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Les armes de destruction massive : essai critique sur une notion à géométrie variable

Gata, Aude Marie-Laurence 14 December 2012 (has links)
La notion d'« armes de destruction massive » (ADM) est insaisissable : au lieu d'avoir pour but de mieux définir un type d'arme, elle agit à l'inverse, en créant une confusion entre l'arme et les conséquences de son emploi. Cette nature inconsistante se poursuit au niveau juridique. En effet, bien que l'expression fasse très tôt son entrée au sein des Nations unies, aucun traité ni organe officiel n'a, jusqu'alors, réussi à en donner une définition probante. À défaut de définition incontestable, et en l'absence d'un critère vérifiable d'identification de ce qu'est une « arme de destruction massive », cette notion s'est avérée préjudiciable. L'écart entre la réalité de la menace existante en matière d'« armes de destruction massive » et la façon dont elle fut perçue, puis gérée par la communauté internationale, c'est-à-dire à la fois par les États de façon individuelle et par les organisations internationales et les traités de façon collective, a conduit à de multiples dérives. Par conséquent, s'agissant là d'une notion plus politique que juridique, il apparaît nécessaire qu'elle soit précisée ou abandonnée / The term « weapons of mass destruction » (WMD) is ambiguous: instead of aiming to clearly define a certain type of weapon, it does the opposite by creating confusion between the weapon itself and the consequences of its use. This confusion is also reflected at in the legal definition. Indeed, even though the term has been used by the United Nations from an early stage, no treaty or official entity has succeeded in providing a clear definition to this day. The lack of a clear definition, and the absence of defined criteria to determine what constitutes a « weapon of mass destruction », has turned out to be damaging. The dichotomy between the existing threat from « weapons of mass destruction » and the way it is perceived and handled by the international community, including individual states, international organisations, as well as collective treaties, has resulted in several instances of inappropriate use. As a consequence, the term has become a political rather than legal notion. A clearer legal definition is needed, or otherwise the term should be abandoned
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Contestations rhétoriques et rivalités normatives à la Conférence du désarmement : Le discours diplomatique de la République populaire de Chine en matière de prévention d’une course aux armements dans l’espace de 1998 à 2009 / Rhetoric Coercion and Normative Competition at the Conference on Disarmament : People's Republic of China Diplomatic Discourse in matter of Prevention of an Arms Race in Outer Space from 1998 till 2009

Moncharmont, Olivier 03 December 2012 (has links)
La politique étrangère de la République populaire de Chine est l’objet d’explications doxiques qui, en vertu d’un raisonnement rationaliste positiviste, lui attribuent des visées secrètes, déterminées par des « intérêts » de « sécurité ». L’accession en 2003 de la Chine au rang symbolique de troisième puissance spatiale, après les États-Unis et la Russie, a été présentée par les experts réalistes des Relations internationales comme un témoignage supplémentaire de l’ambiguïté du pouvoir politique chinois quant à son utilisation des technologies militaires dans l’espace extra-atmosphérique. L’objectif de la thèse est de proposer une approche constructiviste de la politique étrangère chinoise en matière de Prévention d’une course aux armements dans l’espace. Il s’agit de reconnaître les sources premières par lesquelles le pouvoir politique chinois fait connaître et évoluer sa position en la matière. Le discours diplomatique produit à Genève par la délégation chinoise auprès de la Conférence du désarmement (CD) entre 1998 et 2009 est le matériau analysé par l’étude. Sa matérialité discursive est instituée dans des documents multiples au travers desquels sont produits des récits en légitimation des normes prescrites par la délégation chinoise ainsi que des représentations problématisées du réel social. La production discursive de normes façonne un ethos idéalisé du pouvoir politique en RPC. Elle est aussi constitutive de stratégies rhétoriques de coercition et de contestation destinées à contraindre la production discursive des délégations des autres États à propos de négociations connexes. Ces stratégies sont à l’origine du « blocage » de la CD depuis 1998. / The People’s Republic of China foreign policy is subject to doxic explanations which, in accordance with a rationalist positivist problem-solving theory, see it as secretly determined by “security interests”. The symbolic world space power rank that China has gained until 2003, behind the United States and Russia, was set out by realist International relations experts as further evidence of Chinese political power ambiguity towards its possible application of military technologies in outer space. The purpose of this research is to put forward a constructivist approach of the Chinese foreign policy related to the Prevention of an arms race in outer space. Primary sources of its position must be identified in order to understand the way the Chinese political power develop it. The Geneva Conference on Disarmament (CD) diplomatic discourse produced by Chinese diplomacy between 1998 and 2009 is the material of the study. The discourse materiality is constituted by working papers and statements through which numerous narratives are produced in order to legitimate norms and to problematize the representations of social reality. Discursive production of international norms shapes an idealized ethos of the political power in People’s Republic of China. Discursive production is also constitutive of coercion and contestation strategies, designed to force the discursive production of the other State members representatives about related negociated issues. Since 1998, these strategies have resulted in the CD deadlock.
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Une offre de bons offices et une opération de relations publiques : les responsables politiques canadiens face à la course aux armements, 1979-1984

Martel, Dominique 18 April 2018 (has links)
Au début des années 1970, le gouvernement libéral de Pierre Elliott Trudeau établit une nouvelle direction de la politique étrangère, caractérisée notamment par la Troisième option. Le gouvernement de P.-E. Trudeau mise spécifiquement sur l'ouverture des relations économiques avec l'Europe de l'Est, le maintien de la détente ainsi que la continuation des processus de désarmement, tout en cherchant à éviter une orientation internationaliste adoptée antérieurement par Lester B. Pearson. Les responsables politiques canadiens doivent toutefois faire face à de nouveaux enjeux et conflits internationaux au tournant de la décennie suivante, dont une nouvelle course aux armements qui intensifie le refroidissement des relations entre l'Est et l'Ouest. À la fin de l'année 1983, le Premier ministre annonce une nouvelle politique, celle de la troisième voie, pour relancer le dialogue menacé par l'escalade de la tension au sein des relations internationales. Cette initiative de paix révèle ainsi les limites du Canada sur la scène internationale et pour le Premier ministre, c'est un retour inévitable à la diplomatie pearsonnienne de l'internationalisme.
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États, échanges nucléaires et prolifération : de l'importation à l'exportation de matières et technologies nucléaires militaires

Lewis, Saëd'Nhir Irving 20 April 2018 (has links)
Cette recherche fournit une explication à propos du passage des États, de récipiendaires à fournisseurs de matières et technologies nucléaires militaires dans le but de participer à l’accumulation de la connaissance sur les déterminants de la prolifération nucléaire analysés à partir de l’approche fournisseur-centrée. Une tâche à laquelle ne s’était alors penchée, de manière systématique, aucune étude dans la littérature spécialisée. Pour ce faire, une analyse empirique d’un modèle théorique a été menée. Selon ce modèle dénommé théorie interactive des échanges nucléaires militaires bilatéraux et basé sur une reconceptualisation des concepts de l’opportunité et de la volonté, le passage des États, de récipiendaires à fournisseurs de matières et technologies nucléaires militaires, est motivé par des facteurs politiques et économiques et est favorisé par des facteurs culturels alors que les facteurs institutionnels et normatifs semblent n’avoir aucun effet sur son occurrence. Le test empirique du modèle a été effectué à partir d’observations relatives aux transactions nucléaires militaires interétatiques bilatérales entre 1945 et 2010. Les données ont été analysées par le biais de deux méthodes, l’analyse quali-quantitative comparée (Qualitative Comparative Analysis) et l’analyse de processus (Process-tracing), afin de donner plus de robustesse aux résultats. Ces résultats confirment les hypothèses du modèle : les affinités identitaires de l’État fournisseur avec l’État récipiendaire, sa volonté de contenir un État menaçant commun avec l’État récipiendaire et son désir de tirer profit financièrement de son expertise nucléaire sont tous trois facteurs explicatifs de la variation du passage de récipiendaires à fournisseurs de matières et technologies nucléaires militaires alors que la participation de l’un ou l’autre des États au régime international de non-prolifération ne semble pas être un frein à l’occurrence du phénomène.
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Hidden cooperation : how nuclear antagonists collaborated on counter-narcotics efforts in Iran from 2007 to 2011

Ménard, Myriam 20 April 2018 (has links)
L'Iran est depuis longtemps considéré comme un État paria sur la scène internationale en raison de son programme nucléaire. Pourtant, les mêmes États qui ont publiquement dénoncé les ambitions nucléaires de l'Iran ont collaboré avec les autorités iraniennes à la lutte anti-drogue. Cette recherche explore comment les membres de la communauté internationale ont formulé leur discours public sur l'Iran afin de justifier à la fois leur coopération avec l’Iran contre les stupéfiants et leur dénonciation du programme nucléaire. Les déclarations politiques de sept gouvernements ayant fourni une assistance à la lutte anti-drogue de l’Iran de 2007 à 2011 ont été systématiquement analysées à l'aide de l'analyse de contenu qualitative et de l'analyse de discours. Notre analyse a révélé que ces pays ont entretenu des représentations contradictoires, construisant l’Iran simultanément comme un ennemi et un partenaire. Ces résultats suggèrent que la confrontation nucléaire avec l'Iran résulte des pratiques discursives d’acteurs internationaux. / Iran has long been considered as a pariah state in international affairs due to the development of the country’s nuclear program. Yet, the very same states that have denounced Iran’s nuclear ambitions and pushed for the imposition of international sanctions have collaborated with Iranian authorities on counter-narcotics issues. This research explores how members of the international community framed their public discourse on Iran in order to justify both counter-narcotics cooperation with Iran and denunciation of the country’s nuclear program. The political statements of seven governments that provided assistance to Iran’s counter-narcotics efforts from 2007 to 2011 were systematically analysed with the help of Qualitative Content and Discourse analyses. Our analysis revealed that these donor countries held contradictory representations of Iran, constructing it simultaneously as an enemy and a partner. These findings suggest that nuclear confrontation with Iran is not inevitable but rather results from the discursive practices of international actors.
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Dimension militaire de la présence chinoise en Afrique noire : contribution à l’étude de l’outil militaire dans la politique étrangère des Etats / Military dimension of Chinese presence in Africa : a contribution to the study of the military machine in the States' foreign policies

Bouzanda, Diassonama Kiesse 13 February 2012 (has links)
La première décennie du XXIème siècle a été particulièrement marquée par le renforcement de la présence de la République populaire de Chine (RPC) en Afrique. En effet, Pékin est devenu un important partenaire du continent dans différents domaines de coopération (économique, commercial, militaire, culturel…). C’est ainsi que l’objet de cette recherche porte essentiellement sur la dimension militaire de la présence chinoise. Celle-ci reste encore peu étudiée contrairement à celle des Etats-Unis, de la France et de l’URSS autrefois. L’étude qui convoque la pensée stratégique chinoise et les théories de relations internationales, tente de cerner les enjeux, les contours et les évolutions de la dimension militaire chinoise dans un contexte de bouleversements et de rivalités stratégiques (1960-2010). Aussi, l’étude s’intéresse aux différents choix stratégiques opérés. Cet effort de compréhension ne porte pas que sur la seule Chine, l’Afrique y est aussi pleinement prise en compte. La réflexion se prolonge avec l’analyse décisionnelle de la politique étrangère de défense, grâce notamment à une approche que nous avons qualifiée d’hybride, une combinaison du modèle rationnel et de l’approche bureaucratique de la décision. Ainsi, dans le cas chinois et africain, la décision en politique étrangère n’est pas le seul fait du Président, bien qu’il en soit un acteur prééminent. De nombreux acteurs participent à son élaboration; ceux-ci disposent de réelles capacités de l’infléchir dans un sens ou dans l’autre. / The reinforcement of China presence in Africa particularly constitutes a remarkable event during the first decade of the twenty-first century. As the matter of fact, China has become an important partner in various domains of cooperation such as trade, military, culture…This is hereby the reason why this study is essentially based on the military dimension of China presence. This aspect is barely analyzed in comparison with those of the USA, France, and the USSR in the past. The study deals with the Chinese strategic Policy and the theories of international relations. It intends to decipher what is at stake, the ins and outs of the Chinese military Policy in a context where upheavals and strategic conflicts are pregnant (1960-2010). Moreover, the study will analyze different strategic choices that have been taken so far. This effort of analysis will not only concern China, but Africa will be fully taken into account as well. The reflection will stretch onto the analysis of decisions inherent to the foreign Policy, notably thanks to an approach that can be qualified as a ‘hybrid approach’, that is, a combination of a rational pattern and the bureaucratic approach of decision. Then, in the Chinese and African cases, the decision in foreign policy is not only the prerogative of the president, although he allegedly seems to be a pre-eminent actor. A lot of actors partake in the foreign Policy elaboration; these ones have real capacities to curb it either way.

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