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De Servus à Sclavus : l’évolution des conditions serviles en Europe occidentale continentale (371-918) / From "Servus to Sclavus" : the evolution of servile conditions in Continental Western Europe(371-918)

Bondue, Didier 12 October 2010 (has links)
La question de l’évolution des conditions serviles depuis la fin du Bas-Empire jusqu’au Xè siècle a suscité depuis la seconde moitié du XIXè siècle un foisonnement de positions contrastées tant sur les plans de l’idéologie, de la chronologie que du vocabulaire.A cet immense problème ont d’abord répondu l’école historique de la fin du XIXè siècle, puis l’apport des idées nouvelles de Marc Bloch et l’essai de synthèse de Charles Verlinden.La perspective néo-marxiste, l’école fiscaliste, les historiens allemands, de même que quelques positions isolées et régionales, comme celles de Paul Veyne, ont nourri le débat ultérieur.La présente étude s’est donc donnée pour ambition de tenter un nouvel examen d’un grand nombre de sources permettant de reconsidérer ce grand mouvement.Le mot « esclave » n’exprime pas la à lui seul la réalité de ce phénomène.Le cadre chronologique, 371-918, exprime ce paradoxe au travers de deux événements : le premier le décret de Valentinien 1er généralisant la fixation au sol des paysans d’ Illyricum, et le second la première mention du terme « sclavus » dans un diplôme de Konrad 1er en 918.Ainsi donc, jusqu’à l’avènement des carolingiens, la période romano-barbare semble maintenir une conception romaine de l’asservissement, avec toutefois l’apport des pratiques barbares et des balbutiements de l’action de l’Église.Au delà, dans un cadre politique stabilisé, les bases de la transformation vers le servage se fortifient grâce à son rôle croissant.Au Xè siècle, l’asservi est un homme différent de celui du IXè siècle. Il est devenu un paysan vivant de ses propres biens sur un sol appartenant au roi, à l’Église ou à la noblesse. / The question concerning the evolution of servile conditions from the end of the Early-Empire until the 10th century has aroused since the second half of the 19th century a proliferation of contrasting positions in terms of ideology, chronology and vocabulary.Attempts to provide an answer to this immense problem first emerged from the historical school at the end of the 19th century, followed by some new ideas contributed by Marc Bloch and summarized in an essay by Charles Verlinden.The neo-Marxist perspective, the fiscalist school, German historians, and one or two isolated and regional positions, like those of Paul Veyne, have fuelled the debate ever since.The mere term “slave” does not do justice to the reality of such a phenomenon.The chronological framework, 371-918, expresses this paradox through two events: the first, the decree by Valentinian I generalising the grounding of Illyricum peasants, and the second, the first reference to the term “sclavus‖ in a Conrad I diploma in 918.And so, up until the rise of the Carolingiens, the Romano-barbarian period would seem to maintain a Roman conception of subjugation, nourished all the same by the contribution of some Barbaric practices and the earliest signs of action on the part of the Church.Beyond this, the foundations of the transformation towards servitude are fortified thanks to the growing role of a stabilised political contextThus, in the 10th century, the subjugated man differs from his 9th century counterpart. He has become a peasant living off his own assets on a land belonging to the king, the Church or the nobility.
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La gestion environnementale sur un front pionnier amazonien

Bonaudo, Thierry 15 December 2005 (has links) (PDF)
L'Amazonie, dernière frontière du Brésil, a connu de profonds changements lors des dernières décennies du fait de son intégration progressive au reste du pays. Les relances successives des politiques gouvernementales de colonisation relayées par l'implantation des grandes filières productives se sont traduites par un recul important des activités extractivistes et un poids croissant de la région dans les secteurs agricoles et forestiers. L'Amazonie est aujourd'hui une région économiquement intégrée au reste du pays. En parallèle à ce phénomène d'expansion de la frontière agricole, les dernières décennies ont vu s'accroître les préoccupations environnementales liées notamment aux taux alarmants de déforestation en Amazonie. Cette prise de conscience croissante de la problématique environnementale a suscité des réformes dans les politiques publiques brésiliennes qui tentent de promouvoir la protection et l'utilisation durables des ressources forestières. Cependant, dans la pratique, ces politiques semblent peu efficaces, et malgré des menaces environnementales et des déséquilibres économiques et sociaux, les atteintes à l'environnement se multiplient et les déforestations n'ont jamais été aussi importantes. Au cours de cette thèse, nous nous intéressons à la gestion environnementale d'un front pionnier amazonien : la commune d'Uruará (Pará, Brésil). Notre étude se focalise, dans un premier temps, sur l'analyse du jeu d'environnement avec ses acteurs (colons, exploitants forestiers, acteurs institutionnels), ses règles et pratiques de gestion (transformation, utilisation et protection des ressources forestières). Nous avons démontré que l'utilisation des ressources forestières était très limitée et ne permettait pas un développement économique des colons. La forêt est encore considérée comme une réserve de fertilité à couper et brûler pour implanter des activités agricoles. La deuxième partie porte sur la modélisation des interactions entre les agriculteurs, principaux acteurs de la déforestation, et l'environnement. Ceci afin, de formaliser 15 ans de connaissances sur les dynamiques pionnières. Nous avons construit deux scénarios prospectifs pour tester l'impact de l'application de la loi environnementale sur les réserves forestières et la rétribution des services environnementaux. v La combinaison de méthodologies complémentaires (entrevue rétrospective, typologie et modélisation) nous a permis d'avoir une vision dynamique de la gestion environnementale. Cela nous a aussi permis de proposer, tester et discuter quelques mesures pouvant limiter les déforestations tout en stabilisant les colons sur la terre.
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Le réseau du Canada, étude du mode migratoire de la France vers la Nouvelle-France, 1628-1662

Carpin, Gervais January 1999 (has links) (PDF)
No description available.
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"Isidore Cassemottes" de Saint-Vincent, Alexandre Mahé (1880-1968) et la survivance canadienne-française en Alberta

Champagne, Juliette Marthe January 2001 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Analyse des macro-restes végétaux du site colonial de Ferryland (Terre-Neuve, Canada)

Prévost, Marie-Annick. January 1900 (has links) (PDF)
Thèse (M. A.)--Université Laval, 2008. / Titre de l'écran-titre (visionné le 25 mars 2009). Bibliogr.: p. [204]-239.
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L’éveil politique de la société algérienne à travers révoltes, soumission, assimilation et nationalisme, 1830-1936 / The political awakening of Algerian society through revolts, submission, assimilation and nationalism.1830-1936

Gheziel, Abla 30 September 2015 (has links)
Plus de cinquante ans après son indépendance, l’histoire de l’Algérie coloniale est et, demeure toujours un sujet aussi douloureux et sensible des deux côtés de la Méditerranée. Au fur et à mesure de l’expansion coloniale française, les membres de la société de l’ex-régence d’Alger voient le mode de vie et leur statut changer. Et, ce en fonction des réformes et des dispositions de l’administration coloniale qui à la fois dut conduire une politique à deux niveaux: une politique pour les colons , les nouveaux habitants de l’Algérie, et une autre pour les indigènes qui malgré le fait que le Senatus consulte de 1865 leur ait accordé la citoyenneté, ils n’en restaient pas moins des sujets de seconde zone. A travers cette étude, nous proposons de suivre l’évolution et les facteurs qui ont contribué à l’éveil populaire des masses musulmanes durant la période qui s’étend de 1830 à 1936. Un champs d’études ayant pour cadre les révoltes populaires ; symbole de la résistance populaire des milieux ruraux, la notion de soumission qui reflète une position mitigée de la part des population qui vacille entre résistance et cohabitation face à l’administration militaire puis face à l’administration coloniale civile, Également la perception de la question de l’assimilation chez les Algériens musulmans et les Européens qui revêtit diverses interprétations à partir de la question du royaume arabe et du problème de la naturalisation. La question du nationalisme et la problématique de son existence ou non avant le débarquement des Français. Notre théorie est que tous ces facteurs ont aidé à l’éclosion du nationalisme, processus qui n’a pas suivi un développement linaire mais fut le résultat d’un cheminement complexe compte tenu des différents facteurs tels que le panislamisme, les retombées de la Première guerre mondiale et l’engagement des indigènes dans ce conflit qui à la base ne les concernait pas. Puis, entre les années 1920 et 1930, les formations politiques font leur apparition, intellectuels et réformistes musulmans s’affirment sur la scène politique et engage la confrontation avec l’administration coloniale et le gouvernement de la Métropole. Ainsi , la prise de conscience des masses musulmanes allaient se manifester et s’imposer en dépassant les différences des uns et des autres ; c’est à dire passer d’une pensée particulariste, d’un régionalisme à une pensée collective nationale : se reconnaitre dans une seule et unique identité nationale. / The political awakening of Algerian society through revolts, submission, assimilation and nationalism.1830-1936. More than fifteen years after his independence, Algerian colonial history is and stills always a painful and sensitive subject for the two sides of the Mediterranean Sea. As the French colonial expansion took place, members of society of former regency of Algiers see their way of living changing. And, this in function of reforms and measures of colonial administration which drive a two level policy: toward settlers’ policy; the new inhabitants of Algeria. And another one for indigenous whom still second zone citizen even if the ײSenatus consultײ of 1865 gives them citizenship. Throughout this study, we suggest to follow the evolution of these factors which contribute to the popular awakening of Muslim masses during the period between 1830 and 1936. It is a field of study which includes not only popular revolts, the symbol of rural resistance. But also the notion of submission reflecting à mixed position of populations between resistance and cohabitation with military administration first, then with civil colonial one after, thus the assimilation issue of Algerian Muslims and Europeans, which clothed various interpretations starting by the Arab Kingdom of Napoleon III and the problem of naturalization, and finally, the nationalism issue and the issue of its existence or not before the landing of French. Our theory is that all these features helped the hatching of nationalism, a process which did not follow a linear development but was the result of a complex path according to different factors such as Pan Islamism, the consequences of the WWI and the participation of the indigenous in this conflict which was not their conflict. Then, from 1920 and 1930, political groups appear; Muslim reformers and intellectuals assert themselves in political scene and engage the confrontation with the colonial administration and metropolitan government. Thus, the awareness of Muslim masses will appear and lead up on differences between people; in other move from individual or regional thinking towards a collective national thinking.
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Premiers contacts entre britanniques et indiens d'Amérique du Nord et conséquences sur leurs modes de vie respectifs / First contacts between british people and native americans and consequences on their respective ways of life

Savalle, Caroline 18 November 2013 (has links)
Ce travail s’attache à étudier les conséquences qu’ont eu les contacts entre Britanniques et populations amérindiennes sur le mode de vie de ces deux populations dès leur première rencontre. L’idée reçue veut que seuls les Britanniques aient laissé (et lourdement) leur empreinte sur le sol et les peuples qu’ils ont rencontrés à leur arrivée sur le nouveau continent. Or le sujet est ici plutôt celui d’une influence réciproque dans une certaine mesure, au vu de données archéologiques, historiques et ethnohistoriques. Les angles d’étude choisis sont les habitudes et comportements liés directement ou non à l’alimentation (comment se procuraient-ils leur nourriture, comment la cuisinaient-ils, la partageaient-ils, quels liens sociaux découlaient de ces procédés,… ?), les différences culturelles et les rapports aux autres (autres tribus, colons originaires d’autres nations européennes…) qu’ils soient amicaux ou hostiles, diplomatiques ou économiques. / This study investigates the consequences that contacts between British people and Native American populations had on their respective ways of life. There is a widespread cliché in people’s minds according to which only British people would have had (heavily) left their marks on the North American ground and peoples that they encountered. Nevertheless, and contrarily to this idea, we shall tackle here their reciprocal influence, that is the way in which Native tribes also deeply impacted British colonists’ everyday life in the New World. We were able to witness such an influence thanks to archaeological, historical and ethnohistorical evidence. Various angles of study were chosen for this paper: the cultural habits and behaviors directly or indirectly linked to food (how did people have access to food supplies? How were foodstuffs prepared or cooked? Were food and/or meals shared? Which social links and practices -if any- derived from such habits?...). We shall also have to present to the audience what Native people’s connections and attitudes towards other tribes, or colonists from different European nations, were. And these could have been friendly, diplomatic, economical or even hostile relationships, implying political management and thinking ahead of taking actions, which was commonly omitted in the past.
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LA MEMOIRE ET L'OUBLI A ARTAS : UN ELEMENT DE L'HISTOIRE RURALE DE LA PALESTINE, 1848-1948

Ida Falestin, Naili 13 October 2007 (has links) (PDF)
Cette thèse traite de la mémoire et de l'oubli des habitants d'Artas, un village situé dans une vallée fertile proche de Bethléem. Elle porte plus particulièrement sur les récits mémoriels à propos de cent ans d'histoire du village et à propos de la présence occidentale plus précoce dans ce village qu'ailleurs en Palestine ottomane. La liste des Occidentaux qui ont marqué par leur présence le village d'Artas inclut des colons millénaristes européens et nord-américains, la famille d'un missionnaire alsacien, un couvent catholique, des colons sionistes, des chercheurs spécialisés en études bibliques et en folklore, ainsi que l'anthropologue finlandaise Hilma Granqvist. L'attrait d'Artas pour ces personnes tenait généralement à son lien avec les jardins de Salomon nommés Etham et mentionnés dans l'Ancien Testament, mais au-delà de cet attrait, ces individus et ces groupes ont suivi des projets différents à Artas et ont entretenu des rapports différents avec la population locale. L'histoire de cette présence occidentale et la manière dont elle a été intégrée à la mémoire collective des villageois est analysée dans un va-et-vient entre sources archivistiques et sources orales et ceci à l'aide d'une méthodologie qui combine l'histoire sociale et l'anthropologie. Des entretiens menés auprès de réfugiés originaires d'Artas résidant aujourd'hui principalement à Amman, en Jordanie, et aussi auprès de descendants du missionnaire alsacien, font émerger les significations attribuées à cette histoire partagée d'une rencontre interculturelle. Les habitants contemporains d'Artas et les réfugiés originaires d'Artas qui résident aujourd'hui à Amman semblent avoir écarté la mémoire des colons millénaristes alors qu'ils ont soigneusement préservé la mémoire de deux Européennes qui ont vécu au village pendant de nombreuses années, au début du 20e siècle : Louise Baldensperger, fille d'un missionnaire alsacien, et Hilma Granqvist. Granqvist a même inspiré de manière posthume un habitant du village à créer un centre du patrimoine à Artas basé sur une conception nationaliste du patrimoine paysan et une volonté de mettre ce patrimoine au profit de projets de développement, notamment dans le domaine du tourisme.
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Le réseau du Canada : étude du mode migratoire de la France vers la Nouvelle-France, (1628-1662)

Carpin, Gervais 25 April 2018 (has links)
Nous avons cherché à comprendre et à expliquer comment et pourquoi, entre 1628 et 1662, des Français traversèrent l'Atlantique pour travailler ou s'installer en Nouvelle-France. Comprendre exigeait de s'arrêter sur ceux qui furent mandatés pour peupler la colonie car elle n'était pas accessible au tout venant. Pourquoi une compagnie fut-elle créée dans ce but ? Qui furent les émigrants contactés ? Comment furent-ils mis en contact ? Comme une des particularités du peuplement fut la lenteur et la faiblesse, le but était, par l'analyse des acteurs du peuplement et des facteurs de contrainte ou de support, de faire apparaître les causes de ses limites. L'historiographie est riche de plusieurs études sur les organismes recruteurs et sur les colons. De cette connaissance, il ressort que nous pouvions envisager comme postulat l'existence d'un réseau, constitué d'appareils formels et de groupes informels. Nous avons examiné les composants du réseau en mettant au jour leurs relations, les différents nœuds, leur densité. À partir d'une analyse des sources traditionnelle, nous avons recomposé les groupes humains, leurs moyens pour parvenir à mettre en oeuvre leur mandat pour les uns et pour parvenir à partir pour les autres, et nous avons aussi intégré les moyens de communication comme les informations qui circulaient ou les chemins qui devaient être pris. Nous avons constaté l'existence d'une volonté politique de l'État qui s'est donné un outil pour créer une colonie: la Compagnie de la Nouvelle France, formée d'individus sous son contrôle. Ils administrèrent la colonie au nom des besoins de l'État et la financèrent de leur argent. La faiblesse des revenus coloniaux à laquelle s'ajouta l'adversité aurait imposé un soutien appuyé de l'État. À sa place, paradoxalement, elle eut droit à l'indifférence d'abord et à l'hostilité ensuite. La faiblesse financière fut totalement déterminante sur la poursuite du peuplement. La Compagnie générale délégua beaucoup à des organismes aussi pauvres qu'elle. Il en résulta un recrutement minimum, organisé dans les ports d'embarquement, auprès d'une population locale ou préalablement migrante, à la recherche d'un emploi. Quelques recruteurs travaillèrent dans leur lieu d'origine auprès d'une population à laquelle ils étaient rattachés par des liens sociaux ou familiaux. Enfin, certains émigrants partirent de leur propre chef, le plus souvent en famille, avec la permission des organismes autorisés du réseau. La décision d'analyser sous une forme réseau les parties en cause dans le peuplement de la colonie de la Nouvelle-France a révélé une série de phénomènes de cause à effet qui expliquent effectivement un certain nombre de limites qui déterminèrent le mode migratoire vers la colonie, fait d'un appel à une population en attente de travail, pour combler de faibles besoins coloniaux. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Analyse des macro-restes végétaux du site colonial de Ferryland (Terre-Neuve, Canada)

Prévost, Marie-Annick 13 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2008-2009 / La morue des bancs de Terre-Neuve (Canada) a dès le XVIe siècle attitré les Européens en Amérique, bien que ce ne soit qu’au début du siècle suivant qu’on assiste à l’installation de colonies permanentes, comme celle de Ferryland fondée par les Anglais (1621-1696). L’analyse des macro-restes végétaux (incluant les charbons de bois) prélevés lors des fouilles archéologiques effectuées sur ce site a permis de mieux comprendre les interrelations entre les habitants et leur environnement. Leur alimentation était composée d’une grande variété de fruits sauvages indigènes ainsi que de céréales, de pois, de fines herbes et de fruits séchés d’origine étrangère. On ne sait pas si l’agriculture était surtout pratiquée sur place ou si les denrées étaient principalement importées. Les habitants auraient également utilisé les ressources végétales (bois, branches de conifères, sphaigne) pour la construction et le chauffage. En outre, les activités menées par les habitants auraient pu faciliter l’introduction de nombreuses mauvaises herbes d’origine étrangère. / The rich cod stocks of Newfoundland’s Grand Banks (Canada) attracted Europeans to the Americas from the sixteenth century onwards. However, the establishment of permanent colonies like that of Ferryland, founded by the English (1621-1696), date to the seventeenth century. The analysis of macro botanical remains (including wood charcoal) from this archaeological site shed light on the relationships between settlers and their environment. Their diet included a great variety of native wild berries as well as cereals, peas, herbs and dried fruits of European origin. However, we can not tell if this food grew mostly on or around the site or was imported. Settlers also used other plant resources (wood, conifer twigs, peat moss) for building and heating. Also, the activities of the settlers appear to have facilitated the introduction of many non-native weeds.

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