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Islam et pouvoir : les finalités de la charia et la légitimité du pouvoir /

Boulaabi, Abderraouf, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Études islamiques--Paris 4, 1994. / Bibliogr., 16 p.
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Etat et politique dans la pensée islamique moderne (19ème et 20ème siècles) / State and politics in 19th and 20th century modern Islamic thought

Dilmi, Messaoud 17 February 2012 (has links)
Notre recherche aborde la question de l'État dans la pensée islamique moderne chez les réformateurs du 19ème siècle et les islamistes du 20ème siècle selon une approche pluridisciplinaire. Le réformisme musulman a mené le combat entre le despotisme, contre l'ignorance des populations et contre les ingérences européennes. Il était plus ouvert au constitutionnalisme qui ne diffère pas de la shûra et des finalités de la charî'a.C'est dans ce sillage que se forme la pensée des théoriciens islamistes, du moins au début avant de s'en détacher car par la suite les islamistes entreront en conflit avec le nationalisme arabe ainsi qu'avec la pensée libérale, voire avec l'État-nation. Par conséquent deux logiques s'affrontent sur la nature de l'État, les limites des pouvoirs, la légitimité, et concernant essentiellement la relation entre État national et la religion, point de la discorde. Cette relations est restée ambiguë depuis un siècle. Il en est né un État national ni religieux ni laïque mais qui a modernisé le droit des emprunts à la juridiction occidentale, sans appliquer toutefois une vraie démocratie qui respecterait les droits de l'homme et de la citoyenneté. Il y a une laïcité et une sécularisation de fait au niveau individuel comme au niveau sociétal en pays arabo-musulmans sans que cela touche le dogme, malgré les tentatives de modernisation. Mais à partir des années quatre-vingt-dix un courant émerge appelé les néo-réformateurs, qui acceptent le jeu démocratique et la souveraineté populaire. Cela constituera un grand tournant dans la pensée politique islamique. / Our research deals with the subject of the State in 19th and 20th century Islamic modern reformist thought in accordance with a multidisciplinary approach. Islamic reformism has fought against despotism, ignorance of the populace and European interference. It was open to constitutionalism which is not different from the Shura system and goals of the Shariia. The thinking of Muslim theorists took shape within this framework, at least for a while before Islamists decided to break with it. Later, Islamists relations with both Arabic nationalism and liberal thinking, indeed with the Nation-State as a whole, became conflictual.Thus, two points of view concerning the nature of the State, the limits of power, legitimacy, and essentially the very controversial relationship between the Nation State and religion confronted each other. This relationship remained ambiguous for a century. The product has been a Nation State that is neither religious nor secular, but which has modernized the law by borrowing from the Western judicial system, without, however, applying real democracy able to respect human rights and citizenship. A de facto, secularism does exist on an individual and social level in Arab-Muslim countries without influencing the dogma, despite attempts at modernization. But from the 1990s on, a neo-reformist current of thought has emerged, which accepts democracy and sovereignty of the people. This will constitute a big turning point in Arab-Muslim political thought.
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Les emprunts arabes en hausa dans l'oeuvre poétique de Nana Asma'u (1792-1864) : étude linguistique et statistique / Borrowed Arabic in Hausa in the poetic work of Nana Asma’u (1792-1864) : A linguistic and statistical study

Moutari, Mahaman Sabo 11 July 2016 (has links)
L’incursion de l’Islam en Afrique subsaharienne à partir du IXe siècle, s’est opérée via le commerce transsaharien entre les peuples d’Afrique du Nord et ceux du Sahel. Ce contact entretenu par les caravanes commerciales entre les deux peuples a engendré l’islamisation progressive de la population hausaphone. Sous l’influence de l’arabe, plusieurs vocables sont introduits dans le lexique du hausa. Cet effet islamique s’accompagne d’une révolution dans la production de la littérature arabe-ajami. Grâce à l’adaptation de l’écriture ajami, Nana Asma’u, une polyglotte de renommée écrit au 18e siècle, plusieurs œuvres poétiques dont la plupart sont en langues - hausa, fulfulde et arabe. Sur la base de ces observations, cette thèse se propose d’analyser les emprunts lexicaux arabes dans les œuvres poétiques de l’auteur, et leur intégration dans la langue hausa. Sur le plan méthodologique, notre travail de recherche s’appuie sur la combinaison de deux méthodes : linguistique et statistique ; ce qui nous a permis d’analyser tous les phénomènes afférant au métissage linguistique et culturel dans les œuvre de Nana Asma’u. Notre corpus comprend 15 œuvres poétiques que nous avons lemmatisées en préalable aux calculs statistiques à l’aide du logiciel Excel. Les principaux résultats obtenus sur les formes graphiques, montrent une fréquence d’utilisation très élevée des emprunts arabes. L’association de l’analyse linguistique et des traitements informatiques, nous a permis ainsi de confirmer, de façon formelle et impartiale, que la plupart des emprunts les plus fréquents relèvent de domaines religieux, et donc liés aux lexiques de situation. / The incursion of Islam in Sub-Saharan Africa from the 19th Century was operated through trans-Saharan commerce between the peoples of North Africa and those of the Sahel. This contact, maintained by the commercial caravans of these two peoples engendered the progressive islamisation of the Hausa-speaking populations. Under the influence of Arabic, several terms were introduced into Hausa lexicon. This Islamic effect comes with a revolution in the production of Arabic-Ajami literature. Thanks to the adaptation of Ajami writing, Nana Asma’u, a renowned polyglot, wrote several poetic works in the 18th Century, most of which are in the Hausa, Fulfulde and Arabic languages. On the basis of these observations, this thesis proposes to analyse the borrowed Arabic lexicon in the poetic works of the author, and their integration into the Hausa language. From the methodological perspective, our research work relies on a combination of two methods: linguistic and statistical; which enable us to analyse all the phenomena relating to linguistic and cultural hybridization in the works of Nana Asma’u. Our corpus is made up of poetic works that we have first of all lemmatized using statistical calculations with the help of Excel software. The principal results, obtained in the form graphs, indicate a frequency of very high usage of words borrowed from Arabic. The association of the linguistic and computer analyses enabled us to confirm, in a formal and impartial manner, that most of the frequent borrowings fall under religious domains, and as such linked to situational vocabulary.
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De l'image de Rome au sein de la littérature juridique arabo-islamique médiévale : le droit musulman entre ses origines profanes et sa configuration sacralisée / From the image of Rome in the medieval Arab-Islamic juridical literature : Muslim law between its secular origin and its sacred configuration

El Moukhtari, Khalil 03 July 2013 (has links)
Appelé à traduire conjointement les exigences conceptuelles d’une orthodoxie sunnite qui s’est désignée comme le dépositaire de la Vérité monothéiste, les exigences identitaires d’une Ûmma islamique soucieuse de s’inscrire au sein de l’évolution monothéiste de l’humanité et les revendications d’une institution califale préoccupée à consolider sa légitimité "précaire", le fiqh se présente sous la plume des auteurs musulmans comme un canevas idéel, authentique et sacralisé. Ainsi, considéré comme le support architecte d’al-Ûmma, le droit musulman n’allait pas seulement se détacher de de ses origines préislamique, et notamment celles qui seraient dues à une Rome érigée en symbole de l’égarement monothéiste, il allait également échapper aux principes, jugés faillibles, de la raison humaine et s’accommoder au référentiel mythologisé de la pensée qui l’a établi. / Called to translate jointly the abstract requirements of a Sunni orthodoxy which introduced itself as theagent of the monotheist Truth, the identical requirements of an Islamic Ûmma worried of joining within the monotheist evolution of the humanity and the claiming of a califale institution worried to strengthen its "precarious" legitimacy, the fiqh appears under the feather of the Muslim authors as an authentic and sacred pattern. So, considered as the support of the Ûmma, the Islamic law was not only going to give up its preislamic origins, and particularly those who would be due in Rome, set up as symbol of the monotheist wrongness; it was also going to escape the principles of the human reason and adapt the mythical reference of the thought who established it. By the analyzing of the Rome’s idea through the papers of the medieval fûqaha, this study tries to read the islamic law through its effective historicity and to understand the various factor and the circumstances which built it.
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Al-Mukhtār b. Yerkoy Talfi et le califat de Hamdallahi au XIXe siècle : Édition critique et traduction de Tabkīt al-Bakkay. Á propos d’une controverse inter-confrérique entre al-Mukhtār b. Yerkoy Talfi (1800-1864) et Aḥmad al-Bakkay (1800-1866) / Al-Mukhtār b. Yerkoy Talfi and the Caliphate of Hamdallahi in the 19th century : critical edition and translation into French of the Tabkīt al-Bakkay. : A controversy between two brotherhoods al-Mukhtar b. Yeroy Talfi (1800-1864) and Ahmad al-Bakkay (1800-1866)

Diakité, Hiénin Ali 11 December 2015 (has links)
Le califat de Hamdallahi a été gouverné successivement par trois dirigeants dont tous portaient le prénom « Amadou » pendant un demi-siècle de 1818 à 1862. La capitale du califat se trouvait dans la région du Macina au centre de l’actuel Mali en Afrique de l’Ouest. Cette région a connu de nombreuses mutations au XIXe siècle, particulièrement sur le plan intellectuel, politique et confrérique. Cette étude couvre uniquement la période de 1800 et 1866 dans la région du Macina. Ce travail s’est basé sur un texte polémique entre les Qādiris et les Tījānis ouest africains du XIXe siècle. Ce choix a pour but d’élargir davantage la documentation sur l’histoire du Macina et surtout faire connaître la littérature ouest africaine du XIXe siècle. L’historiographie de la région s’est jusqu’à présent fondée sur des jugements rapides ne reposant pas sur une étude approfondie des textes, l’intérêt de ce choix est justement de faire parler les textes autour de ces problématiques.Cette étude illustre en partie l’histoire intellectuelle et politique de l’Afrique de l’Ouest au XIXe siècle. Le texte a été composé après la victoire militaire d’al-Ḥājj Umar dans la région du Macina en 1862. Cette conquête a mis fin définitivement à l’existence d’un État théocratique connu sous le nom de califat de Hamdallahi, un des États les plus organisés politiquement en Afrique de l’ouest au XIXe siècle. Ce conflit politique s’est transformé en partie en un conflit d’ordre confrérique. Ibn Yerkoy Talfi disciple d’al-Ḥājj Umar et idéologue tījāni était dans le camp des vainqueurs et s’est retourné contre le plus haut responsable de la confrérie Qādiriyya subsaharienne Aḥmad al-Bakkay. Ce dernier était représentant de la confrérie Qādiriyya et se trouvait parmi les vaincus, Aḥmad al-Bakkay avaient longtemps critiqué al-Ḥājj Umar et sa confrérie.Une investigation beaucoup plus large et une analyse critique des textes nous ont permis de revenir sur certains sujets déjà étudiés auparavant par exemple : la surévaluation de la question confrérique en toile de fond, les enjeux des relations Kunta/Peuls dans la période étudiée. La manipulation des textes religieux pour des raisons politiques, historiques et sociales. / For half a century from 1818-1862, the Hamdallahi Caliphate was ruled by three successive leaders who each carried the name “Amadou.” The capital of the Caliphate was located in the Macina region which is in the center of modern-day Mali in West Africa. This region witnessed numerous changes over the course of the nineteenth century, especially in its intellectual, political and Sufi configurations. This study is focused exclusively on the period from 1800 to 1866 in the Macina region. The work is based on a polemical text about the differences between West African members of the Qādiriyya and Tījāniyya brotherhoods during the nineteenth century. This choice was made with the goal of expanding the documentary basis for the history of the Macina, and more than this, to make the West African literature of the nineteenth century better known. The historiography of the region has until now been based on quick analyses which are not based on deep study of texts and as such, the choice made here in this thesis is to concentrate on the contents of texts related to these problems. This study illustrates the intellectual and political history of West Africa in the nineteenth century. The text was written after the military victory of al-Ḥājj Umar in the Macina region in 1862. That conquest put a definitive end to the theocratic state known by the name of the Hamdallahi Caliphate, one of the best organized states in West Africa in the nineteenth century. The political conflict was transformed into a conflict between brotherhoods. Ibn Yerkoy Talfi was a disciple of al-Ḥājj Umar and a Tījāni ideologue who was part of the winning side, and it was directed against Aḥmad al-Bakkay, leader of the Qādiriyya brotherhood in sub-Saharan Africa. Aḥmad al-Bakkay was among those defeated in this conflict, and had been a longtime critic of al-Ḥājj Umar and his brotherhood.A much broader investigation and critical analysis of the texts allows us to return to certain topics which have already been studies such as the wider context of these events, the stakes in the relations between the Kunta and Fulɓe in the period studies, and the manipulation of religious texts for political, historical and social reasons.

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