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Individual-based modelling of tropical forests : role of biodiversity and responses to drought / Modélisation individu-centrée des écosystèmes forestiers tropicaux : rôle de la biodiversité et réponses à la sécheresse

Maréchaux, Isabelle 02 December 2016 (has links)
La faible représentation de la biodiversité dans les modèles de végétation a longtemps été un obstacle à la compréhension et à la projection des processus écosystémiques. La forte biodiversité des forêts tropicales, leur rôle clé dans les cycles biogéochimiques globaux, ainsi que leur vulnérabilité aux perturbations anthropiques directes et indirectes, amplifient les difficultés et enjeux de ces questions de recherche. En particulier, l'augmentation prédite de la fréquence et de l'intensité des sécheresses pourrait impacter la structure et composition floristique de ces forêts, comme dors et déjà observé au cours d'expériences naturelles et artificielles. Cette thèse explore ces questions de recherche à travers deux approches complémentaires, de modélisation et de mesures écophysiologiques. Dans le premier chapitre, je décris un simulateur de croissance forestière individu-centré et spatialement-explicite, TROLL, qui intègre les progrès récents en physiologie des plantes. Les processus sont paramétrés à l'aide de traits fonctionnels espèce-spécifiques, pour une forêt tropicale amazonienne. Une régénération forestière est simulée, et validée par des observations faites en Guyane française. La sensibilité du modèle à plusieurs paramètres globaux clés est évaluée. Enfin, l'influence de la variation de la richesse et composition spécifiques sur les propriétés écosystémiques est explorée. La réponse des forêts tropicales à la sécheresse est mal connue, empêchant la représentation pertinente des processus en jeu dans les modèles de végétation. Les chapitres 2 à 5 de cette thèse ont ainsi pour but de documenter la tolérance à la sécheresse et sa diversité dans une forêt amazonienne. Une méthode récente et rapide de détermination d'un trait de tolérance des feuilles à la sécheresse, le potentiel hydrique des feuilles au point de perte de turgescence (ptlp), est validée et utilisée, permettant de quantifier pour la première fois un tel trait de tolérance à la sécheresse dans une forêt amazonienne à l'échelle de la communauté. Ce jeu de données permet l'exploration des déterminants de la tolérance à la sécheresse des feuilles, à travers les espèces d'arbres, les tailles des individus, les stades de succession, les expositions à la lumière, ainsi que les lianes. La variabilité de ptlp observée suggère une large diversité de réponses à la sécheresse au sein des communautés de plantes amazoniennes. Ceci est confirmé par le suivi direct du flux de sève au cours d'une saison sèche sur divers arbres de canopée. Enfin, je discute les implications de ces résultats pour le développement des futurs modèles de végétation. / A great part of uncertainties in our current understanding and projections of the carbon cycle lies in the vegetation compartment. The problem of biodiversity representation in vegetation models has long been an impediment to a detailed understanding of ecosystem processes. The high biodiversity of tropical forests, their disproportionate role in global biogeochemical cycles, together with their vulnerability to direct and indirect anthropogenic perturbations, amplify the relevance of this research challenge. In particular, the predicted increase in drought intensity and frequency in the tropics may impact forest structure and composition, as already observed in natural and artificial experiments. This thesis explores how new advances in modelling and ecophysiology should help improve our understanding of these processes in the future. In the first chapter, I describe an individual-based and spatially-explicit forest growth simulator, TROLL, that integrates recent advances in plant physiology. Processes are linked to species-specific functional traits parameterized for an Amazonian tropical rainforest. This model is used to simulate a forest regeneration, which is validated against observations in French Guiana. Model sensitivity is assessed for a number of key global parameters. Finally, we test the influence of varying the species richness and composition on ecosystem properties. Tropical forest response to drought is not well understood, and this hampers attempts to model these processes. In chapters 2 to 5 I aimed at documenting drought-tolerance and its diversity in an Amazonian forest. A rapid method of determination of a leaf drought tolerance trait, the leaf water potential at turgor loss point (ptlp), was validated and applied to a range of plant species. We established the first community-wide assessment of drought tolerance in an Amazonian forest. These results inform on the drivers and determinants of leaf drought tolerance, across tree species and lianas, tree size, successional stages, light exposition, and seasons. Variability in ptlp among species indicates the potential for a range of species responses to drought within Amazonian forest communities. This is further confirmed by direct monitoring of whole-plant water use on diverse canopy trees during a marked dry season. Finally, I discuss the implications of these results to increase the dialogue between the vegetation modeling community and ecology, to enhance model's predictive ability, and to inform policy choices.
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La comunicación en el proceso de capacitación de líderes shipibos en derechos indígenas y negociación en el marco de la actividad de hidrocarburos

García Acha, Liliana María January 2015 (has links)
Publicación a texto completo no autorizada por el autor / Analiza la experiencia de aplicación de estrategias de comunicación para fortalecer las capacidades de líderes shipibos de Ucayali y Loreto en la defensa de los derechos de las comunidades nativas vinculados principalmente a la tierra, al territorio, los recursos naturales, la participación y la consulta previa, en un contexto de desarrollo de la actividad de hidrocarburos (petróleo y/o gas natural) en sus territorios. El análisis releva tres aspectos: el uso de estrategias de comunicación a nivel simbólico, tomando en cuenta la cultura indígena amazónica; el aporte de la comunicación a procesos educativos, concibiendo el aprendizaje como un proceso conjunto y bidireccional; y el aporte de la comunicación en relación a la promoción de derechos indígenas en el marco de la actividad de hidrocarburos; mediante la contribución a la consolidación del liderazgo de promotores legales en sus comunidades. / Trabajo de suficiencia profesional
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Indicateurs de durabilité urbaine selon une approche épidémiologique : la ville de Maringá, au Brésil

Dubiela, Valter T. 03 1900 (has links)
Les analyses spatiales et statistiques ont été réalisées avec les logiciels ArcView et SPSS / Ayant la contradiction entre le développement urbain et la conservation environnementale comme problématique, la stratification socioeconomique et spatiale emèrge comme champ privilegié d’investigation au sujet des indicateurs de durabilité urbaine. Cela constitue une des raisons du choix de la ville de Maringá comme terrain de recherche. La question de cette étude est de savoir quels sont les indicateurs durabilité urbaine permettant de dégager les quartiers plus proches de l’équilibre entre la qualité de vie humaine et l’équilibre de l’environnement, tout en tenant comme hypothèse de fond le lien entre la durabilité du développement et la conscience d’appartenance sociale et environnementale. En suivant une approche épidémiologique non anthropocentrique, cette recherche contribue à la discussion de la durabilité urbaine en offrant un cadre théorique et un modèle systémique pour la construction d’indicateurs de durabilité urbaine. L’application des indicateurs montre une classification de durabilité urbaine divergente de la stratification socio-economique mises en évidence par l’IDH. Cette classification, vérifiée au moyen de corrélation s multiples d’indices, dont l’empreinte écologique, l’indice de satisfaction de revenu, l’indice d’intégration sociale, les habitudes de santé et le poids santé, à l’échelle de deux aires échantillonnées dans les quartiers Conjunto Residencial Inocente Villanova Júnior et Zona 05. Les résultats suggèrent que le revenu a une forte influence sur l’empreinte écologique des familles, cependant, 10% des cas montrent la possibilité d’avoir une empreinte durable tout en ayant un revenu familial elevé. D’autres études se montrent nécessaires pour affiner le modèle proposé. / The aim of this research is to contrast the effects of urban development with environmental conservation practices. The investigation focuses on socio-economic segregation and its impact on sustainability, as measured by specific sustainability indicators. The city of Maringa in Central Brazil was selected as a case study, applying a targeted analysis to certain neighbourhoods. The study set out to determine which urban sustainability indicators are most appropriate to identify those neighbourhoods with the most sustainable practices and life-styles, assuming a fundamental link between sustainability practices and awareness of social and environmental responsibility. Using a epidemiological, but not anthopocentric, approach, this research contributes to and enriches the urban sustainability discourse by proposing a theoretical framework and model for the systemic construction of viable urban sustainability indicators. Applying these indicators to demographic and socio-economic data analysis results in a way of assessing urban sustainability that diverges from the socio-economic stratification approach of the HDI. This approach to sustainability assessment is validated through being applied to two sample areas of Maringa: the neighbourhoods of Conjunto Residencial Inocente Villanova Júnior and of Zona 05, using corrélations between ecological footprint, satisfaction index, social integration index, residents' health habits and body weight. Results suggest that income has a strong influence on household ecological footprint. However, in 10 % of cases a sustainable footprint is possible even in households with high incomes. Additional studies are recommended to refine the proposed model. / Tendo como problemática a contradição entre o desenvolvimento urbano e a conservação ambiental, a estratificação socio-econômica emerge como um campo privilegiado para o estudo da durabilidade do nível de vida. Esta é uma das razões que levaram à escolher Maringá como caso de pesquisa. A questão é saber quais indicadores de sustentabilidade urbana permitem identificar os bairros mais proximos do equilíbrio entre qualidade de vida humana e equilibrio ecológico. A hipótese de fundo supõe uma relação entre a sustentabilidade e uma consciência de interdependência socio-ambiental. Utilisando uma abordagem épidemiológica não anthropocêntrica, esta pesquisa contribui com o debate sobre a sustentabilidade urbana oferecendo um cadro téorico e um modelo sistémico para a construção de indicadores de durabilidade urbana, propondo e examinando alguns indicadores. Os resultados mostram uma classificação de sustentabilidade que diverge da estratificação socio-econômica evidenciadas pelo IDH. Esta classificação, verificada na escala dos bairros amostrados, Conjunto Residencial Inocente Villanova Junior e Zona 05, utilizando a análise estatística de correlação entre os indices de pegada ecológica, satisfação de renda, integração social, habitos de saúde e massa corporal identificam uma forte influência entre a renda e a pegada ecológica. Porém, 10% das famílias mostram que é possível reduzir a pegada ecológica a um valor sustentável mesmo obtendo renda familiar de até 3000 reais. Os resultados apontam a necessidade de outros dados para afinar o modelo proposto.
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Ecologie de Sericostachys scandens, liane envahissante dans les forêts de montagne du Parc national de Kahuzi-Biega, République démocratique du Congo

Masumbuko, Céphas Ndabaga 24 February 2011 (has links)
Le Parc National de Kahuzi-Biega (PNKB) se localise dans l’Est de la R.D. Congo, à une trentaine des kilomètres au Nord de la ville de Bukavu, (province du Sud-Kivu). Ce parc couvre une superficie de 6.000 km² dont 5.400 km² situés en basse altitude (600-1200 m d’altitude) et 600 km² constituent le secteur de haute altitude occupée par les forêts de montagne (1800-3308 m).<p><p>Depuis environ une décennie, la liane indigène Sericostachys scandens Gilg & Lopr. (Amarantaceae) se répand rapidement dans les forêts de montagne au PNKB. L’extension de cette liane, et ses conséquences supposées sur la biodiversité et la régénération de la forêt inquiètent les gestionnaires du Parc.<p><p>Le travail a examiné trois aspects de l’écologie de l’invasion par S. scandens dans le Parc.<p>Premièrement, on a examiné les traits fonctionnels susceptibles d’expliquer une aptitude élevée à l’invasion chez S. scandens. Une approche comparative avec trois espèces de lianes non envahissantes coexistant dans le même habitat montre que S. scandens présente une allocation de biomasse aux diaspores significativement plus élevée. En plus, elle combine une reproduction sexuée intense et une capacité de reproduction végétative. Cette liane se distingue également des trois autres par un taux de ramification plus élevé. Par contre, les traits foliaires ne sont pas systématiquement différents. De même, le taux de germination des graines de S. scandens ne diffère pas significativement de ceux des autres lianes étudiées. Cependant, il est significativement plus élevé en canopée ouverte qu’en canopée fermée, et en forêt ombrophile qu’en forêt de bambous. L’ensemble des traits qui caractérisent S. scandens peut contribuer à expliquer sa plus grande capacité d’invasion, comparativement aux trois autres lianes.<p>Deuxièmement, on a examiné les attributs des écosystèmes susceptibles de les rendre vulnérables à l’invasion. Les résultats suggèrent que les perturbations favorisent les invasions dans les écosystèmes. Les perturbations (coupes, feu, …) qui ont accompagné les conflits dans la zone du Parc sont, très probablement, le facteur ayant déclenché l’invasion. <p>Enfin, le travail a examiné les impacts de l’invasion sur la biodiversité et la régénération des forêts. Les résultats montrent que, effectivement, S. scandens a un impact négatif, et que cet impact pourrait contribuer à renforcer le succès invasif de S. scandens (feed-back positif).<p><p>Le travail aboutit à des recommandations pour la gestion du Parc. La gestion doit avant tout être préventive, c’est-à-dire i) empêcher de nouveaux déboisements et ii) éliminer S. scandens au tout début de son installation dans un site perturbé.<p> / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Changes in tropical rainforests landscapes as a consequence of selective logging and indigenous shifting cultivation in Forest Reserve Imataca (central zone) Bolívar State, Venezuela. / Cambios en paisajes de bosque húmedo tropical como consecuencia de la explotación selectiva y la agricultura indigena migratoria en la Reserva Forestal Imataca (zona central) Estado Bolívar, Venezuela.

Rodriguez Aponte, Glenda Ysolina 09 June 2005 (has links)
La degradación del bosque tropical causada por la agricultura indigena tradicional y la explotación forestal comercial fue evaluada, en el sector central de la Reserva Forestal Imataca en la Guayana venezolana.El enfoque conceptual de paisajes permitió combinar dos niveles de análisis, local y paisajes, con el objeto de detectar las relaciones espaciales que forman patrones, gradientes y estructuras, útiles para el seguimiento y control de los usos del bosque tropical y su estado de conservación. La evaluación integró varios métodos orientados a describir y analizar la composición, estructura y distribución de las comunidades arbóreas, tomando en cuenta su condición: no perturbado o perturbado.Se levantó información social relativa a los usos de la tierra considerados, a través de visitas y mediciones en las áreas de producción de las comunidades Kariñas, al igual que en concesiones forestales tomadas como muestra. Un inventario forestal en parcelas muestra, permitió colectar datos sobre algunos parámetros estructurales del bosque, los cuales sirvieron de base para calcular índices tales como diversidad alfa y beta, complejidad estructural y otros. La detección y cartografía de los bosques no perturbados y perturbados segun el uso considerado, se hizo sobre imagenes de satélite Landsat, a las cuales se aplicó técnicas de percepción remota tales como analisis textural, indices de vegetación y cobertura fraccional.Se estimaron áreas de superposición entre territorios tradicionales Kariña y concesiones forestales comerciales, las cuales probablemente serán objeto de nuevos conflictos que pueden ser graves, considerando el proceso de demarcación de territorios indígenas tradicionales en curso, y la explotación minera próxima a comenzar.El interés de estudiar la compleja situación de la Reserva Forestal Imataca se debe a la necesidad de promover un modelo sustentable de manejo y conservación de bosques para la Guayana venezolana.
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Indicateurs de durabilité urbaine selon une approche épidémiologique : la ville de Maringá, au Brésil

Dubiela, Valter T. 03 1900 (has links)
Ayant la contradiction entre le développement urbain et la conservation environnementale comme problématique, la stratification socioeconomique et spatiale emèrge comme champ privilegié d’investigation au sujet des indicateurs de durabilité urbaine. Cela constitue une des raisons du choix de la ville de Maringá comme terrain de recherche. La question de cette étude est de savoir quels sont les indicateurs durabilité urbaine permettant de dégager les quartiers plus proches de l’équilibre entre la qualité de vie humaine et l’équilibre de l’environnement, tout en tenant comme hypothèse de fond le lien entre la durabilité du développement et la conscience d’appartenance sociale et environnementale. En suivant une approche épidémiologique non anthropocentrique, cette recherche contribue à la discussion de la durabilité urbaine en offrant un cadre théorique et un modèle systémique pour la construction d’indicateurs de durabilité urbaine. L’application des indicateurs montre une classification de durabilité urbaine divergente de la stratification socio-economique mises en évidence par l’IDH. Cette classification, vérifiée au moyen de corrélation s multiples d’indices, dont l’empreinte écologique, l’indice de satisfaction de revenu, l’indice d’intégration sociale, les habitudes de santé et le poids santé, à l’échelle de deux aires échantillonnées dans les quartiers Conjunto Residencial Inocente Villanova Júnior et Zona 05. Les résultats suggèrent que le revenu a une forte influence sur l’empreinte écologique des familles, cependant, 10% des cas montrent la possibilité d’avoir une empreinte durable tout en ayant un revenu familial elevé. D’autres études se montrent nécessaires pour affiner le modèle proposé. / The aim of this research is to contrast the effects of urban development with environmental conservation practices. The investigation focuses on socio-economic segregation and its impact on sustainability, as measured by specific sustainability indicators. The city of Maringa in Central Brazil was selected as a case study, applying a targeted analysis to certain neighbourhoods. The study set out to determine which urban sustainability indicators are most appropriate to identify those neighbourhoods with the most sustainable practices and life-styles, assuming a fundamental link between sustainability practices and awareness of social and environmental responsibility. Using a epidemiological, but not anthopocentric, approach, this research contributes to and enriches the urban sustainability discourse by proposing a theoretical framework and model for the systemic construction of viable urban sustainability indicators. Applying these indicators to demographic and socio-economic data analysis results in a way of assessing urban sustainability that diverges from the socio-economic stratification approach of the HDI. This approach to sustainability assessment is validated through being applied to two sample areas of Maringa: the neighbourhoods of Conjunto Residencial Inocente Villanova Júnior and of Zona 05, using corrélations between ecological footprint, satisfaction index, social integration index, residents' health habits and body weight. Results suggest that income has a strong influence on household ecological footprint. However, in 10 % of cases a sustainable footprint is possible even in households with high incomes. Additional studies are recommended to refine the proposed model. / Tendo como problemática a contradição entre o desenvolvimento urbano e a conservação ambiental, a estratificação socio-econômica emerge como um campo privilegiado para o estudo da durabilidade do nível de vida. Esta é uma das razões que levaram à escolher Maringá como caso de pesquisa. A questão é saber quais indicadores de sustentabilidade urbana permitem identificar os bairros mais proximos do equilíbrio entre qualidade de vida humana e equilibrio ecológico. A hipótese de fundo supõe uma relação entre a sustentabilidade e uma consciência de interdependência socio-ambiental. Utilisando uma abordagem épidemiológica não anthropocêntrica, esta pesquisa contribui com o debate sobre a sustentabilidade urbana oferecendo um cadro téorico e um modelo sistémico para a construção de indicadores de durabilidade urbana, propondo e examinando alguns indicadores. Os resultados mostram uma classificação de sustentabilidade que diverge da estratificação socio-econômica evidenciadas pelo IDH. Esta classificação, verificada na escala dos bairros amostrados, Conjunto Residencial Inocente Villanova Junior e Zona 05, utilizando a análise estatística de correlação entre os indices de pegada ecológica, satisfação de renda, integração social, habitos de saúde e massa corporal identificam uma forte influência entre a renda e a pegada ecológica. Porém, 10% das famílias mostram que é possível reduzir a pegada ecológica a um valor sustentável mesmo obtendo renda familiar de até 3000 reais. Os resultados apontam a necessidade de outros dados para afinar o modelo proposto. / Les analyses spatiales et statistiques ont été réalisées avec les logiciels ArcView et SPSS
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Etude de la variabilité génétique et de la phylogéographie de Santiria trimera (Burseraceae): implications pour une conservation durable des forêts humides d'Afrique / Study of the genetic variability and the phylogeography of Santiria trimera (Burseraceae): implications for a sustainable conservation of African rainforests

Koffi, Kouamé Guillaume 22 November 2010 (has links)
La phylogéographie intègre l’information géographique et génétique pour inférer l’histoire démographique et les processus évolutifs des espèces. La présente étude recherche à travers les patrons de différenciation de l’ADN chloroplastique (ADNcp) au sein de Santiria trimera (Oliv.) H.J.LAM ex AUBR. [Emend. ONANA] la reconstitution d’une histoire des végétations des écosystèmes de forêts tropicales humides d’Afrique. Le modèle S. trimera est un arbre dioïque endémique des forêts humides d’Afrique dont les drupes sont dispersées par les primates et les oiseaux. Les formes morphologiques de ce modèle sont très variables et suscitent la délicate question de délimitation des espèces.<p>\ / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Analyse sociologique des causes de la marginalisation des communautés locales et examen des conditions et conséquences de leur capacitation dans la gouvernance forestière au Cameroun

Nlend V, Georges Boniface 06 February 2019 (has links)
La plupart des travaux réalisés depuis une vingtaine d’années sur la gouvernance forestière au Cameroun ont [exhaustivement] analysé l’économie forestière camerounaise, en en relevant particulièrement les dimensions problématiques et les aspects dysfonctionnels que Greenpeace (2007) résume en parlant d’un authentique échec. Ces travaux présentent un tableau détaillé qui indique entre autres constats rémanents, que le pouvoir de décision et les compétences de conduite des affaires sont plus que jamais confisqués dans les logiques néo-patrimoniales portées par les autorités étatiques et les élites, au détriment des populations indigènes et des communautés villageoises dont les diverses incompétences chroniques (intellectuelles, techniques, citoyennes et politiques) sont cependant atténuées par l’action de veille déployée par les organisations de la société civile. Cependant, ces travaux ne produisent pas un cadre général d’explication dans lequel l’ensemble des dysfonctionnements relevés s’articulent et se structurent. C’est cette omission théorique fondamentale de la recherche que vise à combler la présente thèse consacrée à l’analyse sociologique des causes de la marginalisation des communautés locales dans la gouvernance forestière au Cameroun, notamment à travers l’opérationnalisation d’une perspective d’explication socio-historique et d’une approche conceptuelle qui s’inscrivent dans la profondeur de la théorie critique et de l’économie politique. En effet, le souci de cette thèse –non monographique et essentiellement théorique –est de débusquer les logiques opératoires incarnées par les différents Régimes des forêts qui ont été pratiqués au Cameroun depuis l’époque coloniale allemande jusqu’à la Réforme dite environnementale et participative de 1994, avec l’objectif d’identifier les déterminants sous-jacents qui structurent la marginalité endémique des communautés locales, tout en favorisant aujourd’hui l’éclosion de dynamiques non étatiques de capacitation des communautés villageoises. Construite sur le concept de “contraintes structurelles”, notre thèse suggère une analyse novatrice dont la préoccupation est de proposer une explication générale des “trends séculaires” (Immanuel Wallerstein, 2000) qui soutendent l’exploitation industrielle des ressources forestières telle qu’elle s’est déployée jusqu’ici dans la modernité politique camerounaise. De l’analyse des données, il apparait qu’au regard du passage factice du régime colonial de la collectivité politique camerounaise au statut d’État indépendant, l’ouverture de l’activité industrielle forestière aux indigènes n’a jamais été concluante, notamment à cause de la rupture paradigmatique manifestée par l’irruption d’une modernité capitaliste dont les indigènes n’avaient jamais ni élaboré le projet, ni tenu les leviers opérationnels, autrement dit de l’opposition structurelle originaire qui plaçait la propriété des institutions, du pouvoir, du capital, bref toute la structure de l’économie forestière capitaliste et tout le système de la production forestière industrielle aux mains des Européens et des élites indigènes qui leur succèdent. En d’autres termes, la manifestation de dysfonctionnements irréductibles –dont la marginalisation des communautés villageoises semble être l’une des expressions les plus emblématiques –dans la mise en oeuvre des réformes trouve ultimement son explication dans l’abstraction historique des réformes du contexte dans lequel elles sont destinées à s’appliquer. Fondée sur la réflexivité critique et développée en examinant la structure de déploiement de l’histoire, l’originalité de notre thèse est de proposer une démarche radicale d’analyse de ce phénomène constamment établi par la littérature scientifique des vingt dernières années, en en révélant sa structuration complexe ainsi que son articulation à l’historicité problématique de la collectivité politique africaine moderne. En effet, à cause du caractère total de la violence coloniale et des conditions exogènes de naissance de l’État africain moderne, mais également de la cristallisation des modes arbitraires de conduite des affaires publiques et de gestion des ressources collectives et de l’enracinement structurel de la corruption, l’exploitation industrielle de la forêt va se déployer au détriment de la biodiversité et des systèmes écologiques, et surtout sur l’exclusion des communautés indigènes qui, au-delà de la profonde déstabilisation dont elles sont victimes du rapport colonial et capitaliste à la forêt, ne bénéficient d’aucune retombée substantielle et durable, tant sur le plan politique et de la participation citoyenne que sur le plan de la viabilité matérielle et des conditions socio-économiques de vie.
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Le genre Psychotria (Rubiaceae) en Afrique occidentale et centrale: taxonomie, phylogénie et biogéographie / Genus Psychotria (Rubiaceae) in West and Central Africa: taxonomy, phylogeny and biogeography

Lachenaud, Olivier 11 September 2013 (has links)
Le genre Psychotria est le plus vaste de la famille des Rubiaceae, avec plusieurs centaines d’espèces répandues dans toutes les régions tropicales humides. Les Psychotria sont principalement des arbustes (quelques-uns sont lianescents, herbacés ou arborescents) et entrent souvent pour une part importante dans la composition des sous-bois tropicaux. Certains montrent des adaptations remarquables comme la symbiose bactérienne foliaire ou l’accumulation d’humus. En raison de sa taille et des difficultés d’identifications, ce genre reste mal connu, notamment en Afrique occidentale et centrale où il n’a fait l’objet d’aucun travail d’ensemble depuis les années 1960.<p>Le présent travail a pour objectifs :1) la révision taxonomique du genre Psychotria pour l’Afrique occidentale et centrale; 2) une étude phylogénétique du genre, visant à reconstituer son évolution et améliorer la classification infragénérique ;et 3) une étude biogéographique régionale de ce groupe, afin de définir des centres de diversité et d'endémisme.<p>Notre travail de taxonomie, fondé sur l’examen des spécimens d’herbier et sur des missions de terrain au Cameroun et au Gabon, nous a conduit à reconnaître l’existence de 232 espèces en Afrique occidentale et centrale, ce qui fait de Psychotria le plus vaste genre de plantes dans cette région. Parmi ces espèces, 78 sont nouvelles.<p>Nos travaux phylogénétiques, basés sur l’étude de deux marqueurs nucléaires (ITS et ETS) et quatre chloroplastiques (rps16, trnG, matK et rbcLa), montrent que la classification de Petit (1964, 1966) est largement à revoir. Il apparaît notamment que les deux sous-genres (Psychotria et Tetramerae) reconnus en Afrique, et fondés sur la présence ou l’absence de nodules bactériens foliaires, ne sont pas monophylétiques, certaines espèces ayant secondairement perdu leurs nodules. Nos résultats soutiennent également le rattachement du genre monospécifique Peripeplus à Psychotria.<p>Le genre Psychotria montre une diversité remarquable, associée à un taux d’endémisme élevé, dans le domaine bas-guinéen (Cameroun et Gabon principalement) où plusieurs centres d’endémisme ont été identifiés. Ceux-ci sont localisés non seulement dans les massifs montagneux de l’intérieur, dont la flore particulière est bien connue, mais également dans les régions littorales. L’Afrique de l’ouest, moins diversifiée, montre cependant un fort endémisme localisé principalement dans deux centres, l’un situé au Liberia et dans l’ouest de la Côte d’Ivoire, l’autre vers la frontière Côte d’Ivoire/Ghana. Le bassin du Congo, comparable en diversité à l’Afrique de l’Ouest, est relativement pauvre en endémiques.<p>Ces résultats suggèrent que les forêts du Cameroun et du Gabon auraient relativement bien résisté aux périodes sèches passées, et remettent notamment en question l’hypothèse d’une disparition des forêts littorales du golfe de Guinée au cours du Pleistocène./Psychotria is the largest genus in the Rubiaceae family, with several hundred species in wet tropical areas worldwide. Psychotria spp. are mostly shrubs (a few being lianas, creepers or trees) and are often an important component of the undergrowth in tropical rainforests. Some show remarkable adaptations such as leaf bacterial symbiosis or litter gathering. Due to its size and identification problems, Psychotria remains a little-known genus, especially in West and Central Africa, where no major work has been done on this group since the 1960s.<p>The aims of the present work are: 1) a taxonomic revision of Psychotria in West and Central Africa; 2) a phylogenetic study of the genus, in order to trace its evolution and improve the infrageneric classification; and 3) a regional biogeographic study of the genus, to define centers of diversity and endemism.<p>Our taxonomical work, based on the study of herbarium specimens and field expeditions in Gabon and Cameroon, led us to recognise 232 species of Psychotria in West and Central Africa. Psychotria is therefore the largest plant genus in this area. Among these species, 78 are new.<p>Our phylogenetic work, based on two nuclear markers (ITS and ETS) and four chloroplastic markers (rps16, trnG, matK, rbcLa), shows that Petit’s (1964, 1966) infrageneric classification is in need of revision. In particular, we show that the two subgenera present in Africa (subg. Tetramerae and subg. Psychotria), which are defined by the presence or absence of leaf bacterial nodules, are not monophyletic: a secondary loss of the bacterial nodules has occured in some species. Our results also support the merging of the monospecific genus Peripeplus into Psychotria.<p>The genus Psychotria shows a remarkable diversity and a high level and endemism in the Lower Guinea domain (particularly Cameroon and Gabon) where several centers of endemism are identified. These are located not only in the inland hill ranges, which are well known for their particular flora, but also in littoral areas. West Africa is less diverse but also shows a high level of endemism, which concerns mostly two areas, one in Liberia and western Côte d’Ivoire and the other around the Côte d’Ivoire/Ghana border. The Congo basin, comparable in diversity to West Africa, has relatively few endemic species.<p>These results suggest that the rainforests of Cameroon and Gabon resisted relatively well during historical drier periods. They do not support the hypothesis of a disappearance of the Gulf of Guinea littoral forests during the Pleistocene.<p><p> / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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