Spelling suggestions: "subject:"boccace"" "subject:"accace""
11 |
Ethics of retribution in the "Decameron" and the late medieval Italian novella : beyond the circle /Nissen, Christopher. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thesis--Berkeley (Calif.)--University of California.
|
12 |
Boccaccio und die deutsche Novellistik : Formen der Transposition italienischer "novelle" im 15. und 16. Jahrhundert /Kocher, Ursula, January 2005 (has links)
Dissertation--Fachbereich Philosophie und Geisteswissenschaften--Berlin--Freie Universität, 2001. / N° de : "Chloe (Amsterdam)", ISSN 0168-9878, (2005)38. Bibliogr. p. 517-564.
|
13 |
I volti di Medea : Medea non deve morire / Les visages de Médée : Médée ne doit pas mourir / The faces of Medea : Medea must not dieGigliello, Paola 17 December 2015 (has links)
Le mythe de Médée est un des mythes les plus anciens que la tradition nous a transmis, mais, paradoxalement, c'est peut-être le plus “moderne” et scabreux entre les mythes connus. La thèse s'occupera d'abord de l'œuvre de Christine de Pizan, “La Cité des Dames” et l'image de Médée qui émerge: la terrible reine devient dans les pages de Christine un symbole du savoir et de la loyauté féminine par rapport à l'autre, qui n'est pas seulement fidélité amoureuse mais c'est l'abandon total du corps et de l'âme. On mettra en relation la “Cité” de Christine avec le “De mulieribus claris” de Boccace et on cherchera à démontrer que l'œuvre de Christine n'est pas une traduction, un plagiat de la plus célèbre œuvre de notre écrivain et poète. Dans la deuxième partie de la thèse, je vais analyser la version d'une autre femme spéciale; démontrant que les visages de Médée sont nombreux et variés: la Midea de Irina Possamai. Irina, est, en effet, une des premières librettistes italiennes et a choisi – comme Christine - de raconter dans un opéra lyrique sa Médée qui, ce n’est pas par hasard , qu’elle l’a appelé Midea. / The Medea myth is one of the most ancient that tradition has handed to us, but paradoxically, is perhaps the most 'modern' and scabrous among those ever known.For her mysterious character and, in some aspects, demonic, Medea has enjoyed vast fortune in ancient times as well as in modern and contemporary art.We will focus the dissertation on Christine de Pizan’s text, La Cité des Dames and the figure of Medea that emerges: the terrible Medea becomes, in the writing of Christine, the symbol of knowledge and female loyalty towards others, which is not only faithfulness in love, but total availability of body and soul. We will link the Christine’s Cité with Boccaccio’s De mulieribus claris and we will argue that Christine’s work is not a translation, a plagiarism, of the most famous work of our writer and poet. In the second part of the thesis, I will analyze the version of another special woman; showing that the faces of Medea are numerous and diverse: the Midea of Irina Possamai. Irina is, in fact, one of the first Italian librettiste and chose - as Christine did - to narrate her Medea in an opera that, not surprisingly, she called Midea.The Medea myth is one of the most ancient that tradition has handed to us, but paradoxically, is perhaps the most 'modern' and scabrous among those ever known.For her mysterious character and, in some aspects, demonic, Medea has enjoyed vast fortune in ancient times as well as in modern and contemporary art.We will focus the dissertation on Christine de Pizan’s text, La Cité des Dames and the figure of Medea that emerges: the terrible Medea becomes, in the writing of Christine, the symbol of knowledge and female loyalty towards others, which is not only faithfulness in love, but total availability of body and soul. We will link the Christine’s Cité with Boccaccio’s De mulieribus claris and we will argue that Christine’s work is not a translation, a plagiarism, of the most famous work of our writer and poet. In the second part of the thesis, I will analyze the version of another special woman; showing that the faces of Medea are numerous and diverse: the Midea of Irina Possamai. Irina is, in fact, one of the first Italian librettiste and chose - as Christine did - to narrate her Medea in an opera that, not surprisingly, she called Midea
|
14 |
The song of Troilus : lyric authority in the medieval book /Stillinger, Thomas C. January 1992 (has links)
Texte remanié de: Th. Ph. D.--Ithaca (N.Y.)--Cornell University.
|
15 |
Les erreurs de Boccace ˸ les bévues de copiste, les fautes de l’auteur, la variété de la langue du Trecento / Boccaccio’s « mistakes » ˸ the copyist’s blunders, the author’s errors, the variety of 14th-century languageFordred, Benedetta 26 March 2019 (has links)
Ce travail vise à tracer l’évolution de la question des « erreurs » de Boccace, du XVIe siècle jusqu’à nos jours, selon différentes approches : historique, ecdotique, linguistique et stylistique. Le travail se compose d’un premier chapitre divisé en trois sous-parties. Les deux premières sont consacrées à la perception du modèle de Boccace pendant les querelles linguistiques du XVIe siècle. La troisième vise à réfléchir sur la façon dont les lettrés de l’époque ont associé la définition d’ « erreurs » à la syntaxe du Décaméron.Nous nous attarderons sur les commentaires de Ruscelli, Borghini, Salviati et Beni. Le deuxième chapitre porte sur la tradition manuscrite du Décaméron et sur les propositions ecdotiques les plus récentes émises par les philologues modernes. Le troisième chapitre est entièrement consacré à la description des phénomènes de répétition de « che », du « che » suivi d’un infinitif, de la parahypotaxe et de la coordination entre subordonnées aux modes personnels et impersonnels, selon une approche comparative en italien ancien et ancien français. Le dernier chapitre se propose de réfléchir sur la présence (et l’absence) de ces constructions syntaxiques dans le Décaméron, afin de comprendre les choix de Boccace écrivain, selon les contextes d’élocution et les niveaux diégétiques des nouvelles. / The present work aims to describe the evolution of Boccaccio’s “mistakes” from 16th century on through the use of different approaches (namely historical, ecdotic, linguistic, and stylistic). The dissertation starts with a chapter divided in three sections: the first two sections deal with the perception of Boccaccio’s model in the linguistic controversy characterizing the 16th century. The third section analyses how the syntax of the Decameron came to be considered incorrect by scholars of the time.I will concentrate on the commentaries by Ruscelli, Borghini, Salviati and Beni. The second chapter is about the manuscript tradition of the Decameron and on the most recent ecdotic theories formulated by modern philologists on the issue. In the third chapter I focus on such linguistic phenomena as the repetition of “che”, para-hypotaxis, “che” followed by the infinitive, and the coordination between dependent clauses with both finite and nonfinite verbs. In this part of my dissertation, I make use of a comparative method, bringing together Old Italian and Old French. In the last chapter I intend to reflect on the presence (and absence) of these linguistic phenomena in the Decameron, in order to understand Boccaccio’s writing choices, and taking into account other elements such as elocution and the different diegetic levels acting in the novellas.
|
16 |
Le Décaméron de Boccace au prisme des « théories du roman » / Boccaccio's Decameron through the prism of the theories of the NovelSotgiu, Antonio 08 December 2018 (has links)
Ce travail se compose de deux parties. La première décrit et évalue, dans les premiers deux chapitres, l’interprétation du Décaméron de Boccace dans les travaux de Schlegel, Hegel, Lukács, Bakhtine et Auerbach. Ensuite, à partir de cette opération de comparaison, un troisième chapitre analyse des nouvelles perspectives interprétatives et historiques sur le roman, et pose les bases herméneutiques pour une nouvelle lecture du Décaméron.La deuxième partie aborde, dans un premier chapitre, la réécriture boccacienne de l’épisode de Paolo et Francesca de la Commedia de Dante (Enfer V). Dans le cadre de ce même chapitre, on analyse la théorie de la « fable » développée par Boccace dans les Genealogie deorum gentilium en montrant surtout les aspects liés aux d’allégorie, de connaissance et de consolation. À cela fait suite une analyse de la structure narrative du Filocolo et une hypothèse sur la fonction de l’épisode des « Questioni d’amore » dans l’économie globale de l’œuvre. Le deuxième chapitre propose une lecture du Décaméron qui prend appui sur la notion de « compassion » et qui offre une analyse du récit-porteur à partir d’instances éthiques et philosophiques. Les sous-chapitres centraux explorent les modalités de mise en jeu des croyances. Le chapitre se termine par une analyse de la notion de « fortune », sa théorisation et sa représentation dans le Décaméron. Le troisième chapitre est consacré à l’interprétation individuelle d’un groupe de cinq nouvelles (IV, 4 ; V, 1 ; II, 7 ; II, 9 ; X, 10). / This work is composed of two parts. In the first one, I critically analyze how Boccaccio was read by the main theorists of the novel (Schlegel, Hegel, Lukács, Bakhtine, Auerbach); once described individually, these authors are later confronted with each other. A third chapter deals with new perspectives in the theory of the novel, which provide the foundation for a new interpretation of Boccaccio’s Decameron.The second part is devoted to Boccaccio’s works in themselves. First, I analyze Boccaccio’s rewriting of the dantean episode of Paolo and Francesca (Inf. V). In the same chapter I also discuss Boccaccio’s theory of the fabula as it is developed in his Genealogie deorum gentilium, by focusing on crucial issues such as allegory, knowledge and consolation. I conclude the chapter with an inquiry on the Filocolo’s narrative framework; particular attention is devoted to the episode of the «Questioni d’amore» and to its functions in the economy of the whole work. The second chapter puts forward a new reading of the Decameron, based on the notion of ‘compassion’; I analyze the Decameron’s narrative framework on the ground of philosophical and ethical categories. I also explore how the beliefs’ device is shaped by Boccaccio; the chapter ends with an enquiry around the concept of fortune, its theorization and representation in the Decameron. The third and final chapter is devoted to the individual interpretation of five novellas (IV, 4; V, 1; II, 7; II, 9; X, 10).
|
17 |
La Comedia delle Ninfe fiorentine. Revisione dell'edizione e commento / La Comedia delle Ninfe fiorentine. Révision de l'édition et commentaire / The Comedia delle ninfe fiorentine. Edition's revision and commentaryCatalano, Sara 08 January 2019 (has links)
La thèse se propose, dans une première partie, d’analyser et d'actualiser la tradition manuscrite de la Comedia delle Ninfe Fiorentine, œuvre de jeunesse de Giovanni Boccaccio, composée immédiatement après le retour à Florence de la cour angevine de Naples.L'édition actuelle de Comedia delle Ninfe, est due à Antonio Enzo Quaglio et remonte à 1963. Elle fournit, comme il était d'usage à l'époque, une description brève et peu précise des témoins interrogés. Les manuscrits sont donc classés selon un critère socioculturel (copie a prezzo et copie per passione), datant des codex au quart de siècle. Quand cela est possible, un profil biographique des copistes est fourni. Le travail est complété par les fiches de chacun des témoins individuels acceptés dans le corpus.La deuxième partie de la thèse est un travail de commentaire d’historie littéraire divisé par thèmes. La composition de la Comedia delle Ninfe est liée à l'expérience biographique de son auteur et au développement de son expérience littéraire.L’histoire du dédicataire de l’œuvre, Niccolò di Bartolo del Buono, nous permet de fournir des repères chronologiques pour chacune des deux rédactions de la Comedia.La proposition de mettre en relation Caccia di Diana, Comedia et Amorosa Visione nous donne l’occasion de comparer trois œuvres de Boccaccio, en considérant l’utilisation du capitolo ternario comme premier dénominateur commun.Le chapitre sur le prosimètre donne un aperçu des sources possibles auxquelles Boccaccio peut, ou ne peut pas, faire référence pour cette forme particulière (prose et vers).Enfin, l'analyse de la production bucolique de Boccace et de son évolution amène à considérer le Comedia comme une première œuvre de ce genre avec l’utilisation du vulgaire. / The aim of this thesis is to analyze and updating the manuscript tradition of the Comedia delle Ninfe Fiorentine, written by a young Giovanni Boccaccio in Florence, as he came back there from Naples. The current edition by Antonio Enzo Quaglio (1963) only provides, as was customary at the time, a brief and inaccurate description of the witnesses surveyed. For that reason, in this work manuscripts have been dated a divided into a prezzo and per passion copies. Where possible, a biographical profile of the copyists have been included. Moreover, each copy has its own detection form.The second part of the thesis consists of a historic-literary commentary: the Comedia delle Ninfe is has been interpreted on the basis of the biography of the author and of his literary production. The two draftings of the Comedia have been also dated according to the biography of Niccolò di Bartolo del Buono, to whom this opera was dedicated. Besides, the Comedia has been compared to the Caccia di Diana and the Amorosa Visione, on the basis of the use of the capitolo ternario. A chapter on the prosimetrum provides some hypoteses on the literary sources Boccaccio may have, or may not, referred to. At last, by analysing the bucolic literary works by Boccaccio, the Comedia can be considered the first example in this genre, regarding the use of the vernacular. / La tesi si propone, nella prima parte, di analizzare, aggiornandola, la tradizione manoscritta della Comedia delle Ninfe Fiorentine, opera della giovinezza di Giovanni Boccaccio, composta subito dopo il ritorno del Certaldese a Firenze dalla corte angioina di Napoli. L’edizione esistente della Comedia delle Ninfe, datata 1963 per la cura di Antonio Enzo Quaglio, fornisce, come d’uso all’epoca, una descrizione sommaria e poco accurata dei testimoni censiti. Si classificano quindi i manoscritti secondo un criterio socioculturale (copia a prezzo e copia per passione), datando i codici al quarto di secolo. Si fornisce, ove possibile, un profilo biografico dei copisti. Il lavoro è completato dalle schede di rilevamento dei singoli testimoni accolti nel corpus, redatte secondo un criterio stabilito a priori.La seconda parte della tesi è un lavoro di commento letterario suddiviso per tematiche. La composizione della Comedia delle Ninfe viene messa in relazione con l’esperienza biografica del suo autore e con il dipanarsi della sua esperienza letteraria. La vicenda del dedicatario dell’opera, Niccolò di Bartolo del Buono, permette di collocare con riferimenti cronologici l’identificazione delle due redazioni della Comedia.Occasione di confrontare tre opere del Boccaccio è la proposta di mettere in relazione Caccia di Diana , Comedia e Amorosa Visione considerando come primo denominatore comune l’utilizzo del capitolo ternario.Il capitolo sul prosimetro fornisce una rassegna sulle possibili fonti alle quali Boccaccio può, o non può, aver fatto riferimento nella composizione dell’opera con questa particolare forma.Infine l’analisi della produzione bucolica del Boccaccio, e della sua evoluzione, propone di considerare la Comedia come un’opera prima in questo genere per l’utilizzo del volgare.
|
18 |
Sources et ressources de la mise en images du Décaméron dans un ensemble de manuscrits enluminés italiens et français (XIVe et XVe siècles) / Sources and resources in images of the Decameron in a group of italian and french illuminated manuscripts from the 14th and 15th centuriesNayrand, Bérangère 03 December 2014 (has links)
Le corpus, qui regroupe seize manuscrits italiens et français (avec la traduction de Laurent de Premierfait), permet d’élaborer une étude sur les rapports entre une œuvre littéraire, foisonnante et complexe comme le Décaméron, et les nombreuses illustrations que ces ouvrages contiennent. Pour être efficace et effective, l’image a besoin de se fonder sur le texte de Boccace. Cependant, les illustrateurs doivent aussi contenter leurs commanditaires et se conformer à leurs volontés, quitte à s’éloigner de l’œuvre originelle.La présente recherche se centre ainsi sur le passage du texte à l’image — en s’intéressant particulièrement à la littérarité de l’illustration, souvent fondée sur les potentialités visuelles du texte. Les manuscrits enluminés sont systématiquement replacés dans leur contexte culturel, social et historique, compte tenu du rôle joué par le lecteur/commanditaire, essentiel pour la compréhension de chaque miniature.Cette étude s’efforce ainsi d’analyser les ressources dont disposent les enlumineurs. Elle met en lumière l’incroyable adaptabilité dont font preuve ces artistes à part entière pour illustrer le texte qui constitue leur principale source. / The corpus consisting of 16 manuscripts (with the translation by Laurent de Premierfait) allows us to elaborate a study on the relationship between a piece of literature as abundant and complex as the Decameron, and the numerous illustrations that these works contain. To be efficient and effective, an image needs to be based on Boccaccio’s text. However illustrations must also satisfy their commissioner and comply with their wishes, even away from the original work.This research focuses as well on how to move from text to image — with particular attention on the literariness of illustration, often based on visual potential of the text. The illuminated manuscripts are systematically placed in their cultural, social and historical background, taking into account the essential role played by the reader and commissioner to understand each miniature.This study thus attempts to analyse the illuminators’ ressources. It highlights the incredible adaptability shown by these artists in their own right to illustrate the texte as their main source.
|
19 |
Iconographie de Fortune au Moyen Âge et à la Renaissance (XIe-XVIe siècle) / Iconography of Fortune in the Middle Ages and the Renaissance (XIth-XVIth c.)Vassilieva-Codognet, Olga 16 May 2017 (has links)
Ce travail sur l’iconographie de Fortune au Moyen Âge et à la Renaissance se base sur un corpus de plus d’un millier d’images dont seul un tiers y est reproduit. L'enquête commence par une nécessaire étude lexicographique qui permet de mieux cerner les sens du mot latin « fortuna » ainsi que ceux du mot français « fortune » entre le xie et le xvie siècle. Une seconde partie s’intéresse au motif iconographique de la Roue de Fortune médiévale – i.e. cette roue sur le pourtour de laquelle prennent place des personnages dont le premier monte, les second trône, le troisième tombe et le dernier gît à terre –, depuis sa genèse dans un manuscrit bénéventain datant des années 1060-1070 jusqu’à sa diffusion sur toutes sortes de supports (peinture murale, sculpture monumentale, mosaïque, etc.) ainsi qu’aux différents usages de ce motif (didactiques, emblématiques, divinatoires). Une troisième partie recense les nombreuses variantes que génère au fil des siècles ce très fécond motif : Roue de la Vie, Roues animales satiriques, Roue des Vicissitudes de l’Humanité, etc. Une quatrième partie étudie la personnification de Fortune qui apparaît au xiie siècle, tant dans les images que dans les textes, avant de devenir l’une des vedettes de l’iconographie de la fin du Moyen Âge, la figure de Fortune se retrouvant dans d’innombrables manuscrits de Boèce, Jean de Meun, Boccace ou Christine de Pizan. La cinquième et dernière partie est consacrée à la mutation que connaît Fortune à la Renaissance, mutation qui la voit changer tant de forme que de fonction, l’aveugle et duplice déesse du sort abandonnant alors sa fonction didactique – et la roue d’exemples qui va avec – pour devenir une accorte jeune femme nue à la mèche de cheveux flottant au vent dont la fonction est propitiatoire et l’usage emblématique. / This work on the iconography of Fortune in the Middle Ages and the Renaissance is based on more than one thousand images of which only one third is reproduced in the document. The study begins with a lexicographical study aiming at better understanding the various meanings of the Latin word « fortuna » and the French word « fortune » from the xith to the xvith centuries. The second section addresses the iconographical pattern of the mediaeval Wheel of Fortune – i.e. that wheel where four human beings occupy different positions on the rim: the first ascends, the second is enthroned, the third falls and the fourth lays on the ground – from its inception in a 1060-1070 Beneventan manuscript to its diffusion to various media (mural painting, monumental sculpture, mosaic, etc.) as well as its different uses (didactic, emblematic, divinatory). The third section identifies the numerous variations that this fertile pattern has generated over the centuries: Wheel of Life, satirical animal Wheels, Wheel of Vicissitudes of Humanity, etc. The fourth section studies the personification of Fortune which appears in the xiith century before becoming a star of late mediaeval iconography, her figure gracing innumerable manuscripts of Boethius, Jean de Meun, Giovanni Boccaccio or Christine de Pizan. The fifth and final section is devoted to Fortune’s mutation during the Renaissance: changing both form and function, the blind and treacherous goddess of fate gives up her didactic function – and the wheel of examples that comes with it – and becomes a beautiful naked woman with a forelock whose function is propitiatory and use emblematic.
|
Page generated in 0.0335 seconds