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An analysis of coastal Algonquian culture,Flannery, Regina, January 1939 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Catholic University of America, 1938. / Bibliography: p. 199-214.
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Aboriginal injustice, a Canadian reponsibility : an Algonquian perspective of Canada's criminal justice systemSinger, Kate January 2001 (has links) (PDF)
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Waging Care in Anishnabe Aki: The Algonquins of Barriere Lake and Sixties Scoop Diasporas Against Canada's Economy of Indigenous Child RemovalKristjansson, Margaux L. January 2021 (has links)
This dissertation proceeds from the Algonquins of Barriere Lake’s enactments of Indigenous law as a praxis of care against colonial systems that commoditize Anishnabe children and land. It emerges from a co-designed nation and community-specific ethnographic and archival study with the Algonquins of Barriere Lake to analyze the Youth Protection system, and a co-designed ethnographic and archival project with the Ottawa-based Sixties Scoop Network on healing, displacement, and reparations for the 60s Scoop. Through using the land, Barriere Lake maintain their sacred connections to animals, ancestors and water. This dissertation thinks care in three registers: as Anishnabe ‘physical, emotional and spiritual’ relations of care on land, as daily assertions of Indigenous legal praxis, and as critiques of settler political economy.
In November 2015, members of the Algonquins of Barriere Lake rallied at the offices of the CISSSO, a Quebec Youth Protection agency in Maniwaki, Quebec that has placed 147 children from their 792-person First Nation into out of home care since 1990. Barriere Lake mothers held signs asserting “Our children are not commodities.” Throughout the fall of 2015, the community held a camp to protect their lands from exploratory drilling by the junior mining company Copper One; a sign declaring ‘This land is not for sale.’ As CISSSO (2019) secures nearly $2 million annually by taking Barriere Lake children from their kin settler industries extract over $100 million in resources from Barriere Lake’s territories. Canada’s genocidal church-run, state-mandated Residential Schools system was instituted as the nascent nation began to create its wealth and home from Native lands and resources. Between 1951-1991 (the Sixties Scoop), over 22 500 Indigenous children were removed from their kin into predominantly non-native homes (Brown v Canada 2017). In 2016, Canada’s national resources sector accounted for $216 billion; while in 2018 the child welfare system generated $2.5 billion and billions more in family stipends and allowances from a system in which over 52.5% of children are Indigenous (StatsCan 2016, 2018).
The gendered fiscal and libidinal economies of Canadian colonialism incentivize the apprehension of Indigenous children and criminalize Indigenous caregivers, especially mothers (2016 CHRT 2). By examining how present systems reproduce the gendered violence of child-taking and abuse systematized in Residential Schools, this dissertation argues that Canada securitizes its economy of extraction from Indigenous lands through the mass abduction of Indigenous children into the child welfare system. Algonquin Anishnabeg jurisdiction is asserted as a praxis of care which, waged daily along with Sixties Scoop survivor struggles for justice, unwinds the fabric of a system of child-taking and land-theft.
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BONDS OF MONEY, BONDS OF MATRIMONY?: FRENCH AND NATIVE INTERMARRIAGE IN 17th & 18th CENTURY NOUVELLE FRANCE AND SENEGALTesdahl, Eugene Richard Henry 10 April 2003 (has links)
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Le leadership interstitiel, le champ d'action des Amérindiens ou le pouvoir dans la marge : l'exemple de la communauté algonquine de Kitigan Zibi (Québec)Morissette, Anny 03 1900 (has links)
Quel est le champ d’action des Amérindiens dans le contexte politique canadien? Malgré les tentatives de l’État canadien de briser la structure politique traditionnelle des Autochtones en introduisant le système électif et politique du conseil de bande, ceux-ci sont loin d'avoir été des victimes passives. L'étude du leadership interstitiel est la ligne directrice de cette thèse car il est la clé d’une pratique politique « in the cracks » qui confère un pouvoir marginal aux Amérindiens. En s'intéressant aux conditions historiques et sociales de déploiement de l’arène politique en milieu de réserve, il est possible de comprendre la quotidienneté et la contemporanéité de l’exercice du pouvoir au sein d’une population minoritaire fortement politisée.
La recherche ethnographique porte sur la politique locale de la communauté algonquine de Kitigan Zibi (Québec). L’analyse des acteurs anishnabeg a montré une variabilité du leadership politique chez les Algonquins et l’existence de différents types de leader malgré l’imposition d’une fonction de chef par la Loi sur les Indiens. Le contrôle des affaires politiques officielles d’une bande par les agents coloniaux, c'est-à-dire les missionnaires et les agents indiens, n’a pas donné lieu à un contrôle total de sa dynamique politique interne et de ses membres. L'enquête de terrain a dévoilé que les diverses manifestations et actions politiques menées par les Anishnabeg s’avèrent être des stratégies du pouvoir dans la marge, une forme quotidienne de résistance face aux nouvelles façons de faire la politique établies par les autorités canadiennes, des ruses et des tactiques employées pour tenter de changer le système formel en remettant en question le pouvoir des Affaires indiennes. La contestation et la résistance ne sont toutefois pas l’unique moteur du leadership et de la politique amérindienne. En fait, le leadership politique chez les Kitigan Zibi Anishnabeg est aussi basé sur diverses représentations (traditionnelles, spirituelles, symboliques) qui ont permis aux Algonquins de préserver une identité politique malgré certaines ruptures et transformations introduites dans leur société par les colonisateurs. Les ambiguïtés, les contradictions et les paradoxes de la quotidienneté politique d’une bande autochtone ne sont pas que le résultat de la rencontre d’un univers politique Autre, mais aussi l’aboutissement de l’évolution et de la reconstruction d’un système sociopolitique traditionnel et de ses dynamiques internes reliées au pouvoir, d’une redéfinition de l’autorité et de la légitimité du politique, de l'essor de leaders nouveau genre pour répondre adéquatement aux exigences politiques de la vie en réserve. La politique de réserve n’est pas une chose concrète mais plutôt une dynamique dans un temps et dans un lieu donné, au chevauchement culturel de diverses traditions politiques et formes d’autorité, au truchement de divers espaces (imposé ou symbolique) et institutions (formelle et informelle). Les Algonquins se renouvellent continuellement politiquement au sein de leur système. Ceci n’est pas un effet de l’acculturation, d’une hybridité ou de la modernité mais relève bien de la tradition. Le rattachement de fonctions et dynamiques traditionnelles à la structure formelle constitue un début de gouvernance « par le bas ». Cette dernière renouvelle de l’intérieur, par l’établissement d’un dialogue, la relation entre les leaders autochtones et les représentants de l’État, ce qui donne aux acteurs locaux une marge de manœuvre. Les Algonquins ont saisi les incompatibilités des deux systèmes – blanc et autochtone – pour définir un nouveau territoire, « in the cracks », qui devient leur domaine d’action. L'analyse de la flexibilité du leadership algonquin, de la vision eurocanadienne du leadership amérindien, de l’usage instrumental des exigences de l’État, des élections et des éligibles contemporains, de l'empowerment des femmes algonquines et du leadership féminin en milieu de réserve, a révélé que le leadership interstitiel est une force politique pour les Kitigan Zibi Anishnabeg.
En portant un regard critique sur la politique locale dans le quotidien d'une bande et en incluant les voix autochtones, il est possible d’observer le processus de décolonisation et des formes embryonnaires de pratiques postcoloniales au sein des réserves. Cette recherche a démontré que le chef et les autres leaders sont au cœur de cette dynamique politique dans les marges, de l’essor et de l’émancipation politique de leur bande. / What is the scope of Indian participation in Canadian politics? Despite the Canadian governments’ attempts to break traditional Indigenous' political structures by introducing the Band Council system, First Peoples are far from passive victims. The study of interstitial leadership is the theoretical framework of this thesis because it is the key to political practices that take place "in the cracks", thereby conferring marginal power to Indigenous Peoples. By examining the historical and social conditions for the development of the political arena in reserves, it is possible to understand the everyday and contemporaneity of the exercise of power within a highly politicized minority population.
The present ethnographic research focuses on the local politics of the Algonquin community of Kitigan Zibi (Quebec). Anishnabeg stakeholder analysis showed a variability of Algonquin political leadership and the existence of different types of leaders in spite of the imposition of a single chief through the Indian Act. The control of the band’s official political affairs by colonial agents, that is to say the missionaries and the Indian agents, has not resulted in the complete control of internal political dynamics and members. The fieldwork revealed that the various political actions undertaken by the Anishnabeg prove to be power strategies from the margin, a form of everyday resistance to the new ways of doing politics established by the Canadian authorities. These actions were also tricks and tactics used to challenge the formal system and the Indian Affairs power. Opposition and resistance however are not the only instruments of Native leadership and politics. In fact, the Kitigan Zibi Anishnabeg political leadership is also based on various representations (i.e. traditional, spiritual, and symbolic) that helped preserve Algonquin political identity despite some disruptions and changes introduced into their society by the colonizers. Ambiguities, contradictions and paradoxes found in everyday band politics are not only the result of the meeting of an Other political universe. They are also the culmination of the development and reconstruction of a traditional sociopolitical system and its internal dynamics related to power, a redefinition of the authority and political legitimacy, the rise of a new leaders genre to adequately respond to the demands of the reserve’s political life. Reserve politics are not a concrete ‘thing’ but rather a dynamic that exists within a particular time and in a given place. Additionally, overlapping different cultural and political traditions as well as various forms of authority, occur in various spaces (imposed or symbolic) and institutions (formal and informal). The Algonquin are continually renewing themselves politically within their system. This is not an effect of acculturation, hybridity, and modernity but of tradition. The joining of traditional functions and dynamics to the formal structure represents the beginning of a governance "from below". The latter renews from within, through the establishment of a dialogue, the relationship between Aboriginal leaders and representatives of the State, which provides room for manoeuvre to local protagonists. The Algonquins seized upon the incompatibilities between the two systems - Settler and Aboriginal - to define a new territory "in the cracks" which became their field of action. The analysis of the flexibility of Algonquin leadership, the Euro-Canadien vision of the Native leadership, the instrumental use of State requirements, the contemporary elections and candidates, Algonquin women's empowerment and female leadership within reserve have showed that the interstitial leadership is a political force for the Kitigan Zibi Anishnabeg.
By wearing a critical eye on local politics in daily band life and by including Indigenous voices, it is possible to observe the process of decolonization as well as the embryonic forms of postcolonial practices within reserves. This research has shown that the chief and other leaders are at the heart of this political dynamic in the margins and the political development and empowerment of their band.
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Le leadership interstitiel, le champ d'action des Amérindiens ou le pouvoir dans la marge : l'exemple de la communauté algonquine de Kitigan Zibi (Québec)Morissette, Anny 03 1900 (has links)
Quel est le champ d’action des Amérindiens dans le contexte politique canadien? Malgré les tentatives de l’État canadien de briser la structure politique traditionnelle des Autochtones en introduisant le système électif et politique du conseil de bande, ceux-ci sont loin d'avoir été des victimes passives. L'étude du leadership interstitiel est la ligne directrice de cette thèse car il est la clé d’une pratique politique « in the cracks » qui confère un pouvoir marginal aux Amérindiens. En s'intéressant aux conditions historiques et sociales de déploiement de l’arène politique en milieu de réserve, il est possible de comprendre la quotidienneté et la contemporanéité de l’exercice du pouvoir au sein d’une population minoritaire fortement politisée.
La recherche ethnographique porte sur la politique locale de la communauté algonquine de Kitigan Zibi (Québec). L’analyse des acteurs anishnabeg a montré une variabilité du leadership politique chez les Algonquins et l’existence de différents types de leader malgré l’imposition d’une fonction de chef par la Loi sur les Indiens. Le contrôle des affaires politiques officielles d’une bande par les agents coloniaux, c'est-à-dire les missionnaires et les agents indiens, n’a pas donné lieu à un contrôle total de sa dynamique politique interne et de ses membres. L'enquête de terrain a dévoilé que les diverses manifestations et actions politiques menées par les Anishnabeg s’avèrent être des stratégies du pouvoir dans la marge, une forme quotidienne de résistance face aux nouvelles façons de faire la politique établies par les autorités canadiennes, des ruses et des tactiques employées pour tenter de changer le système formel en remettant en question le pouvoir des Affaires indiennes. La contestation et la résistance ne sont toutefois pas l’unique moteur du leadership et de la politique amérindienne. En fait, le leadership politique chez les Kitigan Zibi Anishnabeg est aussi basé sur diverses représentations (traditionnelles, spirituelles, symboliques) qui ont permis aux Algonquins de préserver une identité politique malgré certaines ruptures et transformations introduites dans leur société par les colonisateurs. Les ambiguïtés, les contradictions et les paradoxes de la quotidienneté politique d’une bande autochtone ne sont pas que le résultat de la rencontre d’un univers politique Autre, mais aussi l’aboutissement de l’évolution et de la reconstruction d’un système sociopolitique traditionnel et de ses dynamiques internes reliées au pouvoir, d’une redéfinition de l’autorité et de la légitimité du politique, de l'essor de leaders nouveau genre pour répondre adéquatement aux exigences politiques de la vie en réserve. La politique de réserve n’est pas une chose concrète mais plutôt une dynamique dans un temps et dans un lieu donné, au chevauchement culturel de diverses traditions politiques et formes d’autorité, au truchement de divers espaces (imposé ou symbolique) et institutions (formelle et informelle). Les Algonquins se renouvellent continuellement politiquement au sein de leur système. Ceci n’est pas un effet de l’acculturation, d’une hybridité ou de la modernité mais relève bien de la tradition. Le rattachement de fonctions et dynamiques traditionnelles à la structure formelle constitue un début de gouvernance « par le bas ». Cette dernière renouvelle de l’intérieur, par l’établissement d’un dialogue, la relation entre les leaders autochtones et les représentants de l’État, ce qui donne aux acteurs locaux une marge de manœuvre. Les Algonquins ont saisi les incompatibilités des deux systèmes – blanc et autochtone – pour définir un nouveau territoire, « in the cracks », qui devient leur domaine d’action. L'analyse de la flexibilité du leadership algonquin, de la vision eurocanadienne du leadership amérindien, de l’usage instrumental des exigences de l’État, des élections et des éligibles contemporains, de l'empowerment des femmes algonquines et du leadership féminin en milieu de réserve, a révélé que le leadership interstitiel est une force politique pour les Kitigan Zibi Anishnabeg.
En portant un regard critique sur la politique locale dans le quotidien d'une bande et en incluant les voix autochtones, il est possible d’observer le processus de décolonisation et des formes embryonnaires de pratiques postcoloniales au sein des réserves. Cette recherche a démontré que le chef et les autres leaders sont au cœur de cette dynamique politique dans les marges, de l’essor et de l’émancipation politique de leur bande. / What is the scope of Indian participation in Canadian politics? Despite the Canadian governments’ attempts to break traditional Indigenous' political structures by introducing the Band Council system, First Peoples are far from passive victims. The study of interstitial leadership is the theoretical framework of this thesis because it is the key to political practices that take place "in the cracks", thereby conferring marginal power to Indigenous Peoples. By examining the historical and social conditions for the development of the political arena in reserves, it is possible to understand the everyday and contemporaneity of the exercise of power within a highly politicized minority population.
The present ethnographic research focuses on the local politics of the Algonquin community of Kitigan Zibi (Quebec). Anishnabeg stakeholder analysis showed a variability of Algonquin political leadership and the existence of different types of leaders in spite of the imposition of a single chief through the Indian Act. The control of the band’s official political affairs by colonial agents, that is to say the missionaries and the Indian agents, has not resulted in the complete control of internal political dynamics and members. The fieldwork revealed that the various political actions undertaken by the Anishnabeg prove to be power strategies from the margin, a form of everyday resistance to the new ways of doing politics established by the Canadian authorities. These actions were also tricks and tactics used to challenge the formal system and the Indian Affairs power. Opposition and resistance however are not the only instruments of Native leadership and politics. In fact, the Kitigan Zibi Anishnabeg political leadership is also based on various representations (i.e. traditional, spiritual, and symbolic) that helped preserve Algonquin political identity despite some disruptions and changes introduced into their society by the colonizers. Ambiguities, contradictions and paradoxes found in everyday band politics are not only the result of the meeting of an Other political universe. They are also the culmination of the development and reconstruction of a traditional sociopolitical system and its internal dynamics related to power, a redefinition of the authority and political legitimacy, the rise of a new leaders genre to adequately respond to the demands of the reserve’s political life. Reserve politics are not a concrete ‘thing’ but rather a dynamic that exists within a particular time and in a given place. Additionally, overlapping different cultural and political traditions as well as various forms of authority, occur in various spaces (imposed or symbolic) and institutions (formal and informal). The Algonquin are continually renewing themselves politically within their system. This is not an effect of acculturation, hybridity, and modernity but of tradition. The joining of traditional functions and dynamics to the formal structure represents the beginning of a governance "from below". The latter renews from within, through the establishment of a dialogue, the relationship between Aboriginal leaders and representatives of the State, which provides room for manoeuvre to local protagonists. The Algonquins seized upon the incompatibilities between the two systems - Settler and Aboriginal - to define a new territory "in the cracks" which became their field of action. The analysis of the flexibility of Algonquin leadership, the Euro-Canadien vision of the Native leadership, the instrumental use of State requirements, the contemporary elections and candidates, Algonquin women's empowerment and female leadership within reserve have showed that the interstitial leadership is a political force for the Kitigan Zibi Anishnabeg.
By wearing a critical eye on local politics in daily band life and by including Indigenous voices, it is possible to observe the process of decolonization as well as the embryonic forms of postcolonial practices within reserves. This research has shown that the chief and other leaders are at the heart of this political dynamic in the margins and the political development and empowerment of their band.
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Cotton Mathers's Wonders of the Invisible World: An Authoritative EditionWise, Paul Melvin 12 January 2005 (has links)
ABSTRACT Although Cotton Mather, as the official chronicler of the 1692 Salem witch trials, is infamously associated with those events, and excerpts from his apologia on Salem, Wonders of the Invisible World, are widely anthologized today, no annotated critical edition of the entire work has appeared in print since the nineteenth century. This present edition of Wonders seeks to remedy this lacuna in modern scholarship. In Wonders, Mather applies both his views on witchcraft and on millennialism to events at Salem. This edition to Mather's Wonders presents this seventeenth-century text beside an integrated theory of the initial causes of the Salem witch panic. The juxtaposition of the probable natural causes of Salem's bewitchment with Mather's implausible explanations exposes the disingenuousness of his writing about Salem. My theory of what happened at Salem includes the probability that a group of conspirators led by the Rev. Samuel Parris deliberately orchestrated the "witchcraft" and that a plant, the thorn apple, used in Algonquian initiation rites, caused the initial symptoms of bewitchment (39-189). Furthermore, key spectral evidence used at the Salem witch trials and recorded by Mather in Wonders appears to have been generated by intense nightmares, commonly thought at the time to be witch visitations, resulting from what is today termed sleep paralysis (215-310). This dissertation provides a detailed look at some of the testimony given in the Salem court records and in Wonders of the Invisible World as it relates to the interpretation in folklore of the phenomenology of nightmares associated with sleep paralysis. The third chapter of this dissertation focuses extensively on Mather's text as a disingenuous response to the Salem witch trials (320-456). The final section of chapter three posits a "Scythian" or Eurasian connection between Swedish and Salem witchcraft. Similarities in shamanic practices among respective indigenous populations of Lapland, Eurasia, Asia, and New England, caused the devil's involvement in both the visible and invisible worlds to appear more than theoretical to writers like Jose Acosta, Johannes Scheffer, Nicholas Fuller, Joseph Mede, Anthony Horneck, and Cotton Mather, inducing Mather to include a lengthy abstract of the Swedish account in Wonders (404-449).
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Cotton Mathers's Wonders of the Invisible World: An Authoritative EditionWise, Paul Melvin 12 January 2005 (has links)
ABSTRACT Although Cotton Mather, as the official chronicler of the 1692 Salem witch trials, is infamously associated with those events, and excerpts from his apologia on Salem, Wonders of the Invisible World, are widely anthologized today, no annotated critical edition of the entire work has appeared in print since the nineteenth century. This present edition of Wonders seeks to remedy this lacuna in modern scholarship. In Wonders, Mather applies both his views on witchcraft and on millennialism to events at Salem. This edition to Mather's Wonders presents this seventeenth-century text beside an integrated theory of the initial causes of the Salem witch panic. The juxtaposition of the probable natural causes of Salem's bewitchment with Mather's implausible explanations exposes the disingenuousness of his writing about Salem. My theory of what happened at Salem includes the probability that a group of conspirators led by the Rev. Samuel Parris deliberately orchestrated the "witchcraft" and that a plant, the thorn apple, used in Algonquian initiation rites, caused the initial symptoms of bewitchment (39-189). Furthermore, key spectral evidence used at the Salem witch trials and recorded by Mather in Wonders appears to have been generated by intense nightmares, commonly thought at the time to be witch visitations, resulting from what is today termed sleep paralysis (215-310). This dissertation provides a detailed look at some of the testimony given in the Salem court records and in Wonders of the Invisible World as it relates to the interpretation in folklore of the phenomenology of nightmares associated with sleep paralysis. The third chapter of this dissertation focuses extensively on Mather's text as a disingenuous response to the Salem witch trials (320-456). The final section of chapter three posits a "Scythian" or Eurasian connection between Swedish and Salem witchcraft. Similarities in shamanic practices among respective indigenous populations of Lapland, Eurasia, Asia, and New England, caused the devil's involvement in both the visible and invisible worlds to appear more than theoretical to writers like Jose Acosta, Johannes Scheffer, Nicholas Fuller, Joseph Mede, Anthony Horneck, and Cotton Mather, inducing Mather to include a lengthy abstract of the Swedish account in Wonders (404-449).
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Kekeewin ou kekeenowin: les peintures rupestres de l'est du Bouclier canadienLemaitre, Serge 21 December 2004 (has links)
Les peintures rupestres de l’Ontario font partie du grand ensemble de l'art rupestre du Bouclier Canadien. Ce terme recouvre une réalité géologique autant qu'ethnographique, puisque cette région est essentiellement habitée par les Algonquiens. La retraite des glaces laissa un paysage criblé de lacs et de cours d'eau dont les artistes amérindiens peignirent les roches riveraines. Les peintres élirent de préférence des rochers de granit ou de gneiss, lissés par les glaces et plongeant, le long des rivages, presque à la verticale dans l'eau. <p>Depuis une dizaine d'années, les recherches en art rupestre se développent de plus en plus :de nouvelles techniques, ainsi que des interprétations récentes, prenant plus en compte les autres domaines scientifiques font leur apparition. Toutes ces approches sont largement diffusées par des colloques, des congrès et des périodiques spécialisés. Néanmoins, elles sont encore peu appliquées dans de nombreuses régions, les représentations ne faisant généralement l'objet que d'un relevé succinct, d'une identification des principaux motifs et d'une chronologie relative incertaine. Dans les années '60, Leroi-Gourhan rejetait, à juste titre pour l'art pariétal européen, le comparatisme ethnologique et il préconisait de "recevoir directement du Paléolithique ce qu'il apportait spontanément". Les spécialistes européens se focalisèrent alors sur les peintures et gravures et les étudièrent de la même manière que n'importe quel artefact archéologique (typologie, chronologie, carte de répartitions, analyse quantitative…). Au contraire, en Amérique et en Australie, où l'approche ethnographique et ethnologique est possible, les chercheurs se concentrèrent principalement sur ce dernier axe de recherche. Les dernières recherches en Europe de l'art pariétal paléolithique ont démontré l'importance d'une approche à la fois plus objective, plus exhaustive et plus contextuelle, approche qui fait encore malheureusement très largement défaut dans les travaux consacrés aux art rupestres, notamment les peintures rupestres du Bouclier canadien. Or, ces manifestations "esthétiques" sont susceptibles de nous livrer des informations non seulement sur le fonctionnement mental et spirituel des hommes qui les ont réalisées, par l'analyse des contenus graphiques mais aussi sur leur fonctionnement social grâce à la reconstitution des diverses chaînes opératoires mises en œuvre pour leur obtention. Il est donc désormais indispensable de lier les deux approches et de traiter ces documents archéologiques, tant d’un point de vue anthropologique qu’archéologique. C’est-à-dire, en analysant les peintures dans leur contexte (importance du rocher et des fissures, position du rocher sur le lac et importance de la voie de communication) et en les reliant à ce que nous connaissons de la mythologie et des pratiques culturelles des sociétés amérindiennes. <p><p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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