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Migrant remittances, foreign aid and development of recipient countries / Envois de fonds des migrants, aide publique et développement des pays récipiendaires

Le Goff, Maëlan 29 March 2012 (has links)
Cette thèse de doctorat étudie les effets des envois de fonds issus des migrations sur le développement des pays d’origine des migrants et compare ces effets avec ceux de l’aide publique au développement. Dans une première partie, nous étudions les effets des envois de fonds des migrants sur le développement des pays récipiendaires. Il apparaît que les envois de fonds réduisent les inégalités intra-Pays dans les pays relativement plus riches, dont les coûts d’émigration sont faibles et dont la part des émigrés qualifiés est peu importante (Chapitre 1). L’effet sur la croissance économique en Afrique sub-Saharienne est également non-Linéaire et dépend positivement du développement financier et institutionnel des pays récipiendaires (Chapitre 2). Enfin, les envois de fonds ont un effet d’appréciation sur le taux de change réel dans les pays CFA, mais cet effet est non significatif pour les pays à régime de change flexible (Chapitre 3). Dans une seconde partie nous nous intéressons au caractère stabilisateur des transferts des migrants. Le Chapitre 4 montre, au niveau microéconomique, que les envois de fonds ont joué un rôle d’assurance lors de la dernière crise financière et que ce rôle a été d’autant plus important que les migrants n’ont pas été sévèrement touchés par la crise et que les liens conservés avec le pays d’origine étaient forts. Le Chapitre 5 montre à partir d’une approche pays par pays que les transferts sont contra-Cycliques dans une minorité de cas, mais qu’en moyenne, ils répondent négativement au revenu des pays d’origine. Les résultats du Chapitre 6 indiquent que les transferts atténuent l’effet négatif des chocs commerciaux sur la pauvreté. Dans une troisième et dernière partie nous comparons les envois de fonds { l’aide publique au développement. Alors que l’aide permet d’atténuer l’effet négatif de l’instabilité des exportations sur la croissance, les transferts des migrants permettent d’amoindrir l’effet négatif de l’instabilité des exportations sur la pauvreté (Chapitre 7). Enfin, les envois de fonds diminuent la dépendance des pays { l’aide publique au développement lorsque ces flux de capitaux sont investis plutôt que consommés (Chapitre 8). / This dissertation examines the effects of migrant remittances on the development of origin countries and compares these effects with those of official development aid. In a first part we investigate the effects of remittances on the development of recipient countries. Results suggest that remittances reduce within inequality in countries more developed, where migration cost are lower and the share of skilled migrants less important (Chapter 1). Their impact on growth in sub-Saharan Africa is also non-Linear and depends positively on the financial and institutional development of recipient economies (Chapter 2). Finally, remittances have a real exchange appreciation effect in CFA countries, but not in countries with a flexible exchange rate regime (Chapter 3). In a second part we focus on the stabilizing impact of remittances. Chapter 4 shows, at the microeconomic level, that remittances have played an insurance role during the last financial crisis and that this role was all the more acute that migrants have not strongly suffered from the crisis and that family links were strong. Chapter 5 suggests in a country-By-Country approach that remittances are pro-Cyclical in a higher number of cases, while on average, they respond negatively to the home country income. Chapter 6 findings show that remittances dampen the harmful impact of trade instability on poverty. In a third part, we compare migrant remittances with public aid. While public aid mitigates the harmful impact of export instability on output growth, migrant remittances dampen the harmful effect of export instability on poverty (Chapter 7). Finally, migrant remittances reduce aid dependency in countries where remittances are invested rather than consumed (Chapter 8).
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Aid effectiveness, performance and vulnerability : new perspectives

Wagner, Laurent 28 March 2013 (has links)
La question de l’efficacité de l’aide publique au développement est complexe et protéiforme. L’aide se présente sous de nombreuses formes et implique de nombreux instruments et acteurs, dont les objectifs et mêmes les philosophies diffèrent fortement entre les pays et les organisations. De cet enchevêtrement, les économistes ont jusqu’alors échoué dans leurs recherches de relations macroéconomiques robustes censées guider l’action publique. Ainsi, aucun consensus ne semble pour l’instant émerger de ce débat. Dès lors, l’orientation des politiques de développement a essentiellement été influencée par des hypothèses contestables reposant sur des fondements empiriques fragiles. Ce travail tente d’apporter de nouveaux éléments au débat sur l’efficacité de l’aide au travers de sept essais. Les trois premiers chapitres se consacrent à la question de la relation entre aide et croissance du point de vue statistique. Les nouvelles approches qui y sont proposées tentent de surmonter la plupart des défauts de la littérature empirique existante. Nous y montrons que la relation entre aide et croissance est extrêmement complexe et qu’il est difficile de l’appréhender à l’aide des méthodes économétriques usuelles. De plus, bien que l’aide semble globalement efficace en termes de croissance du PIB, son efficacité dépend de différents facteurs révélés par la présence de seuils aussi bien conditionnels que non-Conditionnels. Parmi ces facteurs, la vulnérabilité économique semble jouer un rôle primordial et sa prise en compte s’avère indispensable pour une compréhension globale du lien entre l’aide et la croissance économique. Dans une seconde partie, les deux chapitres suivants s’intéressent plus particulièrement à l’aide sectorielle, à travers l’étude de l’efficacité de deux initiatives largement reconnues que sont l’aide à la scolarisation primaire universelle et l’aide au commerce. Leur efficacité sera alors déterminée non plus en termes de croissance du PIB mais en termes de scolarisation et de performance à l’exportation. A l’instar des trois premiers chapitres, nos résultats semblent confirmer la présence d’une relation significative entre l’aide et les objectifs visés. Nos conclusions, notamment celles en termes d’éducation, vont clairement à l’encontre de l’idée selon laquelle l’aide aurait fait plus de mal que de bien. Enfin, en se basant sur les résultats précédents, les chapitres six et sept explorent, dans une troisième partie, les possibilités d’amélioration des stratégies actuelles d’allocation de l’aide mises en œuvre notamment par les grands bailleurs multilatéraux. Une de nos principales observations est que la vulnérabilité économique est un facteur important devant être pris en compte dans le design des méthodes d’allocation de l’aide. / Aid effectiveness is a complex issue. Aid comes in many instruments, has many targets and involves many stakeholders whose objectives, methods and philosophy greatly differ across countries and institutions. From this mixed bag, economists have struggled finding strong regularities at the macroeconomic level to guide the political debate and consensus have failed to emerge. Hence, political stances have often been influenced by strong assumptions based on weak or at least hotly debated evidence. This work is an attempt to provide new perspectives on the aid effectiveness debate through seven essays. The first three chapters address the technical question of the aid/growth relationship issue using new approaches and new statistical instruments in an attempt to overcome most of the caveats of the aid empirical literature. We show that the aid/growth relationship is complex and difficult to measure using common statistical methods. Moreover, while aid is globally effective, its effectiveness depends on different factors reflected by the existence of conditional and unconditional thresholds. Among those factors, economic vulnerability seems to be a key component that has to be taken into account in order to identify this relationship. In a second part, we try to assess the effectiveness of two flagship initiatives which are Aid for Trade and Universal Primary Education with regards to the outcomes they ultimately target, namely, export performance for the former and school enrolment, gender parity and repetition rate in primary school for the later. As in the first three chapters, our results support the existence of a significant relationship between aid and the targeted outcomes. Those results, notably for the education sector, clearly argue against the idea that aid has done more bad then good. Finally, based on previous results, in a third part, chapters six and seven explore the mean to improve the current aid allocation strategies used notably by the Multilateral Development Banks. One of the main conclusions is that economic vulnerability is a central factor to be taken into account in the design of aid allocation strategies.
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L'Afrique face aux défis de l'économie post-pétrole : du rôle des institutions financières de développement dans la promotion des énergies renouvelables / Africa facing the challenges of the post-oil economy : the role of development financial institutions in promoting renewable energy

Masra, Succès 30 September 2016 (has links)
En 2015, lors de la COP21, à l’occasion de l’accord global sur le climat de Paris, l’Afrique s’est engagée sous le Leadership du Groupe de la Banque Africaine de Développement (BAD) et de ses autres Partenaires Techniques et Financiers, à installer à l’horizon 2030 une capacité de 300 GW d’énergies renouvelables. Cet ambitieux objectif de l’Initiative Africaine pour les Energies Renouvelables (AREI) dont la BAD est agence d’exécution, vient compléter son engagement sur la décennie 2005- 2015, qui a permis de faire passer la part des énergies renouvelables de 4% à 20% de son portefeuille. Et pourtant, l’Afrique reste le continent qui, malgré son fort potentiel en énergies renouvelables (solaire :10 TW ; hydroélectrique : 350 GW ; éolien :110 GW, et géothermie : 15 GW), a 2/3 de sa population (645 millions) sans accès aux sources modernes d’énergie (BAD, 2016).C’est dans ce contexte d’urgence d’une part et de besoin de solutions durables d’autre part que notre thèse, en s’appuyant sur des projets structurants d’énergie renouvelables instruits et suivis sur la période 2010-2015 comme Economiste Principal de l’Energie au sein de la BAD, a consisté à analyser comment la BAD, en tant que première Institution Africaine de financement du développement couvrant les 54 pays africains, peut-elle mieux appuyer l’Afrique à faire face aux défis de l’économie post-pétrole grâce à une promotion plus efficace des énergies renouvelables. Cette analyse, normative, nous a permis d’aboutir à une double série de recommandations à la fois internes et externes à la BAD, dans la perspective d’une amélioration de l’efficacité de l’aide publique au développement drainée par cette Institution. / In 2015, during the COP 21, on the occasion of the global climate agreement in Paris, Africa committed under the Leadership of the African Development Bank Group (AfDB) and its other technical and financial partners, to install a capacity of 300 GW of renewable energy by 2030. This ambitious target set in the framework of the African Renewable Energy Initiative (AREI) for which AfDB is the executing agency, completes its commitment of the decade 2005-2015, which permitted it to increase the share of renewable energy from 4% to 20% of its energy portfolio. Yet, Africa remains the continent which, despite its strong renewable energy potential (10 TW of solar, 350 GW hydroelectric, 110 GW wind and 15 GW of geothermal potential), is paradoxically characterized by two third of its population (645 millions) without access to modern energy sources (AfDB, 2016). It is in this context of energy emergency in one hand and the need for sustainable energy solutions on the other hand, that our thesis, based on renewable energy projects designed or implemented as Principal Energy Economist within the AfDB over the period 2010-2015, analyzes how AfDB, as the first African Development Financing Institution covering the 54 African countries, can assist this continent to better meet the challenges of the post-oil economy, through a more effective development of renewable energy. This analysis, essentially normative, allows us to achieve a double set of recommendations both internal and external to the AfDB in the perspective of enhanced effectiveness of Official Development Aid channeled by this institution, from the specific angle of the promotion of renewable energy.
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Le partenariat en droit international du développement / Partnership in international development law

Zeghdoudi-Durand, Zehor 26 November 2013 (has links)
En matière d’aide au développement le droit est aussi inventif que fertile : droits économiques et sociaux, droits de l’homme, développement humain durable, etc. ; autant de matières mises en balance avec le droit du marché, de la concurrence sous couvert d’un intérêt économique général. La première option de cette étude est d’envisager les mécanismes juridiques propres à l’aide au développement à travers ces deux finalités à première vue antinomiques : l’efficience économique et le développement humain. La seconde est de délimiter le champ de recherche à la matière conventionnelle afin d’apprécier le seul processus partenarial qui, du point de vue de la coopération internationale, n’a pas livré tout son potentiel. L’intérêt de ce modèle de coopération internationale fondé sur le « Partenariat » n’est encore que secondaire comparé à la nature des parties (publique et privée) qui s’obligent, la nature des droits (politiques, économiques et sociaux) qu’il se propose de concilier, et enfin, les obligations à la fois de rentabilité et d’humanisme (le marché du développement humain) qu’il impose aux partenaires. Ainsi, la finalité de cette recherche est, certes, d’interroger les effets juridiques de tels partenariats, mais également de considérer le contrat de marchés publics d’aide au développement comme, potentiellement, porteur d’une nouvelle formule de coopération visant à résorber les inégalités de développement entre États. / As regards development aid the law is as creative as fertile : economic and social rights, human rights, sustainable development, etc. ; so many matters put in balance with the market law, the competition on behalf of a general economic interest. The first option of this study is to consider the legal mechanisms peculiar to the development aid through these two ends, at first sight paradoxical/antinomical : the economic efficiency and the human development. The second is to bound the field of research to the conventional material in order to appreciate the only process partnership which, from the international cooperation point of view, has not delivered yet all his potential. The interest of this international cooperation pattern based on the ”Partnership” remains still secondary, compared with the nature of the parties (public and private) which bind themselves, the nature of the rights (political, economical and social) that it sets out to conciliate, and finally, the bonds of profitability as well as humanism (the market of human development) it imposes upon its partners. Thus, the purpose of this research is indeed, to question the legal effects of such partnerships, but also, to regard the contract of public procurements of Development Aid, as potentially a growth market of an new model cooperation to be used for resorb inequalities of development between states.

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