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Les stratégies visant à améliorer l’acceptabilité des voies de contournement dans les petites municipalités du Québec : le cas de quatre municipalités le long de la route 117 dans la région des Laurentides

Montpetit, Véronique 12 1900 (has links)
Cette recherche explore les différentes stratégies mises en place afin de minimiser les impacts négatifs encourus à la suite de la mise en service d'une voie de contournement pour les petites municipalités du Québec. Les stratégies identifiées ont été relevées dans la littérature, dans la documentation municipale ainsi que dans des études de cas, soit par des relevés terrains et des entretiens sur le territoire de quatre (4) municipalités. Les stratégies de planification mises sur pied visent essentiellement la configuration des entrées de villes, la signalisation ainsi que les programmes de revitalisation des noyaux urbains. Il ressort de l'analyse que la bonne acceptation sociale des voies de contournement est liée à la présence de concertation entre les différentes parties prenantes d'un projet tout au long de celui-ci. De plus, le temps écoulé entre les premiers balbutiements du projet et la mise en service d'une voie de contournement doit être d'une durée acceptable afin que des stratégies planifiées concordent avec le contexte économique et culturel dans lequel s'insèrera le projet. La recherche dresse ainsi le portrait des stratégies planifiées pour les municipalités situées le long de la route nationale 117 et ayant des voies de contournement. Plus spécifiquement, l'étude de cas porte sur les municipalités de Mont-Tremblant (secteur de Saint-Jovite), La Conception, Labelle et Rivière-Rouge dans la région des Laurentides. / This research explores the different strategies currently put into place to minimize the negative effects of the implementation of bypass routes on the small cities of the province of Québec. An assessment of the different strategies used was done by reviewing literature and municipal documentation, as well as reviewing case studies by analysing field reports and maintenance reports of four (4) municipalities. The planning strategies elaborated are essentially aimed at the configuration of city entrance lanes, the utilisation of road signs and the programs of revitalisation of urban areas. The main element that can be observed is that in order to have a good social acceptation of bypass routes, there has to be a good dialogue between the different parties involved, and that for the entire duration of the road works. Also, in order for the strategies to concord with the economic and cultural realities of the municipalities, the amount of time elapsed between the beginning of the project and the actual implementation of the relief route has to be reasonable. This research overlooks the strategies planned for municipalities that are located in the Laurentides region alongside national road 117 and that are accessible via a bypass route. More specifically, this case study focuses on the cities of Mont-Tremblant (Saint-Jovite aera) , La Conception, Labelle and Rivière-Rouge.
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Modèle de structuration et d'évaluation des scénarios des technologies de l'hydrogène du point de vue de l'acceptabilité sociale / Integrating structuring and evaluation models for assessing scenarios of hydrogen technologies in terms of social acceptability

Kpoumié, Amidou 09 July 2013 (has links)
Cette thèse porte sur l’aide à la décision dans un contexte décisionnel très complexe. Classiquement, pour résoudre de telles situations, on utilise des méthodes de structuration de problèmes. Cependant ces méthodes bien qu’appliquées dans le cadre multi acteur ou dans les décisions de groupe, n’aboutissent pas toujours à des résultats directement exploitables dans un modèle d’évaluation. Ou, lorsque c’est le cas, les données obtenues par structuration sont utilisées comme si elles provenaient d’un seul décideur, tendant à réduire par conséquent l'efficacité de la décision prise et son adhésion publique. Dans cette thèse nous nous sommes attelés à concevoir un modèle d’intégration d’outils conciliant le choix approprié d’outils de structuration pour les décisions de groupe et son exploitation efficace dans un modèle d’évaluation multicritère. En particulier nous nous sommes focalisés sur les modalités du passage des cartes cognitives aux arbres de valeurs. Ensuite nous avons appliqué notre démarche sur le cas pratique du projet ’’AIde à la Décision pour l'identification et l'accompagnement aux transformations sociétales induites par les nouvelles technologies de l'Hydrogène’’ (AIDHY). Enfin, la dernière partie de notre thèse est axée sur l’apport d’une modélisation multicritère pour appréhender formellement le problème d’évaluation des scénarios, formulé comme un problème de tri multicritère. Par conséquent, nous avons construit une méthode permettant d’observer et de paramétrer le comportement des invariants d’une acceptabilité sociale en général, par le biais d’une d’analyse de sensibilité à partir du cas de l’hydrogène énergie. / This thesis focuses on decision support in a very complex decision-making context. Typically, to solve such situations, methods of problem structuring are used. However, these methods although applied in the multi-stakeholder framework or group decisions do not always lead to results directly used in a valuation model. Even when this is the case, the data obtained by problem structuring are used as if they came from a single decision maker, thus tending to reduce the effectiveness of the decision and its popular support. In this thesis we attempted to develop a model that incorporates tools that reconcile the appropriate choice of tools for structuring group decision choice and its effective operation in a model of multi-criteria evaluation. In particular, we focused on how processing cognitive maps into value trees. Then we have applied our approach to the practical case of the ‘‘AIDHY” project. Finally, the last part of the thesis is focused on providing a multi-criteria modeling to formally approach the problem of evaluating scenarios, formulated as a multi-criteria sorting problem. Therefore, we constructed a method to observe and configure the behavior of invariants of social acceptability in general, through a sensitivity analysis based on the case of hydrogen energy.
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Les stratégies visant à améliorer l’acceptabilité des voies de contournement dans les petites municipalités du Québec : le cas de quatre municipalités le long de la route 117 dans la région des Laurentides

Montpetit, Véronique 12 1900 (has links)
Cette recherche explore les différentes stratégies mises en place afin de minimiser les impacts négatifs encourus à la suite de la mise en service d'une voie de contournement pour les petites municipalités du Québec. Les stratégies identifiées ont été relevées dans la littérature, dans la documentation municipale ainsi que dans des études de cas, soit par des relevés terrains et des entretiens sur le territoire de quatre (4) municipalités. Les stratégies de planification mises sur pied visent essentiellement la configuration des entrées de villes, la signalisation ainsi que les programmes de revitalisation des noyaux urbains. Il ressort de l'analyse que la bonne acceptation sociale des voies de contournement est liée à la présence de concertation entre les différentes parties prenantes d'un projet tout au long de celui-ci. De plus, le temps écoulé entre les premiers balbutiements du projet et la mise en service d'une voie de contournement doit être d'une durée acceptable afin que des stratégies planifiées concordent avec le contexte économique et culturel dans lequel s'insèrera le projet. La recherche dresse ainsi le portrait des stratégies planifiées pour les municipalités situées le long de la route nationale 117 et ayant des voies de contournement. Plus spécifiquement, l'étude de cas porte sur les municipalités de Mont-Tremblant (secteur de Saint-Jovite), La Conception, Labelle et Rivière-Rouge dans la région des Laurentides. / This research explores the different strategies currently put into place to minimize the negative effects of the implementation of bypass routes on the small cities of the province of Québec. An assessment of the different strategies used was done by reviewing literature and municipal documentation, as well as reviewing case studies by analysing field reports and maintenance reports of four (4) municipalities. The planning strategies elaborated are essentially aimed at the configuration of city entrance lanes, the utilisation of road signs and the programs of revitalisation of urban areas. The main element that can be observed is that in order to have a good social acceptation of bypass routes, there has to be a good dialogue between the different parties involved, and that for the entire duration of the road works. Also, in order for the strategies to concord with the economic and cultural realities of the municipalities, the amount of time elapsed between the beginning of the project and the actual implementation of the relief route has to be reasonable. This research overlooks the strategies planned for municipalities that are located in the Laurentides region alongside national road 117 and that are accessible via a bypass route. More specifically, this case study focuses on the cities of Mont-Tremblant (Saint-Jovite aera) , La Conception, Labelle and Rivière-Rouge.
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De l’accaparement des terres aux investissements agricoles internationaux responsables : la construction de l’acceptabilité sociale

Bohbot, Reine 03 1900 (has links)
Le 25 juin 2011, Kofi Annan, déclare « avec le problème du changement climatique, la sécurité alimentaire et nutritionnelle mondiale est l’enjeu de notre époque ». En effet, les prévisions estiment que la population mondiale atteindra neuf milliards en 2050. Ces propos alarmants placent sur la sellette le phénomène en émergence de transactions internationales agricoles à grande échelle. Alors que la Banque mondiale encourage l’agrobusiness dans les pays en voie de développement, les mouvements sociaux crient à « l’accaparement des terres », avec une superficie totale de terres ayant changé de main, estimée entre 48,9 et 63,1 millions d’hectares. Le monde agricole est en crise, et le sujet de l’accaparement des terres est devenu incontournable dans les médias. Cette recherche interdisciplinaire se veut exploratoire. Elle a pour ambition de dégager comment pourrait s’amorcer la construction de l’acceptabilité sociale de l’industrie agricole à l’échelle internationale, en se basant sur les représentations des acteurs de « l’inacceptabilité de la situation ». Après avoir dégagé les grands enjeux du monde agricole, la question centrale de la légitimité des décisions publiques, c’est-à-dire des décisions ayant une portée publique, qu’elles soient prises par des acteurs privés ou publics, sera abordée. Par la suite, un parallèle sera établi avec le secteur minier, qui est confronté depuis plusieurs années à la notion de « risque social », en se concentrant plus particulièrement sur les instruments de régulation hybride, qui ont émergé en réponse à la crise de légitimité du secteur. La recherche se concentrera donc sur le processus d’homogénéisation du jugement d’acceptabilité sociale, au sein de l’industrie agricole, en analysant la couverture médiatique du phénomène, et en renforçant l’analyse par des entretiens semi-structurés avec différents acteurs oeuvrant dans des ONG internationales, des organisations internationales (comme la Banque mondiale ou la Société financière internationale), une multinationale d’envergure impliquée dans l’exploitation minière, ou des groupes d’investissement responsable. / June 25, 2011, Kofi Annan, said « the problem of climate change, global food and nutrition security is the challenge of our time. » As forecasts estimate the world population will achieve nine billion in 2050, the question of how the world is to be fed is thrust into startling focus. In this context, the emerging phenomenon of international agricultural transactions is on the spot. While the World Bank encourages agribusiness in developing countries, social movements denounce "land grabbing", with a total area of land that changed hands, estimated between 48.9 and 63.1 million hectares. The agricultural world is in crisis, and the subject of land grabbing has become a must in the media. This interdisciplinary research is intended to be exploratory and aims at identifying how the construction of the social acceptability of the agricultural industry at international level could be started, based on the representations of the actors of what is “unacceptable”. Having identified the main issues of the agricultural world, the central question of the legitimacy of public decisions, that is to say decisions having a public scope, whether taken by private or public actors, will be addressed. Subsequently, a parallel will be drawn with the mining sector, which has been confronted for several years with the notion of "social risk", focusing in particular on hybrid regulatory instruments, which emerged in response to the crisis of legitimacy of the sector. The research will therefore concentrate on the process of homogenization of the judgment of social acceptability within the agricultural industry, analyzing the media coverage of the phenomenon, and reinforcing the analysis by semistructured interviews with different actors working in international NGOs, international organizations (such as the World Bank or the International Finance Corporation), a large multinational involved in mining, or responsible investment groups.
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Non au gaz de schiste ! : cadrages et débordements de la controverse sur les hydrocarbures non conventionnels en France et au Québec / Shale gas, no! : framing and spillovers of the unconventional hydrocarbon controversy in France and Quebec

Chailleux, Sébastien 01 December 2015 (has links)
L’analyse de la controverse sur le gaz de schiste en France et au Québec à un niveauintermédiaire (méso) permet de souligner les processus de construction et contestation sociale etpolitique des différents cadrages soutenus par les réseaux d’acteurs en concurrence. Lesdynamiques d’intéressement à l’intérieur et à l’extérieur de l’action publique illustrent lesmultiples scènes et forums dans lesquels se déploie la controverse. L’analyse de la construction dece problème public et ses diverses redéfinitions démontre le rôle central du cadrage politique descontroverses. Les solutions retenues définissent tout autant qu’elles tentent de réduire le risquerelatif à cette nouvelle industrie gazière (face à un risque cadré comme technologique en France,on observe un cadrage sur l’acceptabilité sociale au Québec). Il s’agit alors d’insisterparticulièrement sur la dimension procédurale de problématisation des enjeux au regard du recoursà la participation publique et à l’expertise scientifique. Les multiples acteurs de cette controversesont interrogés : les participants à la mobilisation sociale mais aussi les acteurs de l’industrie et desstructures politiques et administratives, afin de dresser la cartographie de leur position mais ausside leurs discours depuis les prémices de cette nouvelle activité industrielle d’exploration du gaz deschiste (2008) jusqu’aux derniers rebondissements politiques (2015). Cette recherche s’appuie surun corpus d’entretiens qualitatifs (40) mais aussi d’articles de presse écrite (2 400) ainsi que surl’analyse qualitative et quantitative des divers rapports et commissions de travail sur le gaz deschiste. / The analysis of the shale gas controversy in France and Quebec at an intermediate (meso)level stresses the social and political construction and dispute processes of the various framingssupported by contesting actors’ networks. “Interestment” dynamics both inside and outside publicpolicies show the multiple scenes and forums in which the controversy unfold. The analysis ofhow this public problem is built and its various redefinitions shows the core role of politicalframing of controversies. The solutions define as well as they reduce the risk related to this newindustry (a technological risk in France and a frame on social acceptability in Quebec). It is thenimportant to stress the procedural dimension of problematizing the stakes regarding publicparticipation and scientific expertise. This study questions the various actors of the controversy,those of social mobilization, the industry and the political and administrative structures, to mapboth their position and their discourses since the beginnings of the new industrial activity ofexploring for shale gas (2008) to the latest political developments (2015). This study is based on acorpus of qualitative interviews (40), press articles (2 400) and a qualitative and quantitativeanalysis of the various reports and committees on shale gas.
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Les concessions forestières des communautés locales : acceptabilité sociale et enjeux pour une gestion durable des forêts en République démocratique du Congo

Baraka, Prince Lucungu 29 June 2022 (has links)
Depuis 2014, la République démocratique du Congo (RDC) s'est engagée dans l'opérationnalisation de la foresterie communautaire, à travers l'institutionnalisation des concessions forestières des communautés locales (CFCLs). Cette transition de gouvernance revêt un caractère innovant et offre de nouvelles perspectives à l'ensemble des acteurs impliqués dans le secteur forestier, tant au niveau central que local. Cette étude a été initiée pour explorer l'acceptabilité sociale des CFCLs et les enjeux qui en découlent pour une gestion durable des forêts en RDC. Spécifiquement, il a été question (i) d'analyser l'évolution du système de gestion forestière en RDC ; (ii) d'évaluer la perception et l'attitude des communautés locales envers la CFCL comme mode de gestion forestière ; et (iii) de documenter et expliquer les dynamiques citoyennes locales avec leur implication dans l'implantation des CFCLs. Une approche mixte, combinant des techniques de recherche quantitative et qualitative, notamment des entretiens semi-structurés (91), des groupes de discussion (11), et des enquêtes réalisées auprès de 239 ménages, a été utilisée dans deux CFCLs situées dans les provinces du Maniema et de l'Équateur, en RDC. Les résultats montrent que les systèmes actuels de gestion forestière en RDC s'inscrivent dans une longue tradition, remontant de l'époque coloniale. Les compétences techniques sont inégalement réparties au sein de l'administration forestière, avec une forte prédominance au niveau central. Le cadre institutionnel demeure entaché d'un passé colonial qui, couplé aux contextes socio-économique et politique du pays, rend difficile l'opérationnalisation des reformes entreprises dans le secteur forestier, notamment celles relatives à la foresterie communautaire. Les indices de perception et de capital social construits dans le cadre de cette étude démontrent une attitude positive des communautés locales envers la CFCL. L'éducation, l'âge, la profession, la connaissance du cadre légal et la taille de la famille sont les principaux facteurs influençant l'attitude envers la CFCL. Les procédures administratives accroissent les coûts d'acquisition d'une CFCL et affectent négativement l'attitude des communautés. Enfin, les résultats révèlent l'existence d'une diversité d'organisations locales généralement homogènes au sein des CFCLs. Ces groupes communautaires et les réseaux sociaux qui en résultent au sein des villages constituent une plateforme qui permet aux acteurs de partager leurs connaissances, expériences et préoccupations. Ils offrent de nombreuses opportunités en termes d'apprentissage, et peuvent servir de base pour améliorer la gouvernance des CFCLs. Les groupes traditionnellement marginalisés, tels que les jeunes, les femmes et les populations autochtones, y sont faiblement représentés, et participent rarement à la prise de décisions au sein des communautés, ce qui peut limiter leur représentativité même dans les organes de gouvernance de la CFCL. Cette étude démontre un potentiel d'adhésion des communautés locales à la CFCL, et met en évidence le besoin de tenir compte des réalités locales, notamment la structure organisationnelle locale et les capacités des communautés à prendre en charge une CFCL. En plus d'être applicables dans d'autres pays d'Afrique centrale engagés dans la foresterie communautaire, les résultats de cette étude pourraient trouver des applications lors des réformes prévues à l'issue de la phase expérimentale pour améliorer le cadre réglementaire régissant les CFCLs en RDC. / Since 2014, the Democratic Republic of Congo (DRC) has been engaged in the operationalization of community forestry, through the institutionalization of the local community forest concessions (LCFCs). This transition in governance is innovative for all institutions involved in the implementation of this process, both at the central and local levels. This study was initiated to explore the social acceptability of LCFCs and the resulting challenges for sustainable forest management in the DRC. Specifically, it was a question of(i) analyzing the evolution of the forest management system in the DRC; (ii) evaluating the perception and attitude of local communities toward LCFC as a forest management model; and (iii) document and explain the dynamics of citizens' involvement in the implementation of LCFCs. A mixed-methods approach, combining quantitative and qualitative research techniques, including semi-structured interviews (91), focus groups (11), and surveys of 239 households, was used in two LCFCs located in Maniema and Equateur Provinces, DRC. Results show that current forest management systems in the DRC are part of a long tradition, dating back to the pre-colonial and colonial eras, which continues to influence and characterize current management patterns. The institutional framework remains tainted by a colonial past which, coupled with the country's socio-economic and political contexts, makes it difficult to operationalize the reforms undertaken in the forestry sector, particularly those related to community forestry. The perception and social capital indices constructed in this study demonstrate a positive attitude of local communities toward the LCFC. Education, age, occupation, knowledge of the legal framework and family size are the main factors influencing attitudes toward LCFC. Administrative procedures increase the costs of acquiring a LCFC and negatively affect community attitudes. Finally, the results reveal the existence of a diversity of generally homogeneous local organizations with in the studied LCFCs. These community groups and social networks within villages provide a platform for stakeholders to share their knowledge, experiences, and concerns. These structures offer many opportunities for learning and can serve as a basis for improving the governance of LCFCs. However, traditionally marginalized groups such as youth, women, and indigenous peoples are poorly represented and rarely participate in community decision-making, which can limit their representation in LCFC governance bodies. This study demonstrates un potential for local community buy-in to the LCFC, and highlights the need to consider local realities, including local organizational structure and community capacity to take charge of a LCFC. In addition to being applicable to other Central African countries engaged in community forestry, the results of this study could be applied to the reforms planned at the end of the experimental phase to improve the regulatory framework governing LCFCs in the DRC.
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Le droit au développement des peuples autochtones et le régime juridique de l'exploitation minière en Guinée

Kaba, Fatoumata 19 January 2022 (has links)
La multiplication des projets miniers dans les territoires autochtones à travers le monde a généralement un fort impact sur l'environnement, la sécurité alimentaire, l'économie de subsistance traditionnelle, l'utilisation des terres, des ressources et le mode de vie socioculturelle des peuples autochtones. Sous le couvert du développement, des États soutiennent ces projets sans tenir compte des préoccupations pour leurs milieux de vie. Ils ne profitent pas souvent des grosses retombées financières issues de l'exploitation minière sur leur sol. Le cas de la Guinée est un exemple édifiant. L'extraction galopante des ressources minières de ce pays empiète considérablement le mode de vie des communautés autochtones. Un tel constat nous a amené à nous interroger sur le droit au développement des peuples autochtones et à son application dans le contexte minier. Il convient de rappeler que la notion de développement est elle-même d'abord largement controversée. Plusieurs approches proposent des conceptions toutes distinctes de la notion de développement. Parmi ces théories, celle de l'industrialisation reflète sans doute le mieux la conception du développement qui s'en dégage en Afrique. Dans cette thèse, nous cherchons à élaborer un cadre d'analyse du droit au développement des peuples autochtones qui repose sur les normes internationales et régionales. Après une étude des concepts de développement, de développement durable, de droit au développement, des critères de la normativité et de la justiciabilité en droit international, cette étude présente d'abord les principales composantes du droit au développement des peuples autochtones. Ensuite, nous allons nous servir des éléments constitutifs du droit au développement pour identifier les obligations des États et des entreprises minières dans sa mise en œuvre. Enfin, cette recherche vise à évaluer le respect par le droit guinéen des conditions d'application du droit au développement. L'examen critique nous amène à conclure que le régime juridique de l'exploitation minière en Guinée comporte des mesures lacunaires en ce qui concerne la protection de la vie politique, économique et socioculturelle des peuples autochtones. Nous avons constaté, qu'à certaines conditions, les ententes sur les répercussions et les avantages signés entre les entreprises minières et les peuples autochtones au Canada et en Australie, peuvent aider le droit guinéen à atteindre les objectifs du droit au développement des peuples autochtones. L'analyse documentaire fondée sur une approche critique du droit positif portant sur la doctrine, la législation et la jurisprudence a été utilisée comme méthode principale pour mener cette étude. À part le droit positif, nous admettons le pluralisme juridique qui justifie l'idée que les ordres juridiques autochtones coexistent avec le droit étatique. Le cadre analytique du droit au développement des peuples autochtones élaboré dans cette thèse, pourrait être utilisé afin d'analyser dans une perspective critique, les régimes miniers dans d'autres pays. / The proliferation of mining projects in indigenous territories around the world generally has a strong impact on the environment, food security, traditional subsistence economy, land use, resources and socio-cultural way of life of indigenous peoples. Under the guise of development, states support these projects without regard to concerns for their livelihoods. They often do not benefit from the large financial spin-offs from mining on their soil. The case of Guinea is an edifying example. The rampant extraction of mineral resources in this country is considerably encroaching on the way of life of indigenous communities. This observation led us to question the right to development of indigenous peoples and its application in the mining context. It should be recalled that the notion of development is itself at first widely controversial. Several approaches propose distinct conceptions of the notion of development. Among these theories, the industrialization theory probably best reflects the conception of development that emerges in Africa. In this thesis, we seek to develop a framework for analyzing indigenous peoples' right to development based on international and regional norms. Following a study of the concepts of development, sustainable development, the right to development, and the criteria of normativity and justiciability in international law, this study first presents the main components of indigenous peoples' right to development. Next, we will use the components of the right to development to identify the obligations of States and mining companies in its implementation. Finally, this research aims to evaluate the compliance of Guinean law with the conditions of application of the right to development. The critical review leads us to conclude that the legal regime for mining in Guinea is deficient in protecting the political, economic and socio-cultural life of indigenous peoples. We found that, under certain conditions, the impact and benefit agreements signed between mining companies and indigenous peoples in Canada and Australia can help Guinean law achieve the objectives of indigenous peoples' right to development. The literature review based on a critical approach to positive law, including doctrine, legislation and jurisprudence, was used as the main method for conducting this study. Apart from the positive law, we admit the legal pluralism that justifies the idea that indigenous legal orders coexist with the State law. The analytical framework of indigenous peoples' right to development developed in this thesis could be used to critically analyze mining regimes in other countries.
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« Si, però no pas així » : mobilisations citoyennes contre les parcs éoliens dans l'Alt Empordà (Catalogne, Espagne)

Bougie, Sabrina 03 August 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 26 juillet 2023) / Ce mémoire porte sur les mobilisations citoyennes ayant émergé en réponse à l'annonce de plusieurs propositions de parcs éoliens dans la région de l'Alt Empordà (Catalogne, Espagne). L'analyse puise conceptuellement dans les écrits de l'anthropologie de l'énergie et de l'écologie politique. Dans la continuité des auteurs et autrices qui contribuent au renouvellement de ces champs, cette recherche vise à illustrer comment les discours émanant de ces mobilisations participent à remettre en question l'imaginaire et entourant la transition énergétique et les énergies renouvelables. Le contexte de crise climatique mondiale, les législations précipitant une transition énergétique urgente ainsi que les incitatifs économiques sont quelques-uns des facteurs ayant mené à l'émergence d'un contexte favorable à un déferlement de propositions de parcs éoliens à partir de 2020. Face à cette situation et les possibles transformations majeures qu'induiraient les parcs éoliens sur le territoire, les populations et l'environnement, divers groupes citoyens ont émergé. Conjointement à des groupes écologistes et citoyens déjà établis, ceux-ci s'organisent pour freiner l'implantation des parcs éoliens. Par l'examen des craintes, des aspirations et des actions des personnes mobilisées, cette recherche permet de porter un regard critique sur la transition énergétique en cours dans la région, et ce, en montrant les rapports de pouvoir en son centre ainsi que les visions différenciées du territoire qui s'y rencontrent. Les luttes sociales en cours en Alt Empordà -- et les analyses qui en découlent -- mettent en lumière le caractère destructeur de la transition énergétique lorsqu'elle est menée par les États, élaborée sans la participation des populations, faite sous un modèle grande échelle et centralisé, en priorisant les intérêts de grandes entreprises. Les observations et les entretiens effectués laissent entrevoir des désirs alternatifs concernant le futur de la région et de la production énergétique. / This dissertation focuses on the citizen mobilizations that emerged in response to the announcement of several wind farm proposals in the Alt Empordà region (Catalonia, Spain). The analysis draws conceptually from the writings of the field of anthropology of energy and political ecology. Following authors who participate in the renewal of these fields, this research aims to illustrate how the discourses emanating from these struggles contribute to questioning the imaginaries surrounding the energy transition and renewable energies. The global climate crisis, legislations precipitating an urgent energy transition, and economic incentives are some of the factors that have led to the emergence of a favorable context for a proliferation of wind farm proposals starting in 2020. Faced with this situation and the major transformations that wind farms could induce on the territory, the populations and the environment, various citizen groups have emerged. Together with already established environmental and other citizen groups, they are organizing to stop their implantation. By examining the fears, aspirations and actions of the people mobilized, this research allows to take a critical look at the energy transition underway in the region, by showing the power dynamics at its center as well as the different visions of territory that intersect. The current social struggles in Alt Empordà -- and the analyses that arise from them -- highlight the destructive character of the energy transition when it is led by States, elaborated without the participation of its inhabitants, made under a large-scale and centralized model, prioritizing the interests of large companies. The observations and interviews conducted reveal the presence of alternative desires for the future of the region and of energy production. / Esta tesis se centra en las movilizaciones ciudadanas surgidas a partir del anuncio de varias propuestas de parques eólicos en la comarca del Alt Empordà (Cataluña, España). El análisis se inspira conceptualmente en los escritos de la antropología de la energía y la ecología política. En la continuidad de los autores que participan en la actualización de estos campos teóricos esta investigación se propone ilustrar cómo los discursos que emanan de estas luchas participan en el cuestionamiento del imaginario en torno a la transición energética y las energías renovables. El contexto de la crisis climática global, la legislación que precipita una transición energética urgente y los incentivos económicos son algunos de los factores que han propiciado en la aparición de un contexto favorable a una avalancha de propuestas de parques eólicos a partir de 2020. Confrontadas a esta situación y las posibles grandes transformaciones que los parques eólicos provocarían en el territorio, las poblaciones y el medio ambiente, han surgido diversos colectivos ciudadanos. Junto con grupos ecologistas y grupos ciudadanos ya establecidos, se están organizando para frenar su implantación. Examinando los temores, las aspiraciones y las acciones de las personas movilizadas, esta investigación permite mirar de manera crítica a la transición energética actual en la región, mostrando las relaciones de poder en su centro, así como las visiones diferenciadas del territorio que confluyen en ella. Las luchas sociales actuales en el Alt Empordà -- y los análisis que surgen de ellas -- evidencian el carácter destructivo de la transición energética cuando es conducida por los Estados, desarrollada sin la participación de la población y basada en un modelo centralizado y de gran escala, priorizando los intereses de las grandes empresas. Las observaciones y entrevistas realizadas sugieren deseos alternativos para el futuro de la región y de la producción energética. / Aquesta tesi se centra en les mobilitzacions ciutadanes sorgides com a resposta a l'anunci de diverses propostes de parcs eòlics a la comarca de l'Alt Empordà (Catalunya, Espanya). L'anàlisi es basa conceptualment en els escrits de l'antropologia de l'energia i l'ecologia política. En la continuïtat dels autors que participen en la renovació de coneixement en aquests àmbits disciplinaris, aquesta recerca pretén demostrar com els discursos emanats d'aquestes lluites contribueixen a qüestionar la imaginació al voltant de la transició energètica i les energies renovables. El context de crisi climàtica mundial, la legislació que precipita una transició energètica urgent i els incentius econòmics són alguns dels factors que han propiciat l'aparició d'un context favorable per a un augment de propostes de parcs eòlics a partir del 2020. aquesta situació i les possibles grans transformacions que el vent les explotacions agràries induirien sobre el territori, les poblacions i el medi ambient, han sorgit diversos col·lectius ciutadans. Juntament amb grups ecologistes i ciutadans establerts, s'estan organitzant per frenar el seu establiment. Mitjançant l'examen de les pors, aspiracions i accions de les persones mobilitzades, aquesta recerca ens permet fer una mirada crítica a la transició energètica en curs a la regió, mostrant les relacions de poder al seu centre així com les visions diferenciades del territori que es reuneixen. allà. Les lluites socials en curs a l'Alt Empordà -- i les anàlisis que se'n deriven -- posen de manifest el caràcter destructiu de la transició energètica quan és liderada pels Estats, elaborada sense la participació de les poblacions, realitzada sota un model a gran escala i centralitzat, prioritzant els interessos de les grans empreses. Les observacions i entrevistes realitzades suggereixen desitjos alternatius pel que fa al futur de la regió i de la producció d'energia.
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Les dimensions silencieuses de l'acceptabilité sociale en contexte autochtone

Fortin, Julie 07 May 2022 (has links)
Cette thèse propose une analyse des dimensions silencieuses de l'acceptabilité sociale en contexte autochtone, qui peuvent limiter la capacité de délibération et de négociation des communautés. Du point de vue de l'industrie, la notion de « licence sociale pour opérer » sert à légitimer les projets en mettant de l'avant des valeurs de dialogue et de consensus. Or, malgré les avancées importantes qui découlent de l'adoption de normes internationales en matière de responsabilité sociale, le respect des engagements fait parfois défaut, particulièrement dans le cas des compagnies d'exploration juniors. En effet, la précarité de ces compagnies, le fait qu'elles soient moins scrutées que leurs homologues bien établies et leur besoin d'obtenir rapidement le soutien de la population pour convaincre les investisseurs, causent une pression importante sur les communautés locales et placent ces-dernières dans une position de vulnérabilité, surtout si elles disposent de ressources limitées. Par ailleurs, le partage de bénéfices avec les communautés et le financement d'infrastructures, en palliant les lacunes de l'État, engendrent une relation de dépendance économique et contribuent à la détérioration du tissu social des communautés. Enfin, malgré la promotion du dialogue, tant par l'État que par l'industrie, les membres des communautés qui veulent participer aux négociations doivent adopter le discours corporatif, une exigence qui a pour effet d'exclure certains thèmes et individus des discussions, tels que les femmes, les jeunes et les personnes ayant un mode de vie plus traditionnel. Dans le champ des relations publiques, malgré la prolifération de modèles théoriques axés sur le dialogue, aucun d'entre eux ne permet de bien saisir les relations de pouvoir asymétriques entre les acteurs impliqués dans ces processus de façon réaliste et empirique, du point de vue des publics. Notre recherche vise à combler cette lacune, en proposant trois idéaux-types relationnels qui caractérisent les rapports entre les communautés autochtones et les compagnies minières. De façon plus précise, l'objectif général de cette thèse consiste à comprendre comment, dans le cadre des projets miniers en phase d'exploration, la capacité de négociation et de délibération des communautés autochtones est influencée par les relations de pouvoir entre les acteurs, les perceptions du projet, les émotions qu'il engendre, de même que ses impacts sur la cohésion sociale. Ces éléments sont caractérisés comme des dimensions silencieuses de l'acceptabilité sociale en contexte autochtone. Cette recherche adopte la posture épistémologique du pragmatisme critique, inspiré de la philosophie sociale de Dewey. Cette posture vise d'une part à mettre en relief les relations de pouvoir qui limitent la capacité d'expression et d'émancipation des individus, et d'autre part à restituer leur expérience vécue, afin de nourrir la réflexion critique et de soutenir leur capacité démocratique. Dans cette optique, notre perspective théorique se déploie sur trois axes. Le premier, ancré dans les approches socioculturelles en relations publiques, nous permet d'analyser les « registres silencieux » du pouvoir déployés par l'industrie minière pour assurer sa légitimité, notamment les campagnes de lobbyisme et les programmes de responsabilité sociale. Le deuxième axe nous permet de faire une analyse sociohistorique en abordant les politiques coloniales au Canada, de même que les stratégies d'adaptation, de résistance et de résilience mises en place par les Autochtones. Enfin, le troisième axe, davantage ancré en psychologie sociale et en anthropologie, porte sur les émotions, la façon dont elles sont influencées par la culture et par les bouleversements environnementaux, de même que sur leurs différentes modalités d'expression en contexte autochtone. Dans une perspective de décolonisation de la recherche, notre cadre théorique mobilise les travaux de nombreux chercheurs autochtones dans des disciplines variées telles que la psychologie, le travail social, l'anthropologie, les études autochtones, les sciences de l'environnement et la géographie culturelle. Cette thèse s'appuie sur deux études de cas, soit la communauté crie de Nemaska et le village inuit d'Aupaluk. En collaboration avec les organisations locales, les données ont été recueillies à l'aide d'entretiens semi-dirigés, d'observation participante, d'un sondage, d'un groupe de discussion et d'analyses documentaires. Une analyse typologique nous a permis d'inscrire les données recueillies dans le contexte historique, structurel et social plus large desquelles elles sont issues et d'identifier trois idéaux-types de rapports entre les compagnies minières et les communautés autochtones : l'union forcée, le bienfaiteur et la reprise de contrôle. Ces trois idéaux-types relationnels viennent combler un manque dans la littérature sur l'acceptabilité sociale et sur les approches dialogiques en relations publiques et présentent un portrait plus complexe et nuancé des rapports entre les communautés autochtones et l'industrie minière. Enfin, ces trois idéaux-types constituent des grilles d'analyse permettant de juger de la nature du consentement d'une communauté à l'égard d'un projet, une dimension centrale à l'acceptabilité sociale. / This thesis proposes an analysis of the silent dimensions of social acceptability in an indigenous context, which can limit the communities' capacity for deliberation and negotiation. From an industry perspective, the notion of "social license to operate" is used to legitimize projects by promoting notions of dialogue and consensus. However, despite the significant advances that have been made through the adoption of international standards on social responsibility, compliance with commitments is sometimes lacking, particularly in the case of junior exploration companies. Indeed, the precariousness of these companies, the fact that they are less scrutinized than their well-established counterparts, and their need to quickly gain public support in order to convince investors, cause significant pressure on local communities and place them in a vulnerable position, especially if they have limited resources. Furthermore, profit sharing with communities and financing of infrastructure, by compensating for the shortcomings of the state, creates a relationship of economic dependence and contributes to the deterioration of the social fabric of communities. Finally, despite the promotion of dialogue by both government and industry, community members who want to participate in the negotiations must adopt the corporate discourse, a requirement that has the effect of excluding certain issues and individuals from the discussions, such as women, youth and people with more traditional lifestyles. In the field of public relations, despite the proliferation of dialogue-based theoretical models, none of them adequately capture the asymmetrical power relations between actors in a realistic and empirical way, from the perspective of the publics. Our research aims to fill this gap by proposing three ideal-types that illustrate the relationships between Indigenous communities and mining companies. More specifically, the overall objective of this thesis is to understand how, in the context of mining projects in the exploration phase, the negotiation and deliberation capacity of indigenous communities is influenced by the power relations between actors, the perception of the project, the emotions generated, as well as the impacts of the project on social cohesion. These elements are characterized as silent dimensions of social acceptability in an indigenous context. This research is in line with the epistemological posture of critical pragmatism, inspired by Dewey's social philosophy. This posture aims on the one hand to highlight the power relations that limit the capacity of expression and emancipation of individuals, and on the other hand to restore their lived experience, with a view to nourishing critical reflection and supporting their democratic capacity. In this perspective, our theoretical perspective is deployed on three axes. The first, rooted in socio-cultural approaches to public relations, allows us to analyze the "silent registers" of power deployed by the mining industry to ensure its legitimacy, notably lobbying campaigns and social responsibility programs. The second axis allows us to make a socio-historical analysis by addressing colonial policies in Canada, as well as the strategies of adaptation, resistance and resilience put in place by Indigenous peoples. Finally, the third axis, more rooted in social psychology and anthropology, deals with emotions, how they are influenced by culture and environmental upheavals, as well as their different modes of expression in an indigenous context. From the perspective of decolonizing research, our theoretical framework mobilizes the work of many Indigenous scholars in a variety of disciplines such as psychology, social work, anthropology, Native studies, environmental sciences and cultural geography. This thesis consists of two case studies, the Cree community of Nemaska and the Inuit village of Aupaluk. In collaboration with local organizations, data was collected through semi-structured interviews, participant observation, a survey, a focus group and document analysis. A typological analysis allowed us to situate the data collected within the broader historical, structural and social context from which it emerged and to identify three ideal-types of relationships between mining companies and indigenous communities: forced union, benefactor and control shift. These three relational ideal-types fill a gap in the literature on social acceptability and dialogical approaches to public relations and present a more complex and nuanced picture of the relationships between indigenous communities and the mining industry. Finally, these three ideal-types provide analytical grids for judging the nature of a community's consent to a project, a central dimension of social acceptability.
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Les ententes sur les répercussions et avantages et le consentement autochtone en matière de développement minier : le cas de l’entente Mecheshoo

Côté-Demers, Mattieu 12 1900 (has links)
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