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Amélioration de la perception spatiale et émotive d'un environnement virtuel interactif par la gestion cinématographique des prises de vueCordeau, Marie-Elise January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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La musicalité filmique : de l'avant-garde au cinéma contemporain, transformations temporelles et rythmiquesLeclerc, Anne-Marie January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal / Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de cette thèse ou ce mémoire a été dépouillée, le cas échéant, de ses documents visuels et audio-visuels. La version intégrale de la thèse ou du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Le mythe des origines, le mythe de Frankenstein et le mythe de la conquête de l'Ouest dans Planet of the Apes et 2001, A space OdysseyLamontagne, Marie-Josée January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal / Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de cette thèse ou ce mémoire a été dépouillée, le cas échéant, de ses documents visuels et audio-visuels. La version intégrale de la thèse ou du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Le passage de la production filmique à la production de nouveaux formats numériques : analyse des productions de l'ONF/interactifArsenault, Karelle January 2013 (has links)
Ce mémoire de maîtrise interroge la nature des productions audiovisuelles interactives réalisées par l'Office national du film du Canada (ONF) pour sa section "ONF/interactif", depuis la mise en ligne d'un premier webdocumentaire en 2009. Ces productions sont des projets collaboratifs pour la plupart et prennent plusieurs formes, parfois mélange de vidéo et de textes, de photographies et d'éléments sonores, mais jamais un seul à la fois. Toutes possèdent leur propre interface et leur propre environnement, à travers lesquels l'internaute circule et accède au contenu tout en participant à sa concrétisation. Ce sont des oeuvres "hypermédiatiques", conjuguant à la fois textes, images (fixes ou animées) et sons. Là où survient une première interrogation est lorsque, d'une part, vient le temps d'attribuer un titre ou même un genre à ces productions, comme nous le faisons pour le film, la photographie ou la musique; et, d'autre part, lorsqu'il faut définir et expliquer ce qui caractérise ces productions, soit ce à partir de quoi nous pourrions les nommer. Pour se faire, cette recherche passe en revue une quarantaine de productions de l'ONF/interactif à partir de grilles de repérage s'inspirant d'un cadre théorique qui combine des concepts de productions médiatiques plus traditionnelles à ceux de productions numériques, telles l'interactivité et l'hypermédialité. La recherche propose en toute fin une catégorisation des productions par "type", mais, surtout, ouvre la porte à une plus large réflexion sur l'apparition des "nouveaux" produits culturels et sur ce que cela signifie pour les producteurs et les récepteurs.
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Histoire, identité et nationalisme japonais dans les films de Kurosawa Akira (1950-1990)Morin, Marie-Andrée January 2014 (has links)
En 1543, le Japon connut son premier contact avec les Occidentaux. Cependant, avec la rapide évangélisation et la révolte des paysans chrétiens, le Japon décida de restreindre, presque totalement, ses échanges avec les étrangers. Ce ne fut qu’au milieu du XIXe siècle que les Japonais allaient rouvrir leurs portes aux Occidentaux, suite à la menace des États-Unis. Cependant, l’arrivée des étrangers chamboula l’économie, la culture et l’identité des Japonais. Ces changements marquèrent le début de l’ère Meiji et du Japon moderne. Ces rapides transformations ébranlèrent l’identité traditionnelle du pays, ce qui poussa les Japonais à vouloir se bâtir une identité nationale japonaise.
Dans ce mémoire, nous voulons proposer que Kurosawa, par ses films, participait, à sa manière, à l’élaboration d’une identité nationale naissante. Ses films puisaient dans les valeurs du passé et critiquaient certains aspects de la société moderne.
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Pour la suite de l'objet d'étude cinéma : la crise de la théorie comme possibilité d'une philosophie d'après le cinémaVeilleux, Félix 06 1900 (has links)
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Pièges de l'île et de l’oeil au cinéma et en peinture / Representation of the Islands in films and paintingsBouchindomme, Marie Camille 01 July 2010 (has links)
A travers des oeuvres cinématographiques, picturales et littéraires, d’Homère aux frères Quay, en passant par Strindberg, Bergman et Antonioni, cette thèse se propose d’éclairer différentes facettes de l’insularité sur le plan thématique et formel. Monde clos par excellence, l’île impose à l’oeil de nouvelles trajectoires et le cinéaste, comme le peintre, ont en charge d’organiser le chaos. Les réminiscences d’une oeuvre clé, L’Ile des morts, peinte par Arnold Böcklin à la fin du XIXe siècle, font de l’île le terrain de la perpétuelle reprise et de la citation. Elle se présente alors comme pure représentation : décor, mirage ou projection. Les nombreuses occurrences du piège et de la claustration, tant sous la forme du labyrinthe que dans l’utilisation répétée du dispositif de la mise en abyme, tendent à faire de l’île un lieu de rétention. Mais l’île est aussi une terre maternelle qui invite à de nombreuses formes de régression. Protégée comme l’Eden, elle offre aux visiteurs la douceur de ses contours et favorise le corps à corps amoureux ou le fantasme d’une seconde naissance. Lieu de l’intimité, l’île décline ses formes féminines dans une série de motifs : grotte, maison, barque, qui produit un effet d’inquiétante étrangeté. L’île est alors une matrice qui peut définir l’imaginaire insulaire jusque dans ses fonctions de tombeau. Ce sont ces différents visages de l’île, séductrice et protectrice ou froide et mortifère, que nous interrogeons au fil des représentations. / Throughout the study of film, painting and literature, from Homer to the Quay brothers, through to Strindberg, Bergman and Antonioni, this thesis proposes a thematic and formal exploration of the multiple facets of the Island. As a closed world, the island imposes to the eye new trails that film directors and painters have in charge to organise from chaos. The reminiscences of Arnold Böcklin’s centrepiece Isle of the Dead, painted at the end of the 19th Century, set the island as the home of boundless revival and citation. The island thus appears as pure representation: a scenery, a vision or a projection. The many instances of traps and confinement, through thematic labyrinths and the recurring use of mise en abyme, depict the island as a site of custody. Yet, the Island is also a maternal land that invites many forms of regression. Akin to the Eden, it offers visitors its shapely softness consenting to loving embraces or the phantasm of a rebirth. As a place of intimacy, the island displays its feminine forms in various models including the cave, the house and the rowboat; all of which create a disturbing strangeness. The island is then a matrix that defines the insular imagination, comprising its role as a tomb. Seductress and protector or black and organic, these are the various faces of the island that will be explored over the representations.
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L'unité du film: une systémique du récit cinématographiqueVanmalderghem, Olivier January 1995 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Code structures and transgressive strategies in filmNasta, Dominique January 1989 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L’esthétique de l’espace Cinématographique : une réflexion sur l’image de la ville au cinéma / The aesthetic space in the cinema : a reflection on the image of the city in the cinemaDe Holanda Rufino, Raquel 28 September 2018 (has links)
L’histoire du cinéma et l’histoire de la ville sont des narrations qui marchent ensemble depuis plus d’un siècle. Les espaces urbains ont été le décor de plusieurs productions dès les premières décennies des expérimentations cinématographiques. On peut citer celles qui ont été faites pour Auguste et Louis Lumière dès la fin du siècle XIX ou celles où la ville d’Amsterdam apparaît, quelques années plus tard, de façon poétique, sur les images de Regen (1929), de Joris Ivens. Aujourd’hui ce décor continue d’être l’espace parcouru par les caméras quand elles vont conter les histoires mises en scène dans les films. Cependant, les études cinématographiques sont encore restreintes en matière d’analyse de la ville comme décor. Dans l’hypothèse que l'espace est un élément d'importance majeure pour la compréhension de la mise en scène d’un film, pourrait-on dire qu’il y a une nature esthétique de l’expérience de la construction des images de la ville sur le cinéma ? Comment les expériences esthétiques sont elles créés et révélées dans les espaces urbains sur le cinéma ? Et quelles jouissances esthétiques ces espaces permettent ils à partir d’une expérience de leurs constructions sur les productions cinématographiques fictionnelles ? En quoi l’expérience de la dérive s’approche t’elle ou s’écarte t’elle des images cinématographiques ? / The history of cinema and the history of the city are narratives that work together for over a century. Urban areas have been the scene of several productions in the first decades of cinema experiments. Include those that have been made to Auguste and Louis Lumière at the end of the nineteenth century or where the city of Amsterdam appears, a few years later, in a poetic way, the images of Regen (1929), Joris Ivens . Today décor continues to be the space traversed by the cameras when they will tell the stories dramatized in movies. However, film studies are still limited to the analysis of the city as a backdrop. Assuming that space is a major element in understanding the staging of a film, one might say that there is a kind of aesthetic experience of building images the city on film? How aesthetic experiences they have created and disclosed in the urban spaces of the cinema? And what aesthetic pleasures they allow these spaces from an experience of their buildings on the fictional film productions? What it you experience the drift approaches or departs you it cinematic images?
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