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Les grands constructeurs précoloniaux du plateau du sud du Brésil : étude de paysages archéologiques à Bom Jesus, Rio Grande do Sul, Brésil / The great pre-colonial builders of the southern brazilian plateau: a study of the archaeological landscapes in Bom Jesus, Rio Grande do Sul state, Brazil

Copé, Silvia Moehlecke January 2006 (has links)
Au début de notre ère, les hautes terres du sud du Brésil furent occupées par des peuples précoloniaux qui édifièrent de grandes constructions en terre sur le sol - tels que monticules funéraires, dépôts de terre, murs, remblais, terrassements - et sous le sol - les structures souterraines et semi-souterraines. Dans le but d'obtenir davantage de données et de mieux comprendre le mode de vie de ces populations, ce travail s'est basé sur l'approche de l'archéologie du paysage lors des fouilles entreprises dans l'ensemble des structures édifiées du site RS-AN-03 et de la prospection archéologique dans une zone pilote de 1 500 km² dans la région de Bom Jesus, située dans l'État le plus méridional du Brésil. Envisageant le paysage comme un participant actif dans les actions sociales humaines, cette approche a donné à l'archéologie des hautes terres brésiliennes un nouveau support interprétatif. Elle a également permis d'élaborer un modèle de comportement territorial à partir des analyses des niveaux intrasite, intersite et régional, ainsi qu'un nouveau discours narratif sur l'occupation humaine précoloniale. Établi à partir du constat d'expansion de la forêt d'araucarias sur un paysage de champs, concomitante de l'expansion et de la fixation des groupes humains vers 1 500 avant J.C. environ, ce discours met en évidence une dynamique socio-environnementale sur le Planalto das Araucárias, un aspect anthropique du paysage. La concentration élevée des ressources disponibles et assurées annuellement a favorisé la concentration de personnes, qui construisirent des villages et de grands hameaux à caractère permanent et constituèrent des sociétés complexes, hiérarchisées, avec des territoires délimités et protégés. / The highlands in southern Brazil were settled around the beginning of our era by precolonial peoples who built large earth buildings on the ground in the form of small burial hills, earth deposits, walls, landfills, terraces, in addition to building underground and semiunderground structures. In order to get more information and better understand the way of life of these populations, the landscape archeology approach was used to make diggings in the set of buildings on site RS-AN-03 and on the archeological survey conducted at a pilot area of 1,500 Km² located in Bom Jesus in the southernmost Brazilian state. This approach, which views the landscape as an active player in human social actions, provided a new interpretative contribution to the archeology of Brazilian highlands, enabling the design of a territory behavior model based on the analyses performed within sites, across sites and at the regional level and a new narrative discourse on pre-colonial human settlements. This discourse, made from the realization of the expansion of araucaria forecast on a grassland landscape that took place together with the expansion and settlement of human groups around 1,500 BC shows evidence of a social-environmental dynamics at the araucaria plateau, a landscape anthropogenization. The high concentration of resources available and ensured all year round enabled the concentration of people who built permanent towns and larges villages and constituted complex hierarchized societies that kept their territories delimited and protected.
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Du fonctionnement des sites funéraires aux processus de néolithisation sur le territoire français (néolithique ancien et moyen) : premiers apports de l'approche paléogénétique / From the function of funerary sites to Neolithisation processes in the French Early and Middle Neolithic : initial insights from a paleogenetic perspectitive

Rivollat, Maïté 11 April 2016 (has links)
Les cultures néolithiques atteignent le territoire français vers 5600-5200 cal. BC. Bien que les données de l'ADN ancien apportent depuis peu un nouvel éclairage concernant les modalités de diffusion(s) du Néolithique en Europe, de telles données restaient inexistantes concernant les premiers groupes fermiers s'implantant sur le territoire français. Ce travail propose donc l'analyse inédite du pool génétique des groupes humains de cinq sites du Néolithique ancien et moyen (5200-3600 cal. BC), répartis sur la partie nord du territoire français et représentatifs de la diversité culturelle de la période, y compris au niveau des pratiques funéraires. Un total de 88 haplogroupes et 63 haplotypes mitochondriaux a pu être caractérisé. À l'échelle régionale, une continuité claire est démontrée entre les groupes du courant danubien et ceux de la moitié nord de la France. Cependant, les données issues de la nécropole de Gurgy (Yonne, sud du Bassin parisien) montrent un métissage avec des groupes néolithiques issus du courant méditerranéen et un métissage précoce avec des descendants des chasseurs-cueilleurs. Ce dernier, également détecté à Fleury-sur-Orne (Normandie), renforce l'hypothèse d'un métissage croissant entre chasseurs-cueilleurs et fermiers vers l'ouest du continent. À l'échelle locale, les résultats révèlent une frappante diversité des schémas de fonctionnement des groupes. À Obernai (Alsace) des groupes maternellement et culturellement différenciés semblent utiliser successivement la nécropole, mais de façon sectorisée. À Gurgy, aucune corrélation entre lignées maternelles et organisation de la nécropole ou pratiques funéraires n'a pu être identifiée, impliquant une acculturation totale (au niveau funéraire) d'individus aux origines multiples. Enfin, à Fleury-sur-Orne, une continuité maternelle entre individus déposés au sein de monuments de type Passy et de dolmens plus tardifs (sépultures collectives) est démontrée, suggérant une évolution sociale complexe du groupe. Enfin, l'importante diversité mitochondriale observée sur l'ensemble des sites apparaît cohérente avec un système matrimonial de type patrilocal, incluant l'intégration de femmes chasseurs-cueilleurs au sein des groupes fermiers au début du Néolithique. / The study of ancient DNA has recently shed new light on the different Neolithic expansion waves into Europe, however no palaeogenetic data was available for first farmer groups that settled modern day France from 5600-5200 cal. BC. Here we present the first analysis of the gene pool from five Early and Middle Neolithic sites (5200-3600 cal. BC) spread across northern France that are representative of both the period’s cultural diversity and variable funerary practices. A total of 88 mitochondrial haplogroups and 63 haplotypes could be identified. At the regional scale, a clear continuity is evident between Danubian populations and the farmer groups that settled the northern half of France. However, data from the Gurgy necropolis (Yonne) south of the Paris Basin evinces admixture with Neolithic groups from the Mediterranean expansion wave as well as early admixture with descendants of hunter-gatherer groups. This latter pattern is also observable at Fleury-sur-Orne (Normandy), reinforcing the hypothesis of increasing admixture between hunter-gatherers and farmers from eastern to western Europe. More locally, our data shows a clear diversity in the funerary organization of farmer groups. At Obernai (Alsace), maternally and culturally differentiated groups seem to have successively used different sectors to bury their dead. At Gurgy, no correlation between maternal lineages and necropolis organization or funerary practices could be identified, implying the complete acculturation of individuals with diverse ancestries, at least in terms of burial practices. Finally, at Fleury-sur-Orne, a maternal continuity between individuals buried in Passy-type structures and later dolmens (collective burials) is evident, suggesting a complex social evolution of the group. Finally, the substantial mitochondrial diversity observed in all sites appears consistent with a patrilocal kinship system, including the integration of hunter-gatherer females in Early Neolithic farmer groups.
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La robustesse des membres des populations passées et récentes en Afrique centrale : des chasseurs-cueilleurs aux agriculteurs

Klagba, Malwine-Octavia 08 1900 (has links)
À l’holocène, le développement de l'agriculture par les populations humaines a modifié la morphologique du squelette humain. Dans ce cadre, plusieurs recherches se sont intéressées à la biomécanique des populations passées et modernes. Elles supposent qu’une activité physique répétée affecte la structure de l’os. Cette réponse osseuse est analysée par les propriétés géométriques de l’os qui permettent de reconstruire le comportement passé et présent des individus. La distribution osseuse en coupe a donc été étudiée sur les membres supérieurs et inférieurs de populations centrafricaines (du Cameroun et de la République Démocratique du Congo). La première hypothèse de ce mémoire est la suivante, les agriculteurs centrafricains, au mode de vie sédentaire, auraient les membres supérieurs plus robustes, tandis que les chasseurs-cueilleurs, plus mobiles, auraient les membres inférieurs plus robustes. La deuxième hypothèse suppose que les populations d’un milieu/terrain plus accidenté auraient les membres, supérieurs et/ou inférieurs, plus robustes. Nos résultats indiquent plutôt que les chasseurs-cueilleurs et les agriculteurs ont la même robustesse générale, bien que les peuples non sédentarisés soient plus robustes à la mi-diaphyse des radius droits. Contrairement à ce qui était attendu, les fémurs sont plus résistants (CSA) chez les agriculteurs, quand ils sont standardisés par la masse corporelle. En revanche, la moitié supérieure des tibias semblent être plus robuste chez les chasseurs-cueilleurs, quand les propriétés sont standardisées par la longueur de l’os. Les radius et les ulnas des chasseurs-cueilleurs vivant en forêt et en montagne ont la même robustesse. Enfin, seule la section distale des fibulas est plus résistante (CSA) chez les chasseurs-cueilleurs de la montagne que chez les chasseurs-cueilleurs de la forêt. En conclusion, ce mémoire ne nous permet pas d’affirmer que la transition vers l’agriculture s’accompagne d’une réduction de la mobilité et de la robustesse en Afrique centrale. En revanche, il montre que ces individus sont quand même influencés par leur stratégie de subsistance. Un plus grand échantillon est nécessaire pour mieux documenter la transition agricole et l’influence du milieu sur la structure osseuse en Afrique centrale. / The emergence of farming in the Holocene had major impacts on human populations. Many biomechanical studies have explored past and recent populations and have suggested that physical activity affects bone structure. Cross-sectional geometric properties of bones are measured to reconstruct past and recent human behavior. The present study analyses bone cross-sectional geometry of upper and lower limbs long bones of Central African populations (from Cameroon and the Democratic Republic of Congo). This study is based on the premise that agriculturalists, a sedentary group using their upper limbs for farming activities, have more robust upper limbs, while hunter-gatherers, that have an extremely mobile lifestyle, have more robust lower limbs. In addition, it is assumed that populations in more rugged environments/terrains would have more robust upper and/or lower limbs. Against expectation, the upper limbs of non-sedentary and sedentary populations have the same robusticity, although the right radius midshafts of hunter-gatherers are more robust. The femora are more robust in agriculturalists when the significant properties are normalized by body mass. In contrast, the upper part of the tibiae is more robust in hunter-gatherers when the properties are standardised by bone length. Against expectation, it was found that the upper limbs (radii and ulnae) of hunter-gatherers living in the lowland forests and in the mountains have the same robustness. Meanwhile, for the lower limbs, the fibula is more robust in people living in the mountains than those in the forest. In conclusion, these findings do not allow us to assert that the transition to agriculture is accompanied by a reduction in mobility and robusticity in the lower limbs or an increase in robusticity of the upper limb. Nonetheless, this study suggests that individuals are influenced by their economic strategy. However, a larger sample will be needed to better evaluate the role of the transition to agriculture on bone structure in Central Africa.
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Microévolution et bioarchéologie des groupes humains de la fin du Pléistocène et du début de l'Holocène en Europe occidentale : apports de l'anthropologie biologique aux connaissances sur le Paléolithique final et le Mésolithique / Microevolution and bioarchaeology of Late Pleistocene and Early Holocene Western European human populations : biological anthropological insights into the Late Palaeolithic and Mesolithic

Samsel, Mathilde 29 May 2018 (has links)
La fin du Pléistocène et le début de l’Holocène sont marqués par des bouleversements environnementaux d’une ampleur et d’une intensité exceptionnelles en Europe de l’Ouest. Ces quelque huit millénaires ont été scindés en périodes chronoculturelles principalement à partir de critères typotechnologiques de l’industrie lithique, correspondant au Paléolithique final, et au premier et au second Mésolithique. L’identité biologique des groupes humains de cette période n’avait jusqu’alors jamais été étudiée de façon spécifique et la réalité anthropologique de ces partitions pose question. À partir d’un corpus réactualisé de 70 sites couvrant les territoires actuels de la France, de l’Allemagne, de la Belgique, du Luxembourg, de la Suisse, de l’Italie, de l’Espagne et du Portugal, ce sont 617 spécimens pour les restes osseux et 251 pour les restes dentaires qui ont été analysés. Des caractéristiques squelettiques ont été enregistrées et analysées selon un protocole unique : proportions squelettiques comme la stature, l’indice brachial et l’indice crural, morphométrie crânienne et mandibulaire, analyse par morphométrie géométrique de la conformation du neurocrâne et variations anatomiques non métriques crâniennes et dentaires. L’ensemble des données recueillies a fait l’objet de traitements statistiques adaptés, descriptifs, multivariés et exploratoires. Parmi les résultats obtenus, l’analyse métrique et morphologique de la mandibule révèle des changements microévolutifs de la morphologie mandibulaire en lien avec l’intensification de l’élargissement du spectre des ressources consommées au cours du Mésolithique. Un fonctionnement différent des groupes est proposé entre ceux établis sur les zones côtières et les continentaux. Les groupes côtiers seraient organisés selon un système plutôt fermé, traduit par la structuration régionale des données anthropobiologiques, alors que les groupes continentaux, bien qu’ayant un ancrage local, possèderaient des réseaux d’échanges plus larges et/ou plus réguliers. Enfin, la permanence des groupes humains du Paléolithique final au Mésolithique est avancée, ainsi qu’au sein des zones côtières durant tout le Mésolithique, alors qu’une discontinuité populationnelle entre premier et second Mésolithique est mise en évidence dans l’aire continentale. L’hypothèse d’une arrivée de nouveaux groupes depuis les régions situées plus à l’est, poussés par la progression néolithique en Europe centrale à partir du VIIème millénaire cal BC est avancée, rejoignant un des scenarii proposés à partir de l’analyse de l’ADN ancien. / Environmental changes of exceptional magnitude and intensity occurred during the Late Pleistocene and the Early Holocene in Western Europe. These- some eight millennia- have been divided into chronocultural periods based on typotechnological lithic industries, corresponding to the Late Palaeolithic and the Early and Late Mesolithic. The biological identity of the human groups from this lengthy period of time has never previously been studied in a systematic way, and the anthropological meaning of these divisions remains unclear. In order to fill this gap in knowledge, this thesis presents the results of analyses of an up-to-date sample of 617 skeletal specimens and 251 dental remains covering 70 sites from France, Germany, Belgium, Luxembourg, Switzerland, Italy, Spain and Portugal. Skeletal characteristics, including skeletal proportions- stature, brachial and crural indices -, cranial and mandibular morphometrics, geometric morphometric analysis of the neurocranium, and non-metric skeletal and dental traits were recorded and analysed using a single protocol. All data collected were subjected to suitable descriptive, multivariate and exploratory statistical treatments. Among the results obtained, the metric and morphological analysis of the mandible reveals micro-evolutionary morphological changes related to the intensified exploitation of a broader spectrum of food resources during the Mesolithic. Human groups in coastal zones differ from those located further inland. Coastal groups evince a rather closed system, reflected by a regional structure of bioanthropological data, whereas inland groups, while locally based, are characterized by broader and/or more regular networks of population interaction. Finally, there appears to be continuity between human groups from the Late Palaeolithic to the Early Mesolithic, as well as throughout the Mesolithic in coastal areas, while population discontinuity between the Early and Later Mesolithic is highlighted in the continental area. The arrival of new groups from areas further east, driven by Neolithic population advances through Central Europe from the 7th millennium BC cal is hypothesised, similar to one of the scenarios proposed from the analysis of aDNA.
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L'analyse spatiale des restes fauniques d'un site d'habitation des Inuits du Cuivre, au XIXe siècle, sur l'île Banks (T.N.O.), Canada

Lévesque, Roxane 09 January 2020 (has links)
Ce mémoire examine les modèles de distribution de nourriture et d’échange réciproque des Inuits du Cuivre à travers l’analyse spatiale de restes fauniques, principalement des sections de bœufs musqués (Ovibos moschatus). La collection ostéologique du site de Kuptana (PjRa-18), excavée au début des années 1980 par Clifford Hickey, a été utilisé afin d’identifier des preuves des pratiques de partage. En raison de sa diversité taxonomique limitée et du degré de préservation des ossements, le site de Kuptana a été jugé comme un contexte parfait pour identifier les modèles de partage de nourriture grâce aux techniques de remontage des os et de l’analyse spatiale. L’analyse faunique a permis d’identifier les étapes de dépeçage, de mise en cache et de consommation sur le site tout en établissant des liens entre ces étapes grâce au remontage des ossements, au réassemblage des articulations, à l’identification de paires d’éléments et finalement à la cartographie de leur distribution sur le site. Ces éléments ont fourni un moyen de documenter les chemins que peuvent prendre les carcasses sur un site résidentiel et d’interpréter la mobilisation des ressources alimentaires dans une communauté de chasseurs-cueilleurs. Cette analyse présente une étude empirique détaillant la manière dont les sections de carcasses de bœufs musqués étaient partagées entre les membres d’un campement d’été inuit du XIXe siècle. Cette étude a permis de donner des preuves d’un échange de nourriture structuré entre les unités familiales composants le groupe résidentiel ainsi que d’évaluer l’égalitarisme des relations sociales dans une société de bandes. Finalement, elle permet l’évaluation d’une méthodologie capable de réaliser ce type de recherche en zooarchéologie. / This study examines Copper Inuit food distribution and reciprocal exchange practices through a spatial analysis of archaeological faunal remains, namely musk ox (Ovibos moschatus) osteological remains. A faunal collection from the Kuptana site (PjRa-18), excavated in 1981-82 by Clifford Hickey, Banks Island (N.W.T.), Canada, was used to provide evidence of food sharing practices. Because of it’s preservation and limited taxonomic diversity, the Kuptana site was deemed to be an ideal context for the application of bone refitting and spatial analysis techniques used to reveal food sharing patterns. The faunal analysis identifies butchering, storage and consumption areas on the site and established links between them by refitting comminuted bone, by rejoining articulated bones and through the identification of matched pairs of elements and by mapping their spatial distribution. These elements provide a means of documenting the complex paths carcasses may take at a residential site and of interpreting the mobilisation of food resources in a foraging community. The analysis provides an empirical case study detailing how parts of musk ox carcasses were shared amongst members of a 19th century Inuit summer camp. The study provides evidence of structured food exchange between family units comprising the residential group, and characterises egalitarian social relationships in a band society. Finally, it contributes an evaluation of methods available to zooarchaeologist for pursuing these goals.

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