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The Impact of Deforetation in the Brazilian Amazonia - Change on Ecosystem and Social Environment -丸山, めぐみ, MARUYAMA, Megumi 12 1900 (has links)
農林水産研究情報センターで作成したPDFファイルを使用している。
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フィリピン・ミンドロ島の民族関係から見る共同性の諸相―生活世界の経済取引からみた差異とつながりに着目して― / Difference and Connectedness in Economic Interactions of the Life-world: The Case of Mindoro Island in the Philippines白石, 奈津子 25 March 2019 (has links)
京都大学 / 0048 / 新制・課程博士 / 博士(地域研究) / 甲第21893号 / 地博第239号 / 新制||地||88(附属図書館) / 京都大学大学院アジア・アフリカ地域研究研究科東南アジア地域研究専攻 / (主査)教授 速水 洋子, 助教 細田 尚美, 教授 秋津 元輝 / 学位規則第4条第1項該当 / Doctor of Area Studies / Kyoto University / DGAM
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台灣先住民社會運動研究──以「還我土地」運動為個案分析鐘青柏, ZHONG,QING-BO Unknown Date (has links)
本研究希望透過對台灣先住民還我土地運動之瞭解,呈現先住民泛族群社會運動之生
成因素。資料來源區分兩方面,一為相關文獻之蒐集,包括學者專論、中文期刊、記
錄報道、座談會資料、及報章媒體記載;一為運動幹部之訪談,範圍以「高山青」發
刊以來參與先住民社會運動之各運動團體幹部為主,其中又以「台灣原住民族權利促
進會」 (簡稱「原權會」) 為首要。研究方法乃在相對剝奪理論、資源動員理論之概
念指導下,從事人類學之深度訪談,整理報導人口述資料檢驗上述理論之相關要項,
據以呈現運動之可能生成因素;為求周延,本研究在訪談運動幹部之外,並進行對先
住民公職菁英、政府相關單位主管、在野社團 (含政黨) 三方面之深度訪談,以為佐
證避免偏失。研究內容方面,本文將先住民社會運動放在台灣現代化過程來看,現代
化理論以及先住民現代化適應為第一項內容;還我土地運動之聯盟組織及動員過程為
第二項內容:先住民泛族群社會運動之生成因素為第三項內容。研究結果呈現三方面
主要影響因素,一為歷史發展因素,指出世界各國處理少數民族事務之多元文化觀對
台灣先住民之啟迪,其中以美、加、紐、澳、中共最具影響效力;一為社會情境因素
,指出執政黨山地政策大現代化發展下造成之先住民相對剝奪感,在野政治勢力之政
治轉化過程明顯介入泛族群運動,以及基督長老教會宣示入世教義以關懷弱勢為名成
為運動之最大支助力量;一為心理文化因素,指出都市先住民之適應困境衍生疏離與
不滿,新興知識菁英有感於傳統文化流失而生之族群生存危機,以及部份運動幹部以
介入運動之方式滿足個人成就動機等共同形成運動之內在推力。以上歷史發展因素、
社會情境因素、心理文化因素乃先住民社會運動之主要生成因素。
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南米ペルー・アンデス地域における近代国家の介入と先住民の移動の再編に関する実証的研究―ティティカカ湖の浮島観光地を中心として―村川, 淳 26 March 2018 (has links)
京都大学 / 0048 / 新制・課程博士 / 博士(農学) / 甲第21162号 / 農博第2288号 / 新制||農||1060(附属図書館) / 学位論文||H30||N5136(農学部図書室) / 京都大学大学院農学研究科生物資源経済学専攻 / (主査)教授 秋津 元輝, 教授 足立 芳宏, 教授 松田 素二 / 学位規則第4条第1項該当 / Doctor of Agricultural Science / Kyoto University / DGAM
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現代日本におけるアイヌの「記憶の場所」に関する地理学的研究桑林, 賢治 23 March 2023 (has links)
京都大学 / 新制・課程博士 / 博士(文学) / 甲第24349号 / 文博第923号 / 新制||文||733(附属図書館) / 京都大学大学院文学研究科行動文化学専攻 / (主査)教授 米家 泰作, 講師 杉江 あい, 教授 山村 亜希 / 学位規則第4条第1項該当 / Doctor of Letters / Kyoto University / DGAM
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四川南部における宋朝の開拓政策と統治體制張, 哲僥 25 March 2024 (has links)
京都大学 / 新制・課程博士 / 博士(人間・環境学) / 甲第25381号 / 人博第1123号 / 新制||人||261(附属図書館) / 京都大学大学院人間・環境学研究科共生文明学専攻 / (主査)教授 辻 正博, 教授 太田 出, 准教授 小野寺 史郎, 教授 中砂 明徳 / 学位規則第4条第1項該当 / Doctor of Human and Environmental Studies / Kyoto University / DFAM
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ポスト多文化主義時代の共存: 現代カナダにおける先住民-非先住民の関係再生の空間へ/から鈴木, 赳生 23 March 2021 (has links)
京都大学 / 新制・課程博士 / 博士(文学) / 甲第22926号 / 文博第872号 / 新制||文||705(附属図書館) / 京都大学大学院文学研究科行動文化学専攻 / (主査)教授 松田 素二, 准教授 田中 紀行, 教授 竹沢 泰子 / 学位規則第4条第1項該当 / Doctor of Letters / Kyoto University / DGAM
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メキシコにおけるサパティスタ民族解放軍の研究 : フレーミング論からの分析 / メキシコ ニオケル サパティスタ ミンゾク カイホウグン ノ ケンキュウ : フレーミングロン カラノ ブンセキ柴田 修子, Nobuko Shibata 07 March 2019 (has links)
本論文は、メキシコのチアパス州で1994年に蜂起したサパティスタ民族解放軍が25年にわたって運動を継続させてきた要因について、社会運動論の観点から考察したものである。運動の流れを理解するために、まず運動前史、蜂起後の経緯、2003年に行われた運動方針の転換を網羅的に記述している。その後運動が国内外で支持を得た要因をフレーミング論から論じ、サパティスタ運動が継続し得たのは運動体内部と外部の二重フレーミングがあったためであると指摘した。 / The zapatista army of national liberation, which is a group of indigenous people in Chiapas and declared a war against the federal government of Mexico in 1994, is known as the guerrilla using words, not arms. In this article I analyzed why they have suceeded in keeping struggle more than 25 years. First I have descibed the history of Chiapas, how this movement was born and developed. And I analysed why people in the world got to support them using flaming analysis. As conclusion, I pointed out the double flaming of the zapatista movement. / 博士(グローバル社会研究) / Doctor of Philosophy in Global Society Studies / 同志社大学 / Doshisha University
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Transformations socioculturelles des Aïnous du Japon : rapports de pouvoir, violence et résistance aborigène à Hokkaidô / Sociocultural transformations of the Ainu of Japan : relationships of power, violence and Aboriginal resistance in Hokkaido / 日本におけるアイヌの社会文化的変容:権力、暴力及び北海道の先住民による抵抗運動Clercq, Lucien 02 May 2017 (has links)
Cette enquête d’ethnologie traite des rapports de pouvoir entre les Aïnous, la société et l’État japonais, et cherche plus particulièrement à décentrer le point de vue de la majorité concernant les Aborigènes et la conquête coloniale, en étudiant les transformations socioculturelles des Aïnous à travers la lente appropriation de l’île par le Japon. Elle privilégie, en étudiant les archives de l’histoire combinées aux données d’une ethnologie de terrain, ce que les Aïnous disent d’eux-mêmes et d’un passé marqué par le traumatisme de leur incorporation au corps national japonais après un long processus d’acculturation les ayant relégués au rang de minorité ethnoculturelle au statut encore précaire. Les historiographies japonaises et occidentales concernant la colonisation de l’ancienne île d’Ezo, se basant essentiellement sur le point de vue des conquérants, occultent par principe celui de ce peuple qu’elles qualifient parfois de disparu, et dont la subordination matérielle forcée avait déjà commencé bien avant, malgré la création d’un réseau de négoce exceptionnel. Nous pensons que ces archives et les données d’un long travail ethnographique peuvent nous aider à mieux comprendre cette communauté et les événements ayant façonné les épisodes de son histoire et de celle du Japon, longues séquences de transformations de leurs organisations socioculturelles et politiques respectives. Depuis l’annexion d’Ezo, et la longue préparation qui la précéda, l’étude de cet ensemble de données nous éclaire sur les modes opératoires des deux temps de la gouvernementalité d’un pouvoir ayant cherché à les manipuler à des fins politiques, après les avoir réifiés. Cet essai d’ethnohistoire, s’inscrivant dans le champ plus spécifique de l’anthropologie de la violence en situation coloniale et postcoloniale (symbolique lorsqu’elle prend les traits ponctuels de la discrimination raciale ou du déni d’existence, ethnique durant la période de la loi de l’indigénat de 1899 et des expérimentations de l’anthropologie physique), cherche à prendre en compte l’historicité de sources bibliographiques et ethnographiques jusque-là peu étudiées tout en se basant sur un long travail de terrain auprès des Aïnous, afin de nuancer la production d’une histoire du pouvoir exclusivement basée sur les discours de l’État, tendant à minimiser le fait aïnou au point de le rendre anecdotique, voire absent de l’histoire du pays. Il nous semble que les Aïnous sont les créateurs et les détenteurs d’une historicité que l’on a longtemps voulu leur nier pour mieux les déposséder. Loin d’être restée passive face à ces bouleversements, la communauté aïnoue se caractériserait plutôt par une valorisation de la combativité et une forte capacité de résistance à travers certaines figures héroïques (chefs de guerre d’antan, artistes, écrivains et militants d’aujourd’hui), malgré les tentatives d’acculturation à répétition auxquelles elle a dû faire face. De plus, la création d’un statut concernant l’indigénat aïnou dans une nation se pensant monoethnique nous semble annoncer une volonté de conceptualiser des structures coloniales, bientôt appliquées et modifiées dans les autres territoires annexés. Enfin, à travers son exploitation académique en tant que sujets de l’anthropologie physique japonaise à ses débuts, elle semble avoir joué un rôle important dans la constitution des nouveaux savoirs du Japon moderne importés de l’Occident. Ces analyses cherchent à apporter un éclairage nouveau sur leur pensée et ces stratégies en phase avec leur temps et d’une grande contemporanéité que les Aïnous sont parvenus à élaborer malgré un contexte défavorable, pour répondre et réagir aux transformations socioculturelles qui les ont traversés jusqu’à ce jour. / This research of ethnology studies the relationships of power between the Ainu, Japanese society and the Japanese State, and more specifically tries to shift the point of view of the majority concerning Aborigines and colonial conquest by studying the sociocultural transformations of the Ainu across the slow acquisition of Ezo by Japan. By studying historical archives combined with the data of ethnological fieldwork, it focuses on what the Ainu say about themselves and a past marked by the trauma of their incorporation into the Japanese national body after a long process of acculturation, which has relegated them to a precarious rank as an ethno-cultural minority. Both Japanese and Western historiographies concerning the colonization of the former island of Ezo, rely heavily on the conquerors’ perspective. These unilateral views obscure the existence of the Ainu’s own historiography, mostly silenced because of their forced material subordination. This allowed the colonial power to describe them as a vanished primitive people despite the fact that they created an exceptional international trading network in the past and possess a long history of resistance to domination. These archives and data from extended ethnographic fieldwork can help us to better understand this community and the events that shaped its history and that of Japan, and the long sequences of transformations of their respective socio-cultural and political organizations. Considering both the annexation of Ezo, as well as the long preparation that preceded it, the study of this set of data sheds light on the patterns of the colonial and postcolonial power’s governmentality, and efforts to manipulate the Ainu for political purposes, after having dehumanized and objectified them. This ethno-historical essay, in accordance with the more specific field of anthropology of violence in colonial and postcolonial contexts (violence can be symbolic when it takes on the occasional traits of racial discrimination and denial of existence, or ethnic, such as during the period of physical anthropology experiments or the long period following the Former Aborigines Act in 1899), seeks to take into account the historicity of previously little studied bibliographic and ethnographic sources. It also relies on long-term fieldwork with the Ainu. The result is a reinterpretation of the production of a history of power based exclusively on the State’s views and thoughts that aimed to minimize the Ainu’s existence to the point of relegating it to mere anecdote or possibly even rendering it invisible in the country’s history. Besides this critical situation, it appears that the Ainu are the creators and the holders of a historicity that has been denied for too long in order to better dispossess them. The Ainu, through academic exploitation as subjects of physical anthropology, appear to have been used in order to assess the practical application of Western colonial ideals and to support the modernization and creation of a Japanese colonial empire. Struggling desperately to free themselves from the shackles of the Former Aborigines Act of 1899 and from socio-cultural and academic violence by reversing stereotypes of ethnicity, the Ainu have patiently managed to integrate into the international network of indigenous activism, developing a vast cultural reinvention program focused on the main principles of autochthony. These analyses seek to shed new light on the Ainu’s way of thinking, the contemporary strategies to obtain the concrete application of their indigenous rights which they have managed to develop despite an unfavorable context, and to respond and react to the socio-cultural transformations they have been facing up to the present. / 本民族学調査は、アイヌと日本の国家並び社会とのあいだに生じる権力関係を対象とし、日本による漸進的なアイヌモシリ(北海道)占有の過程における、アイヌの社会文化的変容の考察を通じて、先住民と植民地主義的征服に関する多数派の観点を相対化することが目指される。本調査では、歴史資料に加え、現地での民族学調査に基づくデータを扱うが、それは、アイヌが自身とその過去について行う証言を重視するためである。アイヌによって語られる過去は、長きにわたる異文化受容の過程の後に、日本の国体に吸収され、文化民族的少数者という不安定な地位に追いやられたことに起因する外傷の痕跡を色濃く残している。一方、蝦夷ヶ島の植民に関する日本と西洋の史書は、基本的に征服者の視点に基づいており、それによれば、アイヌは並外れた交易のネットワークを築いていたにも関わらず、その強制的な物質的従属ははるか以前に遡るとみなされたり、また時にアイヌは既に消滅したものとみなされたりもする。つまりこれらの史書では、アイヌ自身の視点は端から隠蔽されているのである。従って、アイヌの共同体について、また、アイヌの歴史と日本の歴史における挿話を生み出してきた諸事件について、さらには、アイヌと日本双方の社会文化的・政治的な組織の変容の論理的筋道についてよりよく理解するためには、歴史資料のみならず、長年に渡る民族誌学的調査のデータを検討することが必要となるであろう。そして、こうしたデータの総体を検討することにより、蝦夷地の併合以降、並びに、それに先行する長い準備期間という、統治性に関わる二つの期間において、まずはアイヌを物化し、次いで政治的な目的で利用するための権力が、どのように形成されたのかが明らかとなるであろう。より厳密にいうのであれば、本民族誌学的試論は、コロニアル、ポストコロニアル的な状況下における暴力についての人類学という特殊領域に属し(その暴力は、人種差別や存在の否認といった限定的表現をとるときには象徴的なものとなり、形質人類学的実験や先住民に関する法律が施行されていた時期には民族的なものとなる)、アイヌのもとでの長年のフィールドワークに基礎をおきながら、これまであまり研究されてこなかった文献や民族誌学的情報の歴史性を重視し、そうすることで、アイヌの偉業を瑣末事とみなし、時に国史から抹消するまでに過小評価してきた、国家の言説に基づく権力の歴史の産物を相対化することを目指している。強権的な歴史観においては、アイヌからの収奪を促進するため、アイヌの歴史性は否定されてきたが、実際にはアイヌは、歴史性の創造者でありまたその保持者であるというのが本調査での見解である。自らを襲う幾多の変動に対し、アイヌは決して受動的であったわけではない。アイヌの共同体はむしろ、度重なる異文化受容の試練に対して発揮された、闘争性と強靭な抵抗力とによって特徴付けられるのであり、それは、数々の英雄的人物(往年の戦争指導者、芸術家、作家そして今日の活動家)の行動が示すとおりである。また、単一民族を自称する国家の内部で、アイヌに対する行政法的な地位(「北海道旧土人」)が設けられたという事実からは、この後、他の併合地域にも適応され、修正されていくこととなる、植民地支配のための機構を理論化しようとする国家の意志を読み取ることが可能である。さらにアイヌは、西洋から輸入された現代日本の新たな学識の形成のために重要な役割を果たしたと考えられるが、それは、黎明期にあった日本の形質人類学の研究対象として、学術的に利用されることによってなのである。これらの法的な拘束や、社会文化的・学究的な暴力の束縛からの解放を求めて激しく抵抗するなかで、アイヌは、自然と融合した未開人といった固定観念の価値を自らに有利なように逆転すると共に、粘り強い活動の結果、積極行動主義をとる先住民たちの国際的なネットワークに連なることにも成功し、先住民性に関する諸原則に則りながら、文化を再発明するためのプログラムを練り上げている。2008年の国会決議によって、日本の先住民として認定された後も、アイヌはナショナリズムや内向的姿勢に陥ることなく、他の多くの先住民たちに倣いながら、人新世(anthropocène)という危機的な時代の最中、利潤追求の結果抑制が効かなくなったまま、地球規模で推し進められる経済的発展に脅かされた環境の守護者として、その地位を確立している。本調査における分析により、自身が置かれた不利な状況にも関わらず、今日も依然として強い影響を残す社会文化的な変容に対応し、対処していくため、これまでアイヌが練り上げてきた、今日の状況にも適う、極めて現代的な性格を有する彼らの思考とその戦略について、新たな理解がもたらされるであろう。
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