The present work focuses on the analysis of the Spanish particle-verbs (Verbos Sintagmáticos) oriented towards the teaching of Spanish as a foreign language. The most problematic aspects about this category have been observed in terms of their use and behaviour in the semantic, syntactic and phonological levels of the language. For this, we have based on the studies on Italian VS and English phrasal verbs (more developed theoretically). The purpose of this study has been to offer a clear basis that will serve for future research ?both theoretical and practice?, to elaborate a proposal of definition based on real data extracted from different corpus of Spanish, and to suggest a basic sample of didactic material that facilitates the introduction in the classrooms of Spanish as a second language content related to this type of verbs.

This thesis attempts to provide an encompassing account for the centuries-old question concerning how aspect and modality are grammaticalized in the verbal system in Biblical Hebrew. To this end, the semantics of the three verb forms qatal, yiqtol, and qotel are investigated by means of a theory-unbiased observation on the Biblical text. It is argued that Biblical Hebrew has an aspectual opposition of the perfective and the imperfective and that the two aspects are encoded by the verb forms qatal and qotel, respectively. Concerning the modal system in Biblical Hebrew, it is suggested that the Biblical Hebrew broadly distinguishes the realis and irrealis and that the irrealis is marked by a single verb form yiqtol. Finally, the verbs occasioned in the Book of Isaiah 52:13-53:12 are thoroughly examined in the light of the present study. The examination on the Isaiah passage consequently ascertains that the present study largely removes the existing obstacles in understanding Biblical Hebrew verb conjugations and lays the significant grounds toward the proper linguistic understanding of the Biblical text. / text

No description available.

No description available.

No description available.

<p align="justify">Cette thèse analyse les propriétés sémantiques et discursives des prédicats d'état (<i>laid, généreux</i>) ainsi que des prédicats causatifs et résultatifs, et plus particulièrement des verbes psychologiques à Expérienceur objet (<i>stimuler, encourager</i>). Le cadre adopté est celui de la sémantique néo-davidsonienne (Parsons, 1990) et de la sémantique du discours (Kamp & Reyle 1993, Asher 1993). La première partie (chap 1-7) est consacrée aux prédicats d'état, et la seconde aux prédicats causatifs et résultatifs (chap. 8-9). </p> <p align="justify">Dans le chapitre 1, on expose les arguments en faveur de l'idée que les verbes d'état ont un argument implicite davidsonien comme les verbes d'action. Abordant ensuite les constructions en <i>by/in</i> (<i>by/in smoking, he broke his promise</i>), l'auteur propose de considérer, avec Goldman et contre Davidson, que celles-ci décrivent deux événements distincts, liés par une relation de génération. L'analyse goldmanienne de ces constructions est ensuite étendue aux prédicats d'état (<i>in doing this, he was clever</i>), ce qui permet de distinguer les prédicats qui dénotent un état dépendant d'une action, comme <i>clever</i> en usage occurrentiel, des prédicats qui dénotent un état indépendant d'une action, comme <i>beautiful</i> (cf. ??<i>in doing this, he was beautiful</i>). </p> <p align="justify">Le chapitre 2 fait le point sur les spécificités des prédicats d'état par rapport aux prédicats d'activité. Y est notamment montré que certains prédicats d'état acceptent le "progressif interprétatif" (<i>tu es en train de croire au Père Noël!</i>). Ce type de progressif est distingué du progressif standard et du progressif actif anglais (<i>he was being clever</i>); sont définis également les "prédicats interprétatifs" qui n'acceptent que ce progressif.</p> <p align="justify">Le chapitre 3 élabore une typologie aspectuelle des prédicats d'état. Sont d'abord distingués quatre types d'états en fonction de l'intervalle pendant lequel l'état en cause est vérifié. On montre que cette quadri-partition rend mieux compte des données linguistiques que la dichotomie classique en <i>stage level predicates et individual level predicates</i>. Ensuite sont définis les "prédicats d'état pur" comme <i>beau</i>, qui dénotent un état indépendant de toute action, et les "prédicats d'état endo-actionnel" comme <i>généreux/bruyant</i> en usage occurrentiel, qui dénote un état généré par une action. On présente des arguments contre l'assimilation de ces derniers prédicats à des prédicats d'action. Est alors analysée l'ambiguïté des prédicats comme "généreux" dans l'emploi occurrentiel: <i>Pierre m'a donné des bonbons. Il a été généreux</i> peut vouloir dire soit que Pierre a été généreux de (décider de) me donner des bonbons (lecture-d), soit qu'il a été généreux dans la manière de me les donner (lecture-m). Dans la foulée, on examine la relation temporelle qui prend place entre un état <i>s</i> et l'action <i>e</i> dont il dépend. Enfin, on montre que l'analyse proposée peut rendre compte de la concurrence entre passé composé et imparfait dans les phrases dénotant un état occurrentiel.</p> <p align="justify">A partir de la typologie aspectuelle élaborée au chapitre 3, le chapitre 4 revisite le problème que soulèvent certains prédicats d'état dans les constructions à prédicat second descriptif (<i>Pierre a donné des bonbons saoul/??généreux</i>) et propose une nouvelle solution. On montre ensuite que cette solution peut être adaptée pour résoudre un problème moins étudié, à savoir celui que posent certains prédicats d'état dans les subordonnées temporelles en <i>quand</i> (cf. <i>Il était généreux, quand il a distribué les bonbons versus ??Il a distribué des bonbons quand il était généreux</i>). Enfin, on fait le point sur la difficulté qu'éprouvent les prédicats évaluatifs à entrer dans les constructions présuppositionnelles, parmi lesquelles les subordonnées temporelles, mais les GN définis (<i>La femme rousse/??généreuse commanda une bière</i>).</p> <p align="justify">Le chapitre 5 est consacré aux relations rhétoriques qui s'établissent entre la description d'un état et la description d'un événement, aux combinaisons possibles entre ces relations rhétoriques, et à la manière dont tel ou tel prédicat d'état, vu ses propriétés sémantiques, contribue à établir telle ou telle relation rhétorique avec la description d'événement. </p> <p align="justify">Le chapitre 6 revient sur le problème que soulève l'indéfini des en lecture non générique avec certains prédicats d'état, notamment les prédicats évaluatifs (<i>Des livres étaient sales versus ??Des livres étaient merveilleux</i>). En se fondant sur les outils de la <i>Decision Theoretic Semantics</i> (Merin 1999), l'auteur fait l'hypothèse qu'un prédicat <i>P</i> n'accepte <i>des</i> que si la quantité des éléments satisfaisant <i>P</i> dans le contexte est non pertinente pour les fins du discours, et s'il est clair, par ailleurs, que les <i>qualités</i> implicites que peuvent instancier les dits éléments ne contribuent en aucune façon à expliquer qu'ils satisfont <i>P</i>. On montre que ces deux conditions sont respectées (resp. violées) avec les prédicats d'état compatibles (resp. incompatibles) avec <i>des</i> dans sa lecture non générique.</p> <p align="justify">Le chapitre 7 est consacré à la sémantique qu'il faut assigner aux prédicats d'état <i>évaluatifs</i>. On expose tout d'abord les arguments en faveur d'une sémantique "réaliste", qui analyse les prédicats évaluatifs comme des prédicats unaires dénotant de vraies propriétés. On distingue ensuite, dans le contenu informationnel des énoncés évaluatifs, un composant assertif et deux implicatures associées. On termine par l'analyse des prédicats évaluatifs superlatifs (<i>merveilleux</i>); est argumentée l'idée que ces prédicats ont un composant expressif, en ce sens que le locuteur, en les utilisant, implicite qu'une entité satisfaisant le prédicat a déclenché en lui une émotion, vécue ou rejouée lors de l'énonciation. On montre en quoi ce composant expressif contribue à expliquer pourquoi de tels prédicats sont difficilement utilisables à l'impératif ou dans certains types de questions.</p> <p align="justify">Le chapitre 8 répertorie trois classes parmi les verbes, dits "résultatifs", qui présupposent l'occurrence d'un événement <i>e</i> causant ou générant l'événement asserté <i>e'</i>. On présente d'abord le problème que pose la définition de cette présupposition, puis une nouvelle solution est exposée. On montre alors que la présupposition des verbes résultatifs -- achèvements droits et accomplissements strictement forts --- est de nature scalaire et peut s'expliquer par la Loi d'exhaustivité de Ducrot.</p> <p align="justify">Le chapitre 9 est consacré aux verbes psychologiques à Expérienceur objet (VPEO). Après avoir classé ces verbes en fonction de leur structure événementielle, on fait le point sur les différentes lectures qu'ils peuvent accepter. On montre ensuite qu'à la différence des VPEO acceptables dans les constructions agentives, les VPEO qui y sont peu acceptables exhibent deux propriétés cruciales. D'abord, ils présupposent toujours, à l'instar des verbes étudiés dans le chapitre 8, l'occurrence de l'événement impliquant le sujet; ensuite, certains d'entre eux sont "interprétatifs", en ce sens que l'assertion du changement d'état psychologique ne s'avère pertinente pour les fins du discours que si l'interprétant connaît, par ailleurs, l'événement qui cause ce changement. Cela permet d'expliquer pourquoi les verbes en question ne peuvent faire avancer la narration comme le ferait un prédicat d'action normal, et pourquoi ils sont peu compatibles avec les adverbes de manière orientés sur l'agent, les pseudo-clivées ou les compléments de lieu.</p> <p align="justify">On termine par l'analyse aspectuelle de la classe des VPEO, en montrant qu'on y trouve des membres des cinq classes aspectuelles distinguées dans le chapitre précédent.</p>

La presente investigación se centra en la semántica de los verbos de movimiento en inglés y en castellano. La primera parte de la tesis ofrece un análisis sistemático y detallado de los lexicones verbales de movimiento en ambas lenguas desde un punto de vista contrastivo. En este análisis, los patrones generales de lexicalización, los verbos de sendero y los verbos de manera son los objetos de interés. La segunda parte de la tesis explora el subdominio del movimiento humano empleando paradigmas experimentales, proporcionando evidencia empírica a algunas de las observaciones derivadas del análisis lingüístico llevado a cabo en la primera parte de la tesis. / The present thesis addresses the semantics of English and Spanish motion verbs. In the first part of this dissertation, a systematic and detailed account of the semantics of English and Spanish motion verb lexicons from a contrastive point of view is provided. The patterns of general conflations are explored, as well as more subtle path notions and fine-grained manner information which can be conveyed by motion verbs in these two languages. Comparison between English and Spanish leads to the identification of both crosslinguistic similarities and differences. The second part of this thesis aims to investigate an important subdomain of motion, that of human locomotion, using experimental methods. These studies offer interesting insights into how English and Spanish organise their motion verb lexicons and into the complex semantics of human locomotion verbs. In addition, the findings provide empirical support for some of the observations from the linguistic analysis undertaken in the first part of this thesis.

The aim of this thesis is to present semi-copular constructions in present-day Spanish. We define semi-copular verbs and characterize their relation to copular verbs. In the chapters of the thesis, we present the list of possible subject complements which form constructions with these verbs. We determine their type, semantic scope and possible restrictions. In the experimental part, we examine the adjectives related to selected semi-copular verbs - ponerse, quedarse, hacerse and volverse - in detail and we discuss their compatibility with verbs ser and estar. We also deal with the qualitative analysis of the semantic range for selected occurrences of semi- copular verbs in conjunction with adjectives. Key words: copular verbs, semi-copular verbs, semantic classification of verbs, Spanish

In the diachronic studies of Afrikaans in the past, the focus used to be on the origin and early development of Afrikaans from Dutch. During the twentieth century, the philological school, with a tradition of researching all Cape-Dutch coloured texts in detail, was established through the work of J. du P. Scholtz and his students. Through their analyses, they estimated the stabilisation of Afrikaans as early as the end of the eighteenth century (for example Raidt, 1991:145; Ponelis, 1994:229). In the past few decades, however, this estimation has begun to receive criticism from other scholars, including Roberge (1994:159) and Deumert (2004:20). With the help of a corpus, Deumert (2004) has shown that there is substantial variation in Afrikaans letters as late as the early twentieth century, and this study expands on her work by researching the variation in published writing. This is done by focusing on verbs, as there is significant change from the Dutch verbal system to the Afrikaans verbal system. This study uses corpus linguistic research methods, and researches Dutch-Afrikaans variation in verbs in published Afrikaans texts, compiled in three corpora. The main corpus was compiled from all the Afrikaans writings of Totius (J.D. du Toit) in the publication Het Kerkblad from 1916 to 1922. Two control corpora are also used: the first was compiled from excerpts from published Afrikaans books for the same period, and the second was compiled from excerpts from Afrikaans periodicals for the same period. In order to compensate for the shortcomings of corpus data alone, normative works on Afrikaans from the relevant period are also taken into account, and there is shown which recommendations these works made about the relevant constructions, and how the corpus data correlates with these recommendations. Variation in six verbal constructions are analysed in this study: 1. End consonant t/n (for example gaat/gaan): the old (more Dutch) word forms are scarcely used in the corpora, while the modern Afrikaans word forms are almost fully established. 2. End consonant g (for example seg/sê): the old word forms are also scarcely used in the corpora, while the modern word forms take the lead. 3. Stem vowel (for example breng/bring): the old word forms are more frequent at the beginning of the period, followed by some uncertainty, with the modern word forms taking over by the end of the period. 4. Preterite (specifically had/gehad and werd/geword): there is great instability throughout, worsened by a distinction in use between main verbs and auxiliary verbs made by some authors. 5. Past participle (for example gedaan/gedoen): there is significant instability at the beginning of the period, but the modern word forms are used more frequently by the end of the period. 6. Perfect tense auxiliary verb (is/het): the old form is still used in the corpora, but the modern form is more frequent from the beginning, and becomes even more frequent towards the end. This data shows that there was still significant variation in Afrikaans under Dutch influence as late as the early twentieth century, and the correlation between the different corpora implies that the written language might have been much closer to the spoken language than had been previously assumed. It is further confirmed by the amount of attention this variation gets in the normative works from that period. / Thesis (M.A. (Afrikaans and Dutch))--North-West University, Vaal Triangle Campus, 2013

Thesis. 1977. Ph.D.--Massachusetts Institute of Technology. Dept. of Linguistics and Philosophy. / MICROFICHE COPY AVAILABLE IN ARCHIVES AND HUMANITIES. / Vita. / Bibliography : leaves 210-213. / Ph.D.