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Les effets de féminisation et de fréquence d'occurrence sur la production de lettres muettes dérivables chez les enfants du primaire

L'Heureux, Lise 12 1900 (has links) (PDF)
Cette recherche a pour objectif de recenser à quel niveau scolaire les enfants représentent les consonnes terminales dérivables qui ne sont pas sonorisées à l'oral et d'observer l'influence de trois facteurs explicatifs des scores de réussite : la féminisation du mot, sa fréquence d'occurrence et la langue maternelle des sujets. 431 élèves du primaire, de tous les niveaux, ont écrit une dictée composée de 24 paires de mots morphologiques de type lait/laitier, regroupés selon trois types de conditions morphologiques de féminisation et de fréquence d'occurrence. Les participants étaient composés de francophones (n = 278) et d'anglophones inscrits dans un programme d'immersion française (n = 153). Nos données révèlent que dès la fin du 1er cycle du primaire, tous les enfants produisent des consonnes muettes terminales et que la moitié des enfants de 2e année ont atteint un score de réussite de 70% ou plus. Un plafonnement (< 5% d'erreurs) est observé dès le début du 3e cycle du primaire. Par ailleurs, la fréquence du radical et la fréquence de la famille morphologique ont des effets significatifs sur la production de la consonne muette du radical, et ce, à tous les niveaux. Cependant, contrairement aux observations empiriques antérieures où l'on avait observé des effets de féminisation, mais sans contrôler la fréquence entre les mots avec et sans féminin, dans la présente recherche aucun effet de féminisation n'a été observé. Cela suggère que l'effet de féminisation observé dans les autres études s'expliquerait par la fréquence des radicaux qui peuvent être féminisés et non par la présence de la flexion féminisante. Finalement, les résultats indiquent que la langue maternelle agit sur la production des consonnes muettes. À partir de la 3e année, les francophones réussissent significativement mieux que les anglophones dans un programme d'immersion. De plus, on observe une interaction entre la langue et la fréquence des mots. Les deux groupes linguistiques ont des scores similaires lorsque les mots sont fréquents, mais lorsqu'ils sont rares, les anglophones n'atteignent pas le niveau de réussite des natifs du français. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : morphologie, morphologie dérivationnelle, acquisition du langage, langage écrit, orthographe, français
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Étude du rôle de la rétroaction auditive dans la production et la perception de la prosodie de l'interrogation chez des sourds postlinguistiques implantés

Giroux, Marilyn 05 1900 (has links) (PDF)
La théorie du contrôle moteur de la parole par buts auditifs de Perkell soutient que la rétroaction auditive jouerait un rôle important lors de l'acquisition du langage en permettant la construction d'un modèle interne de la relation entre articulation et résultat acoustique. Une fois mature, ce modèle serait maintenu à jour grâce à l'audition, qui permettrait d'ajuster la production de la parole afin d'en assurer l'intelligibilité. De plus, il fournirait des commandes motrices (feedforward commands) permettant la production de la parole sans que le locuteur ait constamment à se fier à son audition. Or, les personnes sourdes postlinguistiques profondes ne peuvent plus se fier à la rétroaction auditive pour maintenir à jour leur modèle interne. Par ailleurs, les implants cochléaires ne permettraient pas une bonne perception des paramètres suprasegmentaux (qui composent la prosodie). La perception de ces paramètres étant touchée, la représentation interne serait affectée. Qui plus est, ces paramètres seraient, dans la parole, ceux qui se dégradent le plus rapidement en l'absence de rétroaction auditive. Ce mémoire a donc pour but, d'une part, d'observer les capacités de production des paramètres prosodiques par des sourds porteurs d'implant cochléaire, tant avec leur implant en marche qu'avec leur implant éteint; d'autre part, d'évaluer leurs capacités de perception des indices prosodiques; enfin, d'établir un lien entre les capacités de production et de perception de ces locuteurs en ce qui a trait à la prosodie. Des énoncés interrogatifs et assertifs non marqués linguistiquement ont été produits par trois participants sourds et trois participants contrôles, puis évalués par des auditeurs. Les mêmes énoncés, enregistrés par un homme puis manipulés pour obtenir des courbes intonatives assertives et interrogatives, servaient de corpus à un test de perception. Ces tests ont montré que les participants sourds, tant en condition d'implant éteint qu'en condition d'implant en marche, produisaient plus de variations de fréquence fondamentale et des segments plus longs que les locuteurs contrôles. Leurs énoncés interrogatifs étaient moins bien évalués par les auditeurs que ceux des locuteurs contrôles. Au test de perception, les sourds ont, dans l'ensemble du test, obtenu de moins bons résultats que les participants contrôles. Ceux ayant reçu les moins bonnes évaluations de leurs énoncés produits sont aussi ceux qui ont le moins bien réussi au test de perception. Dans l'ensemble, ces résultats corroborent le postulat de la théorie du contrôle moteur par buts auditifs qui veut que l'audition joue un rôle important dans la parole. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : surdité postlinguistique, audition, implant cochléaire, prosodie, rétroaction auditive, théorie du contrôle moteur de la parole par buts auditifs de Perkell
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La poursuite auditive du mouvement acoustique vers l'acquisition des catégories phonétiques

Gauthier, Bruno January 2009 (has links) (PDF)
Cette thèse explore le développement de la parole chez l'enfant durant la première année de vie. Elle vise précisément à caractériser le mécanisme à la base de l'acquisition des catégories phonétiques. Les nombreuses recherches dans le domaine offrent un portrait compréhensible de la trajectoire développementale de la perception de la parole. Les mécanismes de ce développement demeurent toutefois mal compris, particulièrement en ce qui a trait aux stratégies de l'enfant pour faire face au problème de la variabilité. En s'inspirant des théories de l'invariance chez l'adulte et sur la base de données empiriques chez l'enfant, cette thèse présente trois études visant à soutenir l'hypothèse selon laquelle la poursuite auditive du mouvement acoustique sous-tend l'acquisition des catégories phonétiques. Tout d'abord, deux études de modélisation simulent l'acquisition d'un type particulier de catégories phonétiques, les tons lexicaux, par le biais de réseaux neuronaux artificiels de type non supervisé. Ces simulations évaluent l'impact de diverses sources de variabilité et l'efficacité du mouvement acoustique sur la catégorisation des tons en chinois mandarin. Les résultats montrent que malgré un degré modéré de variabilité, les patrons de fréquence fondamentale présentent des régularités permettant de distinguer les quatre tons mandarins, sans information préalable quant au nombre de catégories à découvrir. Ceci suggère que le signal acoustique continu peut suffire à l'acquisition des tons lexicaux, sans besoin de faire appel à un ensemble de propriétés phonétiques abstraites. En présence de multiples sources de variabilité cependant, l'information spectrale du signal de surface n'entretient qu'une faible relation avec les sons de la parole recherchés. À l'opposé, l'information dynamique (les profils de vélocité de la fréquence fondamentale) permet d'atteindre un niveau de performance comparable à celui de l'adulte pour l'identification des tons. De plus, les quatre profils de vélocité découverts par le réseau neuronal correspondent aux quatre tons mandarins et permettent de caractériser les gestes invariants impliqués dans la production tonale. Afin de vérifier si l'enfant peut faire usage de cette stratégie dynamique pour normaliser le signal de la parole, une étude comportementale examine ensuite la capacité d'enfants préverbaux à percevoir des variations acoustiques reflétant une contrainte articulatoire. Une procédure de regard préférentiel est utilisée afin de vérifier si des enfants de 4 et 8 mois peuvent distinguer entre eux des patrons d'intonation possibles et impossibles sur le plan articulatoire et produits par un locuteur inconnu. Les résultats montrent que les enfants des deux groupes d'âge écoutent plus longuement les stimuli possibles, indiquant qu'ils peuvent détecter des variations subtiles de vélocité de la fréquence fondamentale et préfèrent les variations qui respectent la contrainte articulatoire. Ces résultats suggèrent qu'en bas âge déjà, les enfants peuvent calculer la première dérivée d'informations spectrales continues et réduire la variabilité interlocuteur à partir de la dynamique du signal acoustique. Le modèle proposé par les études de simulations permet d'établir l'efficacité de l'information dynamique dans le développement phonétique. L'étude comportementale permet pour sa part de vérifier la sensibilité à cette information chez l'enfant en bas âge. Ces résultats suggèrent que l'invariance se situe à la fois au niveau acoustique/auditif, moteur et développemental, et que la poursuite auditive du mouvement acoustique reflétant les gestes articulatoires représente une stratégie efficace pour l'acquisition des catégories phonétiques. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Catégories phonétiques, Apprentissage distributionnel, Perception de la parole, Production de la parole, Acquisition du langage, Réseaux neuronaux artificiels non-supervisé.
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Acquisition de la morphosyntaxe chez les enfants préverbaux francophones du Québec

Marquis, Alexandra 05 1900 (has links) (PDF)
Ce travail a pour objectif de mieux comprendre les mécanismes d'acquisition de la morphosyntaxe chez les enfants préverbaux francophones du Québec. Il vise également à déterminer l'âge et les étapes d'acquisition des morphèmes verbaux au stade préverbal, stade précédant la production de la parole. Il apparaît qu'un grand nombre de chercheurs aient étudié les processus d'acquisition de mots appartenant à la catégorie des noms, en considérant tant le langage naturel (par ex. Bortfeld, Morgan, Golinkoff et Rathbun, 2005; Jusczyk et Aslin, 1995) qu'artificiel (par ex. Saffran, Aslin et Newport, 1996; Johnson et Jusczyk, 2001). Il semble y avoir une lacune en ce qui concerne les processus d'acquisition de la morphosyntaxe qui sous-tendent l'organisation et l'acquisition des formes verbales. Le traitement des verbes n'a toujours pas été examiné auprès d'enfants francophones, tant d'Europe que du Québec. De plus, le traitement des verbes monosyllabiques n'a encore jamais été exploré. Est-ce que les enfants peuvent analyser les verbes? Quelles sont les formes verbales analysées? Comment est-ce que le système du langage fonctionne? L'hypothèse de recherche est que les capacités morphosyntaxiques des enfants se doivent d'être en fonction avant l'explosion verbale, qui survient vers l'âge de 18 mois (par ex. Bloom, 1973; Fenson, Dale, Reznick, Bates, Thal et Pethick, 1994). La première expérience a pour but de vérifier si les enfants au stade préverbal peuvent démontrer, en situation de discours continu, des capacités de reconnaissance et de segmentation d'une forme verbale simple : la forme racine (par ex. mange). En mesurant leur attention, on a évalué la structure des connaissances verbales chez des enfants francophones du Québec. Les résultats obtenus indiquent un changement, dans la capacité de reconnaître un verbe en discours continu, entre les âges de 8 et 11 mois. Les enfants ont démontré pouvoir reconnaître et segmenter des verbes français ayant la forme de la racine, à l'âge de 11 mois, bien avant la production de ceux-ci (Marquis et Shi, 2008). Par contre, les enfants âgés de 8 mois n'ont démontré aucune préférence, suggérant qu'à cet âge, ils ne possèdent pas encore les capacités révélées trois mois plus tard. Ces résultats sont surprenants considérant les résultats obtenus auprès d'enfants anglophones qui ont démontré leurs capacités de traiter les verbes seulement à l'âge de 13,5 mois, mais uniquement pour les verbes débutant par une consonne (Nazzi et al., 2005). La seconde série d'expériences concerne les Expériences 2, 3 et 4 au Chapitre III. Ces expériences visent à déterminer les processus d'association de formes verbales différentes en français en conditions de racine et de morphème fréquent [e], comme c'est le cas pour le verbe « couler » entre les formes « coule » et « coulé ». Les enfants doivent se rendre compte des liens sémantiques qui existent à l'intérieur d'une famille de mots. Les évidences disponibles pour cette éventuelle interprétation se retrouvent sous les différentes réalisations d'un mot enregistré dans le lexique mental. Un seul item serait lexicalisé, la racine du mot (par ex. mange), et une règle générative (par ex. ajouter lei à la fin de la racine pour former mangez 2p) fournirait les outils afin d'obtenir les autres formes possibles (par ex. Pinker, 1991; Pinker et Prince, 1988, 1994; Prasada et Pinker, 1993). Cette capacité d'association lexicale pourrait contribuer à déterminer la signification des mots ou concepts de la langue. Les résultats démontrent que non seulement les enfants francophones du Québec associent des formes verbales variables à l'âge de 11 mois, mais qu'ils possèdent un début de paradigme de conjugaison (Marquis et Shi, 2007). L'évaluation d'enfants plus âgés (14 et 18 mois) permet de déterminer qu'un traitement morphologique plus approfondi survient entre les âges de 11 et 14 mois. Au Chapitre IV, pour faire suite aux résultats obtenus aux expériences du chapitre précédent nous avons construit de nouvelles expérimentations, avec des conditions de Test similaires aux expériences précédentes, en gardant cette fois les variations phonologiques constantes. Les enfants avaient à reconnaître et associer des formes non identiques d'un verbe potentiel, en conditions de vrai et de faux morphèmes. Les résultats de l'Expérience 5 appuient l'hypothèse selon laquelle les enfants encodent avec détail les formes verbales traitées (Marquis et Shi, 2009). La sixième expérimentation, au Chapitre V, visait à reproduire, en accéléré, les processus d'apprentissage d'un paradigme verbal. Plusieurs exemplaires d'une quinzaine d'items partageant une nouvelle terminaison ont été présentés. Suivait ensuite l'introduction d'un nouvel item sans terminaison. Finalement, la phase de Test consistait en séquences ayant, à la place du verbe, le nouvel item avec la nouvelle terminaison. Les résultats indiquent l'apprentissage d'une nouvelle terminaison en seulement 120 secondes d'exposition. Les capacités mises en évidence suggèrent une modélisation des régularités du langage par la reconnaissance des concordances présentes dans les terminaisons entre les formes simples et conjuguées. Les expériences du sixième chapitre évaluent l'encodage des suffixes et des racines des verbes en situation d'indices conflictuels statistiques et syllabiques chez des enfants francophones du Québec. L'évaluation d'enfants âgés de 11 mois suggère une sous-spécification d'une nouvelle racine verbale (Marquis et Shi, sous presse) tandis que les 14 mois démontrent une utilisation des indices statistiques afin de catégoriser une nouvelle forme (Shi et Marquis, 2009). Cette étude vient corroborer la recherche sur le développement du langage, notamment concernant le traitement des formes verbales et la nature des paradigmes verbaux chez des enfants préverbaux francophones du Québec. L'hypothèse selon laquelle les enfants peuvent démontrer l'utilisation de connaissances morphologiques précédant la production de ces connaissances s'avère confirmée. ______________________________________________________________________________
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L'acquisition des modifieurs nominaux : le cas de l'adjectif du français

Fox, Gwendoline 04 December 2012 (has links) (PDF)
Acquérir l'adjectif épithète pose deux problèmes majeurs en français. D'abord, l'adjectif dénote une propriété à propos d'un nom, les enfants doivent donc pouvoir concevoir un objet comme un tout et comme un ensemble de propriétés pour manier un SN avec épithète. Ensuite, l'alternance est un trait définitoire de l'adjectif du français, mais son placement n'est pas aléatoire et les contraintes en jeu sont multiples et d'ordre tendanciel. De plus, bien que les locuteurs connaissent cette possibilité, ils optent plutôt pour un placement fixe en usage. Ces faits nous ont amenée à nous demander si l'input permet à l'enfant de se construire la notion d'adjectif épithète sans avoir recours à des connaissances langagières innées. Pour y répondre, nous proposons une étude comparant les usages de trois enfants à ceux de leur famille à deux temps de leur acquisition (T1 : 3 ;8, T2 : 4 ;6). Nous étudions quatre aspects de l'usage de l'épithète (lexique, placement, combinaison avec d'autres modifieurs ou un dépendant adjectival) et nous confrontons l'adjectif aux autres modifieurs nominaux. Ces phénomènes montrent tous la même évolution. À T1, les enfants emploient la construction la plus fréquente des adultes, avec un fort degré de spécificité lexicale. À T2, d'autres constructions émergent selon leur ordre de fréquence chez les adultes. Le lexique de la construction de T1 s'est en outre élargi dans le champ de la classe sémantique des usages de T1. Les enfants montrent ainsi une sensibilité aux informations quantitatives et une abstraction graduelle des structures par analogie sémantique, qui plaident pour une construction progressive de la notion d'adjectif épithète à partir de l'input.
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Comment les enfants jonglent avec les contraintes communicationnelles, discursives et linguistiques dans la production d'une narration

Kern, Sophie 25 January 1997 (has links) (PDF)
cette thèse porte sur le développement du récit chez les enfants francophones monolingues entre 3 et 11 ans. Etude de la référence aux personnages, aux actions et de la connexion
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Implant cochléaire et dévelppement du langage chez les jeunes enfants sourds profonds

Briec, Julie 11 December 2012 (has links) (PDF)
La présente thèse se compose de trois études en lien avec le développement du langage chez les enfants sourds profonds porteurs d'un implant cochléaire. La première étude a pu mettre en lumière le développement des échanges conversationnels chez un groupe de 28 enfants implantés sur une période de deux ans suivant l'implantation. La tendancerelevée est un développement des habilités conversationnelles vers un profil plus autonome et actif ; en particulier, nous notons que les enfants implantés ne se distinguent plus significativement des enfants entendants du même âge en ce qui concerne les initiatives deux ans après l'implantation. La deuxième étude se proposait, quant à elle, d'explorer la question des différences interindividuelles. C'est chez un groupe de 21 enfants sourds profonds, implantés depuis en moyenne 6 ans 1 mois, que l'origine des différences interindividuelles au niveau du lexique (réception et production) a été mise enquestion. Il ressort que les facteurs " âge à l'implantation " et " timidité de l'enfant " jouent un rôle dans ces différences : une implantation précoce et un faible niveau de timidité chez l'enfant apparaissent en effet favoriser le développement dulexique. Enfin, la troisième étude s'intéressait à l'ajustement mutuel, variable fondamentale lorsqu'on s'intéresse au développement du langage dans une perspective socio‐constructiviste. Il s'agissait, à l'aide d'une méthodologie originale inspirée de la théorie des systèmes dynamiques, d'analyser l'évolution de l'ajustement mutuel chez 23 dyades enfantimplanté/mère entendante au cours d'un suivi longitudinal de deux années. Nos résultats confirment l'influence positive de l'implant cochléaire dans la mise en place d'échanges harmonieux entre les enfants implantés et leur mère, traduisantl'acquisition d'habilités conversationnelles importantes pour le développement ultérieur de la langue de l'enfant
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Uma proposta enunciativa para o tratamento da metalinguagem na aquisição da linguagem

Stumpf, Elisa Marchioro January 2010 (has links)
Cette étude a pour objectif élaborer un propos énonciatif pour le traitement du métalangage dans l’acquisition du langage. Dès une recherche bibliographique sur le métalangage dans l’acquisition du langage, on a constaté le manque d’une explication énonciative à ce phénomène. En nous basant sur la perspective énonciative en l’acquisition du langage (SILVA, 2009), on cherche dans la théorie énonciative d’Émile Benveniste des indications pour comprendre le métalangage dans son oeuvre. On a lu son oeuvre pour chercher des fragments qui nous permettent de réflechir comment il comprend le métalangage. Ainsi, on a formulé ce qu’on peut comprendre par métalangage dans sa théorie énonciative : une propriété des langues qui rend possible la création des références sur la langue elle-même. Cela est fait au moyen de ce qu’on appelle les mécanismes d’interprétance. Depuis ça, on a fait quelques dérivations pour comprendre comme cela se produit dans l’acquisition du langage. Si l’on considère que l’enfant entre dans le monde et dans le langage en même temps, ces deux réalités sont liées par un acte de dénomination qui se réalise à travers de l’énonciation. On propose que la dénomination du monde et la réflexion sur la langue ne sont pas pacifiques et demandent, plusieurs fois, un retour sur le discours à travers des mécanismes d’interprétance. Les analyses cherchent à décrire les manières particulières à travers lesquelles l’enfant emploie tels mécanismes dans son discours. On conclut que le propos énonciatif pour le traitement du métalangage permet d’expliquer et de décrire les mécanismes et les manières employés par l’enfant et, au lieu de definir des phases ou l’ordre des manifestations de ces mécanismes, peut comprendre la parole de l’enfant dans sa singularité et faire attention aux faits particuliers, en révélant l’inscription de l’enfant comme sujet dans le langage. / Esta dissertação tem como objetivo elaborar uma proposta enunciativa para o tratamento da metalinguagem na aquisição da linguagem. A partir de uma pesquisa bibliográfica sobre a metalinguagem na aquisição da linguagem, constatou-se a falta de uma explicação enunciativa para esse fenômeno. Ancorados em uma perspectiva enunciativa em aquisição da linguagem (SILVA, 2009), busca-se na teoria enunciativa de Émile Benveniste indicações para compreender a metalinguagem dentro da obra do autor. Foi realizada uma leitura dos Problemas de Linguística Geral I e II a fim de buscar trechos que nos permitissem inferir como Benveniste entende a questão da metalinguagem. Assim, formula-se o que se entenderia por metalinguagem na sua teoria enunciativa, entendida como uma propriedade das línguas que possibilita a criação de referência sobre a língua. Isso se realiza por meio do que chamamos de mecanismos de interpretância. A partir disso, realizam-se algumas derivações para compreender como isso ocorre na aquisição da linguagem, Considerando que a criança entra no mundo e na linguagem ao mesmo tempo, essas duas realidades são ligadas através de um ato de nomeação, que se dá através da enunciação. Propõe-se que a nomeação do mundo e a reflexão sobre a língua não são atos pacíficos e exigem, muitas vezes, um retorno sobre o discurso por meio dos mecanismos de interpretância. Através das análises, procura-se descrever os modos peculiares através dos quais a criança emprega tais mecanismos no seu discurso. Conclui-se que a proposta enunciativa para o tratamento da metalinguagem permite explicar e descrever os mecanismos e modos empregados pela criança e, em vez de definir fases ou ordem de aparecimento de tais mecanismos, pode tomar a fala da criança na sua singularidade e atentar para fatos particulares que muito dizem da inscrição da criança como sujeito na linguagem.
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Linguagem dirigida à criança pequena: a argumentação em foco

Cury, Patricia de Cuzzo [UNESP] 22 July 2011 (has links) (PDF)
Made available in DSpace on 2014-06-11T19:26:48Z (GMT). No. of bitstreams: 0 Previous issue date: 2011-07-22Bitstream added on 2014-06-13T20:34:49Z : No. of bitstreams: 1 cury_pc_me_arafcl.pdf: 730520 bytes, checksum: 2a5561e842fc3e4737de9c99ce016ead (MD5) / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES) / Devant les différentes possibilités d'études en acquisition du langage (ils peuvent se consacrer dans la langue maternelle, langue étrangère, le bilinguisme, l'écriture, les troubles de langage) et des approches théoriques, élus parmi les questions que le chercheur se met devant l'objet (discours de l'enfant), notre objectif est de collaborer avec ces études en acquisition du langage, en se concentrant sur le rôle du langage des parents adressé aux enfants dans les interactions dialogiques présents dans le contexte naturel de la vie quotidienne. Ainsi, nous avons l'intention de vérifier dans quelle mesure l'argument des parents peut aider un enfant, agé de 20 à 33 mois ( dans ce travail identifié par A.) dans le processus d'acquisition du langage, dans une perspective discursive et dialogique, basée sur les idées de Bakhtine (1976; 1988; 2003). Pour les questions liées à l'acquisition du langage et à l'importance de l'interaction sociale, nous cherchons à lier les idées d'auteurs tels que Vygotsky (1979; 1984), François (1989; 1990; 2006) et Bruner (1991; 1997; 2004). Pour répondre aux questions argumentatives, nous nous appuyons sur quelques réflexions offertes par Selma Leitão (2000; 2001; 2007a; 2007b; 2008). Nous cherchons, à partir de ce cadre théorique, de déterminer dans quelle mesure les arguments des parents adressés à l'enfant peuvent l‟aider dans le processus d'acquisition du langage / Considerando as diferentes possibilidades de estudos em Aquisição da Linguagem (podem dedicar-se à língua materna, língua estrangeira, bilinguismo, língua escrita, desvios de linguagem etc.) e as abordagens teóricas, eleitas a partir das questões que o pesquisador se coloca frente ao objeto (fala da criança), nosso objetivo é colaborar com os estudos em aquisição de língua materna, focalizando o papel da linguagem dos pais dirigida à criança nas interações dialógicas presentes no contexto natural do cotidiano. Com isso, pretendemos verificar em que medida a argumentação dos pais pode ajudar uma criança, dos seus 20 aos 33 meses de idade, neste trabalho identificada por A., no seu processo de aquisição da linguagem, em uma perspectiva discursiva e dialógica, baseadas nas ideias de Bakhtin(1976; 1988; 2003). Quanto às questões relacionadas à aquisição da Linguagem e à importância da interação social, buscamos relacionar as ideias de autores como Vygotsky (1979; 1998), François (1989; 1990,2006) e Bruner (1991,1997,2004). Para tratar das questões argumentativas, nos baseamos em algumas reflexões propostas por Selma Leitão (2000; 2001; 2007a; 2007b; 2008). Buscamos, a partir deste quadro teórico, verificar em que medida a argumentação dos pais dirigida à criança pode ajudar no processo de aquisição de linguagem
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Uma proposta enunciativa para o tratamento da metalinguagem na aquisição da linguagem

Stumpf, Elisa Marchioro January 2010 (has links)
Cette étude a pour objectif élaborer un propos énonciatif pour le traitement du métalangage dans l’acquisition du langage. Dès une recherche bibliographique sur le métalangage dans l’acquisition du langage, on a constaté le manque d’une explication énonciative à ce phénomène. En nous basant sur la perspective énonciative en l’acquisition du langage (SILVA, 2009), on cherche dans la théorie énonciative d’Émile Benveniste des indications pour comprendre le métalangage dans son oeuvre. On a lu son oeuvre pour chercher des fragments qui nous permettent de réflechir comment il comprend le métalangage. Ainsi, on a formulé ce qu’on peut comprendre par métalangage dans sa théorie énonciative : une propriété des langues qui rend possible la création des références sur la langue elle-même. Cela est fait au moyen de ce qu’on appelle les mécanismes d’interprétance. Depuis ça, on a fait quelques dérivations pour comprendre comme cela se produit dans l’acquisition du langage. Si l’on considère que l’enfant entre dans le monde et dans le langage en même temps, ces deux réalités sont liées par un acte de dénomination qui se réalise à travers de l’énonciation. On propose que la dénomination du monde et la réflexion sur la langue ne sont pas pacifiques et demandent, plusieurs fois, un retour sur le discours à travers des mécanismes d’interprétance. Les analyses cherchent à décrire les manières particulières à travers lesquelles l’enfant emploie tels mécanismes dans son discours. On conclut que le propos énonciatif pour le traitement du métalangage permet d’expliquer et de décrire les mécanismes et les manières employés par l’enfant et, au lieu de definir des phases ou l’ordre des manifestations de ces mécanismes, peut comprendre la parole de l’enfant dans sa singularité et faire attention aux faits particuliers, en révélant l’inscription de l’enfant comme sujet dans le langage. / Esta dissertação tem como objetivo elaborar uma proposta enunciativa para o tratamento da metalinguagem na aquisição da linguagem. A partir de uma pesquisa bibliográfica sobre a metalinguagem na aquisição da linguagem, constatou-se a falta de uma explicação enunciativa para esse fenômeno. Ancorados em uma perspectiva enunciativa em aquisição da linguagem (SILVA, 2009), busca-se na teoria enunciativa de Émile Benveniste indicações para compreender a metalinguagem dentro da obra do autor. Foi realizada uma leitura dos Problemas de Linguística Geral I e II a fim de buscar trechos que nos permitissem inferir como Benveniste entende a questão da metalinguagem. Assim, formula-se o que se entenderia por metalinguagem na sua teoria enunciativa, entendida como uma propriedade das línguas que possibilita a criação de referência sobre a língua. Isso se realiza por meio do que chamamos de mecanismos de interpretância. A partir disso, realizam-se algumas derivações para compreender como isso ocorre na aquisição da linguagem, Considerando que a criança entra no mundo e na linguagem ao mesmo tempo, essas duas realidades são ligadas através de um ato de nomeação, que se dá através da enunciação. Propõe-se que a nomeação do mundo e a reflexão sobre a língua não são atos pacíficos e exigem, muitas vezes, um retorno sobre o discurso por meio dos mecanismos de interpretância. Através das análises, procura-se descrever os modos peculiares através dos quais a criança emprega tais mecanismos no seu discurso. Conclui-se que a proposta enunciativa para o tratamento da metalinguagem permite explicar e descrever os mecanismos e modos empregados pela criança e, em vez de definir fases ou ordem de aparecimento de tais mecanismos, pode tomar a fala da criança na sua singularidade e atentar para fatos particulares que muito dizem da inscrição da criança como sujeito na linguagem.

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