Spelling suggestions: "subject:"chœur"" "subject:"chœurs""
1 |
L’Encadrement théâtral : une étude de la pratique et de la fonction herméneutique du parathéâtre en France au XVIIe siècle / Theatrical “Framing” : a Study of the Practice and Hermeneutical Function of Paratheatre in Seventeenth Century FranceArnason, Arni Lukas 18 December 2009 (has links)
Les études littéraires du théâtre ont tendance à considérer la pièce comme si elle constituait à elle seule la totalité de la représentation. Or les pièces de théâtre du XVIIe siècle étaient presque toujours « encadrées » par divers ornements parathéâtraux : prologues, épilogues, chœurs et intermèdes. La représentation était constituée de la pièce, encadrée par ces ornements. Le dessein de cette thèse est double. Nous étudierons, dans un premier temps, la façon dont chaque forme d’encadrement était intégrée à la représentation et quelle fonction pratique les professionnels du spectacle de l’époque lui attribuaient. Nous analyserons, dans un deuxième temps, la façon dont les encadrements influencent l’interprétation de la pièce principale. L’objectif de cette étude est d’illustrer l’utilité herméneutique des encadrements et de démontrer qu’ils sont de véritables clés d’interprétation de l’œuvre, laissées par les auteurs et acteurs du Grand Siècle, qui nous permettent d’appréhender le sens de la pièce tel qu’il était conçu au XVIIe siècle. / Literary studies of theatre have tended to focus on the play itself as though it were the only element of the representation. In reality, however, seventeenth century plays were almost always “framed” by various paratheatrical ornaments such as prologues, epilogues, choruses and intermèdes. Together the play and its complementary encadrements formed a dramatic whole. The purpose of this thesis is twofold. We will first undertake a practical study of each paratheatrical form in order to determine exactly how it was integrated into the performance and what its practical function was perceived to be. We will then analyse the way in which encadrements influence the interpretation of the play. The primary interest of this study is to illustrate the way in which paratheatre is used to direct the spectator’s interpretation. We hope to demonstrate the interest of these “frames” as guides left by the authors and actors of the Grand Siècle, helping us to better understand the meaning of dramatic works as they were perceived in their own time.
|
2 |
La tenture de l’abbatiale Saint-Robert de La Chaise-Dieu : un chef-d’œuvre de collaboration / The tapestries of Saint-Robert of La Chaise-DieuBrun, Sophie 02 October 2009 (has links)
Conservés dans le chœur de l’abbaye Saint-Robert pour lequel ils furent crées, les douze panneaux de la tenture de La Chaise-Dieu mettent en scène les épisodes de la Vie du Christ et de la Vie de la Vierge, flanqués de leurs préfigures vétérotestamentaires. En outre, deux pièces indépendantes reproduisent plusieurs compositions évangéliques du cycle principal. De multiples blasons révèlent l’identité du commanditaire, Jacques de Saint-Nectaire, qui gouverne l’institution bénédictine de 1491 à 1518, soit dans le contexte historique de l’arrivée de la commende. Basée sur un matériel d’analyse exceptionnel, cette étude monographique propose une reconstitution de l’élaboration artistique de l’œuvre et tente de définir l’implication du commanditaire dans le projet initial, le degré de liberté des peintres et l’influence des lissiers sur le rendu final des tapisseries. Dans ce but, l’étude des modèles gravés et de leur utilisation lors de la réalisation des cartons à grandeur fait l’objet d’une attention particulière. En conclusion, ce travail apporte des hypothèses concernant le milieu d’origine des artistes et la localisation de leurs ateliers. / As one of the most spectacular cycle of medieval tapestries preserved, the fourteen woven panels of La Chaise-Dieu - for most of them still hanging in the choir of Saint-Robert church (Auvergne/France) - depict episodes of Jesus and Mary’s life along with scenes extracted from the Old Testament. Their many blazons have always identified their patron with Jacques de Saint-Nectaire, abbot of the Benedictine institution from 1491 to 1518. Thanks to the tremendous group of evidences offered by this unique set, this research challenges the general assumptions of the elaboration of tapestries, introducing a new insight about the distinctive roles played by the patron, the master painter, his assistants and the weavers. A particular importance has been lent to the study of the engravings used as patterns. As a conclusion, this work aims to provide some hypothesis regarding the artists’ origins and their workshops’ location.
|
3 |
Henry Madin. Traitement des lacunes dans l'orchestre des motets à grand chœur: Spécificités et problématiques d’une pratique entre science et artBalthazart, Fabian 03 October 2015 (has links)
S'il est aujourd'hui moins connu que ses contemporains André Campra (1660-1744) ou Jean-Philippe Rameau (1683-1764), l'abbé Madin (1698-1748), selon Évrard Titon du Tillet « un des meilleurs compositeurs de ce siècle pour les motets », est une des figures les plus représentatives de la vie musicale sous Louis XV. Il fut, post mortem, le compositeur le plus joué à la Chapelle royale de Versailles. Comme une partie du répertoire de cette institution, ses motets à grand chœur nous sont parvenus sous forme de partitions réduites. Cet usage, propre à la musique française de l'Ancien Régime, consistait à copier les chœurs, les solistes, les dessus de violon et la basse continue en omettant les parties intérieures de l'orchestre. En nombre variable, de deux à trois, ces parties, qui existaient sur le matériel d'orchestre, ont très souvent été perdues. Pour restituer cette musique aujourd'hui, une des options possibles consiste à recomposer ces parties selon les critères esthétiques de l'époque et le style propre à chaque compositeur.La présente thèse, tout d'abord, entame une réflexion sur l'acte d'ajout de parties manquantes dans les œuvres lacunaires du passé. Elle propose ensuite, une restitution de l'intégrité orchestrale de trois motets à grand chœur de Henry Madin (Beatus vir, De profundis, Te Deum) qui servirent de terrain d'expérimentation. Ils sont présentés dans leur intégralité, en partitions et, pour certains extraits, en enregistrements. Enfin, la thèse tend à démontrer qu'une telle démarche éclaire les œuvres d'une nouvelle lumière et leur redonne un éclat nouveau que la patine avait terni.Bien que l'ajout de parties ne puisse rendre son état originel aux motets abordés, le postulat de départ est de se positionner dans un contexte historico-stylistique le plus proche possible des sources étudiées. Cette attitude passe par l'étude des formes musicales, du contrepoint et de l'harmonie au XVIIIe siècle, des sources musicales, des effectifs et des traditions de la Chapelle royale de Versailles. Subséquemment, ces recherches, indispensables à la mise en œuvre de l'expérimentation, apportent un éclairage original sur les pratiques musicales et les œuvres de cette institution dans la première moitié dudit siècle.Aussi poussées que puissent être les recherches et analyses, l'expérimentation démontre que les prises de décisions relèvent du seul libre arbitre du musicien intervenant dans les œuvres, acte éminemment artistique. La thèse positionne ainsi la démarche entre science et art. / Doctorat en Art et Sciences de l'Art / info:eu-repo/semantics/nonPublished
|
4 |
Un aspect du renouveau de la chanson polyphonique française entre 1908 et 1936 : l’émergence d’un nouveau modèle vocal / An aspect of the revival of the French polyphonic song between 1908 and 1936 : the rise of a new vocal modelCafafa, Marielle 30 November 2013 (has links)
À travers une étude sur le renouveau de la chanson polyphonique française au début du XXe siècle, cette thèse tente de mettre en évidence l’émergence d’un nouveau modèle vocal, lui-même influencé par des styles d’écriture d’époques différentes (musique médiévale, Bach, Bizet, Wagner, etc.). Le corpus analysé comprend les cycles de chansons de Debussy (1908), Ravel, Poulenc (1936) mais aussi ceux de René de Castéra, Albert Doyen, Paul Ladmirault, Jean Langlais ou encore Jacques Pillois, composés sur des poèmes anciens (Charles d’Orléans, Clément Marot, Jean-Antoine de Baïf) ou modernes (Guillaume Apollinaire, Paul Éluard, Paul Fort), précisément à une époque où les chansons de la Renaissance et les chants traditionnels populaires arrangés pour chœur connaissent un immense succès. Ainsi, cette étude se propose-t-elle successivement de s’intéresser aux principales caractéristiques de ce modèle vocal, aux facteurs puis aux enjeux de l’émergence de ce modèle. Ce travail permettra de souligner les points communs entre les cycles intitulés chansons et d’autres pièces composées à la même époque par Darius Milhaud, Jacques Chailley, Angèle Ravizé et bien autres et de déterminer les spécificités de ce répertoire moderne par rapport aux polyphonies profanes de la Renaissance ou même par rapport à des œuvres orphéoniques. / Through a study on the revival of the French polyphonic song at the beginning of the XXth century, this thesis attempts to highlight the rise a new vocal model, influenced by several compositions from différent periods (medieval music, Bach, Bizet, Wagner, etc.). This study is about songs cycles of Debussy (1908), Ravel, Poulenc (1936) but also those of René de Castera, Albert Doyen, Paul Ladmirault, Jean Langlais or Jacques Pillois, composed on ancient (Charles d'Orléans, Clement Marot, Jean-Antoine de Baïf) or modern poems (Guillaume Apollinaire, Paul Eluard, Paul Fort), exactly in a time when the songs of the Renaissance and the traditional folk songs arranged for choir were hugely successful. This study successively focuses on the main features of this vocal model, on the factors and the issues of the rise of this model. This work emphasizes the similarities between the song cycles and pieces composed by Darius Milhaud, Jacques Chailley, Angèle Ravizé and many others, and determines the specifics of this modern repertoire compared to the Renaissance partsongs or even compared to orpheonic works.
|
5 |
Une archéologie du commun : mises en scène du chœur tragique dans les théâtres nationaux (1973-2010 – Allemagne, France, Royaume-Uni) / Archaeology of the Common : performances of the tragic chorus on national stages (1973-2010 – France, Germany, United-Kingdom)Baudou, Estelle 28 June 2018 (has links)
À partir des mises en scène de L’Orestie d’Eschyle, d’Œdipe roi de Sophocle et des Bacchantes d’Euripide diffusées dans les institutions nationales en Allemagne, en France et au Royaume-Uni entre 1973 et 2010, la thèse procède à une archéologie du commun, en explorant, d’une part, le concept de commun, et en particulier ses enjeux politiques, à travers une analyse des mises en scène contemporaines du chœur tragique et en étudiant, d’autre part, ces mises en scène à travers l’expression du commun. Ce travail propose donc de mettre au jour la construction et la circulation du discours sur le commun dans et entre ces trois pays. L’analyse des spectacles, d’abord, expose les éléments qui font ou entendent faire du chœur une incarnation du commun et met en perspective ces choix avec la réception de la tragédie grecque. Le discours sur le commun qui se construit ainsi au théâtre est ensuite confronté aux discours philosophiques et anthropologiques du moment mais aussi aux événements économiques, politiques et sociaux afin de faire apparaître les échos, les analogies, les ruptures et les discontinuités. Ainsi, entre 1973 et 1980, la mise en scène du chœur des Bacchantes a donné du commun une représentation utopiste où la communauté est fondée par le rituel. Dès 1980, à partir des Orestie de Peter Stein et Peter Hall qui tiennent lieu de modèles, le chœur devient un collectif où ce que les individus ont en commun est précisément leur singularité. Dans la continuité, jusqu’en 1999, les mises en scène d’Œdipe roi racontent la naissance de l’individu moderne à laquelle le chœur sert de cadre archaïque. Enfin, et malgré les tentatives dans des mises en scène de L’Orestie, au tournant du millénaire, pour refonder la communauté à partir d’une mémoire commune, les tragédies grecques montées dans les années 2000 présentent un désespoir de communautés – au double sens objectif et subjectif de l’expression. Cette archéologie du commun, qui reflète la globalisation à l’œuvre, est donc en creux une archéologie de l’individu. / Analysing productions of Aeschylus’ The Oresteia, Sophocles’ Oedipus the King and Euripides’ The Bacchai in national theatres in France, Germany and the United-Kingdom between 1973 and 2010, this thesis proposes an archaeology of the common (in the sense of « what we have in common ») both exploring the political implications of the concept – thrown into sharp relief by the various ways ancient choruses were staged – and studying the productions themselves through the type of community that they make manifest. This work intends to highlight the construction and the circulation of contemporary discourses about the common within, and between, these three countries. Performance analyses first focus on the elements that make, or intend to make, the chorus into an incarnation of the common and put these choices into perspective through the reception of Greek tragedy. The discourse about the common thus built in theatres, is then confronted with philosophical and anthropological discourses, as well as with economic, political and sociological events in order to call attention to echoes, analogies, disruptions and discontinuities. Thus, between 1973 and 1980, performances of choruses in The Bacchai were built upon rituals, putting forward a utopian conception of the common. From 1980 onward, as Peter Stein’s and Peter Hall’s Oresteia became established models, the chorus morphed into a collective in which individuals had their singularity in common. Following this, until 1999, the performances of Oedipus the King hailed the birth of the modern individual, for whom the chorus acts as archaic backdrop. Lastly, and despite attempts in performances of The Oresteia at the turn of the millennium to rebuild a community out of common memory, Greek tragedies staged in the 2000s show the despair of, and about, communities. This archaeology of the common, reflecting the globalisation of European societies, is therefore indirectly an archaeology of the individual.
|
6 |
Jeux intertextuels et échanges agonistiques : analyse dramaturgique de "Jocelyne est en dépression : tragédie météorologique" d'Olivier ChoinièreBentz-Moffet, Noémie 24 April 2018 (has links)
Cette étude constitue la première analyse approfondie de Jocelyne est en dépression : tragédie météorologique d'Olivier Choinière. Parue en 2002, elle mélange en toute liberté des tons, des références sociales et des formes théâtrales. En employant les jalons de l'analyse dramaturgique et en nous concentrant strictement sur le texte de la pièce, nous avons pour objectif de cerner au plus près les rapports qui unissent les deux personnages centraux, le Choeur Contemporain et Évelyne, afin de mieux saisir à quoi tient le conflit. Nous analyserons d'abord la présence de marques issues de la tragédie grecque. Il sera particulièrement question des indices fournis au fil du paratexte. Nous faisons l'hypothèse que les relations entre les personnages principaux sont influencées par une forte intertextualité. Ensuite, nous nous emploierons à dégager certains rapports de force à travers les dialogues auxquels participent ces mêmes personnages. Olivier Choinière ayant composé une pièce où le conflit s'exprime sous la forme d'un débat, nous voulons examiner la construction particulière des répliques. En outre, constatant la présence d'éléments caricaturaux et stéréotypiques, nous envisagerons la possibilité que la pièce de Choinière présente des critiques et qu'elle mette de l'avant des travers québécois. En conclusion, cette analyse veut souligner l'originalité du travail de Choinière et la variété des repères formels, stylistiques et même culturels que nous trouvons au sein de son oeuvre.
|
7 |
Le renouveau musical dans les cathédrales en France de 1801 à 1860 - Le Mans - / Musical revival in French cathedrals from 1801 to 1860 -Le Mans-Buvron, Jean-Marcel 30 May 2013 (has links)
En 1857, Joseph d'Ortigue constatait que les maîtrises des cathédrales en France, en activité au cours de la première moitié du XIXe siècle, ne pourraient jamais prétendre au rôle qu'elles avaient rempli pendant des siècles avant leur fermeture en 1791. Malgré le soutien dans un premier temps des pouvoirs publics, la tentative de refondation souhaitée pour chaque cathédrale, s'est en effet soldée par un échec : l'Église catholique n'a pas réussi à redonner au culte l'éclat musical et cantoral qu'il revêtait avant la Révolution. À travers l'étude de la maîtrise du Mans de 1801 à 1860, « une des premières rétablies et une des plus florissantes », cette thèse analyse les principales causes de cet échec inévitable : l'incertitude des ressources financières, l'évolution des mentalités en matière de religion, la formation incomplète des nouvelles générations de musiciens d'Église, le changement des goûts musicaux. Dans les années 1830-40, la liturgie et sa musique sont l'objet de vives polémiques où s’affrontent les partisans d'une musique expressive et les militants d'une restauration du plain-chant. Le renouveau musical dans les cathédrales, et notamment au Mans, ne trouve finalement son accomplissement qu'après une réforme de la liturgie qui définit la musique la plus appropriée au culte. Avec le retour de la liturgie romaine et du chant grégorien, plus de cinquante ans d’efforts auront été nécessaires pour que les cérémonies religieuses gagnent en cohérence ce qu’elles ont perdu en éclat. / In 1857, Joseph d’Ortigue saw that the music schools attached to French cathedrals in the first half of the 19th century could never play the part they had had for centuries, until they were closed in 1791. Though they were at first officially aided, all the cathedrals failed when they tried to revive their musical activity : the catholic church did not succeed in giving back to their celebrations the brilliance of music and song that had been theirs before the Revolution. Studying the Le Mans music school from 1801 to 1860 – it was « one of the first to be re-estblished and one of the most flourishing » –, this thesis analyses the main causes of this inevitable failure: the uncertainty of financial resources, the evolution of habits of thought as regarded religion, the incomplete training of the new generation of church musicians, as well as the changes in musical tastes. In the years 1830-1840, the liturgy and its music are hotly argued about by those in favour of an expressive music and those advocating a restoration of plain chant. The musical revival in cathedrals – notably in Le Mans – was eventually achieved only after a reform of the liturgy defining which music is most suitable for divine worship. With the return of the Roman liturgy and Gregorian chant, over fifty years were necessary for religious ceremonies to gain in coherency what they had lost in brilliance.
|
8 |
Les enfants de chœur des maîtrises du centre de la France : les institutions capitulaires d’éducation et leurs élèves aux XVIIe et XVIIIe siècles / choirboys of Maîtrises in the center of France : capitular education institutions and their students in the seventeenth and eighteenth centuriesMailhot, Bastien 07 November 2014 (has links)
Dans la France moderne des XVIIe et XVIIIe siècles, chapitres cathédraux et collégiaux entretiennent, pour la plupart et depuis l’époque médiévale, une maîtrise capitulaire. Structures de formation originales parallèles aux institutions scolaires classiques et jouant un rôle important dans la liturgie et la musique de ces églises, la maîtrise accueille un nombre variable d’enfants qui, au terme d’un cursus de sept à dix ans au cours duquel ils ont reçu un enseignement général et une solide formation musicale, sont orientés vers la prêtrise, la carrière de musicien, ou aidés dans l’apprentissage d’un métier. Cette étude prend pour cadre géographique un large centre de la France regroupant huit anciens diocèses de manière à obtenir un panorama le plus complet possible de ces institutions originales et de ce groupe social à part entière d’un immense intérêt historique car au croisement d’une multitude d’enjeux tant économiques et sociaux que culturels, liturgiques et musicaux. / In modern France of the seventeenth and eighteenth centuries, cathedrals and collegiate chapters maintain, for the most part and since medieval times, a choirboy school (maîtrises capitulaires). Parallel structure to the classic’s educational institutions and plays an important role in the liturgy and music of these churches, the maîtrise welcome a variable number of childrens who, after a course of seven to ten years in which they received a general education and a solid musical training, are oriented toward the priesthood, the musical career, or help in learning a trade. This study takes a broad framework for geographical center of France involving eight former dioceses in order to obtain the largest view possible of these original institutions and of these social group full of immense historical interest as the intersection of a multitude of both economic and social, cultural, liturgical and musical issues.
|
Page generated in 0.0239 seconds