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Les relations entre l'Église et l'État dans l'Hérault de 1900 à 1926

Malhey-Dupart, Cécile 20 March 2010 (has links)
Cette étude, qui ne cherche par l’exhaustivité, se présente plutôt comme un « état des lieux », à l’échelle départementale, de l’impact des relations Église/État sur l’opinion. Elle décrit les prises de position, les réactions et des démarches pour ou contre la politique de l’État face à l’Église durant plus de vingt-cinq ans. La période étudiée, qui s’étend de 1900 à 1926, débute à la mise en place des lois contre les congrégations religieuses et des mesures de laïcisation de l’espace public qui font suite à la politique anticléricale largement entamée au cours du siècle précédent. Elle se termine avec la condamnation de l’Action française par le Vatican et la fin du Cartel des Gauches. Elle passe également par la loi de Séparation de l’Eglise et de l’Etat de 1905 et par la Première Guerre mondiale, quand les curés devinrent frères d’armes. L’Hérault apparaît comme un département contrasté, à forte composante anticléricale mais où la religion garde néanmoins toute sa place. En effet, dans ce département réputé appartenir au « Midi rouge » et qui aurait dû, si on se fie à cette « image d’Epinal », soutenir dans son ensemble la politique anticléricale du gouvernement radical-socialiste, la résistance a pu parfois atteindre la passion et présenter les mêmes péripéties que dans des régions réputées de tradition catholique et conservatrice. / This study is not intended to be exhaustive, but rather a description of the impact of the relations between Church and State on public opinion in the Hérault department. It presents the various stances, reactions and steps taken in favour of, or against, state policies concerning the Church over a period of more than twenty-five years. The period investigated, between 1900 and 1926, starts with the enactment of the laws against religious institutions and the measures taken to secularise the public domain, following on from the anticlerical policies begun during the previous century, and ends with the condemnation of “Action Française” by the Vatican and the demise of the “Left Wing Cartel”. It also includes the separation of Church and State in 1905 and World War I, during which priests served in the French army. There were marked differences of belief in the Hérault department where there was not only a strong anti-clerical movement but also great importance attached to religion. For, in this department, well-known as a “red” department, resistance to the above measures could reach passionate heights similar to those in some areas known for their Catholic and conservative traditions.
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La pourpre et le rouge : l'anticléricalisme canadien-français au XIXe siècle

Durou, Guillaume 18 April 2018 (has links)
L'anticléricalisme au Canada a été un élément constitutif d'une idéologie politique plus large. Pourtant, il a échoué à le demeurer, laissant toute la place à un libéralisme modéré qui, intimidé par une Eglise et un conservatisme triomphant, eut peine à se tailler une place sur la scène politique. Pourquoi ? Notre recherche tentera de répondre à cette question. Elle ne mettra cependant en lumière qu'une partie de celle-ci, celle que les historiens ont le mieux documentée et qui, centrée sur l'Union, s'étend des deux côtés pour couvrir à peu près tout le XIXe siècle. L'énigme qui guidera notre recherche ne sera pas tant la question de l'origine de l'anticléricalisme que celle de son déclin.
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Du théologique au pédagogique. Ferdinand Buisson et le problème de l'autorité / From theological to educational issues. Ferdinand Buisson and the question of authority

Husser, Anne-Claire 07 September 2012 (has links)
Si Ferdinand Buisson a, du point de vue institutionnel, joué un rôle de premier plan dans l'édification de l'école laïque sous la IIIe République, il fut aussi un remarquable observateur de son temps et un penseur engagé soucieux de faire apparaître toute l'intelligibilité des différentes causes qu'il a embrassées au cours de sa longue carrière d'homme publique, du protestantisme libéral au radical-socialisme. Pour appréhender la cohérence de cet itinéraire intellectuel, la question de l'autorité offre un bon fil directeur: avant d'être envisagée en termes pédagogiques, celle-ci s'est en effet posée à Buisson de manière particulièrement vive dans le contexte théologique et ecclésiologique mouvementé qui était celui de la communauté réformée dans la seconde moitié du XIXe siècle. Prenant énergiquement parti pour les "libéraux" dans le débat qui les oppose alors aux "orthodoxes" quant aux statuts respectifs de l'Ecriture et de la conscience dans l'économie de la foi, Buisson esquisse dès les années 1860 une interprétation originale de la tradition protestante qu'il développera bien plus tard dans sa thèse de 1891 sur Sébastien Castellion. A la lumière de ses écrits protestants, sa philosophie de l'éducation laïque apparaît à bien des égards comme l'expression sécularisée d'un geste inaugural et profondément religieux de refus de l'autorité dans ses formes conservatrices et toutes extérieures. Loin de consister cependant en un simple développement d’une essence préexistante, la continuité de cette pensée ne se dessine qu'au gré d'un permanent travail de réécriture commandé par les contextes de discussion abordés, les arguments adverses et les situations historiques que Buisson s'est efforcé d'infléchir avec un sens consommé du kairos. Ce sont ces ajustements et infléchissements successifs de l'idéal buissonien que nous avons tenté d’appréhender depuis les jeunes heures de l'école laïque jusqu'aux premières discussions relatives à sa "démocratisation" à la veille de la première guerre mondiale. / Ferdinand Buisson did not only play a major role, as regards institutions, in the foundation of nondenominational education during the Third Republic, he was also both a talented observer of his time and a committed thinker, concerned with the intelligibility of the various causes he embraced throughout his long career as a public figure , from liberal Protestantism to radical- socialism. The coherence of his intellectual path may be apprehended through a clear issue: The question of authority. As a matter of fact, before considering it from an educational standpoint, Ferdinand Buisson had to face it acutely inthe stormy theological and ecclesiological context of the protestant community during the second half of the 19th century. He stood up vigourously for the”liberals” in their dispute against the “orthodox” concerning respectively, the status of the Scriptures and of conscience in the process of faith. As early as 1860, Ferdinand Buisson outlines an original interpretation of the protestant tradition, which he will later on develop in 1891 in his thesis about Sébastien Castellion. In the light of his protestant works, and in many respects, his philosophy of non-denominational education sounds like the secularized expression of a deeply religious inaugural gesture in refusal of authority, in its external conservative forms. Yet, far from simply expanding on a pre-existent essence, the continuity of this thinking only becomes clear through a continuous work of re-writing, induced from debates, opposing arguments and historical situations which Buisson endeavoured to reorientate with his accomplished sense of Kairos. Indeed, we have tried to apprehend those successive reorientations and realignments of Buisson’s ideal, starting from the very first days of non-denominational education to the first discussions relating to its democratization on the eve of the first World War.

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