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La nature des fonctions du trouble des conduites alimentaires et leur association avec la sévérité des symptômes et la motivation au traitement

Chenel-Beaulieu, Marie-Pier 19 April 2018 (has links)
Les troubles des conduites alimentaires (TCA) sont reconnus comme étant des désordres complexes causés par une multitude de facteurs. Toutefois, ils sont la plupart du temps évalués et traités selon les manifestations comportementales observables. Comme plusieurs difficultés liées au traitement de cette clientèle sont relevées et qu’une proportion considérable des personnes souffrant de TCA montre une chronicité de la pathologie ou une rémission partielle des symptômes, il importe d’élargir nos connaissances sur cette problématique. Certains auteurs soulignent l’importance de s’attarder à une vision plus subjective et individualisée de ces troubles afin de mieux comprendre le contexte dans lequel ils s’inscrivent. C’est dans ce contexte que le présent projet s’est intéressé aux fonctions auto-rapportées par les patientes souffrant de TCA, c’est-à-dire aux raisons pour lesquelles les personnes souffrant de ces troubles adoptent des attitudes et comportements alimentaires dysfonctionnels. Le premier objectif de l’étude visait à reproduire auprès de notre échantillon une classification de fonctions élaborée par Nordbø, Espeset, Gulliksen, Skårderud et Holte (2006), qui comprend les huit fonctions suivantes: sécurité, évitement, puissance, confiance, identité, prise en charge, communication et mort. Par la suite, l’étude s’est attardée au lien entre ces fonctions et le diagnostic (anorexie ou boulimie), la sévérité des symptômes alimentaires et cliniques (dépressifs et anxieux), la motivation au traitement et l’évolution des symptômes et de la motivation à travers le traitement. Pour ce faire, des questionnaires concernant les symptômes alimentaires (Eating Attitudes Test (EAT-26)), cliniques (Inventaire de Dépression de Beck (Beck Depression Inventory-II), Inventaire de l’anxiété de Beck (Beck AI)) et la motivation au traitement (Questionnaire sur la motivation au traitement) ont été administrés de façon hebdomadaire à 81 personnes souffrant d’un ii TCA (anorexie, boulimie ou TCA non-spécifié) et participant à un programme de jour. La question « Quelles sont les fonctions de mon trouble des conduites alimentaires que j’ai identifiées cette semaine (à quoi me sert-il)? » était également à répondre à chaque semaine. La présente étude a permis d’une part, de valider la possibilité d’utiliser la classification proposée par Nordbø et ses collaborateurs (2006), et ce, auprès d’un échantillon à grand échelle et composé à la fois de personne souffrant d’anorexie et de boulimie. Un taux de fonction classifiable de 79,68% ainsi qu’un excellent accord inter-juge de 0.91 ont été répertoriés. Les résultats montrent des différences entre les groupes de fonction en lien avec le diagnostic, F (1,79) = 9,137, p = .003, la fonction évitement étant davantage endossée par les personnes souffrant de boulimie. Également, les groupes de fonction se distinguent quant aux symptômes dépressifs F (9,72) = 3.375, p = .005, le groupe mort tendant à présenter des symptômes plus sévères. Enfin, la motivation au traitement se présente également différemment selon les groupes de fonction, F (6,72) = 2.242, p = .049, le groupe sécurité montrant généralement moins de motivation envers le traitement que les autres groupes de fonctions. Cette étude a permis de mettre en évidence l’importance des fonctions psychologiques associées aux TCA et de soulever des différences entre ces fonctions quant au profil clinique, suggérant la possibilité d’utiliser celles-ci dans l’évaluation et le traitement de ces troubles.
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La théorie de l'attachement pour comprendre les difficultés d'apprentissage et les troubles du comportement chez les jeunes de milieux défavorisés à risque de mauvais traitements

Leblanc, Stéphanie January 2007 (has links)
Thèse diffusée initialement dans le cadre d'un projet pilote des Presses de l'Université de Montréal/Centre d'édition numérique UdeM (1997-2008) avec l'autorisation de l'auteur.
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Hôpital de jour, alliance thérapeutique et évolution clinique évaluation longitudinale de 33 familles pendant deux ans /

Kabuth, Bernard. Tychey, Claude de. January 2003 (has links) (PDF)
Thèse de doctorat : Psychologie : Nancy 2 : 2003. / Bibliographie.
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La théorie de l'attachement pour comprendre les difficultés d'apprentissage et les troubles du comportement chez les jeunes de milieux défavorisés à risque de mauvais traitements

Leblanc, Stéphanie January 2007 (has links)
Thèse diffusée initialement dans le cadre d'un projet pilote des Presses de l'Université de Montréal/Centre d'édition numérique UdeM (1997-2008) avec l'autorisation de l'auteur.
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Behavioural and metabolic characterisation of night eating sydrome / Behavioral and metabolic characterisation of night eating sydrome

Gallant, Annette 20 April 2018 (has links)
Le syndrome de fringale nocturne (SFN) est caractérisé par un retard de l'apport énergétique et se manifeste soit comme une hyperphagie en soirée et/ou des ingestions nocturnes. D’autres caractéristiques cliniques de ce syndrome ont été identifiées : anorexie du matin, l'insomnie, un désire intense de manger le soir, une humeur dépressive et/ou une humeur qui se détériore en soirée, et la conviction que la personne doit manger pour dormir. Bien que la recherche sur NES a progressé de façon constante depuis l’apparition de ce syndrome dans la littérature scientifique en 1955, plusieurs questions n’ont pas été étudiées. En effet, une seule étude a examiné les symptômes du SFN chez les enfants et aucune n’a examiné les comportements de santé associés aux symptômes. De plus, bien que deux études aient démontré que les ingestions alimentaires nocturnes prédisent une plus grande prise de poids, il n’est pas clair si le poids ou certains marqueurs de la santé métabolique ont été associée à d'autres symptômes du syndrome. Enfin, aucune étude n’a exploré le changement des symptômes au fil du temps. Ainsi, l'objectif de cette étude était de mieux caractériser les comportements de santé et le profil métabolique associés à des symptômes du SFN dans une cohorte familiale. Un objectif secondaire visait à valider certains aspects du questionnaire qui mesure les symptômes du SFN de façon auto-déclarées, le « night eating questionnaire » (NEQ). L'échantillon de l'étude comprenait des participants de l'étude de cohorte longitudinale de QUALITY (parents biologiques et leur enfant âgé de 8 - 10 ans) évalués à deux reprises : entre 2005 - 2008 et 2008 – 2010. Dans l'ensemble, cette thèse montre que peu de personnes répondent aux critères du SFN, que ces symptômes sont liés à un délai dans certains comportements de santé (activité physique et nutrition) chez les enfants et que certains symptômes sont reliés au profil métabolique et à un gain de poids chez les parents. / Night eating syndrome (NES) is characterised by a delayed pattern of energy intake and manifests as either evening hyperphagia and/or nocturnal ingestions of food. Other clinical features of this syndrome have been identified and include morning anorexia, insomnia, strong evening cravings for food, a depressed and/or evening-worsening mood and a belief that one must eat in order to sleep. Research on NES has progressed steadily since the disorder first appeared in the scientific literature in 1955. However, there is much more to be learned on the topic of NES. There is only one published study that examined night eating symptoms in children. There are no published studies that have examined health behaviours associated with these symptoms in children and none that have examined changes in NES symptoms across time. Furthermore, although two studies have demonstrated that nocturnal ingestions of food predicted greater weight gain, they did not explore if weight gain or markers of metabolic health were associated with other NES symptoms. Thus, the objective of this study was to examine the behavioural and metabolic characterisation of night eating symptoms in a family cohort. Furthermore, a secondary objective was to validate certain aspects of the Night Eating Questionnaire (NEQ), a measure of self-reported NES symptoms. The study sample consisted of participants of the longitudinal QUALITY cohort study and included two biological parents and one child aged 8 – 10 years upon recruitment and data were collected at two time points, from 2005 - 2008 and from 2008 – 2010. This thesis demonstrates that few individuals meet criteria for NES.NES symptoms are related to a behavioural delay in children and may be associated with a less healthful diet. Furthermore, certain night eating symptoms are related to weight gain and metabolic health in adults.
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Les caractéristiques associées à l’évolution des troubles du comportement perturbateur chez les enfants.

Goodfellow, Melissa January 2014 (has links)
Cette étude longitudinale vise à déterminer si des caractéristiques individuelles et environnementales mesurées à l’entrée dans l’étude permettent de différencier les enfants appartenant aux trajectoires persistante et décroissante et de vérifier l’effet modérateur du sexe sur ces caractéristiques. L’équivalence de la sévérité des troubles du comportement perturbateur présentés par les enfants à l’entrée dans l’étude a été contrôlée ainsi que l’intensité des services reçus. L’échantillon inclut 192 garçons et 76 filles du primaire (M = 9,8 ans; é.t. 1,79 ans) recevant des services spécialisés pour difficultés comportementales à l’école. Les analyses de classes de trajectoires latentes réalisées sur six ans ont permis d’identifier que 12,3% d’enfants (24% filles) appartiennent à la trajectoire persistante et 32,5% (30% filles) appartiennent à la trajectoire décroissante. Dans l’ensemble, les résultats suggèrent que peu importe la trajectoire à laquelle ils appartiennent, ces enfants présentent, à l’entrée dans l’étude, plusieurs vulnérabilités tant au plan individuel que dans leur environnement. Malgré ces similitudes, les analyses de régression multivariées réalisées ont permis d’identifier trois vulnérabilités qui discriminent l’appartenance à l’une ou l’autre des trajectoires. Sur le plan des caractéristiques individuelles, un tempérament plus réactif augmenterait la probabilité d’appartenir à la trajectoire persistante chez les filles. À l’égard des caractéristiques environnementales, la présence d’un trouble anxieux, mais l’absence d’un trouble dépressif chez les parents seraient associés à la persistance des troubles du comportement. Ces résultats soutiennent donc l’importance de tenir compte des difficultés des parents lors des interventions visant à prévenir la persistance des troubles du comportement.
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Empathie, mentalisation et comportements pro-sociaux chez les enfants présentant des troubles de comportement

Girard, Emilie January 2014 (has links)
La présente étude porte sur les liens unissant les troubles de comportement (TC), l’empathie, les biais de mentalisation et les comportements pro-sociaux des jeunes garçons âgés entre sept et 12 ans. L’idée de cette recherche part du fait que les TC constituent une problématique de plus en plus répandue dans le milieu scolaire (Massé, Desbiens, & Lanaris, 2006) et que les enfants de sexe masculin sont surreprésentés dans ce type de trouble (Ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport; MÉLS, 2010). Les TC ont des impacts notables sur le fonctionnement académique et social des enfants (Tardif et al., 2003). De surcroit, les enfants présentant des TC ont souvent des difficultés au niveau des interactions sociales (Tremblay & Royer, 1992), une faible capacité d’empathie et exhibent moins de comportements pro-sociaux comparativement aux enfants qui ne manifestent pas ce type de trouble (Gill & Calkins, 2003; Hastings, Zahn-Waxler, Robinson, Usher, & Bridges, 2000; Panak & Garber, 1992; Wied, Goudena, & Matthys, 2005). Les relations entre la capacité d’empathie, les comportements pro-sociaux et les difficultés au plan des interactions sociales des enfants présentant des TC sont cependant complexes et difficiles à comprendre. La notion de mentalisation, soit la capacité qu’a un individu de percevoir et d’interpréter ses comportements et ceux d’autrui en fonction d’états mentaux, apparaît une avenue pertinente d’exploration des difficultés au niveau des interactions sociales des enfants présentant des TC. Plus spécifiquement, les biais de mentalisation, soit le type d’attribution prédominant lorsque l’enfant interprète les états mentaux des autres et les siens, auraient un impact sur le développement de l’empathie (Sharp, 2006) et des comportements pro-sociaux des enfants (Denham, 1986; Strayer, 1980). Les résultats de cette étude sont présentés en deux articles divisés en fonction du type d’analyse effectuée sur les données. Ainsi, les résultats du premier article soulèvent que l’empathie est un facteur essentiel en lien avec le développement social de l’enfant. Les comportements pro-sociaux auraient quant à eux un rôle de médiation entre la capacité d’empathie de l’enfant et le fait qu’il présente des TC. Pour être en mesure de mieux comprendre ce lien de médiation, les biais de mentalisation ont été ajoutés à l’équation dans le deuxième article. Cet ajout a permis de constater deux facteurs de risque en lien avec le développement des TC, soit les biais de mentalisation négatifs et la faible tendance à adopter des comportements pro-sociaux. Ainsi, les biais de mentalisation, l’empathie et les comportements pro-sociaux permettent de prédire 27,7 % de la variance des TC. Les résultats de l’étude permettront de mieux comprendre les facteurs impliqués dans la genèse des TC et d’ajuster les programmes déjà en place pour intervenir auprès des garçons d’âge scolaire présentant ce type de trouble.
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Expériences scolaires d'adolescents suivis en centre jeunesse

Jacques, Caroline January 2005 (has links)
No description available.
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La prématurité modérée et tardive : les trajectoires du fonctionnement comportemental chez l'enfant et de la surprotection parentale

Faleschini, Sabrina 27 September 2022 (has links)
Les naissances prématurées modérées et tardives, qui surviennent entre 32 et 36 semaines de gestation, représentent environ 85% des naissances prématurées. Bien que nombreux, les enfants nés prématurés modérés et tardifs (PMT) ont longtemps été considérés comme n'étant pas plus à risque de présenter des difficultés que les enfants nés à terme. Ainsi, leurs trajectoires développementales à long terme sont peu documentées. Un nombre restreint mais croissant d'études suggèrent que les enfants PMT sont plus à risque de développer des problèmes de comportement. Peu d'entre elles se sont toutefois penchées sur l'évolution de ces problèmes dans le temps et sur les facteurs familiaux associés à cette évolution. Par ailleurs, les études dans le domaine obtiennent des résultats divergents. Ainsi, la thèse avait pour premier objectif de mieux comprendre les relations entre la prématurité modérée et tardive et la trajectoire du fonctionnement comportemental des enfants. Dans un premier temps, une recension des écrits a été effectuée afin de mieux comprendre l'état de la littérature actuelle concernant le fonctionnement comportemental des enfants PMT. Cette recension révèle qu'il n'y a pas de consensus clair en ce qui concerne les difficultés comportementales des enfants PMT. Une majorité d'études réalisées en âge scolaire rapportent que les enfants PMT présentent davantage de difficultés comportementales caractérisées par des comportements d'hyperactivité, d'impulsivité, d'inattention, d'anxiété et de dépression. Certaines études rapportent toutefois une absence de différence entre les enfants PMT et ceux nés à terme sur le plan comportemental. La recension a permis de mettre en lumière les divergences méthodologiques entre les études de même que le manque d'études longitudinales dans ce domaine. Elle souligne également le manque d'information sur l'évolution de ces enfants et de leur fonctionnement comportemental au fil du temps. Afin de pallier ces lacunes, le deuxième objectif de la thèse était d'examiner les relations entre la prématurité modérée et tardive et les trajectoires des comportements d'hyperactivité-impulsivité, d'inattention, d'anxiété-dépression et d'agression entre l'âge de 4 et 10 ans au sein d'un échantillon populationnel. Les résultats ont permis de démontrer que la naissance prématurée modérée et tardive est associée à une trajectoire plus élevée de problèmes d'hyperactivité-impulsivité, lorsqu'évaluée par le parent, mais pas par l'enseignant. Par ailleurs, les trajectoires d'inattention, d'anxiété-dépression et d'agression étaient similaires entre les enfants PMT et ceux nés à terme. Afin de mieux comprendre les mécanismes permettant d'expliquer la trajectoire d'hyperactivité-impulsivité des enfants PMT, la thèse avait ensuite pour objectif d'examiner les pratiques de surprotection des parents durant l'âge préscolaire et les relations entre celles-ci, la prématurité modérée et tardive et la trajectoire d'hyperactivité-impulsivité et d'inattention des enfants. Certaines études démontrent que les parents d'enfants prématurés ont plus tendance à surprotéger leurs enfants que les parents d'enfants nés à terme, mais ces études ont essentiellement été réalisées auprès d'enfants de moins de 37 semaines de gestation (incluant tous les enfants prématurés) ou auprès d'enfants grands prématurés (nés à moins de 32 semaines de gestation). Les pratiques parentales spécifiques des parents d'enfants PMT demeurent méconnues. La relation entre la prématurité modérée et tardive et la trajectoire de surprotection parentale entre l'âge de 5 et 29 mois a d'abord été examinée. Ensuite, le rôle de la surprotection parentale et de son interaction avec la naissance prématurée modérée et tardive dans la prédiction de la trajectoire des comportements d'hyperactivité-impulsivité et d'inattention de l'enfant a été examiné. Les résultats démontrent que la surprotection parentale diminue à mesure que les enfants vieillissent au sein de la population et que la prématurité modérée et tardive est associée à une diminution plus lente de la surprotection parentale. Ainsi, plus l'enfant vieillit, plus les parents qui ont un enfant PMT tendent à se distinguer des parents d'enfants nés à terme en adoptant plus de pratiques surprotectrices. De façon cohérente, la naissance prématurée modérée et tardive était associée à un niveau plus élevé de surprotection parentale à 29 mois, mais pas à 5 mois. Les résultats démontrent par ailleurs que la naissance PMT et la surprotection parentale sont indépendamment associées à une trajectoire plus élevée d'hyperactivité-impulsivité pendant l'enfance. Aucune interaction entre la naissance prématurée modérée et tardive et la surprotection parentale n'a été observée. Les résultats suggèrent que les enfants PMT, de même que les enfants exposés à plus de pratiques parentales surprotectrices, tendent à présenter davantage de comportements d'hyperactivité impulsivité. Globalement, les résultats de cette thèse démontrent que les enfants PMT présentent des niveaux légèrement plus élevés d'hyperactivité et d'impulsivité pendant l'enfance et que leurs parents tendent à avoir davantage de pratiques surprotectrices au fil du temps. Les résultats soulignent l'importance d'intervenir tant auprès des parents que des enfants afin de favoriser un fonctionnement comportemental optimal pendant l'enfance. / Moderate to late preterm (MLP) births occur between 32 and 36 gestational weeks. MLP births have been less extensively studied than very preterm births despite the fact that they represent up to 85% of all preterm deliveries. A growing body of research suggests that behavioral problems are not limited to children born very preterm. Indeed, there is some evidence to suggest that MLP births may similarly be associated with behavioral problems, however, studies following MLP children over time using a prospective longitudinal design with repeated measures are scarce. The first aim of this thesis was to better understand the relations between MLP birth status and children's behavioral trajectories across childhood. First, a review of the literature was conducted regarding behavioral functioning of MLP children. In this review, a lack of convergence between studies was observed. Some studies revealed that these children had higher levels of behavioral problems, including hyperactivity, impulsivity, inattention and anxiety-depression, compared to full-term children. However, some studies reported no differences between MLP and full-term children. This review highlighted a limited understanding of the developmental trajectories of MLP children across time, in particular with regards to the course and persistence of behavioral problems in this population. Due to the dearth of research, the goal of this thesis was next to examine the relation between MLP birth status and the overall developmental trajectories of multiple behavioral problems (hyperactivity-impulsivity, inattention, anxiety-depression, and aggression) measured repeatedly from ages 4 to 10 years using reports from primary caregivers and teachers. Results indicated that MLP children were more likely to exhibit hyperactive and impulsive behaviors compared to full-term peers during early childhood, according to parents. However, this relation was small and was not confirmed by teacher evaluations. Moreover, MLP children did not differ from full-term children regarding the overall trajectories of inattention, anxiety-depression, and aggression problems. In order to better understand the underlying mechanisms of the relation between MLP birth status and parent-reported trajectory of hyperactivity-impulsivity, the relations between overprotective parenting during the preschool period, MLP birth and children's hyperactivity-impulsivity and inattention behaviors were examined. While overprotective behaviors were documented among parents of very preterm children, it is difficult to confirm that these behaviors also characterize parents of children born in the period near to term. Thus, the third aim of the present thesis was to examine the effects of MLP birth on the trajectory of overprotective parenting practices during preschool years. This thesis also aimed to determine if parental overprotection might explain the documented relation between MLP birth status and children's hyperactivity-impulsivity and inattention symptoms, and whether this parental behavior interacts with the child's birth status in the prediction of these symptoms. First, the overall trajectory of parental overprotection from 5 to 29 months revealed a small decrease across time. The results also indicated that MLP birth was associated with a slower decrease in parental overprotection across the preschool period and that both MLP birth and parental overprotection were independent predictors of the overall trajectory of children's hyperactivity-impulsivity. Interestingly, there was no evidence of an interaction between MLP birth status and parental overprotection in the prediction of the trajectories of children's hyperactivity-impulsivity and inattention. Results suggested that children born MLP and those exposed to high levels of overprotective parenting presented higher levels of hyperactivity and impulsivity. Overall, the results of this thesis suggested that MLP children were more likely to exhibit hyperactive and impulsive behaviors during childhood, and that their parents were more likely to present higher levels of overprotective behaviors overtime. These results highlight the need to provide interventions for both parents and children to promote optimal behavioral functioning during childhood.
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La prématurité modérée et tardive : les trajectoires du fonctionnement comportemental chez l'enfant et de la surprotection parentale

Faleschini, Sabrina 27 September 2022 (has links)
Les naissances prématurées modérées et tardives, qui surviennent entre 32 et 36 semaines de gestation, représentent environ 85% des naissances prématurées. Bien que nombreux, les enfants nés prématurés modérés et tardifs (PMT) ont longtemps été considérés comme n'étant pas plus à risque de présenter des difficultés que les enfants nés à terme. Ainsi, leurs trajectoires développementales à long terme sont peu documentées. Un nombre restreint mais croissant d'études suggèrent que les enfants PMT sont plus à risque de développer des problèmes de comportement. Peu d'entre elles se sont toutefois penchées sur l'évolution de ces problèmes dans le temps et sur les facteurs familiaux associés à cette évolution. Par ailleurs, les études dans le domaine obtiennent des résultats divergents. Ainsi, la thèse avait pour premier objectif de mieux comprendre les relations entre la prématurité modérée et tardive et la trajectoire du fonctionnement comportemental des enfants. Dans un premier temps, une recension des écrits a été effectuée afin de mieux comprendre l'état de la littérature actuelle concernant le fonctionnement comportemental des enfants PMT. Cette recension révèle qu'il n'y a pas de consensus clair en ce qui concerne les difficultés comportementales des enfants PMT. Une majorité d'études réalisées en âge scolaire rapportent que les enfants PMT présentent davantage de difficultés comportementales caractérisées par des comportements d'hyperactivité, d'impulsivité, d'inattention, d'anxiété et de dépression. Certaines études rapportent toutefois une absence de différence entre les enfants PMT et ceux nés à terme sur le plan comportemental. La recension a permis de mettre en lumière les divergences méthodologiques entre les études de même que le manque d'études longitudinales dans ce domaine. Elle souligne également le manque d'information sur l'évolution de ces enfants et de leur fonctionnement comportemental au fil du temps. Afin de pallier ces lacunes, le deuxième objectif de la thèse était d'examiner les relations entre la prématurité modérée et tardive et les trajectoires des comportements d'hyperactivité-impulsivité, d'inattention, d'anxiété-dépression et d'agression entre l'âge de 4 et 10 ans au sein d'un échantillon populationnel. Les résultats ont permis de démontrer que la naissance prématurée modérée et tardive est associée à une trajectoire plus élevée de problèmes d'hyperactivité-impulsivité, lorsqu'évaluée par le parent, mais pas par l'enseignant. Par ailleurs, les trajectoires d'inattention, d'anxiété-dépression et d'agression étaient similaires entre les enfants PMT et ceux nés à terme. Afin de mieux comprendre les mécanismes permettant d'expliquer la trajectoire d'hyperactivité-impulsivité des enfants PMT, la thèse avait ensuite pour objectif d'examiner les pratiques de surprotection des parents durant l'âge préscolaire et les relations entre celles-ci, la prématurité modérée et tardive et la trajectoire d'hyperactivité-impulsivité et d'inattention des enfants. Certaines études démontrent que les parents d'enfants prématurés ont plus tendance à surprotéger leurs enfants que les parents d'enfants nés à terme, mais ces études ont essentiellement été réalisées auprès d'enfants de moins de 37 semaines de gestation (incluant tous les enfants prématurés) ou auprès d'enfants grands prématurés (nés à moins de 32 semaines de gestation). Les pratiques parentales spécifiques des parents d'enfants PMT demeurent méconnues. La relation entre la prématurité modérée et tardive et la trajectoire de surprotection parentale entre l'âge de 5 et 29 mois a d'abord été examinée. Ensuite, le rôle de la surprotection parentale et de son interaction avec la naissance prématurée modérée et tardive dans la prédiction de la trajectoire des comportements d'hyperactivité-impulsivité et d'inattention de l'enfant a été examiné. Les résultats démontrent que la surprotection parentale diminue à mesure que les enfants vieillissent au sein de la population et que la prématurité modérée et tardive est associée à une diminution plus lente de la surprotection parentale. Ainsi, plus l'enfant vieillit, plus les parents qui ont un enfant PMT tendent à se distinguer des parents d'enfants nés à terme en adoptant plus de pratiques surprotectrices. De façon cohérente, la naissance prématurée modérée et tardive était associée à un niveau plus élevé de surprotection parentale à 29 mois, mais pas à 5 mois. Les résultats démontrent par ailleurs que la naissance PMT et la surprotection parentale sont indépendamment associées à une trajectoire plus élevée d'hyperactivité-impulsivité pendant l'enfance. Aucune interaction entre la naissance prématurée modérée et tardive et la surprotection parentale n'a été observée. Les résultats suggèrent que les enfants PMT, de même que les enfants exposés à plus de pratiques parentales surprotectrices, tendent à présenter davantage de comportements d'hyperactivité impulsivité. Globalement, les résultats de cette thèse démontrent que les enfants PMT présentent des niveaux légèrement plus élevés d'hyperactivité et d'impulsivité pendant l'enfance et que leurs parents tendent à avoir davantage de pratiques surprotectrices au fil du temps. Les résultats soulignent l'importance d'intervenir tant auprès des parents que des enfants afin de favoriser un fonctionnement comportemental optimal pendant l'enfance. / Moderate to late preterm (MLP) births occur between 32 and 36 gestational weeks. MLP births have been less extensively studied than very preterm births despite the fact that they represent up to 85% of all preterm deliveries. A growing body of research suggests that behavioral problems are not limited to children born very preterm. Indeed, there is some evidence to suggest that MLP births may similarly be associated with behavioral problems, however, studies following MLP children over time using a prospective longitudinal design with repeated measures are scarce. The first aim of this thesis was to better understand the relations between MLP birth status and children's behavioral trajectories across childhood. First, a review of the literature was conducted regarding behavioral functioning of MLP children. In this review, a lack of convergence between studies was observed. Some studies revealed that these children had higher levels of behavioral problems, including hyperactivity, impulsivity, inattention and anxiety-depression, compared to full-term children. However, some studies reported no differences between MLP and full-term children. This review highlighted a limited understanding of the developmental trajectories of MLP children across time, in particular with regards to the course and persistence of behavioral problems in this population. Due to the dearth of research, the goal of this thesis was next to examine the relation between MLP birth status and the overall developmental trajectories of multiple behavioral problems (hyperactivity-impulsivity, inattention, anxiety-depression, and aggression) measured repeatedly from ages 4 to 10 years using reports from primary caregivers and teachers. Results indicated that MLP children were more likely to exhibit hyperactive and impulsive behaviors compared to full-term peers during early childhood, according to parents. However, this relation was small and was not confirmed by teacher evaluations. Moreover, MLP children did not differ from full-term children regarding the overall trajectories of inattention, anxiety-depression, and aggression problems. In order to better understand the underlying mechanisms of the relation between MLP birth status and parent-reported trajectory of hyperactivity-impulsivity, the relations between overprotective parenting during the preschool period, MLP birth and children's hyperactivity-impulsivity and inattention behaviors were examined. While overprotective behaviors were documented among parents of very preterm children, it is difficult to confirm that these behaviors also characterize parents of children born in the period near to term. Thus, the third aim of the present thesis was to examine the effects of MLP birth on the trajectory of overprotective parenting practices during preschool years. This thesis also aimed to determine if parental overprotection might explain the documented relation between MLP birth status and children's hyperactivity-impulsivity and inattention symptoms, and whether this parental behavior interacts with the child's birth status in the prediction of these symptoms. First, the overall trajectory of parental overprotection from 5 to 29 months revealed a small decrease across time. The results also indicated that MLP birth was associated with a slower decrease in parental overprotection across the preschool period and that both MLP birth and parental overprotection were independent predictors of the overall trajectory of children's hyperactivity-impulsivity. Interestingly, there was no evidence of an interaction between MLP birth status and parental overprotection in the prediction of the trajectories of children's hyperactivity-impulsivity and inattention. Results suggested that children born MLP and those exposed to high levels of overprotective parenting presented higher levels of hyperactivity and impulsivity. Overall, the results of this thesis suggested that MLP children were more likely to exhibit hyperactive and impulsive behaviors during childhood, and that their parents were more likely to present higher levels of overprotective behaviors overtime. These results highlight the need to provide interventions for both parents and children to promote optimal behavioral functioning during childhood.

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