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Narrative mourning : Joyce, Freud, Kincaid, Derrida

Gana, Nouri January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Swann face à l'énigme proustienne de la création

Desmeules, Justine January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Les fondements de l'écriture selon Michel Foucault et Roland Barthes

Ben Osman, Farès January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La representación femenina y el discurso orientalista en Los nombres del aire de Alberto Ruy-Sánchez

Garrido, Patricia January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Les survivants provisoires ; suivi de Circuler en silence

Lambert, Simon January 2006 (has links) (PDF)
Ce mémoire est constitué de deux parties distinctes. La première est un roman s'articulant autour d'un road book et qui s'échoue dans le fantastique. Changement constant de lieux, fréquentes rencontres et mise en place d'une écriture de l'immédiat visent ici à transmettre le vacarme intérieur qui anime Lesco et Aude, les deux protagonistes principaux. Leur vie en miettes ne trouvera un sens que dans le pulsionnel. Parfois apologie de la destruction physique, parfois dénigrement de l'enracinement dans la routine, l'écriture est, dans la première partie du roman, un chant tumultueux en l'honneur de la route. La seconde partie, elle, propose une cassure. Le défilement des jours est ébranlé par une condamnation injustifiée. Déporté sur une île où les habitants sont menacés de mort à chaque instant, Lesco est confronté à un impossible réel: son univers bascule dans le fantastique. Il devra accepter d'être le seul témoin de la manipulation scrupuleuse des autorités mexicaines, qu'il le veuille ou non. À partir de ce moment, Lesco n'a plus qu'une mémoire douloureuse comme point de repère dans ce nouveau monde hostile. Ici, l'alliage du road book et du fantastique ne propose aucune solution, il dévie plutôt si loin du problème qu'il en vient à le suggérer: le monde bâtit des ruines avec ses projets d'avenir. La partie réflexive est un éclat sans dispersion ; trois blocs éclaboussés en fragments se partagent la prise de parole. La partie intitulée Le road beat est une folle virée dans l'univers de l'écriture du vagabondage. La beat generation et le road beat s'y entremêlent de façon à tresser un sens au mouvement ondulatoire de l'écriture du vagabondage. La seconde partie, Les carnets de doutes, met en lumière l'aventure périlleuse d'une écriture romanesque, qui, grâce à la rédaction de carnets de route, se nourrit de trouvailles tout autant que de travail. Avec l'accumulation de départs et de déplacements, l'écriture en vient à se réfugier dans des carnets de route qui, inévitablement, s'inséreront dans une démarche plus sérieuse d'écriture. Les carnets de routes sont ici perçus comme les pourvoyeurs d'une force agissante et agitante d'un tourbillon d'écriture qui influe et nourrit la rédaction d'un projet romanesque. La dernière partie, La cassure fantastique, questionne la rigidité du genre romanesque du road book et retrace les particularités de mon cheminement d'écriture. Grâce à des incursions fantastiques dans l'actualité, le réel est ici perçu comme une matière malléable qui varie selon la forme qu'en donne l'esprit qui perçoit. L'illusion fantastique et la quête impossible du road book sont, en fait, issus d'un seul et même mirage d'écriture: le désir de rendre sensible un trajet. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Roman, Carnet, Road book, Fantastique, Beat Generation.
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Le bruit du monde : suivi de S'attacher et s'arracher

Rousseau, Annie January 2007 (has links) (PDF)
Ce mémoire est constitué de deux parties distinctes: une partie création et une partie réflexive. La partie création du mémoire est un récit à la croisée du récit de voyage, du fragment littéraire et de l'autofiction. Cette forme permet de rendre compte des aventures du personnage, de la fragmentation de son identité qui résonne avec celle du texte. Le voyage est un lieu propice à l'introspection: le regard se tourne vers l'intérieur, lieu de toutes les confrontations. Ainsi, à travers les villes qu'elle traverse, la narratrice voit sa subjectivité ébranlée par la prise de conscience de l'étrangeté qu'elle rencontre en voyage: identités, langues, cultures, corps, rapports sociologiques de sexes, tout se lie et se délie, forgeant la personnalité de la femme, de la voyageuse, de l'auteure. Chaque titre de chapitre correspond à un nom de lieu, à travers lesquels sont intercalés des chapitres exprimant le silence du monde. Ces moments de réflexion poétique portent le titre de « No Woman's Land » afin d'indiquer l'errance et la difficulté du personnage principal de trouver des repères en elle-même et autour d'elle. L'essai réflexif est divisé en cinq parties liant le récit de voyage à son mode d'expression fragmentaire et autofictionnel. 1. « S'attacher et s'arracher », une expression de Nicolas Bouvier, reprend l'aspect dialectique propre à l'état nomade et tente d'expliquer le lien entre la pulsion du voyage et celle de l'écriture. 2. « Détacher les mots de soi » aborde les exigences de l'écriture de voyage et le désir de matérialiser l'émotion vécue pour la mettre à distance. 3. « Faction: à la frontière de sa réalité » trace un parallèle entre l'autofiction et le récit de voyage, deux genres entrant dans la composition du Bruit du monde, où la quête de vérité se mêle à la fabulation de soi. 4. « Mosaïque » exprime toute l'idée du fragment (aire), qui sillonne à la fois le récit de voyage et l'autofiction, résonnant par le fait même avec le voyage et la quête de subjectivité. 5. « La solitude comme un vertige » raconte l'isolement nécessaire au voyage et à l'écriture, afin de trouver les mots pour exprimer la compréhension du monde obtenue par la réflexion. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Récit de voyage, Autofiction, Écriture de soi, Fragment, Subjectivité, Femme.
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Par la fenêtre, la forêt, suivi d'une réflexion sur le croisement entre éthique et fragmentation au théâtre

Ouellet, Anne-Marie January 2008 (has links) (PDF)
Cette réflexion accompagne la création de Par la fenêtre, la forêt, une mise à l'épreuve scénique du procédé de fragmentation. Elle s'intéresse au théâtre dans ses fonctions critiques et transitives. Elle questionne les liens entre l'individualisme dans notre société et la fragmentation au théâtre, pour entrevoir comment le théâtre peut aujourd'hui réunir les individus et les amener à interroger ensemble leur rapport au monde. L'hypothèse de départ est que le procédé de fragmentation du discours théâtral, en privilégiant la discontinuité, le désordre et les trous dans le récit, laisse le spectateur plus libre dans sa réception. Ce dernier, avide de signification, doit tisser des cercles de référence et participe ainsi activement à la création du sens de l'oeuvre et aux questionnements proposés. Le premier chapitre situe l'avancé de l'individualisme dans notre société. Il dresse un bref panorama de l'évolution moderne et post moderne. Il permet de faire resurgir ce que peut exiger une éthique de l'individualisme post moderne. Le deuxième chapitre agit similairement au premier, mais s'intéresse, lui, à la fragmentation au théâtre. Pour cela, le passage du théâtre dramatique au théâtre postdramatique, qui voit apparaître le procédé de fragmentation, est ausculté. Ce chapitre permet d'observer les dangers et les possibilités de ce procédé. Les deux derniers chapitres étudient le respect des exigences éthiques sur deux oeuvres fragmentées. Dans un premier temps, sur le texte Lalla (ou la Terreur) de Didier-Georges Gabily et, dans un second temps, sur la représentation théâtrale de Par la fenêtre, la forêt qui a été créée pour expérimenter la recherche de ce mémoire. Dans les deux cas, l'application du procédé de fragmentation et les conditions qui ont permis à l'oeuvre de contribuer à l'élévation de la culture individualiste sont exposées. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Théâtre, Éthique, Fragmentation, Postdramatique, Postmoderne.
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Claire ; suivi de De la mort à la vie

Auger, Claudine January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire en création littéraire comprend deux sections: la première partie d'un roman, qui en comptera deux, et un dossier d'accompagnement. Le roman, Claire, comporte deux niveaux narratifs, correspondant à ce que Gérard Genette, dans Figures III, appelle les niveaux extradiégétique et intradiégétique. En effet, certains chapitres, à la première personne, attirent l'attention sur l'acte narratif lui-même. Une femme adulte raconte des souvenirs d'enfance avec sa grand-mère, Clara. Quant au niveau intradiégétique, il relate à la troisième personne l'histoire d'une femme, Claire, de son enfance à sa vie d'épouse et de mère. Les deux niveaux alternent en mettant en relief des éléments qui concordent dans les deux narrations, de sorte qu'on établit rapidement un lien entre Clara, la grand-mère du récit à la première personne, et le personnage de Claire, dans la narration à la troisième personne. De même, il s'établit un jeu entre une posture qu'on suppose autobiographique et une autre, qui prend ses distances avec la réalité et accepte une fictionnalisation des événements. Les deux narrations adoptent aussi deux tons différents. La narration au je crée un effet de proximité qui donne au texte des accents émouvants, presque lyriques à certains moments. Dans la narration à la troisième personne, le roman privilégie une écriture qui montre les faits au lieu d'entrer dans les réflexions ou les sentiments de Claire. Mais si l'on sent une retenue, l'émotion passe dans le rythme, dans le travail de la phrase, souvent courte, saccadée. Le dossier d'accompagnement, De la mort à la vie, propose, sous forme de fragments, une réflexion sur la mort et, plus particulièrement, sur le deuil, ce qui suppose de mettre ce concept en relation avec celui de mélancolie, selon la distinction qu'en fait Freud. Partant de sa propre démarche, l'auteure de l'essai aborde le travail créateur comme participant du travail du deuil, le favorisant même chez l'écrivain, à une époque où l'on assiste, dans la civilisation occidentale, à un déni de la mort, et même de la mortalité, selon le mythe de l'éternelle jeunesse. En ce sens, les rituels de l'écriture deviendraient des rituels de deuil. Car si écrire à partir d'un deuil permet d'introjecter la personne aimée, cet acte favorise aussi un passage aux autres, une transmission du legs de la personne disparue, de lui redonner une existence symbolique. Et, comme le soutient Madeleine Gagnon dans Le deuil du soleil, l'acte d'écrire conduit au deuil de soi, à l'acceptation de sa propre condition de mortel, même si, comme en convient Nicolas Lévesque dans Le deuil impossible nécessaire, le deuil parfait n'est pas possible, de sorte que l'écriture d'un livre ne peut « clore » un cycle de deuil. Enfin, il faut constater que l'on n'est jamais seulement le produit de son histoire familiale, mais aussi de l'histoire littéraire, et le legs des auteurs qui ont marqué un écrivain devient aussi important que celui d'une personne aimée. Voilà pourquoi l'auteure s'inscrit dans la lignée des femmes qui écrivent, surtout celles qui appartiennent au « métaféminisme », selon le terme de Lori Saint-Martin. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Écriture, Roman, Mort, Deuil, Transmission, Femme.
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Les vérités mobiles ; suivi de, Penser l'oblique : écrire dans le sens des yeux

Rioux-Soucy, Louise-Maude 04 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire est né de la force d'un lieu, Manseau, un modeste village du Centre-du-Québec dont le surplus d'âme rachète largement la pauvreté des moyens. Bicéphale, il se partage entre la création et la réflexion. La première partie, Les vérités mobiles, prend la forme d'une fiction; la seconde, Penser l'oblique: écrire dans le sens des yeux, d'un essai réflexif. Les vérités mobiles est un court roman qui a ses racines dans le sol mansois. Il s'ouvre sur la mort de Nadia Camirand, pulvérisée par un train à quelques jours de son entrée à l'université. La disparition de la jeune femme ouvre une brèche dans l'âme de ce village fantasque et gouailleur, pétri de contradictions et gangrené par une petite mafia qui fait passer ses intérêts devant ceux des villageois. Royaume de la débrouille, ce Manseau est le fruit d'une reconstruction complète. Pensé comme un parchemin palimpseste, le village tire ses formes de l'accumulation d'une multitude de traces (souvenirs, odeurs, impressions, bruits, images, couleurs), qui agissent comme des fenêtres s'ouvrant et se refermant sur l'intimité des villageois. Le fil narratif s'enroule autour des pensées des uns et des autres. Celles-ci s'enchaînent, s'interpellent et se heurtent, tissant leur toile de vérités mobiles et changeantes jusqu'à ce que finisse par émerger la voix d'un grand Manseau chimérique, véritable conscience de ce roman choral. Le document d'accompagnement, Penser l'oblique: écrire dans le sens des yeux, s'attache à penser la reconstruction d'un lieu par l'écriture en prenant pour point de départ ce que Vladimir Nabokov a nommé la « transparence des choses », c'est-à-dire l'invisible qui se cache derrière le « mince vernis de réalité » d'un objet, d'une personne, d'un lieu. Le regard est au cœur de cette réflexion, qui aborde la valeur fondamentale de l'oblique comme mode de reconstruction et de scénarisation du réel. Des clochers de Martinville proustiens au décryptage photographique de La Chambre claire de Barthes, le regard oblique est pensé de manière à réunir dans l'écriture des éléments hétérogènes qui, sans être nécessairement antinomiques, ne sont pas naturellement liés. Les espaces parallèles nés de ces rapprochements sont à leur tour éclairés par les travaux de Bernard Noël et de Georges Didi-Huberman sur les liens invisibles qui relient les choses entre elles et la nécessité d'étirer ou de raccourcir le regard pour en percevoir les infimes richesses. En découle une écriture du regard apte à percer le mur des mots pour voir ce qui palpite, vit et meurt derrière, en vue de construire, non seulement une ville, mais tout un univers fictionnel. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : écriture romanesque, espace, regard, oblique, décalage.
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Screenplay : movie script or literature

Saeed Zanjani, Ali January 2006 (has links) (PDF)
L'existence de centaines de scénarii dans les librairies, qu'il s'agisse de nouveaux textes ou de rééditions de textes plus anciens comme celle de Citizen Kane, prouve que les scénarii sont lus pour leur valeur littéraire et non pour les seules indications techniques en vue de la réalisation filmique. Malgré ce fait, la nature du scénario en tant que genre littéraire autonome, à la fois fictionnel et narratif, n'a pas été sérieusement identifiée et étudiée. C'est le sujet que nous essayerons d'examiner dans la présente recherche. Il existe un consensus parmi les spécialistes des études cinématographiques et les scénaristes pour admettre que le scénario est une sorte de guide pour la réalisation d'un film, un modèle à partir duquel les réalisateurs, les acteurs et les techniciens peuvent travailler. Ils rejettent l'aspect «oeuvre littéraire» du scénario parce qu'à leurs yeux celui-ci manque de «mérite», et trouvent la conception artistique de l'écriture scénaristique «provocatrice» plutôt qu' «évocatrice.» Cependant, bien que leurs critiques n'hésitent pas à rejeter la valeur littéraire du scénario, elles ne clarifient pas le terme «littérature.» Qu'est-ce que la littérature? Dans son livre, Qu'est-ce que la littérature? Jean-Paul Sartre répond à cette question. Il reconnaît que l'acte littéraire dépend d'un grand nombre de facteurs: le goût personnel, le but de l'écriture, mais aussi l'histoire, le temps, les conventions et beaucoup d'autres choses encore. En d'autres termes, il n'y a aucune définition et description concrètes de la «littérature.» «L'art de l'écriture» est aussi ouvert et souple que n'importe quelle convention sociale. Nous croyons, en ce qui nous concerne, que le scénario est un genre littéraire parce qu'il propose une structure linguistique spécifique. Connaître les éléments qui forment la langue artistique du scénario et la manière dont ils fonctionnent est la clef pour entrer dans une relation littéraire avec le scénario. Que l'on apprenne la nature de ce langage, et notre perception du scénario changera. Etudier les caractéristiques de ce langage, tel est l'objectif de notre recherche.

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