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L'attrition de la marque d'usage PROVERBIAL de la 7e (1878) à la 8e (1932-35) édition du Dictionnaire de l'Académie française

Audy, Marie-Line 04 1900 (has links)
Notre mémoire porte sur l’attrition de la marque d’usage PROVERBIAL de la 7e (1878) à la 8e édition du Dictionnaire de l’Académie française (1932-35). L’informatisation des huit éditions achevées de l’ouvrage (Redon 2002), qui permet tant le relevé quantitatif que qualitatif des données, laisse voir que la marque jouit d’une grande stabilité dans les sept premières éditions, mais que son emploi chute considérablement de l’édition de 1878 à celle de 1932-35. Dans les limites notre projet, nous tâchons de comprendre le comment de cette érosion. Pour ce faire, nous avons recensé exhaustivement les lexies touchées de la 7e à la 8e édition, en tenant compte des cas de figure logiquement possibles : retrait d’un article ou d’une lexie dans la 8e édition, lexies partagées avec la 7e édition mais a) dépouillées de la marque, b) marquées différemment ou c) héritières du marquage d’origine. Dans l’édition de 1878, PROVERBIAL s’applique à 4 674 lexies distribuées dans 1 645 articles. Au terme de notre recherche, nous identifions les expressions proverbiales disparues ou maintenues dans le passage crucial de la 7e à la 8e édition du Dictionnaire de l’Académie française. Nous en tirons des résultats qui portent, entre autres, sur la transformation du système de marquage dans la tradition du Dictionnaire de l’institution. / This study looks at the attrition of the usage label PROVERBIAL between the 7th (1878) and 8th edition (1932-35) of the Dictionnaire published by the Académie française. The electronic version of the eight completed editions of this work (Redon 2002), which allows for the collection of both quantitative and qualitative data, shows that the label was consistently used in the first seven editions, but that its use falls dramatically between the 1878 and 1932-35 edition. Within the scope of this study, we have tried to identify the reasons behind this reduction. To achieve this, all lexies (~ lexical unit) from the 7th and the 8th edition with this usage label were meticulously noted, while taking into consideration all logically possible cases: the removal of an article or a lexie in the 8th edition, shared lexies with the 7th edition but a) lacking the label, b) labelled differently or c) inheriting the original label. In the 1878 edition, PROVERBIAL is assigned to 4 674 lexies in 1 645 articles. Through our research, we have identified the proverbial expressions that have disappeared or have been maintained during the crucial passage from the 7th to the 8th edition of the Dictionnaire published by the Académie française. We draw conclusions from these results that, amongst other things, address the transformation of the labelling system in the tradition of the institution’s Dictionnaire.
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L'attrition de la marque d'usage PROVERBIAL de la 7e (1878) à la 8e (1932-35) édition du Dictionnaire de l'Académie française

Audy, Marie-Line 04 1900 (has links)
Notre mémoire porte sur l’attrition de la marque d’usage PROVERBIAL de la 7e (1878) à la 8e édition du Dictionnaire de l’Académie française (1932-35). L’informatisation des huit éditions achevées de l’ouvrage (Redon 2002), qui permet tant le relevé quantitatif que qualitatif des données, laisse voir que la marque jouit d’une grande stabilité dans les sept premières éditions, mais que son emploi chute considérablement de l’édition de 1878 à celle de 1932-35. Dans les limites notre projet, nous tâchons de comprendre le comment de cette érosion. Pour ce faire, nous avons recensé exhaustivement les lexies touchées de la 7e à la 8e édition, en tenant compte des cas de figure logiquement possibles : retrait d’un article ou d’une lexie dans la 8e édition, lexies partagées avec la 7e édition mais a) dépouillées de la marque, b) marquées différemment ou c) héritières du marquage d’origine. Dans l’édition de 1878, PROVERBIAL s’applique à 4 674 lexies distribuées dans 1 645 articles. Au terme de notre recherche, nous identifions les expressions proverbiales disparues ou maintenues dans le passage crucial de la 7e à la 8e édition du Dictionnaire de l’Académie française. Nous en tirons des résultats qui portent, entre autres, sur la transformation du système de marquage dans la tradition du Dictionnaire de l’institution. / This study looks at the attrition of the usage label PROVERBIAL between the 7th (1878) and 8th edition (1932-35) of the Dictionnaire published by the Académie française. The electronic version of the eight completed editions of this work (Redon 2002), which allows for the collection of both quantitative and qualitative data, shows that the label was consistently used in the first seven editions, but that its use falls dramatically between the 1878 and 1932-35 edition. Within the scope of this study, we have tried to identify the reasons behind this reduction. To achieve this, all lexies (~ lexical unit) from the 7th and the 8th edition with this usage label were meticulously noted, while taking into consideration all logically possible cases: the removal of an article or a lexie in the 8th edition, shared lexies with the 7th edition but a) lacking the label, b) labelled differently or c) inheriting the original label. In the 1878 edition, PROVERBIAL is assigned to 4 674 lexies in 1 645 articles. Through our research, we have identified the proverbial expressions that have disappeared or have been maintained during the crucial passage from the 7th to the 8th edition of the Dictionnaire published by the Académie française. We draw conclusions from these results that, amongst other things, address the transformation of the labelling system in the tradition of the institution’s Dictionnaire.
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De la 1re à la 2e éd. du Dictionnaire de l'Académie française (1694, 1718) : macrostructure, microstructure; marques diastratiques, diaphasiques

Pouteaux, Marie-Alix January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La réception de l'Égypte dans les arts et les sciences à Toulouse du XVIIe siècle au milieu du XXe siècle. / The reception of Egypt in arts and sciences in Toulouse between the XVIIth and the XXth century

Meneghetti, Livia 12 March 2016 (has links)
Cette étude des éléments égyptiens dans les arts et dans les sciences à Toulouse du XVIIe siècleau XXe siècle s’appuie sur un corpus d’archives et un corpus iconographique appartenant auxacadémies savantes et artistiques, et aux musées de la ville. Elle permet d’interroger la manièredont les académiciens toulousains créent, transmettent et modifient des représentations del’Égypte ancienne durant quatre siècles. Certains éléments sont privilégiés, comme la pyramide,l’obélisque, le sphinx et les dieux, tels Isis et Osiris. Leur sens et leur fonction, dans ladynamique des constructions identitaires et patrimoniales, permettent d’éclairer le rôle deséléments antiques dans les champs sociaux. Tout en conservant une symbolique forte et stableau fil du temps, ils sont sans cesse réinterprétés pour s’insérer dans des rhétoriques spécifiques.Le croisement des savoirs artistiques et savants sur l’Égypte ont permis de dégager troisdomaines privilégiés pour l’emploi de références égyptiennes : le rapport à la nature, le rapportau savoir et le rapport au pouvoir. Au sein de chacun d’entre eux, l’ancienne Égypte joue unrôle de liant, de médiateur entre les évènements du passé et la réinterprétation contemporainequi est traduit et mis en scène dans les différents musées de la ville. / This study of the Egyptian elements in the arts and sciences in Toulouse, from the seventeenthto the twentieth century is based on a corpus of archives and an iconographic corpus belongingto both scholarly and artistic academies and the city’s museums. It makes it possible to lookinto the way Toulouse scholars have created, trasmitted and modified representations of ancientEgypt over four centuries. Certain elements are favoured such as the pyramid, the obelisk, theSphinx as well as the gods Isis and Osiris. Their meaning and function in the dynamics of thefashioning of identities and heritage, shed light on the role played by antique elements in thesocial fields. While maintaining a strong and stable symbolic over time, they are constantlyreinterpreted to fit into a specific rhetoric. The crossing of the artistic and academic knowledgesof Egypt has yielded three choice fields to be used in Egyptian references: the relationship tonature, the relationship to knowledge and the relationship to power. Within each of them,ancient Egypt acts as a binder, a mediator between the events of the past and the contemporaryreinterpretation that is translated and staged in the city’s various museums.
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Le Triomphe de la Folie sur la scène de l’Académie Royale de Musique, portrait d’une figure entre 1697 et 1718 / The Triumph of Folly on the stage of the Académie Royale de Musique, portrait of an allegorical figure between 1697 and 1718

Tanguy, Camille 27 January 2014 (has links)
Ce travail est consacré à l’étude du personnage allégorique de la Folie sur la scène de l’Académie Royale de Musique entre 1697 et 1718. Qu’il soit suggéré ou personnifié, ce caractère féminin est abondamment présent dans les spectacles de cette période. A la fin du règne de Louis XIV, la Folie fait peu à peu son entrée à l’Opéra. Entourée de Momus, du Carnaval, de Bacchus, de l’Amour et des personnages de la commedia dell’arte, la Folie « ramène les tendres Jeux », « chasse la Raison cruelle » et invite sans cesse à « goûter les charmes de la vie ». En accédant à l’Opéra, cette figure extravagante et enjouée signale une évolution de ton qui préfigure le changement de mœurs associé à la Régence. Mais au-delà de la philosophie hédoniste qu’elle dispense, quel est le sens caché des paroles de la Folie ? Faut-il voir dans la présence de ce personnage une remise en cause de l’ordre établi, de la politique sociale et de l’austérité marquant la fin du règne ? Son utilisation permet-elle, sous la couverture d’une « maladie de l’âme », de critiquer la politique et les mœurs de Louis XIV ? Qui se cachent derrière le discours subversif de la Folie ? Quel est le rôle de cette figure dans les débats esthétiques de l’époque ? Cette recherche explore le rôle, ainsi que le traitement musical, dramatique et scénique d’une telle figure à travers l’étude d’ouvrages créés à l’Opéra. Nous proposons ici un portrait physique, moral et social de la Folie, à la lumière de multiples documents musicaux, textuels et iconographiques de l’époque, et présentons différents traits de caractère du personnage et plusieurs thèmes qui lui sont liés afin de comprendre les raisons de sa présence à cette époque. / This work is devoted to the study of the allegorical figure of Folly on the stage of the Académie Royale de Musique between 1697 and 1718. Suggested or personified, this female character is abundantly present in the spectacles of this period. At the end of the reign of Louis XIV, Folly appears little by little at the Opera. Surrounded by Momus, Carnival, Bacchus, the god of love and the characters of the commedia dell'arte, Folly "brings back the soft Games", "banishes the cruel Reason" and continually invites to "taste the charms of life”. By accessing the Opera, this extravagant and playful figure indicates a change of tone that foreshadows the changing attitudes of the Regency. But beyond the hedonistic philosophy that she provides, what is the hidden meaning of Folly’s words? Should we see a calling into question of the established order, the social policy and the austerity marking the end of the reign? Does its use allow, under the cover of a “disease of the soul”, to criticize the policy and manners of Louis XIV? Who hides behind the subversive speech of Folly? What is the role of this figure in the aesthetic debates of the period? This research explores the role, as well as musical, dramatic and scenic treatments of such a figure through the study of works created at the Opera. We propose here a physical, moral and social portrait of Folly, in the light of multiple musical, textual and iconographic documents of the time, and present different character traits and several themes that are related to it in order to understand the reasons for its presence at this time
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L'air italien sur la scène des théâtres parisiens (1687-1715) / No title available

Nestola, Barbara 14 November 2015 (has links)
La thèse traite la réception de l’air italien à Paris 1687 et 1715. Elle est structurée en deux parties : la première est consacrée à l’analyse des recueils d’airs italiens, manuscrits et imprimés, produits et circulant à Paris entre les deux siècles la seconde, à la pratique des airs dans le contexte du théâtre parisien (Comédie Italienne, Comédie Française et Opéra) entre la mort de LuIIy (1687) et celle de Louis XIV (1715). En complément du travail de réflexion, on présente le catalogue du corpus étudié. Le corpus choisi place l’air italien du dernier quart du siècle au cœur du phénomène de la réception et de son impact sur le monde théâtral parisien. Le travail d'identification des sources, pour la plupart anonymes, montre qu’il s’agit d’extraits d’opéras. Quant au périmètre géographique des sources, l’axe Versailles-Paris a paru comme le plus logique pour suivre la circulation d’un répertoire apanage dans un premier temps des élites et ensuite, en conséquence de la décentralisation artistique qui investit la cour à la fin du règne de Louis XIV, touchant davantage la ville. L’analyse des œuvres représentées aux deux Comédies ci à l’Opéra à la fin de règne en illustre les modalités d’appropriation par les interprètes, les poètes et les compositeurs, renfermant ainsi le cercle idéal du parcours de l’air d’opéra italien de sa scène d’origine à celle d’accueil. La continuité dans la pratique des airs italiens sur la scène parisienne en ces décennies témoigne de l’intérêt grandissant du public pour ce répertoire, anticipant les Goûts réunis et l’inclinaison pour la musique italienne de la Régence / The study concerns the reception of Italian airs in Paris between 1687 and 1715. It consists of two parts: the first one is devoted to the analysis of French volumes containing Italian airs, manuscript and printed, circulating in Paris among the two centuries; the second one concerns the performance of the repertoire of Italian airs in Parisian theatres (Comédie Italienne, Comédie Française and Opera) between the death of Lully (1687) and the death of Louis XIV (1715). As a complementary part of this work, a catalogue of the sources has also been constituted. The documentary corpus consists of Italian airs of the last quarter of the l7th century as the core of the reception of the Italian repertoire and of its impact on the Parisian theatrical world. The identification of the sources, mainly anonymous at the beginning, shows that the airs are Italian opera excerpts. As far as the geographical area concerned. the axis Versailles-Paris appeared as the most appropriate for following the circulation of this repertoire: firstly known by the élite (aristocracy. collectors), it subsequently reached Paris as the consequence of the artistic decentralization from the court to the city at the end of the reign of Louis XIV. The analysis of the Italian airs sung at the Comédie Italienne, the Comédie Française and the Opera show how performers, poets and composers seized this repertoire, closing the ideal cercle of the path of the Italian opera excerpt from its originary stage to the French stage. The continuity of this practice in Parisian theatres during several decades shows the growing interest of the public for this repertoire, anticipating the Goûts réunis and the inclination towards Italian music of the Regency
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Les envois de Rome des pensionnaires peintres de l’Académie de France à Rome de 1863 à 1914 / The "envois de Rome" of the "pensionnaires peintres" of the "Académie de France à Rome" 1863-1914

Lechleiter, France 22 November 2008 (has links)
La direction artistique de l’Académie de France à Rome et de ses pensionnaires est placée sous le patronage de l’Académie des beaux-arts. Elle détermine et réglemente les conditions de séjour et le programme des travaux annuels, les envois de Rome. Ce privilège est interrompu le 13 novembre 1863 par un décret qui lui retire sa tutelle pour la confier à l’Etat. Cette rupture est révélatrice d’une crise majeure de l’enseignement des beaux-arts en France et bien que l’Académie récupère la totalité de ses prérogatives huit ans plus tard, elle devra désormais composer avec les exigences que l’époque lui imposera, entre tradition et modernité. C’est dans cette perspective que vienne s’inscrire les pensionnaires peintres et leurs envois de Rome. Tributaires d’un enseignement et d’un système académique des beaux-arts, les lauréats des grands prix de Rome de peinture sont le symbole de la tradition. Ils sont peintres d’histoire et achèvent leur formation artistique en Italie, à Rome, au contact des grands maîtres de la Renaissance et des chef-d’œuvres de l’antiquité. Mais ils sont aussi enfants de leur siècle et à ce titre partagent les problématiques artistiques contemporaines. La question est de savoir dans quelle mesure cette présence au monde se manifeste dans leurs envois et de quelle nature sont les formes qu’elle revêt. / The artistic direction of the Académie de France à Rome and its artists in residence is placed under the patronage of the Academy of fine arts. The Academy determines and regulates the conditions of stay and the programme of annual work, the « envois de Rome ». This privilège is interrupted on the 13th November 1863 by a decree witch withdraws its guardianship to entrust it to the government. This rupture shows major crisis in fine arts education in France. even though the Academy recovers the totality of its prerogatives eight years later, from then on it has to take into account the demands that epoch imposes, oscillatin between tradition and modernity. It is in this perspective that the painters in residents and their « envois de Rome » position themselves. tributaries of the education and of the academic system of fine arts, laureates of the prix de Rome in painting are the symbol of the tradition. They are history painters and complete their artistic training in Italy, in Rome, in touch with the old masters of the Renaissance and the masterpiecies of antiquity. But they are also children of their century and for this reason they share the contemporary artistic issues . The point is to know to what extent this presence in world is manifested in their work and what is the nature of the forms it takes on.
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La seconde génération des peintres de Louis XIV (1665-1715) : peindre l'Histoire : formation, culture visuelle et production / The second generation of Louis XIV's painters, 1665-1715 : painting History : training, visual learning and production

Chastagnol, Karen 22 November 2014 (has links)
A travers quelles modalités la peinture d’histoire se transforme-t-elle sous le règne de Louis XIV ? La peinture d’histoire connaît une évolution durant la période qui couvre la seconde partie du règne de Louis XIV. Ce changement résulte à la fois de modifications liées à l’évolution des commandes royales et à celle du cadre académique lui-même, ainsi qu’aux mutations du contexte de création en dehors de l’Académie royale qui renouvelle la manière d’appréhender et de concevoir la peinture d’histoire. A partir de l’étude et de l’analyse de la production des peintres reçus comme peintres d’histoire à l’Académie royale de peinture et de sculpture entre 1673 et 1694, cette thèse reconsidère les critères d’évolution du genre historique en peinture au tournant du XVIIe siècle. Sont d’abord étudiées la formation des artistes et la définition de la peinture d’Histoire au temps de cette formation (I). Puis vient l’analyse de la production de ces peintres pour l’Académie royale et pour le roi après leur agrément au sein de l’institution royale (II). Parallèlement, et pour mieux définir les caractéristiques de la peinture d’histoire de cette période, l’étude de la production pour les particuliers et les institutions religieuses, soit en dehors de l’Académie royale, viendra remettre en cause la vision historiographique selon laquelle cette peinture émane d’une crise et éclairer ses nouvelles voies de transformation, en particulier à travers l’hybridation des genres (III). / Through which terms History painting is changing under the reign of Louis XIV? History painting evolves during the period which covers the second part of the reign of Louis XIV. This change is due to modifications dependent on the evolution of the Royal commissions and of the Academic framework itself, as well as the transformation of the context of creation apart from the Royal Academy which renews the way of apprehending and conceiving the History painting. From the study and analysis of the works of History painters members of the Royal Academy of Painting and Sculpture between 1673 and 1694, this thesis reconsiders the criteria of evolution of historical style in painting at the turn of the XVIIe Century. To begin with, the artists’ training and the definition of History painting at that time shall be discussed (I). Then we shall analyze the production of these painters for the Royal Academy and for the King after their approval within the Royal institution (II). Furthermore, in order to define better the History painting characteristics at this time, the study of the works for private individuals and religious institutions (i.e. apart from the Royal Academy) will question the historiographic vision which claims that History painting comes from a crisis; it will also clarify its new ways of transformation, in particular through the hybridization of styles (III).
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Le scandale dans l'univers littéraire français à la fin du XVIIIe siècle le témoignage des "Annales politiques, civiles et littéraires du dix-huitième siècle " de Linguet

Savary, Karine January 2011 (has links)
L'imprimerie est une révolution en soi qui engendra de multiples conséquences. Les autorités, tout spécialement ecclésiastiques, voyant les impacts majeurs de cette diffusion, ne tardèrent pas à règlementer [i.e. réglementer] l'univers des lettres par le biais de la censure, créant ainsi une scission entre les écrits respectables et ceux à caractères scandaleux. Au cours du siècle des Lumières, les philosophes plaçant la raison au centre de leurs réflexions prennent d'assaut l'appareil censorial, ils attaquent ses fondements et ses conséquences. Ce mouvement idéologique n'est pas étranger à la chute de l'appareil censorial qui perd de son efficacité, même s'il persiste à durer. Cette mutation n'est pas non plus étrangère à l'expression du scandale qui fait courir les plumes au XVIIIe siècle. Il s'agit pour nous d'observer, précisément dans ce contexte d'ouverture intellectuelle, qu'est-ce qui fait scandale dans l'univers littéraire parisien et comment celui-ci s'exprime-t-il. On remarque dans un premier temps que c'est moins le sujet en lui-même qui sème l'indignation que la manière d'écrire et de traiter la langue française. On constate ensuite, qu'en dehors de propos scabreux, le fait de les présenter dans l'espace public contribue à accentuer l'éclat du scandale, sans doute plus que le sujet en lui-même. Finalement, à la source du scandale se situent les intentions indécentes qui motivent les différents acteurs de la Librairie. Au-delà des règlements de compte, l'Académie française apparaît comme l'une des institutions littéraires les plus scandaleuses à la fin du XVIIIe siècle puisqu'elle incarne justement à elle seule les trois moteurs du scandale.
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Polemone l'ateniese, scolarca dell'Academia antica. Testimonianze / Polemo the Athenian, Head of the Ancient Academy. Testimonies / Polémon l'Athénien, scolarque de l'ancienne Académie. Témoignages

Marzotto Caotorta, Tessa 28 April 2012 (has links)
Les témoignages concernant le quatrième scolarque de l'Académie, Polémon l'Athénien, ont été étudiés dans leurs spécificité réciproque, à fin de tracer une carte des emplois et des usages du nom du philosophe dans la littérature ancienne qui a survécu. Polémon, donc, est dans cet étude avant tout une figure textuelle, et non pas un philosophe pourvu d'une doctrine systématique complète. On le rencontre en fait dans la littérature biographique en tant qu'exemple de 'conversion' soudaine au genre de vie philosophique et incarnation des traits distinctifs du philosophe hellénistique. On découvre ainsi que Polémon est plus pyrrhonien de Pyrrhon et plus stoïcien du père du stoïcisme, Zénon. Par contre, en relation à la tradition platonicienne, Polémon est rattaché par les sources à la phase de l'histoire de l’école nommée 'Ancienne Académie'. Ayant réuni autour de soi un groupe de disciples compact, caractérisé par l'harmonie et la concorde, Polémon est ensuite devenu le symbole d'une réception diligente de la pensée platonicienne, exempte d’altération ou d'intervention innovatrice. Sa qualité de fidèle héritier doit d'ailleurs se comprendre surtout en relation aux développements postérieurs de l'instance académicienne, plus spécifiquement en relation au surgissement d'une approche 'sceptique' à la pensée de Platon, développé par Arcésilas. A posteriori donc les contestataires de la position 'sceptique' de l’Académie ont essayé de délégitimer la lecture de la pensée de Platon donnée par Arcésilas, tout en affirmant par conséquence le caractère 'originaire' et 'dogmatique' de la phase d'interprétation de l'Ancienne Académie. / The testimonies on the forth head of the Academy, Polemo the Athenian, have been individually studied in order to provide a complete survey of the several usages of the philosopher's name in the ancient surviving literature. In this study, Polemo is, therefore, mainly a text figure, rather than a philosopher provided with a full systematic doctrine. We find his name, as a matter of fact, in the biographic literature, as an example of a sudden 'conversion' to the philosophical life and as an example of the embodiment of the distinctive features of the Hellenistic philosopher. We discover then that Polemo is even more pyrrhonian than Pyrrho and more stoic than the Stoicism's father, Zeno. Moreover, within the Platonic tradition, Polemo is linked by the sources to the phase of the history of the school labelled as 'Ancient Academy'. After assembling around him a compact group of disciples, characterized by the greatest harmony and agreement, Polemo has become the symbol of a diligent reception of the Platonic thought, free from any alteration or innovative intervention. His role of faithfull heir must be by all means considered in relation to the later developments of the Academic instance, more precisely in relation to the rising of a 'sceptic' approach to Plato's thought, encouraged by Arcesilaus. A posteriori then the critics of the 'sceptic' position have tried to delegitimize Arcesilaus' reading of Plato, stating by consequence the 'original' and 'dogmatic' character of the interpretative phase of the Ancient Academy.

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