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La variation sémantique du préverbe po- et les propriétés aspectuelles des po-verbes russes

Krepski, Dmitri 07 1900 (has links) (PDF)
Dans cette thèse, nous nous intéressons à la variation sémantique du préverbe PO- en russe et aux propriétés aspectuelles des PO-verbes par rapport à la notion de télicité. Notre analyse a permis de distinguer cinq types de PO-verbes : 1. PO-verbes résultatifs; 2. PO-verbes délimitatifs; 3. PO-verbes inchoatifs; 4. PO-verbes distributifs; 5. PO-verbes atténuatifs. Deux hypothèses ont gouverné notre recherche : 1. La variation sémantique du préverbe PO- dépend des verbes/des prédicats de départ; 2. Les verbes perfectifs russes ne réfèrent pas nécessairement à des évènements téliques. Pour chaque type de PO-verbe, nous avons étudié les caractéristiques sémantico-aspectuelles des verbes de départ, le sens apporté par le préverbe PO-, les propriétés aspectuelles du verbe dérivé, et nous avons proposé des hypothèses d'analyse de l'interprétation des PO-verbes résultants. Nous montrons que a) la nature et la catégorie aspectuelle des prédicats de départ jouent un rôle déterminant à la variation sémantique du préverbe PO-; b) les emplois du préverbe PO- ne permettent pas de lui attribuer une interprétation monosémique; c) les situations à l'aspect perfectif présentées comme étant bornées dans le temps répondent négativement aux tests de télicité. Les résultats de l'analyse du comportement aspectuel des PO-verbes perfectifs nous forcent ainsi à maintenir, contrairement à la tendance actuelle, la distinction entre la télicité et la nature perfective du verbe, la seconde notion ne pouvant pas être réduite à la première. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : aspectualité, télicité, préverbes slaves, dérivation.
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Typologie des constructions verbales à prédicat complexe : composition verbale en japonais et préverbation en polonais / Typology of complex predicate verbal constructions : verbal compounding in Japanese and verbal prefixation in Polish

Matsumoto, Asuka 26 February 2016 (has links)
Cette thèse vise à traiter les verbes composés en japonais et les verbes préverbés en polonais comme faisant partie des constructions verbales à prédicat complexe. D’abord, la notion de la formation des mots et, par conséquent, la notion de « mot », sont examinées par les analyses entre les mots (ortho)graphiques et prosodiques ; le problème d’espace entre les mots et différents systèmes d’accentuation sont pris en compte. D’une part, l’analyse des verbes composés japonais remonte jusqu’aux deux premières grammaires au XVIIe siècle, celle de Rodriguez et de Collado, dont la première propose la dichotomie entre les verbes composés à « mode de l’action » et à « particule ». Ensuite suivent les analyses des verbes composés contemporains, avec un accent particulier sur un certain nombre de couples de verbes transitifs et intransitifs en second élément du composé. D’autre part, la typologie des constructions préverbales de la langue polonaise est examinée. Enfin, à travers la comparaison multilingue du Petit prince de Saint-Exupéry entre l’original et deux traductions japonaises et deux polonaises, une typologie des constructions verbales à prédicat complexe est proposée, ce qui fait écho au choix de notre langue de rédaction, le français servant de pivot afin d’examiner diverses constructions verbales de nos langues de comparaison, le japonais et le polonais : composition verbale et construction converbale pour le premier et préverbation et construction infinitivale à semi-auxiliaire pour le second. / This thesis seeks to analyse Japanese compound verbs and Polish prefixed verbs as a part of complex predicate verbal constructions. First, the notion of word-formation and consequently that of word are examined by analyses between (ortho)graphic and prosodical words, which include problems of word space and several accentual systems. Next, this analysis of compound verbs goes back to 17th century with the first two Japanese grammars by Rodriguez and Collado, respectively, where the former proposes a dichotomy between manner of action and particle verbal compounds. Then follows an analysis of contemporary Japanese compound verbs, with particular emphasis on some pairs of transitive and intransitive verbs in the second element of compound. Contrastingly, a typology of verbal prefix constructions in Polish is considered and reviewed. Finally, through a multilingual comparison of The Little Prince, by Saint-Exupéry, using two translations in each of Japanese and Polish, a typology of complex predicate verbal constructions is put forward which corresponds with the language, French, in which this thesis is written and which serves as a pivot for the examination of various verbal constructions of the languages for comparison, Japanese and Polish: verbal compounding and converbal construction for the former, verbal prefixation and infinitival auxiliary construction for the latter.
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Le matériel prépositionnel, préverbal et préfixal en latin littéraire et non littéraire : étude de la documentation autographe / Prepositional, preverbal and prefixal material in non literary latin : a study of autographical documents

Redoutey-Grosjean, Nicolas 16 March 2019 (has links)
La présente thèse a pour sujet la question du système des prépositions en latin vulgaire, ainsi que des morphèmes liés à ces dernières dans les langues indo-européennes (préverbes et préfixes). Notre objectif a été d’évaluer quelles ont pu être les spécificités relatives à l’emploi des prépositions (et des morphèmes connexes) dans la langue ordinaire, sur le plan sémasiologique comme onomasiologique. Est bâti pour ce faire le corpus le plus large possible de documents « autographes », c’est-à-dire de pièces portant une inscription directement réalisée par un latinophone (graffites, ostraca, tablettes de cire, defixiones, papyri documentaires), rédigés entre 1 et 395 p.C. La construction même de ce corpus et l’établissement d’une référenciation stable ont constitué un objectif secondaire de ce travail. La première partie établit les outils terminologiques nécessaires. Sont donc passées en revue toutes les théories relatives aux prépositions et à leur sémantisme depuis l’Antiquité, dans le but de souligner les manques et les imprécisions de la tradition terminologique. L’attention est ensuite portée sur le problème récurrent du « latin vulgaire », appellation nécessairement tolérée, même si elle demeure insatisfaisante et embarrassante. La question est spécifiquement posée au regard de la particularité du corpus, sur le plan matériel comme théorique. La notion « d’autographie » est en effet très floue, du fait de l’immixtion d’intermédiaires humains (comme les scribes, professionnels ou non), de la question de la « formularité » et des text types, et des problèmes complexes liés aux différentes formes de littératies à travers les provinces romaines. Cette partie se clôt sur les choix terminologiques et méthodologiques opérés, relativement au processus sous-jacent de collecte des données. La seconde partie présente les données. Celles-ci sont d’abord traitées sous l’angle quantitatif, avec prudence ; il s’agit d’abord d’établir quels sont les morphèmes encore en usage, quels sont ceux qui déclinent et quels sont ceux qui ont déjà disparu. Il s’agit également de comprendre quels écarts peuvent se manifester entre les données et nos attentes. On souligne ce faisant les différents processus de développement, en synchronie ou en diachronie, de certains morphèmes ou usages ; la notion de « préfixation pré-nominale », jusqu’ici peu envisagée dans les études latines, et ainsi étudiée. Le second chapitre de cette partie étudie ce matériel, sur un plan phonétique, morphosyntaxique et lexical. Il s’agit alors non seulement de découvrir les signes d’un possible renouvellement dans certaines zones de la langue (il est fait ici usage du concept de sermo castrensis, mais aussi de celui – encore peu envisagé – de sermo mercatorius) ; il s’agit en outre de comprendre pourquoi ce corpus manifeste une véritable résistance à l’égard des vulgarismes, et pourquoi l’on ne constate aucun véritable fossé entre la langue normée et celle du corpus.Le dernier chapitre se concentre sur le problème déjà ancien, mais complexe, de la chute des <-m> (et accessoirement, des <-s>) en latin vulgaire, et sur la conséquence de celle-ci au sein des groupes prépositionnels. Ce problème a une histoire (depuis Diehl), qui est rappelée afin d’expliquer comment se mélangent ici les niveaux graphiques, phonologiques et grammaticaux. Il s’agit de comprendre dans quels cas la disparition de <-m> peut être attribuée à une pure convention graphique, dans quels cas elle est relative à l’analphabétisme ou à la faible littératie des scripteurs, et dans quels cas elle constitue effectivement le premier signe (mesuré) d’un effondrement des systèmes flexionnels, dans une perspective romane. Ce chapitre s’interroge ine fine sur la capacité des locuteurs semi-lettrés, à un moment de la diachronie, à faire usage d’un « système polymorphique » (Banniard), et à choisir ainsi, bien qu’ils fussent relativement conscients des règles morphologiques, de marquer ou non le cas accusatif. / In this thesis, we deal with the question of prepositional systems in Vulgar Latin, and the linguistic material wih which it is usually associated, in indo-european languages, i.e. preverbs and prefixes. Our work aims to evaluate how specific usages of prepositions (and related material) in colloquial speech may have been, in both semasiological and onomasiological ways. For this purpose, we draw on the largest corpus of « Autographical » documents, i.e. directly inscribed artifacts, such as graffiti, ostraca, wax tablets, defixiones, documentary papyri, etc., from 1 to 395 a.D. Moreover, as a second objective ot the dissertation, we set up a fully-ordered and well-referenced corpus of our archaeological material.The first part of the thesis tries to lay the methodological tools of such the said design. Theories of prepositions and prepositional meanings from Antiquity to present reviewed are reviewed, in order to understand the lack and fuziness of inherited terminological displays. We then consider the customary problem of utilising and defining the terme « Vulgar latin » (which we tolerate, as embarrassing and unsatisfying as it is) and most specifically the peculiarity of our corpus, in a theorical and practical ways : « autography » is indeed a messy concept, due to the involvement of human go-betweens (like professional or casual scribes), the question of formularity and « text types », and the complex pattern of literacy, throughout the Roman provinces. This chapter ends with terminological and methodological choices, referring to the undergoing process of the data report.In second part of the thesis we lay out the data itself. We first deal with this data quantitativly by cautiously using statistical approaches, we try to establish which morphemes were still in use, recessing, or had already disappeared. Furthermore, we examine what kind of discrepancies could arrise between our expectation and the data. We stress, by doing so, the synchonical and diachronical expansions of certain morphemes or usages, and more specifically the question of « Pre-nominal prefixation », on which little has yet been written in classical tradition. The second part of this chapter studies the dynamics of our material phonetically, morphosyntaxically and lexically. Not only do we try to catch sight of linguistic renewals in some areas of language (dealing with the concept of sermo castrensis, or the yet unexplored sermo mercatorius), but also the evidence of a structural dragging into vulgarisms and linguistical changes in our corpus, questioning the lack of an expected « gap » between litterary standards and the language that our documents are using.The third part of our thesis deals with the very well known but very intricate problem of falling /-m/ (and, casually, falling /-s/) in Vulgar Latin, and their consequences in the prepositionnal phrases. The problem’s history (from Diehl’s work) shows up, explaining the entanglement of graphical, phonological and grammatical levels in such an inquiry. We then try to establish which part of the disappearing <-m>, in prepositional phrases, could be assigned to graphical convention, which part goes to real illiteracy (or « low-level literacy ») and which part shows the evidence for a real (but limited) starting point toward a future collapse of nominal flection, from a romance perspective. We conclude this chapter by questioning the ability of semi-literate latin-speakers, at some point of the diachronic evolution of latin language, to deal with « polymorphic » systems (as proposed by Banniard), who ware quite aware of morphological rules but choosing to mark or not mark or to omit the accusative case.

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