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La variation sémantique du préverbe po- et les propriétés aspectuelles des po-verbes russes

Krepski, Dmitri 07 1900 (has links) (PDF)
Dans cette thèse, nous nous intéressons à la variation sémantique du préverbe PO- en russe et aux propriétés aspectuelles des PO-verbes par rapport à la notion de télicité. Notre analyse a permis de distinguer cinq types de PO-verbes : 1. PO-verbes résultatifs; 2. PO-verbes délimitatifs; 3. PO-verbes inchoatifs; 4. PO-verbes distributifs; 5. PO-verbes atténuatifs. Deux hypothèses ont gouverné notre recherche : 1. La variation sémantique du préverbe PO- dépend des verbes/des prédicats de départ; 2. Les verbes perfectifs russes ne réfèrent pas nécessairement à des évènements téliques. Pour chaque type de PO-verbe, nous avons étudié les caractéristiques sémantico-aspectuelles des verbes de départ, le sens apporté par le préverbe PO-, les propriétés aspectuelles du verbe dérivé, et nous avons proposé des hypothèses d'analyse de l'interprétation des PO-verbes résultants. Nous montrons que a) la nature et la catégorie aspectuelle des prédicats de départ jouent un rôle déterminant à la variation sémantique du préverbe PO-; b) les emplois du préverbe PO- ne permettent pas de lui attribuer une interprétation monosémique; c) les situations à l'aspect perfectif présentées comme étant bornées dans le temps répondent négativement aux tests de télicité. Les résultats de l'analyse du comportement aspectuel des PO-verbes perfectifs nous forcent ainsi à maintenir, contrairement à la tendance actuelle, la distinction entre la télicité et la nature perfective du verbe, la seconde notion ne pouvant pas être réduite à la première. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : aspectualité, télicité, préverbes slaves, dérivation.
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Connaissances lexicales et en morphologie dérivationnelle chez des apprenants adultes avancés en français langue seconde

Allard, Doris January 2008 (has links) (PDF)
Au Québec, toutes les universités francophones exigent une attestation des connaissances linguistiques aux étudiants qui désirent être admis à un programme d'études de premier cycle. Depuis dix ans, de nombreuses institutions d'enseignement supérieur ont mis sur pieds des cours d'appoint en grammaire pour les étudiants qui n'arrivent pas à satisfaire aux exigences en matière de français écrit. De plus en plus d'étudiants dont la langue maternelle n'est pas le français doivent suivre un de ces cours et plusieurs d'entre eux ne le réussissent pas. Dans cette recherche, nous avons vérifié quelles étaient les connaissances lexicales et en morphologie dérivationneIle chez des étudiants locuteurs non natifs du français ayant échoué au test de français écrit de l'université, en posant comme hypothèse de départ que leurs connaissances seraient plutôt faibles. Pour vérifier cette hypothèse, nous avons soumis à deux reprises des sujets locuteurs natifs et locuteurs non natifs, inscrits au même cours d'appoint en grammaire, à une épreuve de cinq tâches mesurant leurs connaissances, tant en compréhension qu'en production, d'items lexicaux fréquents. Dans l'ensemble de notre épreuve, les sujets locuteurs non natifs ont obtenu des résultats inférieurs à ceux des locuteurs natifs et les différences de performance ont été significatives dans quatre des cinq tâches. Particulièrement, les sujets locuteurs non natifs ont démontré que leurs connaissances lexicales productives étaient très faibles, ce qui soulève l'hypothèse que leurs connaissances lexicales limitées seraient à la base de leurs difficultés en morphologie dérivationnelle. Les résultats obtenus par les sujets locuteurs non natifs laissent à penser que certains d'entre eux ne possèdent peut-être pas une base lexicale suffisamment étendue pour poursuivre avec succès des études supérieures dans une université francophone. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Langue seconde, Lexique, Morphologie dérivationnelle, Apprenants adultes.
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Le processus de décodage et de production de mots dérivés chez des apprenants adultes du français langue seconde

Lépine, Isabelle 09 1900 (has links) (PDF)
À Montréal, nombreux sont les nouveaux immigrants qui choisissent d'apprendre le français langue seconde. Cette situation pose de nouveaux défis aux enseignants qui doivent composer avec une clientèle de plus en plus diversifiée culturellement et linguistiquement. Par cette recherche, nous avons voulu vérifier si la langue maternelle des apprenants adultes avait un impact sur leur capacité à traiter les mots dérivés en français ainsi que sur les stratégies qu'ils utilisent pour décoder et produire ces mots dérivés. Pour vérifier nos hypothèses, deux groupes d'apprenants de langues maternelles différentes ont d'abord été testés à l'aide de C-tests et ont ensuite participé à une tâche de rappel stimulé. Les résultats montrent que les caractéristiques morphologiques du système d'écriture de la langue maternelle affectent d'une manière significative la capacité à reconnaître et à produire les mots dérivés sans influencer toutefois les stratégies déployées pour traiter ces mots. Les différences significatives observées ne seraient pas causées par un manque de connaissances de la morphologie dérivationnelle du français chez certains sujets, mais bien plutôt par un manque de connaissances lexicales. Cette dernière hypothèse reste toutefois à confirmer. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Langue seconde, Morphologie dérivationnelle, Apprenants adultes, C-tests
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Les effets de féminisation et de fréquence d'occurrence sur la production de lettres muettes dérivables chez les enfants du primaire

L'Heureux, Lise 12 1900 (has links) (PDF)
Cette recherche a pour objectif de recenser à quel niveau scolaire les enfants représentent les consonnes terminales dérivables qui ne sont pas sonorisées à l'oral et d'observer l'influence de trois facteurs explicatifs des scores de réussite : la féminisation du mot, sa fréquence d'occurrence et la langue maternelle des sujets. 431 élèves du primaire, de tous les niveaux, ont écrit une dictée composée de 24 paires de mots morphologiques de type lait/laitier, regroupés selon trois types de conditions morphologiques de féminisation et de fréquence d'occurrence. Les participants étaient composés de francophones (n = 278) et d'anglophones inscrits dans un programme d'immersion française (n = 153). Nos données révèlent que dès la fin du 1er cycle du primaire, tous les enfants produisent des consonnes muettes terminales et que la moitié des enfants de 2e année ont atteint un score de réussite de 70% ou plus. Un plafonnement (< 5% d'erreurs) est observé dès le début du 3e cycle du primaire. Par ailleurs, la fréquence du radical et la fréquence de la famille morphologique ont des effets significatifs sur la production de la consonne muette du radical, et ce, à tous les niveaux. Cependant, contrairement aux observations empiriques antérieures où l'on avait observé des effets de féminisation, mais sans contrôler la fréquence entre les mots avec et sans féminin, dans la présente recherche aucun effet de féminisation n'a été observé. Cela suggère que l'effet de féminisation observé dans les autres études s'expliquerait par la fréquence des radicaux qui peuvent être féminisés et non par la présence de la flexion féminisante. Finalement, les résultats indiquent que la langue maternelle agit sur la production des consonnes muettes. À partir de la 3e année, les francophones réussissent significativement mieux que les anglophones dans un programme d'immersion. De plus, on observe une interaction entre la langue et la fréquence des mots. Les deux groupes linguistiques ont des scores similaires lorsque les mots sont fréquents, mais lorsqu'ils sont rares, les anglophones n'atteignent pas le niveau de réussite des natifs du français. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : morphologie, morphologie dérivationnelle, acquisition du langage, langage écrit, orthographe, français

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