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Implantations, activités et relations des établissements d'assistance en Bourgogne à la fin du Moyen Age / Hospitals locations, activities and relationships, in Burgundy at the end of the medieval times

Simon, Aurore-Diane 30 October 2012 (has links)
L’étude présentée ici est le résultat d’un inventaire des établissements d’assistance présents dans les limites des diocèses d'Autun, d'Auxerre, de Chalon-sur-Saône, de Nevers et du sud du diocèse de Langres, entre les XIIe et XVe siècles, cette aire d'étude correspondant ainsi à un espace d'influence bourguignonne. À partir des données récoltées, un atlas de l'assistance et un répertoire des sources sur les hôpitaux médiévaux de l'espace bourguignon ont été réalisés. Les informations ainsi compilées se sont révélées être très variées, mais aussi particulièrement hétéroclites. Malgré tout, une réflexion a été menée au sujet des caractéristiques de ces hôpitaux et de leurs rapports avec les milieux économiques, religieux, politiques et sociaux qui les environnent. Elle s'articule donc autour de trois parties abordant tour à tour l'influence de facteurs extérieurs sur la création et l'implantation des hôpitaux, puis les interactions entre les structures hospitalières avec les milieux où elles se trouvent ainsi que la façon dont elles peuvent être instrumentalisées, et enfin elle met en parallèle l'évolution des établissements d'assistance avec celle de la société et des rapports de pouvoirs. Il en ressort, entre autres, que les établissements d'assistance sont des points de repère dans la construction du paysage médiéval, qu’ils sont importants pour l'équilibre de la société, mais qu'ils ont également joué un rôle majeur dans les jeux de pouvoirs et dans l'expression de la foi chrétienne médiévale. / The study presented here is the conclusion of an inventory about hospitals having existed on the territory of some dioceses (Autun, Auxerre, Chalon-sur-Saône, Nevers and the south of that of Langres diocese) between XIIth and XVth centuries. Based on the data collected, an atlas of assistance and a directory of sources on medieval hospitals of the study area has been made. The compiled informations proved to be very different but also very heterogeneous. Nevertheless, reflexions were conducted about the characteristics of these hospitals and their relationships with their economic, religious, political and social environments. It revolves around three parts dealing by turns the influence of external factors on the creation and implementation of medieval hospitals, interactions between hospitals with the environments where they are and how are they can be manipulated , and it ends with the parallel evolution of institutions with the support of society and power relations. It shows, among other things, that charity hospitals are landmarks in the medieval landscape, they are importants to the balance of society, but they also have a fonction in the power games and in the expression of the medieval Christian faith.
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Les derniers grands feux (?) d'une maison comtoise et bourguignonne : Guillaume de Vienne, seigneur de Saint-Georges et de Sainte-Croix, 1362-1437 / The last big lights (?) of one house of burgundy (duchy and county) : Guillaume de Vienne, sire of Saint-Georges and Sainte-Croix, 1362-1437

Pelot, Gérard 14 December 2012 (has links)
Le personnage s'inscrit dans l'histoire de la seconde Maison de Vienne (depuis le milieu du XIIIe siècle), issue des comteséponymes, peu étudiée. Les diverses branches furent animées par quelques personnagesprestigieux, comme Jean de Vienne, amiral de France. Trois faits : la mort de l'amiral(Nicopolis, 1396), le fabuleux héritage de son frère Huguenin, et une robuste santé, permirentà Guillaume de s'affirmer comme "chef " de la Maison de Vienne. Il se distingua par unservice multiforme (militaire, diplomatique, de conseil) auprès des ducs de BourgognePhilippe le Hardi, Jean sans Peur et Philippe le Bon, de 1379 à sa mort, et par une gestionavisée de son immense patrimoine terrien, dans le Duché (presque toute la Bresselouhannaise ; Arc-en-Barrois ; sans doute le premier revenu domanial duchois), et dans leComté, auquel il faut ajouter deux hôtels, à Dijon et à Paris. Olivier de La Marche propagea larenommée de Guillaume de Vienne "le Grand" et "le Sage". Ses deux épouses successives lefirent entrer dans des familles prestigieuses : Thoire-Villars (alliée aux comtes de Genève) etles Dauphins d'Auvergne. Sur les champs de bataille et comme diplomate, le "sire de SaintGeorge" connut la gloire et la célébrité : de l'Ecosse à Mahdia (en l'actuelle Tunisie), de laNormandie à Milan, il s'affirma comme un haut cadre de l'Etat bourguignon en gestation.Comblé d'honneurs par les Ducs ( ordre de l'Arbre d'or en 1403, premier nommé chevalier del'ordre de la Toison d'or en 1430), recevant la plus forte pension ( 3000 francs/an), intime deces souverains, il fut aussi un membre actif du Grand conseil royal et gouverneur des deuxBourgognes ; il s'illustra à la croisade (Mahdia, 1390), au service de l'Eglise (familier deClément VII ; chef de l'ambassade bourguignonne au concile de Constance (1415) ;bienfaiteur de Colette de Corbie pour la fondation de plusieurs couvents) et fut le dernierBourguignon auquel s'adressa Jean sans Peur sur le pont de Montereau (1419). Sa secondeépouse lui donna un fils, lui aussi prénommé Guillaume, et seigneur de Saint-Georges et deSainte-Croix à la mort de son père – ce qui a posé problème à plus d'un historien. Cepersonnage, pourvu d'une solide formation, militaire mais aussi intellectuelle (envoyé en"Allemagne" pour y apprendre la langue), connut une foudroyante ascension, du vivant de sonpère, au service de Jean sans Peur puis de Philippe le Bon. Non moins foudroyante fut, dès1440, la dilapidation du patrimoine mobilier et immobilier du "sire de Saint-George" par lenouveau Guillaume de Vienne et son fils Jean, lesquels menèrent, semble-t-il, une viedissolue, et tombèrent dans les rets de multiples profiteurs, au premier chef les "légistes etgens de finances". Marguerite de Vienne, une soeur de Jean, fut bien près d'épouser le comted'Eu, beau-frère de Philippe le Bon. Elle s'unit à Rodolphe de Hochberg, issu d'une puissantefamille de Forêt Noire, et devenu comte de Neuchâtel en succession de son cousin Jean,comte de Fribourg et maréchal de Bourgogne. Marguerite et Rodolphe unirent leurs efforts etparvinrent à reconstituer une bonne partie du patrimoine seigneurial de "Guillaume de Viennele Grand", qu'ils transmirent à leur fils Philippe, célèbre par ses états de service auprès deCharles le Téméraire puis de Louis XI. La fille de Philippe, Jeanne de Hochberg, par sonmariage apporta l'héritage à la famille d'Orléans-Longueville. D'autres branches "Vienne"s'éteignirent, mais une semblable étude permettrait de sortir de l'ombre des personnages decette Maison, comme Guillaume de Vienne, seigneur de Montby et de Montbis (décédé en1471), les Vienne seigneurs de Listenois (Bourbonnais), sans oublier Girard (mort en 1545),seigneur de Commarin, fondateur de la chapelle de Vienne en la Sainte-Chapelle de Dijon. / The character fits into the history of the Second House Vienna (since the mid-thirteenth century), from the countseponymous little studied. The various branches were animated by some famous characterslike Jean de Vienne, admiral of France. Three facts: the death of Admiral (Nicopolis, 1396),the fabulous legacy of his brother Huguenin, and robust health, allowed William to assertitself as "leader" of the House of Vienna. He distinguished himself by service multiforme(military, diplomatic, counseling) from the Dukes of Burgundy, Philip the Bold, John theFearless and Philip the Good, from 1379 to his death, and by careful management of hisimmense estates with the Duchy (almost all Bresse louhannaise; Arc-en-Barrois, probably thefirst Income duchois lands), and the county, which must be added two hotels in Dijon andParis. Olivier de la Marche spread the fame of Guillaume de Vienne "Grand" and "wisdom."His two successive wives brought him into prestigious families: Thoire-Villars (allied to theCounts of Geneva) and Dolphins Auvergne. On the battlefield and as a diplomat, the "lord ofSaint George" achieved fame and stardom: from Scotland to Mahdia (in present-day Tunisia),from Normandy to Milan, he established himself as a high part of the Burgundian State ingestation. Loaded with honors by the Dukes (order of the Golden Tree in 1403, the firstknight of the Order of the Golden Fleece in 1430), receiving the highest pension (3000 francs/ year), intimate the sovereign, he was also an active member of the Grand Council of Royaland Governor of the two Burgundies, he distinguished himself in the Crusades (Mahdia,1390), in the service of the Church (familiar Clement VII head of the embassy Burgundy theCouncil of Constance (1415), benefactor of Colette of Corbie to the founding of severalmonasteries) and was the last Bourguignon which John the Fearless spoke on the bridge ofMontereau (1419). His second wife bore him a son, also named William, and lord of Saint-Georges and St. Croix in the death of his father - which was a problem in more than onehistorian. This character provided a solid background, but also military intellectual (sent in"Germany" to learn the language), had a startling rise in the lifetime of his father, in theservice of John the Fearless and Philip the Good. No less startling was from 1440, thesquandering of movable and immovable property of the "Comte de Saint-George" the newGuillaume de Vienne and his son John, who led, it seems, a dissolute life, and fell into thesnares of multiple riders, primarily the "forensic people and finances." Vienna Marguerite,sister of John, was very close to marrying the Count of Eu, brother of Philip the Good. Shejoins Rudolph Hochberg, from a powerful family in the Black Forest, and became Count ofNeuchâtel in succession to his cousin John, Count of Burgundy and Marshal of Fribourg.Marguerite and Rudolf joined forces and managed to rebuild much of the stately heritage"Guillaume Grand Vienna", they transmitted to their son Philippe, famous for his service toCharles the Bold and Louis XI. Philippe's daughter, Jeanne de Hochberg, by his marriagebrought the family legacy of Orleans-Longueville. Other branches "Vienna" went out, butsuch a study would emerge from the shadows of the characters in this House, as Guillaume deVienne, lord of Montby and Montbis (d. 1471), the Vienna lords Listenois (Bourbonnais),without forgetting Girard (d. 1545), lord of Commarin, founder of the Vienna Chapel of theSainte-Chapelle in Dijon
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Du péché à l'ordre civil, les unions hors mariage au regard du droit (XVIe-XXe siècle) / From sin to the civil order, unions outside of marriage under the law (XVI-XX century)

Duvillet, Amandine 25 November 2011 (has links)
Cette thèse vise à appréhender la condition juridique des couples non mariés, à travers près de cinq siècles. Le droit canonique du mariage relégua le concubinage à un état permanent de péché, et, au XVIe siècle, le concile de Trente prescrivit des sanctions sévères à l'encontre des concubinaires. Les pères du concile édictèrent des règles encadrant la célébration du mariage. Puis, l'autorité séculière s'arrogea peu à peu la compétence en matière matrimoniale, par les lois et par la jurisprudence. La frontière entre mariage et concubinage était dorénavant strictement établie. Si l'ancien droit ne regarda pas le concubinage comme un délit, il fustigea les bâtards en les soumettant à un statut d'infériorité. Sous la Révolution, la sécularisation du mariage ne remit pas en cause la forme traditionnelle de l'union conjugale, toutefois, les législateurs accordèrent des droits aux enfants naturels reconnus. En 1804, le Code civil ignora absolument le concubinage. Le fondement de la famille était le mariage ; et, les enfants naturels furent, de nouveau, les victimes de la prééminence de l'union légitime. Dés le milieu du XIXe siècle, la rigueur du Code envers la famille naturelle fut atténuée grâce à un courant d'idées progressistes. Puis, au début du XXe siècle, la reconnaissance officielle du concubinage fut opérée par une série de mesures législatives lui conférant des effets juridiques, et la voie vers un pluralisme juridique des modèles familiaux se trouva ouverte. / The aim of this thesis is to understand the legal status of unmarried couples, over a period of time extending for nearly five centuries. The canon law of marriage relegated cohabitation to a permanent state of sin, and in the sixteenth century, the council of Trent prescribed severe penalties to punish cohabitation. The fathers of the council enacted rules governing the celebration of marriage. Secular authority then gradually arrogated jurisdiction in matrimonial matters by means of laws and jurisprudence. The line between marriage and cohabitation was now strictly drawn. Although the old law did not consider cohabitation as a crime, it castigated children born outside of wedlock by subjecting them to an inferior status. During the Revolution, the secularization of marriage did not call into question the traditional form of the marital union; however, legislators granted rights to recognized natural children. In 1804, the question of cohabitation was totally absent from the civil Code. Marriage represented the foundation of the family, and illegitimate children were once again the victims of the rule of lawful union. By the mid-nineteenth century, the rigor of the Code toward the natural family was mitigated by a current of progressive ideas. Then, in the early twentieth century, official recognition of cohabitation was brought about by a series of legally-binding legislative measures, and the path to legal pluralism in family matters found an opening.

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