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Classical Sanskrit preverb ordering: a diachronic study

Papke, Julia Kay Porter 23 August 2010 (has links)
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Syntaxe de la tmèse : étude de l’autonomie des prépositions-préverbes dans la phrase homérique / Syntax of the tmesis : a study of the autonomy of the prepositions-preverbs in the Homeric sentence

Del Treppo, Julia 08 December 2018 (has links)
La présente thèse entend rechercher les contraintes qui pèsent sur l’emploi de la tmèse homérique et les tendances qui le caractérisent sur le plan de la syntaxe. Ce travail décrit et précise pour commencer les degrés de dépendance que les prépositions-préverbes en tmèse entretiennent avec le verbe de la proposition, tant sur le plan actanciel que sémantique. Il étudie également les relations entre la tmèse et l’ordre des mots en termes de séparabilité entre la préposition-préverbe (P) et le verbe, en analysant à la fois le critère de la position initiale de la préposition-préverbe en tmèse, et le nombre et la fonction des constituants présents entre P et le verbe. Enfin, il examine les contraintes morphologiques susceptibles de s’exercer sur la tmèse, comme le nombre de syllabes ou le statut phonologique des prépositions-préverbes, en relation avec le facteur métrique. L’étude morphologique porte également sur les rapports entre tmèse et double préverbation et entre tmèse et augment, et interroge enfin la possibilité que la morphologie d’ἀντί et d’ὑπέρ explique leur résistance à l’emploi en tmèse. Cette étude de la syntaxe de la tmèse permettra une meilleure connaissance non seulement de l’emploi des prépositions-préverbes dans la langue homérique, mais également de la construction verbale et de la phrase homérique elle-même. / This dissertation seeks to identify the constraints that define the use of the Homeric tmesis and the general characteristics of its syntactic aspects. First, this study describes and clarifies the degrees of dependency between the prepositions-preverbs used in a tmesis and the verb of the clause in which it is used, both on the actantial and semantic levels. It also examines the relation between the tmesis and the word order from the perspective of the separability between the prepositions-preverb (P) and the verb, by analyzing both the criterion of the initial position of the preposition-preverb in a tmesis, and the number and the function of the constituents present between P and the verb. Eventually, this study looks at the possible morphological constraints of a tmesis, like the number of syllables or the phonological status of the prepositions-preverbs, in relation with the metrical factor. The morphological study also involves the relations between the tmesis and the double preverbs, as well as between tmesis and augment, and considers eventually the possibility that the morphology of ἀντί and ὑπέρ explains why they cannot be used in a tmesis. This study of the syntax of the tmesis will allow for a better understanding not only of the use of prepositions-preverbs in the Homeric language, but also of the verbal construction in Homeric language and of the Homeric sentence itself.
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Les préverbes a)na- et kata- en grec ancien (Homère, Hésiode, Hérodote) : étude linguistique / The preverbs a)na- and kata- in Old Greek (Homer, Hesiod, Herodotus) : linguistic study

Violas, Aurore 06 December 2014 (has links)
Les préverbes a)na- et kata- sont souvent considérés comme un couple complémentaire, parce qu’avec des verbes de déplacement a)na- marque un mouvement vers le haut et kata- un mouvement vers le bas. Ces deux préverbes ont pourtant eu des emplois très variés qui dépassent largement l’emploi spatial.L’étude des composés présents dans les oeuvres d’Homère, Hésiode et Hérodote permet d’identifier les connotations essentielles associées à ces préverbes dès les premiers textes. A défaut de pouvoir identifier une Urbedeutung, il est possible de comprendre comment le sens de ces préverbes a évolué d’un sens concret vers des emplois plus abstraits. L’étude successive de ces deux composés, en établissant des catégories de significations parmi les verbes, nous per-met découvrir un certain nombre de sèmes qui semblent constitutifs de chacun des deux préverbes. Cela nous montre que le préverbe a)na- est surtout associé à des verbes de mouvement, alors que le préverbe kata- est davantage lié à des verbes statifs ou qui évoquent un processus de destruction.La question de la valeur aspectuelle de ces préverbes est aussi un élément fondamental. L’étude de ces deux préverbes permet de comprendre comment ils ont pu tous les deux acquérir une valeur aspectuelle pour souligner notamment l’accomplissement du procès. Cependant, on constate qu’ils ne correspondent pas au même accomplissement, puisqu’a)na- dénote un accomplissement créatif, tandis que kata- souligne le plus souvent l’accomplissement d’un processus de disparition. / The preverbs a)na- et kata- are usually considered as a couple, because for motion verbs a)na- bears an up motion and kata- a down motion. These two preverbs have nevertheless been employed variously and more widely than for merely spatial indications.Studying the compound verbs of the works of Homer, Hesiod and Herodotus allows us to identify the essential conno-tations linked to these preverbs since early literature. Even if we cannot find the Urbedeutung, it’s possible to unders-tand how the meaning of these preverbs has progressed from a concret meaning to an abstract. The ordered investiga-tion of these compound verbs, by distinguishing the different categories of meaning, help us discover some semantic classes which seem to be essential for each preverb. Thus we see that the preverb a)na- is mostly linked to motion verbs, whereas the preverb kata- is more combined with stative verbs or verbs which discribe a disappearance.The question of aspect for the preverbs is also fundamental. The study of these two preverbs allows us to understand how they could, both of them, own an aspectual value to emphazise the process accomplishment. But we can see that it’s not the same accomplishment, since a)na- indicates a creative accomplishment, while kata- most often highlights the accomplishment of a dying process.
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Le matériel prépositionnel, préverbal et préfixal en latin littéraire et non littéraire : étude de la documentation autographe / Prepositional, preverbal and prefixal material in non literary latin : a study of autographical documents

Redoutey-Grosjean, Nicolas 16 March 2019 (has links)
La présente thèse a pour sujet la question du système des prépositions en latin vulgaire, ainsi que des morphèmes liés à ces dernières dans les langues indo-européennes (préverbes et préfixes). Notre objectif a été d’évaluer quelles ont pu être les spécificités relatives à l’emploi des prépositions (et des morphèmes connexes) dans la langue ordinaire, sur le plan sémasiologique comme onomasiologique. Est bâti pour ce faire le corpus le plus large possible de documents « autographes », c’est-à-dire de pièces portant une inscription directement réalisée par un latinophone (graffites, ostraca, tablettes de cire, defixiones, papyri documentaires), rédigés entre 1 et 395 p.C. La construction même de ce corpus et l’établissement d’une référenciation stable ont constitué un objectif secondaire de ce travail. La première partie établit les outils terminologiques nécessaires. Sont donc passées en revue toutes les théories relatives aux prépositions et à leur sémantisme depuis l’Antiquité, dans le but de souligner les manques et les imprécisions de la tradition terminologique. L’attention est ensuite portée sur le problème récurrent du « latin vulgaire », appellation nécessairement tolérée, même si elle demeure insatisfaisante et embarrassante. La question est spécifiquement posée au regard de la particularité du corpus, sur le plan matériel comme théorique. La notion « d’autographie » est en effet très floue, du fait de l’immixtion d’intermédiaires humains (comme les scribes, professionnels ou non), de la question de la « formularité » et des text types, et des problèmes complexes liés aux différentes formes de littératies à travers les provinces romaines. Cette partie se clôt sur les choix terminologiques et méthodologiques opérés, relativement au processus sous-jacent de collecte des données. La seconde partie présente les données. Celles-ci sont d’abord traitées sous l’angle quantitatif, avec prudence ; il s’agit d’abord d’établir quels sont les morphèmes encore en usage, quels sont ceux qui déclinent et quels sont ceux qui ont déjà disparu. Il s’agit également de comprendre quels écarts peuvent se manifester entre les données et nos attentes. On souligne ce faisant les différents processus de développement, en synchronie ou en diachronie, de certains morphèmes ou usages ; la notion de « préfixation pré-nominale », jusqu’ici peu envisagée dans les études latines, et ainsi étudiée. Le second chapitre de cette partie étudie ce matériel, sur un plan phonétique, morphosyntaxique et lexical. Il s’agit alors non seulement de découvrir les signes d’un possible renouvellement dans certaines zones de la langue (il est fait ici usage du concept de sermo castrensis, mais aussi de celui – encore peu envisagé – de sermo mercatorius) ; il s’agit en outre de comprendre pourquoi ce corpus manifeste une véritable résistance à l’égard des vulgarismes, et pourquoi l’on ne constate aucun véritable fossé entre la langue normée et celle du corpus.Le dernier chapitre se concentre sur le problème déjà ancien, mais complexe, de la chute des <-m> (et accessoirement, des <-s>) en latin vulgaire, et sur la conséquence de celle-ci au sein des groupes prépositionnels. Ce problème a une histoire (depuis Diehl), qui est rappelée afin d’expliquer comment se mélangent ici les niveaux graphiques, phonologiques et grammaticaux. Il s’agit de comprendre dans quels cas la disparition de <-m> peut être attribuée à une pure convention graphique, dans quels cas elle est relative à l’analphabétisme ou à la faible littératie des scripteurs, et dans quels cas elle constitue effectivement le premier signe (mesuré) d’un effondrement des systèmes flexionnels, dans une perspective romane. Ce chapitre s’interroge ine fine sur la capacité des locuteurs semi-lettrés, à un moment de la diachronie, à faire usage d’un « système polymorphique » (Banniard), et à choisir ainsi, bien qu’ils fussent relativement conscients des règles morphologiques, de marquer ou non le cas accusatif. / In this thesis, we deal with the question of prepositional systems in Vulgar Latin, and the linguistic material wih which it is usually associated, in indo-european languages, i.e. preverbs and prefixes. Our work aims to evaluate how specific usages of prepositions (and related material) in colloquial speech may have been, in both semasiological and onomasiological ways. For this purpose, we draw on the largest corpus of « Autographical » documents, i.e. directly inscribed artifacts, such as graffiti, ostraca, wax tablets, defixiones, documentary papyri, etc., from 1 to 395 a.D. Moreover, as a second objective ot the dissertation, we set up a fully-ordered and well-referenced corpus of our archaeological material.The first part of the thesis tries to lay the methodological tools of such the said design. Theories of prepositions and prepositional meanings from Antiquity to present reviewed are reviewed, in order to understand the lack and fuziness of inherited terminological displays. We then consider the customary problem of utilising and defining the terme « Vulgar latin » (which we tolerate, as embarrassing and unsatisfying as it is) and most specifically the peculiarity of our corpus, in a theorical and practical ways : « autography » is indeed a messy concept, due to the involvement of human go-betweens (like professional or casual scribes), the question of formularity and « text types », and the complex pattern of literacy, throughout the Roman provinces. This chapter ends with terminological and methodological choices, referring to the undergoing process of the data report.In second part of the thesis we lay out the data itself. We first deal with this data quantitativly by cautiously using statistical approaches, we try to establish which morphemes were still in use, recessing, or had already disappeared. Furthermore, we examine what kind of discrepancies could arrise between our expectation and the data. We stress, by doing so, the synchonical and diachronical expansions of certain morphemes or usages, and more specifically the question of « Pre-nominal prefixation », on which little has yet been written in classical tradition. The second part of this chapter studies the dynamics of our material phonetically, morphosyntaxically and lexically. Not only do we try to catch sight of linguistic renewals in some areas of language (dealing with the concept of sermo castrensis, or the yet unexplored sermo mercatorius), but also the evidence of a structural dragging into vulgarisms and linguistical changes in our corpus, questioning the lack of an expected « gap » between litterary standards and the language that our documents are using.The third part of our thesis deals with the very well known but very intricate problem of falling /-m/ (and, casually, falling /-s/) in Vulgar Latin, and their consequences in the prepositionnal phrases. The problem’s history (from Diehl’s work) shows up, explaining the entanglement of graphical, phonological and grammatical levels in such an inquiry. We then try to establish which part of the disappearing <-m>, in prepositional phrases, could be assigned to graphical convention, which part goes to real illiteracy (or « low-level literacy ») and which part shows the evidence for a real (but limited) starting point toward a future collapse of nominal flection, from a romance perspective. We conclude this chapter by questioning the ability of semi-literate latin-speakers, at some point of the diachronic evolution of latin language, to deal with « polymorphic » systems (as proposed by Banniard), who ware quite aware of morphological rules but choosing to mark or not mark or to omit the accusative case.

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