analysed the reasons and decisions that led to the way it was conceived and set up, and in addition we have tried to rebuild the narrative of the history of Bucharest through the city’s prominent built heritage. For this reason we have looked into the relations between the fact of erecting buildings and remarkable spaces and the (re)construction of a Romanian national identity, beginning with the Declaration of independence and ending with the European integration, the latter standing for the supreme legitimacy granted to the Romanian State. Therefore this research engages into the analysis of the mechanisms involved in using architectural and urban productions as instruments for defining and promoting national identity. In addition it fills a gap of almost non-existent scientific work dealing with the Civic Center, which is, due to the exceptional efforts engaged in its construction, in the same time Bucharest’s emblem and scar. Finally, it deals with the question of the reception of “ideologically charged” buildings, and more generally, with the fate of urban heritage inherited from totalitarian regimes.
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Construction de l’acteur « ennemi » et institution concentrationnaire : étude comparative entre les camps de Rivesaltes (sous Vichy) et de Béléné (République populaire de Bulgarie) / Construction of the actor "enemy" and concentration institution : comparative study between the Rivesaltes camp (under Vichy) and Belene (Popular Republic of Bulgaria)

Gruev, Radoslav 08 November 2013 (has links)
Notre étude s’interroge sur la construction de l’acteur « ennemi » dans l’institution sociale totale du camp de concentration à travers la comparaison de deux formes ; ceci dans des contextes sociaux, nationaux, idéologiques et étatiques différents – le camp de Rivesaltes et l’État Français et le camp de Béléné et la République Populaire de Bulgarie. Ces deux institutions sont traitées à partir de l’hypothèse de « différence de degré », qui se décline dans les notions de « singularité » et « pluralité », permettant de les saisir aussi bien au niveau politique qu’au niveau de l’institution concrète. Cette étude concerne la construction de la figure de l’acteur « ennemi » en partant du niveau social et politique pour arriver à la vie quotidienne au sein des deux formes concentrationnaires. Nous avons analysé la figure de l’ennemi, tout d’abord comme un produit d’une dynamique tournée vers la transformation sociale fondamentale. Nous avons également voulu comprendre les raisons d’apparition des formes concentrationnaires comme partie intégrante de ce « projet de société », et puis nous les avons analysées à travers la vie quotidienne qui s’établit en leur sein. L’institution concentrationnaire a assuré en soi une certaine stabilité qui lui a permis de bien remplir sa fonction dans la dynamique de transformation de la société. Cette stabilité est assurée par l’insertion de l’individu dans une série de cercles, sa soumission à une forme spécifique de pouvoir qui le transforme dans son essence de personne et d’être humain, mais aussi le posant comme un acteur dans un univers interactionnel particulier. Alors, quelle est la place de l’acteur « ennemi » dans la vie concentrationnaire et quelles interactions s’établissent-elles entre les différents acteurs au sein des camps ? / The present sociological study examines the construction of the "enemy" within the concentration camp, an absolute social institution, through the comparison of two forms, taken in their different social, national, ideological and state context – on one hand, the camp of Rivesaltes and the French government and, on the other hand, the camp of Belene and the People's Republic of Bulgaria. Both institutions are analyzed with the assumption of "difference of degree," developed by the concept of "singularity " and " plurality " which allows to identify them in their political dimension as well as on the concrete institutional level.This study deals with the construction of the specific figure the "enemy" as a social actor starting from the social and political level and getting to the everyday life in both concentration camp forms. We analyzed the enemy figure, at first as a product of a dynamic facing a fundamental social transformation. We also took into account the main reasons of concentration forms occurrence as an integral part of this " social project ", and then we have analyzed the aforementioned reasons through everyday life.The camp institution has assured itself a degree of stability that has allowed it to fulfill its function in the dynamic transformation of society. This stability is ensured by the involvement of the individual in a series of circles, his submission to a specific form of power which transforms soundly his personal character and adjoin to his human being condition, but also defines him as an actor in a particular interactional universe. Finally, what is the role of the actor "enemy" in concentration camp life and what interactions different actors in the camps establish between themselves?
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Le pouvoir managérial dans les sociétés de contrôle. Socialisation de la psyché dans les organisations hypermodernes

Fridlender, Jean-Marc 01 April 2008 (has links) (PDF)
Notre thèse tente d'appréhender la dimension psycho-sociale du pouvoir managerial et la dynamique sociétale qu'il crée, en conjuguant les conceptions foucaldiennes et sociocliniques du pouvoir. Plus précisément, nous étudions la structure de médiation globale déployée par les organisations de grande taille dites hypermodernes, dont l'action se situe à la confluence des registres gouvernemental, idéologique et psychologique. Notre recherche décrit un mode de socialisation caractéristique qui procède d'un étayage réciproque entre fonctionnement de la psyché et fonctionnement de l'organisation, induit par ses dispositifs de pouvoir manageriaux. Nous identifions une systémique hégémonique de normalisation comportementale basée sur le contrôle du processus de subjectivation. Ce faisant, nous esquissons une phénoménologie du régime de pouvoir managerial en tant que biopouvoir typique des sociétés de contrôle. Nous instruisons la condition psychique et subjective de l'individu-sujet contemporain, nous interrogeons sa portée politique au regard de la forme d'autonomie, la possibilité d'émancipation et la gouvernementalité engendrées. Notre problématisation, de manière non déterministe, considère le risque totalitaire d'un tel biopouvoir à la systémique globalisante. Notre approche socioclinique transdisciplinaire complémentariste articule une série de schèmes théoriques issus de corpus variés, pour ainsi élaborer différents niveaux d'analyse et une multi-problématisation de notre objet d'étude. Sur le plan empirique, notre travail s'est focalisé sur un décryptage de la puissance discriminante du dispositif de pouvoir managerial sous l'angle du contrôle du gouvernement de soi.
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La violence institutionnelle comme mode d’ajustement de filière : ethnographie et lecture goffmanienne d’une institution médico-sociale / Institutional violence as a method for creating a self-perpetuating pattern : study and interpretation of a medico-social institution based on the social theories of Goffman

Dargère, Christophe 18 February 2011 (has links)
Notre société possède une vaste coulisse contenant nombre d’individus considérés comme improductifs, déviants, inadaptés. Un partie de cette coulisse a pour fonction de contenir ces individus, et de les maintenir, parfois une vie durant, à la périphérie de notre évolution sociétale, dans des espaces n’ayant qu’une porosité réduite voir nulle avec la matrice sociale de référence. Ce processus de maintien repose sur la logique de filière : institution pour enfants, puis pour adolescents, puis pour adultes travailleurs, puis maison de retraite adaptée. La stabilisation de cette population dans ces cantonnements se fabrique avec les effets pervers du fonctionnement institutionnel, et notamment avec la violence institutionnelle qui régule ce fonctionnement. Pour illustrer cette idée, et tenter de décortiquer cette violence (issue d’une commande utopique, d’une mission originellement impossible à mettre en place) qui entrave les rouages de tout établissement « spécialisé », notre travail de recherche propose de mettre en perspective cette violence institutionnelle, inhérente au fonctionnement d’un institut-médico-professionnel recevant des adolescents placés et orientés par les instances officielles pour « déficience intellectuelle légère ». Cette étude est une ethnographie de terrain, puisque la méthode de travail repose exclusivement sur une observation participante. L’auteur, endossant la mission d’instituteur spécialisé, a passé six ans dans la structure avec ce statut, avant de l’observer pendant deux autres années, consignant sur un carnet de bord des scènes de vie quotidienne se déroulant dans l’institution (salle de classe, couloirs, salle du personnel, salle de réunion, réfectoire, …), mais aussi à l’extérieur de l’institution (rue, espaces divers, …). Inspiré par la sociologie d’Erving Goffman, cette analyse institutionnelle qualifie la structure selon des concepts goffmaniens (institution totale, institution totalitaire), des concepts de l’école de Chicago réajustés (institution bâtarde), voire des concepts élaborés (institution stigmate). Nous proposons de démontrer comment la promiscuité entre les usagers, l’hétérogénéité de la population, la complexité de la mission confiée à l’institution, la sanction du placement institutionnel, et la condition du personnel fabriquent un ensemble complexe, inextricable, pathogène, bridant l’évolution du pensionnaire de l’institution médico-sociale, « l’ajustant » à la filière suivante, et le maintenant dans une coulisse sociale ne lui offrant pas de perspective échappatoire, ni de retour vers « la société mère ». / In our society there is a vast wing containing a number of individuals who are considered unproductive, abnormal or maladjusted. Part of its function is to contain and maintain these individuals, sometimes for an entire lifetime, on the edges of our society's evolution, in spaces, which have only limited or no contact with mainstream society. This process of maintenance follows a chain of logic: an institution for children, likewise for teenagers, then for working adults, then an adapted nursing home. The stabilisation of this population within this system, perversely, is facilitated by function of the institution, and in particular by the culture of institutional violence through which it is regulated. To illustrate this, and to try to analyse this form of violence, which derives from a utopian order, from a mission which is fundamentally impossible to implement, and which hinders the wheels of every 'specialised' establishment: the present research puts into perspective the institutional violence, inherent, as it is, in the operation of an institut-medico-professional (a state special needs training facility) which receives teenagers who have been placed there by officials for 'slight mental retardation'. This research is an insider-study, as the method of research derives exclusively from participatory-observation. The author spent six years working as a Special Needs Teacher inside the establishment studied; then, for a further two years, systematically recorded into his logbook scenes of daily life, which took place within this institution (e.g. in classrooms, corridors, the staff room, meeting rooms, the cafeteria). Inspired by the social theories of Erving Goffman, this institutional analysis describes the target in terms of Goffman's concepts of “Total Institutions”, adjusted concepts from the Chicago School (“Bastard Institutions”), and elaborated concepts of “Stigma Institution”. This research proposes to demonstrate how the proximity and heterogeneity of the inmates, the complexity of the mission entrusted to the institution, the sanction of institutionalising a child, and the working conditions of the staff, all have resulted in a combination which is complex, pathogenic and intractable. Thus it restrains the evolution of the inmates of the institut-medico-professional, it “adjusts” them to follow along within the system, and places them within a social wing, which offers them neither any perspective on how to escape, nor any path to return to the “mainstream society”.
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L'Etat Taliban en Afghanistan 1994-2001 / The Taliban State in Afghanistan 1996-2001

Fazli Estabragh, Rose 12 April 2016 (has links)
Cette thèse est destinée à appréhender le phénomène Taliban d'un autre point de vue, c'est-à-dire en tantqu'État, durant la période 1996-2001. À cet égard, nous avons utilisé la théorie d'Alain Touraine relative auxmouvements sociaux, distinguant trois grands principes caractérisant un mouvement social : l'identité, l'oppositionet la totalité, ces trois éléments étant interdépendants. Le premier chapitre de cette thèse est destiné à analysercomment les Talibans, en tant que sujet historique, ont été créés dans un contexte de guerre et d'opposition. Sontainsi successivement abordés la guerre avec l'Union soviétique, les Moudjahidins, les guerres civiles, les oppositionsrégionales et le clivage essentiel entre sunnites et chiites. Ensuite, il a été tenté de clarifier la façon dont le caractèretotalitaire de l'identité de l'Etat Taliban est renforcé par ses deux dimensions organisationnelles : l'islamisme et lepachtounisme, ce qui a conduit à confronter le régime des Talibans à la définition du modèle classique de régimetotalitaire concernant les institutions et la domination. La dernière partie aborde la question de la chute de l'EtatTaliban. La contradiction entre l'universalisme idéologique et l'existence des Talibans en tant qu'Etat a conduit àl'isolement sur la scène internationale. Les Talibans échouent par ailleurs à établir une domination intégrale enAfghanistan et se trouvent confrontés à une crise de légitimité interne ouvrant la voie à leur chute. En conclusion, ilest souligné la façon dont les Talibans ont mis en place une centralisation politique, en dépit de la profondeur desclivages tribaux et idéologiques. Pour atteindre leurs buts, ils se sont concentrés principalement sur trois éléments :l'islam fondamentaliste, la conscience nationale et tribale et l'honneur du guerrier. Finalement par le moyen de lathéorie de George Bataille, l'auteur de la présente thèse tente de préciser que les Talibans ont échoué à établir leuremprise totalitaire dans le climat hétérogène de la société afghane, malgré leurs efforts pour imposer les troiséléments d'homogénéisation susmentionnés. / In the present thesis, it is intended to survey Taliban phenomenon, as a State, during 1996-2001 from another pointof view. In this regard, it is benefitted from Alain Touraine’s theory on the function of social movements. Hedescribes the function of each movement based on three major principles: Identity, Opposition and Totality, andconsiders the three of them as being interrelated. The first chapter of the present thesis is intended to indicate howTaliban, as a historical subject, is created in the context of war and opposition. For instance, the conflict between theSoviet Union and Mujahidin, civil wars, regional oppositions, as the important cleavage of Sunni-Shiite. Afterwards,it is tried to clarify how the totalitarian aspect of Taliban’s identity is reinforced by its two significant organizingdimensions: Islamism and Pashtunism. Subsequently, we proceed to Taliban’s endeavor to establish an Islamictotalitarian state and also it is tried to reveal the assimilation between the Taliban regime and a classical model oftotalitarian regime regarding institution and domination. Dealing with the fall of Taliban state is done within the lastchapter. It is analyzed how the Taliban’s ideology of universalism confronts the national interests such as any othertotalitarian Stat. The confrontation of ideological universalism and the national interests leads to isolation and fall ofTaliban, in the international stage. Taliban even fails to establish an integral domination within Afghanistan.Therefore, Taliban is dragged into the crisis of internal legitimacy which paved the way to its fall. As a conclusion,it is dealt with how Taliban tried to create political centralization, despite the existence of effective tribal andideological cleavage. To fulfill their aim, they concentrated mainly on three elements of fundamentalist Islam, thenational and tribal consciousness and the honor of the warrior. Eventually, by the means of George Bataille’s theory,the writer of the present thesis tries to clarify that Taliban failed to establish its expected totalitarism in theheterogeneous climate of Afghan society, despite its efforts in imposing the three aforementioned homogenizingelements.

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