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Impact of Clostriduim difficile colitis on Five Year Health Outcomes of Ulcerative Colitis Patients

Murthy, Sanjay K. 26 November 2012 (has links)
Clostridium difficile colitis (CDC) is associated with a higher risk of acute death among hospitalized ulcerative colitis (UC) patients. However, the risk of colectomy with CDC in these patients has varied across studies. No study has assessed the long-term health impact of CDC in UC patients. Therefore, the present study evaluated the impact of CDC on five-year health outcomes of hospitalized UC patients based on Ontario health administrative data. No overall association was observed between CDC and five-year risks of colectomy or death in overall cohort. However, patients who were discharged from hospital without undergoing colectomy demonstrated marginally higher five-year risks of colectomy and hospital re-admission. Mortality risk and length of stay during index hospitalization were also higher in patients with CDC. Analysis of a parallel cohort of UC patients derived using a published case definition corroborated most of these results, but demonstrated a higher five-year mortality risk with CDC.
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La symptomatologie dépressive prénatale : une étude comparative des femmes canadiennes et immigrantes à Montréal.

Miszkurka, Malgorzata 08 1900 (has links)
Contexte : Environ 20 % des femmes enceintes présentent un risque élevé de dépression prénatale. Les femmes immigrantes présentent des symptômes dépressifs élevés pendant la grossesse, le début de la période suivant l'accouchement et comme mères de jeunes enfants. Tandis que les disparités ethniques dans la symptomatologie dépressive pendant la grossesse ont été décrites, la combinaison de la longueur du séjour dans le pays d’accueil et la région d'origine sont rarement évalués dans des études qui portent sur la santé des immigrants au Canada. En outre, les études auprès des femmes immigrantes enceintes ont souvent un échantillon de taille qui ne suffit pas pour démêler les effets de la région d'origine et de la durée du séjour sur la santé mentale. De plus, au Canada, presque une femme sur cinq est un immigrant, mais leur santé mentale au cours de la grossesse, les niveaux d'exposition aux facteurs de risque reconnus pour la dépression prénatale et comment leur exposition et la vulnérabilité face à ces risques se comparent à celles des femmes enceintes nés au Canada, sont peu connus. De plus, le processus d'immigration peut être accompagné de nombreux défis qui augmentent le risque de violence subie par la femme. Néanmoins, les preuves existantes dans la littérature sont contradictoires, surtout en ce qui concerne le type de violence évaluée, les minorités ethniques qui sont considérées et l'inclusion de l'état de santé mentale. Objectifs : Tout d'abord, nous avons comparé la santé mentale de femmes immigrantes et les femmes nées au Canada au cours de la grossesse en tenant compte de la durée du séjour et de la région d'origine, et nous avons évalué le rôle des facteurs socio-économiques et du soutien social dans la symptomatologie dépressive prénatale. Deuxièmement, nous avons examiné la répartition des facteurs de risque contextuels de la symptomatologie dépressive prénatale selon le statut d'immigrant et la durée du séjour au Canada. Nous avons ensuite évalué l'association entre ces facteurs de risque et les symptômes de dépression prénataux et ensuite comparé la vulnérabilité des femmes nés au Canada et les femmes immigrantes à ces facteurs de risque en ce qui concerne les symptômes de la dépression prénatale. En troisième lieu, nous avons décrit la prévalence de la violence pendant la grossesse et examiné l'association entre l'expérience de la violence depuis le début de la grossesse et la prévalence des symptômes de la dépression prénatale, en tenant compte du statut d’immigrant. Méthodes : Les données proviennent de l'étude de Montréal sur les différences socio-économiques en prématurité. Les femmes ont été recrutées lors des examens de routine d'échographie (16 à 20 semaines), lors de la prise du sang (8-12 semaines), ou dans les centres de soins prénatals. L’échelle de dépistage Center for Epidemiologic Studies (CES-D) a été utilisée pour évaluer la symptomatologie dépressive à 24-26 semaines de grossesse chez 1495 immigrantes et 3834 femmes nées au Canada. Les niveaux d'exposition à certains facteurs de risque ont été évalués selon le statut d'immigrant et la durée de séjour à l'aide des tests Chi-2 ou test- t. L'échelle de dépistage Abuse Assessment screen (AAS) a été utilisée pour déterminer la fréquence et la gravité de la violence depuis le début de la grossesse. La relation avec l'agresseur a été également considérée. Toutes les mesures d'association ont été évaluées à l'aide de régressions logistiques multiples. Des termes d'interaction multiplicative furent construits entre chacun des facteurs de risque et statut d'immigrant pour révéler la vulnérabilité différentielle entre les femmes nés au Canada et immigrantes. Résultats : La prévalence des symptômes de dépression prénatales (CES-D > = 16 points) était plus élevée chez les immigrantes (32 % [29,6-34,4]) que chez les femmes nées au Canada (22,8 % (IC 95 % [21.4-24.1]). Des femmes immigrantes présentaient une symptomatologie dépressive élevée indépendamment du temps depuis l'immigration. La région d'origine est un fort indice de la symptomatologie dépressive : les prévalences les plus élevées ont été observées chez les femmes de la région des Caraïbes (45 %), de l’Asie du Sud (43 %), du Maghreb (42 %), de l'Afrique subsaharienne (39 %) et de l’Amérique latine (33 %) comparativement aux femmes nées au Canada (22 %) et celle de l'Asie de l’Est où la prévalence était la plus faible (17 %). La susceptibilité de présenter une dépression prénatale chez les femmes immigrantes était attenuée après l’ajustement pour le manque de soutien social et de l'argent pour les besoins de base. En ce qui concerne la durée du séjour au Canada, les symptômes dépressifs ont augmenté avec le temps chez les femmes d’origines européenne et asiatique du sud-est, diminué chez les femmes venant du Maghreb, de l’Afrique subsaharienne, du Moyen-Orient, et de l’Asie de l'est, et ont varié avec le temps chez les femmes d’origine latine et des Caraïbes. Les femmes immigrantes étaient beaucoup plus exposées que celles nées au Canada à des facteurs de risques contextuels indésirables comme la mésentente conjugale, le manque de soutien social, la pauvreté et l'encombrement au domicile. Au même niveau d'exposition aux facteurs de risque, les femmes nées au Canada ont présenté une plus grande vulnérabilité à des symptômes de la dépression prénatale en l'absence de soutien social (POR = 4,14 IC95 % [2,69 ; 6.37]) tandis que les femmes immigrées ont présentées une plus grande vulnérabilité à des symptômes de la dépression prénatale en absence d'argent pour les besoins de base (POR = 2,98 IC95 % [2.06 ; 4,32]). En ce qui concerne la violence, les menaces constituent le type de la violence le plus souvent rapporté avec 63 % qui ont lieu plus d'une fois. Les femmes immigrantes de long terme ont rapporté la prévalence la plus élevée de tous les types de violence (7,7 %). La violence par le partenaire intime a été la plus fréquemment rapportées (15 %) chez les femmes enceintes les plus pauvres. Des fortes associations ont été obtenues entre la fréquence de la violence (plus d'un épisode) et la symptomatologie dépressive (POR = 5,21 [3,73 ; 7,23] ; ainsi qu’entre la violence par le partenaire intime et la symptomatologie dépressive (POR = 5, 81 [4,19 ; 8,08). Le statut d'immigrant n'a pas modifié les associations entre la violence et la symptomatologie dépressive. Conclusion: Les fréquences élevées des symptômes dépressifs observées mettent en évidence la nécessité d'évaluer l'efficacité des interventions préventives contre la dépression prénatale. La dépression chez les femmes enceintes appartenant à des groupes minoritaires mérite plus d'attention, indépendamment de leur durée de séjour au Canada. Les inégalités d’exposition aux facteurs de risque existent entre les femmes enceintes nées au Canada et immigrantes. Des interventions favorisant la réduction de la pauvreté et l'intégration sociale pourraient réduire le risque de la dépression prénatale. La violence contre les femmes enceintes n'est pas rare au Canada et elle est associée à des symptômes de la dépression prénatale. Ces résultats appuient le développement futur du dépistage périnatal de la violence, de son suivi et d'un système d'aiguillage culturellement ajusté. / Background: Approximately 20% of childbearing women present a high risk of antenatal depression. Immigrant women present high depressive symptoms during pregnancy, the early post-partum period and as mothers of young children. While ethnic disparities in depressive symptomatology during pregnancy have been described abroad, the combination of length of stay and region of origin is rarely assessed in studies of immigrant health in Canada. Also, studies of pregnant immigrant women often have a sample size which is insufficient to disentangle the effect that region of origin and length of stay has on mental health. Moreover, in Canada, almost one in five women is an immigrant, but little is known about immigrant women’s mental health during pregnancy, their levels of exposure to recognized risk factors for antenatal depression, or how their exposure and vulnerability to these risks compares to that of Canadian-born pregnant women. There is also growing awareness that the immigration process may be accompanied by numerous challenges that increase the risk for intimate partner violence. Nevertheless, existing evidence in the literature is conflicting, especially with regard to the type of violence assessed, the extent to which specific immigrant minority populations are considered, and the inclusion of mental health status. Objectives: First, we compared mental health of immigrant and Canadian native-born women during pregnancy according to length of stay and region of origin, and we assessed the role of economics and social support in antenatal depressive symptoms. Second, we examined the distribution of contextual risk factors for antenatal depressive symptoms according to immigrant status and the length of stay in Canada, and assessed the association between these risk factors and antenatal depressive symptoms for Canadian-born and immigrant women, and then compared the vulnerability of Canadian-born and immigrant women to risk factors in relation to antenatal depressive symptoms. Third, we described the prevalence of violence during pregnancy, and examined the association between the experience of violence since the beginning of pregnancy and the prevalence of antenatal depressive symptoms, taking into account immigrant status. Methods: Data originated from the Montreal study on socioeconomic differences in prematurity. Women were recruited at routine ultrasound examinations (16-20 weeks), at antenatal blood sampling (8-12 weeks), or in antenatal care clinics. Using the Center for Epidemiologic Studies Depression scale, 3834 Canadian-born and 1495 immigrant women were evaluated for depression at 24-26 weeks of pregnancy. Levels of exposure to the selected risk factors according to immigrant status and length of stay were assessed using the Chi-square-test or the t-test. The Abuse Assessment Screen scale was used to determine the frequency and severity of violence since the beginning of pregnancy. Relationship with abuser was also considered. All measures of association were assessed using logistic regression. Multiplicative interaction terms were constructed between each of the risk factors and immigrant status to reveal differential vulnerability between Canadian-born and immigrant women. Results: Prevalence of antenatal depressive symptoms (CES-D >=16 points) was higher in immigrants (32% [29.6- 34.4]) than in Canadian-born women (22.8 % IC 95% [21.4- 24.1]). Immigrant women had higher depressive symptomatology independently of time since immigration. Region of origin was a strong predictor of depressive symptomatology: women from the Caribbean (45%), South Asia (43%), Maghreb (42%), Sub-Saharan Africa (39%) and Latin America (33%) had the highest prevalence of depressive symptomatology compared to Canadian-born women (22%) and women form East Asia the lowest (17%). The higher depression odds in immigrant women are attenuated after adjustment for lack of social support and money for basic needs. Time trends of depressive symptoms varied across origins. In relation to length of stay, depressive symptoms increased (European, Southeast Asian), decreased (Maghrebian, Sub-Saharan African, Middle Eastern, East Asian) or fluctuated (Latin American, Caribbean). Immigrant women were significantly more exposed than Canadian-born women to adverse contextual risk factors such as high marital strain, lack of social support, poverty, and crowding. At the same level of exposure to risk factors, Canadian-born women presented higher vulnerability to antenatal depressive symptoms when lacking social support (OR= 4.14 IC95% [2.69;6.37] ) while immigrant women presented higher vulnerability to antenatal depressive symptoms when lacking money for basic needs (OR=2.98 IC95% [2.06;4.32]). Threats were the most frequent type of violence with 63% happening more than once. Long-term immigrant women reported the highest prevalence of all types of violence (7,7%). Intimate partner violence was most frequently reported (15%) among the poorest pregnant women. Strong associations exist between more than one episode of abuse and depression (POR= 5,21 [3,73; 7,23], and intimate partner violence and depression [POR=5,81 [4,19;8,08]. Immigrant status did not change the associations between violence and depression. Conclusion: The observed high frequencies of depressive symptoms highlight the need to evaluate the effectiveness of preventive interventions against antenatal depression. Depression in minority pregnant women deserves more attention, independently of their length of stay in Canada. Important risk factor exposure inequalities exist between Canadian-born and immigrant pregnant women. Social support interventions favouring integration and poverty reduction could reduce the risk of antenatal depression. Violence against pregnant women is not rare in Canada and it is associated with antenatal depressive symptoms. These findings support future development of perinatal screening for violence, follow-up and a culturally sensitive referral system.
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Patients’ Preferences and Trade Offs for the Treatment of Small Hepatocellular Carcinomas

Molinari, Michele 23 July 2012 (has links)
Objective: The primary aim of this study was to assess patients’ preferences between radiofrequency ablation (RFA) versus hepatic resection (HR) for the treatment of small hepatocellular carcinomas (HCC). Methods: Decision analysis was performed by using probability trade-off (PTO) technique to elicit patients’ preferences and the strength of their decisions. Results: The vast majority of the study population preferred RFA over HR (70% vs. 30%, p=0.001). Their initial choice changed if 5-year survival benefit after surgery was at least 14% superior to RFA and if the 3-year disease-free survival advantage was at least 13% better than ablation. Conclusions: The results of this study suggest that fully informed cirrhotic patients would prefer RFA if diagnosed with early stage HCC even if able to undergo surgery.
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La symptomatologie dépressive prénatale : une étude comparative des femmes canadiennes et immigrantes à Montréal

Miszkurka, Malgorzata 08 1900 (has links)
No description available.
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Impacts à la tête au hockey sur glace : effets du jeu sécuritaire, de l’agressivité et de l’historique de commotions cérébrales chez les adolescents québécois

Chevrier, Martin 04 1900 (has links)
No description available.
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Variants génétiques associés à l’adiposité et à la pression artérielle : une réplication

Goulet, Danick 08 1900 (has links)
Introduction: L’hypothèse de l’architecture génétique commune de phénotypes d’adiposité et de pression artérielle a été testée chez les adolescents par Melka et al. (Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, 2012) qui ont identifié cinq variants associés à l’indice de masse corporelle, rs16933812 (PAX5), rs7638110 (MRPS22), rs9930333 (FTO), rs7120548 (MTCH2) et rs17773430 (MC4R), dont trois (PAX5, MRPS22 et FTO) l’était aussi avec la pression artérielle systolique. Objectif : Investiguer si les associations entre les cinq variants et l’adiposité et la pression artérielle sont répliquées dans une population d’âge et de situation géographique similaire. Méthodes: Les données proviennent de l’étude Nicotine Dependence In Teens, une étude longitudinale d’adolescents suivis à partir de 12 ans. L’ADN de 713 adolescents d’ascendance européenne a été génotypé et des mesures anthropométriques et de pression artérielle ont été effectuées lorsqu’ils avaient en moyenne 13, 15, 17 et 24 ans. Les associations entre les cinq variants avec l’indice de masse corporelle et la pression artérielle systolique ont été estimées à l’aide de modèles linéaires mixtes. Résultats: Les associations des variants sur les gènes FTO et MTCH2 avec l’indice de masse corporelle ont été répliquées, mais pas celles correspondantes aux variants sur MRPS22, PAX5 et MC4R. Aucune des associations avec la pression artérielle systolique n’a été répliquée. Conclusion: Les facteurs proposés pour expliquer la réplication partielle des résultats comprennent une différence de structure génétique entre les populations étudiées, une définition différente du phénotype de pression artérielle et la surestimation de certains effets estimés dans Melka et al. / Introduction : Melka et al. (Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, 2012) tested the hypothesis that adiposity and blood pressure share a common genetic architecture in adolescents. They identified five single nucleotide variants, rs16933812 (PAX5), rs7638110 (MRPS22), rs9930333 (FTO), rs7120548 (MTCH2) and rs17773430 (MC4R), associated with body mass index, three of which (MRPS22, PAX and FTO) were also associated with systolic blood pressure. Objective: To investigate if the reported associations between the five variants and adiposity and blood pressure can be replicated in a population similar in age and geographical situation. Methods: Data were drawn from the Nicotine Dependence In Teens study, a longitudinal study of adolescents followed-up from 12 years old. The DNA of 713 adolescents of European ancestry was genotyped and anthropometric and systolic blood pressure measurements were taken at age 13, 15, 17 and 24 on average. The associations between the five variants and both body mass index and systolic blood pressure were estimated using linear mixed models. Results: We replicated the associations of variants at genes FTO and MTCH2 with body mass index, but not those corresponding to MRPS22, PAX or MC4R. Further, none of the associations with systolic blood pressure were replicated. Conclusion: Explanations for the partial replication of results include differences in genetic structures across study populations, different definitions of the blood pressure phenotype and the overestimation of specific effects initially estimated by Melka et al.
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Contribution de l’endométriose à la morbidité maternelle sévère : une étude de cohorte rétrospective

Lafleur, Nahantara 06 1900 (has links)
Objectif : Un portrait limité de l’endométriose touchant la santé maternelle est actuellement connu. Ce mémoire vise à mettre en lumière une perspective exhaustive et empirique de la problématique de l’endométriose. Cette étude porte sur l’impact de l’endométriose sur la morbidité maternelle sévère chez les femmes enceintes au Québec afin de cibler des recommandations en santé publique. Méthodologie : Une étude de cohorte rétrospective basée sur une population constituée de 2 412 823 accouchements survenus en milieu hospitalier au Québec, Canada entre 1989 et 2019 a été effectuée. La variable d’exposition est l’endométriose confirmée par laparoscopie. L’issue d’intérêt est la morbidité maternelle sévère. L’association entre l’endométriose et le risque de morbidité maternelle sévère, ainsi que les risques associés individuellement aux conditions spécifiques constituant la morbidité maternelle sévère, ont été calculés à partir de modèles de régression log-binomiale. Les associations ont été présentées à partir de rapports de risque (RR) et des intervalles de confiance à 95% (IC95%). Résultats : Au total, 74 587 cas de morbidité maternelle sévère ont été rapportés durant la période de suivi. Les femmes atteintes d’endométriose avaient 1,24 (IC95% 1,20-1,28) fois le risque de morbidité maternelle sévère comparé aux femmes sans l’endométriose. L’endométriose était associée à l’hystérectomie (RR 1,62 ; IC95% 1,36-1,94), l’état septique (RR 1,53 ; IC95% 1,44-1,62) et l’embolie et le choc et de coagulation intravasculaire disséminée (RR 1,27 ; IC95% 1,10-1,47). Conclusion Les femmes enceintes atteintes d’endométriose sont plus à risque de morbidité maternelle sévère, comparativement aux femmes sans l’endométriose. / Objective A limited portrait of endometriosis affecting maternal health is currently known. This thesis aims to highlights an exhaustive and empirical perspective of the problem of endometriosis. This study focuses on the impact of endometriosis on severe maternal morbidity among pregnant women in Quebec in order to target public health guidelines. Methods A population-based retrospective cohort study of 2,412,823 deliveries occurring in hospital settings in Quebec, Canada between 1989 and 2019 was realized. The exposure variable was laparoscopically-confirmed endometriosis. The outcome variable was severe maternal morbidity. The association between endometriosis and the risk of severe maternal morbidity, as well as the individual risks associated with specific adverse outcomes were calculated using log binomial regression models. The associations were presented using risk ratios (RR) and 95% confidence intervals (95% CI). Results A total of 74,587 events of severe maternal morbidity were reported during the follow-up period. Women with endometriosis had 1.24 times (95% CI 1.76-2.12) the risk of severe maternal morbidity compared to women without endometriosis. The most severe maternal morbidity outcomes associated with endometriosis were hysterectomy (RR 1.62; 95% CI 1.36-1.94), sepsis (RR 1.53; 95% CI 1.44-1.62), and embolism, shock and disseminated intravascular coagulation (RR 1.27; 95% CI 1.10-1.47). Conclusion Pregnant women with endometriosis are more at risk of severe maternal morbidity, compared to women without endometriosis
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La durée de sommeil et le risque du cancer de l'ovaire

Marquis, Flavie 12 1900 (has links)
Introduction : Des variations de la durée de sommeil ont été associées à des perturbations biologiques pouvant affecter le risque de cancer. Seulement quatre études ont examiné la relation entre la durée de sommeil et le risque de cancer de l'ovaire et ont mené à des résultats inconsistants. Aussi, ces études ont considéré une seule mesure de la durée de sommeil collectée tardivement durant la vie adulte, potentiellement après la fenêtre étiologique d'exposition pertinente. Objectifs : Nous voulions étudier la relation entre 1) la durée de sommeil moyenne durant la vie adulte ainsi que 2) la durée de sommeil par période de la vie adulte et le risque du cancer de l'ovaire. Nous voulions aussi estimer l'association entre la durée de sommeil moyenne et le risque du cancer de l'ovaire selon le comportement tumoral (invasif/borderline) et selon le type de tumeurs invasives (Type I/Type II). Enfin, nous désirions évaluer si cette association était modifiée par des difficultés à s'endormir ou par l'usage d'hormonothérapie substitutive (HTS) parmi les femmes ménopausées. Méthodes : Les données sur les habitudes de vie et d'autres facteurs ont été collectées dans une étude cas-témoins basée sur la population réalisée à Montréal entre 2011 et 2016 (465 cas et 855 témoins). Les participantes ont rapporté leur durée de sommeil pour les périodes suivantes : 20-29, 30-39, 40-49, 50-59 ans et durant les 2 dernières années. À partir de ces données, nous avons calculé la durée de sommeil moyenne par nuit durant la vie adulte. Avec la régression logistique non-conditionnelle multivariée, nous avons estimé les rapports de cotes (OR) et les intervalles de confiance à 95 % (IC95%) de la relation entre la durée de sommeil et le cancer de l'ovaire. Résultats : Par rapport à une durée de sommeil moyenne durant la vie adulte de 7-8 h/nuit, les ORs (IC95%) étaient 1,03 (0,72-1,48), 0,98 (0,75-1,27) et 1,59 (1,05-2,40) pour <7 h, 8-9 h, et ≥9 h respectivement. Les ORs pour une durée de ≥9 h durant différentes périodes de la vie adulte suggéraient aussi une augmentation du risque, mais celle-ci était moins marquée que pour la durée de sommeil moyenne. Pour une durée de sommeil moyenne de ≥9 h, l'augmentation du risque était similaire entre les tumeurs ayant comportement invasif ou borderline; toutefois, parmi les tumeurs invasives, cette augmentation était plus forte pour les tumeurs Type I que du Type II. Enfin, les ORs pour une durée de sommeil moyenne de ≥9 h semblaient être modifiés par le fait d'avoir eu des difficultés à s'endormir, mais moins par l'usage d'HTS parmi les femmes ménopausées. Conclusion : Nos résultats suggèrent qu'une longue durée de sommeil durant la vie adulte pourrait être associée avec le risque du cancer de l'ovaire et que son effet cumulatif serait plus important. / Introduction : Variations in sleep duration have been linked to biological disruptions, which may affect cancer risk. For ovarian cancer, only four studies have examined sleep duration in relation to risk, with inconsistent findings. Also, these studies only analyzed a single measure of sleep collected in later adulthood, potentially after the etiologically relevant time window of exposure. Objectives : We wanted to study the relationship between 1) average sleep duration over the adult life as well as 2) sleep duration in different periods of the adult life and ovarian cancer risk. We also wanted to estimate the association between average sleep duration and the risk of ovarian cancer according to tumor behavior (invasive/borderline) and type of invasive tumors (Type I/ Type II). Finally, we wanted to evaluate if this association was modified by having had difficulties falling asleep or the use of hormone replacement therapy (HRT) among postmenopausal women. Methods : Data on lifestyle and other factors were collected in a population-based case-control study conducted in Montreal between 2011 and 2016 (465 cases and 855 controls). Participants reported their sleep duration for the following life periods: 20-29, 30-39, 40-49, 50-59 years old and during the last 2 years, from which we computed the average nightly sleep duration over the adult life. With multivariable unconditional logistic regression, we estimated odds ratios (OR) and 95 % confidence intervals (CI) sleep duration and ovarian cancer risk. Results : Compared to an average sleep duration in adulthood between 7-8 h/night, the ORs (95%CI) were 1.03 (0.72-1.48), 0.98 (0.75-1.27) and 1.59 (1.05-2.40) for <7 h, 8-9 h, and ≥9 h, respectively. The ORs for ≥9 h during different life periods also suggested an increased risk, though it was less pronounced than for average sleep duration. For an average sleep duration of ≥9 h, the increase in risk did not differ between tumors with invasive or borderline behavior; however, among invasive tumors, this increase in risk was greater for Type I than Type II tumors. Finally, the ORs for an average sleep duration of ≥9 h seemed to be modified by having had difficulties falling asleep, but less so by the use of HRT among postmenopausal women. Conclusion : The results suggest long sleep in adulthood may be associated with ovarian cancer risk, and that its cumulative effect might be more important.
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Estimation de l'impact de la pandémie de Covid-19 sur l'utilisation des soins routines en VIH : une étude de cohorte monocentrique à Montréal, Canada

Leclerc, Leïla 12 1900 (has links)
Contexte : La surveillance de la charge virale (CV) et les dépistages des infections sexuellement transmissibles et par le sang (ITSS) sont indispensables à la prise en charge du VIH. L’utilisation de ces soins pendant la pandémie de la Covid-19 au Québec reste largement inconnue. Objectif : Mesurer et comparer les taux de surveillance de la CV et des dépistages des ITSS en période pré et per-pandémique chez les personnes vivant avec le VIH (PVVIH) à Montréal. Méthodes : Dans une étude de cohorte avec devis pré-post, 1702 PVVIH ont été retenues. Des modèles de régression de Poisson avec effet aléatoire sur l'individu ont estimé les taux, les ratios de taux d'incidence (IRR), leurs intervalles de confiance à 95 % (IC95%) ainsi que des termes d’interaction entre la variable de la période et les covariables. Résultats : La période pré-pandémique était associée à une diminution du taux de surveillance de la CV (IRR=0,58, IC95% 0,55-0,60) et du taux de dépistage des ITSS (IRR=0,65, IC95% 0,62-0,68). La diminution de la surveillance de la CV pendant la période per-pandémique était plus importante avec l’utilisation de drogues par injection, une augmentation de la distance et une CV détectable au début de l’étude. La diminution de dépistage des ITSS était plus importante avec une augmentation d’âge et de la distance. La suppression virologique et les pourcentages de positivité des ITSS sont demeurés constants au cours des périodes. Les taux d'incidence des ITSS ont diminué en période per-pandémique. Conclusion : Une diminution du suivi a été observée en période per-pandémique. Nos résultats suggèrent que ces réductions n'ont pas eu d'impact sur la suppression virologique ou l’incidence des ITSS. / Context: Routine viral load (VL) monitoring and sexually transmitted infections (STI) screenings are integral parts of HIV care. In Québec, the effects of the Covid-19 pandemic on accessibility to care and resulting inequalities remain widely unknown. Objective: We aimed to measure and compare rates of VL monitoring and STI screenings before and during the COVID-19 pandemic amongst people living with HIV (PLWHIV) in Montréal. Methods: A cohort study with pre-post design followed 1702 PLWHIV. Poisson regression models with individual clustering were used to estimate testing rates, incidence rate ratios (IRR), their 95 % confidence intervals (95%CI) and interaction terms between the period variable and other covariates. Results: The per-pandemic period was associated with a decrease in VL monitoring (IRR=0.58, 95%CI 0.55-0.60) and STI screening (IRR=0.65, 95%CI 0.62-0.68). The per-pandemic period intensified VL monitoring gaps with intravenous drug use, distance from the testing center and a detectable VL at the beginning of the study. STI screening gaps were amplified during the per-pandemic period by an increase in age and in distance. VL suppression and STI positivity percentages remained unchanged while STI incidence rates decreased. Conclusion: A significant decline in VL monitoring and STI screening was observed during the per-pandemic period. Our findings suggest that these reductions had no impact on the virological suppression or STI incidence in PLWHIV.
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Survey of Ehrlichia and Anaplasma species in white tailed deer and in ticks by real-time RT-PCR/PCR and DNA sequencing analysis

Katragadda, Chakravarthy January 1900 (has links)
Master of Science / Department of Diagnostic Medicine/Pathobiology / Roman Reddy R. Ganta / Ehrlichia and Anaplasma species are rickettsial organisms which infect a variety of mammalian species. The organisms are transmitted from ticks and are maintained in reservoir hosts. Several pathogens have been identified in recent years as the causative agents for emerging infections in people. One of the primary reservoir hosts for the pathogens is the white tailed deer. In this study, 147 deer blood samples and 37 ticks were evaluated for the prevalence of Ehrlichia/Anaplasma species by TaqMan-based real time amplification assay and DNA sequence analysis. One hundred and thirteen (74%) samples tested positive with the Ehrlichia/Anaplasma genera-specific probe. Further analysis of the samples with the probes specific for human ehrlichiosis agents, E. chaffeensis and E. ewingii identified 4 (2.7%) and 7 (4.7%) positives, respectively. Test positives from 24 randomly selected samples were further evaluated by sequence analysis targeting to a 450 bp segment of 16S rRNA gene. All 24 samples were confirmed as positive for the Ehrlichia GA isolate # 4 (GenBank #U27104.1). DNAs from 37 pools of ticks collected from the white tailed deer were also evaluated. The TaqMan-based real time PCR assay with Anaplasma/Ehrlichia common probe identified 29 (78%) tick pools as positives whereas E. chaffeensis- and E. ewingii-specific probes identified three (8%) and one (3%) positives, respectively. The PCR and sequence analysis of tick samples identified Gram-negative bacteria species which included one endosymbiont of Rickettsia species (one tick pool), one Alcaligenes faecalis strain (three tick pools), five different Pseudomonas species (9 tick pools) and five different uncultured bacteria organisms (7 tick pools). Although the pathogenic potential of the white-tailed deer isolates of Anaplasma and Ehrlichia agents remains to be established, their high prevalence and the presence of human ehrlichiosis pathogens in white-tailed deer is similar to earlier findings. The high prevalence of the deer isolates of Anaplasma and Ehrlichia species demonstrates the need for further assessment of the pathogenic potential of these organisms to people and domestic animals.

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