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La confiance à travers l'échange. Accès aux pâturages au Nord-Cameroun et échanges non-marchands : des simulations dans des systèmes multi-agents.

Rouchier, Juliette 03 May 2000 (has links) (PDF)
La thèse décrit deux systèmes multi-agents (SMA) qui développent des processus d'apparition de la confiance dans les échanges. La réflexion repose sur l'exemple des modes d'accès aux pâturages des éleveurs transhumants à l'Extrême-Nord du Cameroun. L'analyse économique insiste autant sur les échanges que sur le sens donné à ces interactions par les acteurs. Trois mécanismes permettent la confiance : la familiarité, la réputation, la présentation de soi. Les SMA, utilisés pour créer une intelligence artificielle collective, ont des problématiques proches et sciences sociales et offrent un cadre de modélisation. Dans le premier modèle, des agents-transhumants échangent des biens contre des accès aux ressources. Dans les simulations, deux représentations sont utilisées : l'agent cherche le moindre coût ou privilégie la familiarité. Dans les deux cas, une régularité apparaît dans les relations mais la ressource est très dégradés si la représentation repose sur les coûts. Le travail de terrain permet de redéfinir la construction de la confiance sur la base des processus sociaux (réputation et surveillance). Le second modèle décrit une société où la réalisation d'échanges non-marchands permet à chacun d'acquérir une certaine réputation. Les agents ont une motivation pour le prestige et une estime de soi qui leur permet de faire des choix d'action. Une grande diversité de simulations montrent que les histoires individuelles, même complexes, sont toujours dépendantes des caractéristiques de l'ensemble du groupe. En conclusion, il semble que la coordination par des institutions rend l'usage des ressources renouvelables plus soutenable que les incitations par les coûts. Une analyse de l'apparition de la confiance est alors un bon angle pour mettre en avant les cadres sociaux des échanges interindividuels. La simulation multi-agents permet de représenter les processus et le contexte et se révèle un bon outil pour traiter des questions d'usage des ressources par différents acteurs.
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Sur la théorie du test des circuits digitaux : mesures de la confiance

Jocomino, Mireille 17 February 1989 (has links) (PDF)
Dans ce mémoire 6 mesures sont formellement définies. Elles sont applicables à toute méthode de test. Des relations entre ces mesures sont démontrées et elles sont comparées par rapport à deux critères . La qualité de la mesure et sa difficulté d'estimation. Il apparait que l'une de ces mesures est la plus significative et qu'une autre mesure est la plus facile à calculer. Une nouvelle approche, intermédiaire entre ces deux mesures est alors introduite. Elle permet d'estimer de façon très précise la mesure la plus significative à l'aide de la plus facile a calculer que l'on applique a des sous-ensembles de fautes. Le cas ou la sortie du circuit sous test est compactée (analyse de signature) et la performance propre de l'observation du circuit sont également traités. La mesure de la confiance dans le test du microprocesseur à test (MTI) réalisé au Cnet/Cns en technologie CMOS, illustre les différents résultats obtenus. Quelques aspects nouveaux concernant le test des fautes de transistor colle ouvert dans un circuit CMOS sont également présentés
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Les monnaies parallèles. Approches historiques et théoriques

Blanc, Jérôme 09 January 1998 (has links) (PDF)
Les monnaies parallèles sont des moyens de paiement et des unités de compte très divers employés aux côtés des monnaies nationales. Un essai de recension des monnaies parallèles sur une période récente (1988-96) révèle leur existence non seulement lors de crises graves telles que l'hyperinflation mais aussi dans des situations que l'on peut qualifier de normales. <br />La permanence des monnaies parallèles conduit à interroger la théorie économique. Celle-ci ne s'y intéresse que de façon très marginale et éprouve beaucoup de difficultés à en rendre compte. Certaines théories monétaires normatives permettent de comprendre l'apparition de types spécifiques de monnaies parallèles. Mais de façon générale, les approches monétaires traditionnelles semblent désarmées face à ce phénomène.<br />Il convient dès lors de tenter de rendre compte de l'existence de pratiques monétaires qui, en des temps normaux, se portent non seulement sur les monnaies nationales, mais aussi sur des monnaies parallèles. Ce travail tente d'avancer dans cette direction. Il pose les bases conceptuelles nécessaires pour intégrer les monnaies parallèles dans un schéma général des pratiques monétaires.
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La confiance comme mode de contrôle social. <br />L'exemple des cabinets de conseil.

Bornarel, Frederic 13 December 2004 (has links) (PDF)
Dans ce travail, nous analysons le fonctionnement des organisations en nous appuyant sur le concept de confiance. Nous retenons la définition suivante : la confiance existe quand une personne compte sur l'action d'une autre personne, jugée apte à répondre à ses attentes, et à agir volontairement dans ce sens, sans abuser de la situation. Dans la perspective retenue, la confiance est définie comme un mode de contrôle : elle a pour effet de réduire la marge de liberté des acteurs. Cependant, la confiance n'est pas uniquement un mode de contrôle, il nous semble qu'elle peut également avoir pour effet de faciliter l'expression des comportements opportunistes. <br />Cet ancrage théorique nous permet de rédiger un ensemble de conjectures pour répondre à la question suivante : La confiance peut-elle être considérée comme un mode de contrôle social et un mécanisme encourageant les actions opportunistes ? <br />Pour soumettre notre question de recherche à l'épreuve des faits, nous suivons une méthodologie qualitative. Les données sont recueillies dans trois cabinets de conseil, 57 entretiens semi-directifs centrés constituent l'essentiel du matériau. <br />Les principaux résultats de l'étude sont les suivants : <br />1. Les relations de confiance entre les membres de la direction ont pour effet de renforcer le contrôle sur l'ensemble de la structure. <br />2. Les acteurs sont davantage contraints de s'engager dans des relations de confiance verticales lorsque le contexte organisationnel est menaçant. Dans ce contexte, des relations de confiance verticales dissymétriques apparaissent. Ces relations ont pour conséquence de renforcer l'influence du manager. <br />3. La confiance est un mode de contrôle social mais également un mode de contrôle psychologique. Comme mode de contrôle social, elle est efficace car elle réduit le recours à l'autorité et aux règles pour s'assurer que les acteurs s'engagent à réaliser leurs objectifs. Comme mode de contrôle psychologique, elle peut être efficiente car, en motivant le consultant à s'investir fortement dans le travail, elle est un moyen pour le manager de réaliser la mission dans des délais plus courts que ceux facturés aux clients.
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Confidentialité de données dans les systèmes P2P

Jawad, Mohamed 29 June 2011 (has links) (PDF)
Les communautés en ligne pair-a-pair (P2P), comme les communautés professionnelles (p. ex., médicales ou de recherche) deviennent de plus en plus populaires a cause de l'augmentation des besoins du partage de données. Alors que les environnements P2P offrent des caractéristiques intéressantes (p. ex., passage a l'échelle, disponibilité, dynamicité), leurs garanties en termes de protection des données sensibles sont limitées. Ils peuvent être considérés comme hostiles car les données publiées peuvent être consultées par tous les pairs (potentiellement malicieux) et utilisées pour tout (p. ex., pour le commerce illicite ou tout simplement pour des activités contre les préférences personnelles ou éthiques du propriétaire des données). Cette thèse propose un service qui permet le partage de données sensibles dans les systèmes P2P, tout en assurant leur confidentialité. La première contribution est l'analyse des techniques existant pour la confidentialité de données dans les architectures P2P. La deuxième contribution est un modèle de confidentialité, nommé PriMod, qui permet aux propriétaires de données de spécifier leurs préférences de confidentialité dans de politiques de confidentialité et d'attacher ces politiques a leurs données sensibles. La troisième contribution est le développement de PriServ, un service de confidentialité, basé sur une DHT qui met en oeuvre PriMod afin de prévenir la violation de la confidentialité de données. Entre autres, PriServ utilise de techniques de confiance pour prédire le comportement des pairs.
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ICARE-S2: Infrastructure de confiance sur des architectures de Réseaux pour les services de signature évoluée

Frausto Bernal, Paul Axayacatl 12 1900 (has links) (PDF)
Actuellement, de plus en plus d'ordinateurs sont interconnectés à l'Internet ou à des réseaux locaux. Il est donc indispensable de partager et de protéger l'information de façon performante. Pour accélérer et favoriser le développement de nouvelles applications et services autour des transactions électroniques, la sécurité devient une priorité. L'infrastructure de gestion de clés (IGC) est une réponse conçue pour assurer la sécurité des transactions électroniques et permettre l'échange de renseignements sensibles entre des parties qui n'ont pas établi au préalable de liens. La signature électronique est un service de base des IGC qui permet l'authentification, la confidentialité, l'intégrité et la non-répudiation de la transaction électronique. Elle devient une composante fondamentale des transactions sécurisées. Elle pourra bientôt se substituer légalement à la signature écrite. Dans ce contexte, notre objectif est de contribuer au développement et à la création de nouveaux e-services nécessaires à la croissance des transactions électroniques: la certification de rôles associés à la signature (pour connaître les privilèges du signataire aux moyens de la définition d'un rôle), l'habilitation et la délégation de signature (pour que quelqu'un puisse donner l'autorisation à quelqu'un d'autre d'exercer un pouvoir à sa place et donner l'autorisation de transférer ce pouvoir à un tiers), la signature électronique contrôlée (pour indiquer qui peut signer un document et contrôler la séquence et les priorités des signatures) et enfin les métadonnées de droits d'accès (pour définir les droits d'accès à un document indépendamment du système d'exploitation utilisé). Une infrastructure de confiance est nécessaire pour prendre en compte ces e-services. Nous proposons l'infrastructure ICARE-S2 (Infrastructure de Confiance sur des Architectures de RésEaux pour les Services de Signature évoluée ) basée sur les principes associés à l'infrastructure de gestion de privilèges et l'infrastructure de gestion de clés, un certificat d'attribut encodé en XML supporté par cette architecture, ainsi que la spécification de ces différents e-services utilisant ce type de certificat. Concrètement, l'infrastructure ICARE-S2 propose un système couvrant les principales fonctions de sécurité nécessaires à un processus transactionnel. De l'authentification et la gestion des droits des utilisateurs et des composants, en passant par le chiffrement des informations, et la gestion de l'intégrité des messages par le biais de certificats électroniques. Une partie de ces travaux a été financée par le projet RNRT ICARE.
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Contribution au pronostic industriel : intégration de la confiance à un modèle prédictif neuro-flou.

El Koujok, Mohamed 17 September 2010 (has links) (PDF)
Le pronostic industriel est aujourd'hui reconnu comme un processus clef pour renforcer la sûreté de fonctionnement des matériels tout en réduisant les coûts de maintenance. Cependant, il est dicile de construire un outil de pronostic ecace, prenant en compte l'incertitude inhérente aux processus de défaillance mal appréhendés. L'objet de cette thèse est de proposer un système de pronostic qui, partant des données capteurs, permette de générer les indicateurs utiles à l'optimisation des stratégies de maintenance. Le travail vise en outre à pallier certains problèmes inhérents au manque de connaissance sur les phénomènes de dégradation (quantité de données, expertise dans la construction d'un modèle). Les développements sont fondés sur l'utilisation du système neuro-ou évolutif exTS comme outil permettant de prédire la dégradation d'un bien. Une procédure de sélection automatique des entrées du système prédictif est proposée. L'approche est basée sur le principe de parcimonie. Elle permet de déterminer la structure du réseau neuro-ou en regard d'exigences de performance de prédiction. Une méthode d'estimation a priori de la distribution des erreurs de prédiction du système neuro-ou, ainsi que de propagation de cette erreur pour tout horizon est ensuite proposée et illustrée. Cette contribution permet d'intégrer la conance au processus de pronostic. Enn, les mécanismes d'évaluation de la abilité d'un bien sont adaptés au cas prédictif an de générer les métriques de pronostic permettant d'optimiser les stratégies de maintenance, notamment le temps résiduel avant défaillance (Remaining Useful Life - RUL).
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Ethique, personne de confiance et maladie d'Alzheimer

Moulias, Sophie 26 June 2012 (has links) (PDF)
La personne de confiance, créée par la loi du 4 mars 2002, permet au patient non communiquant, de transmettre sa parole au médecin, pour l'aider dans sa prise de décision. Dix ans après, la désignation de la personne de confiance reste rare, même en gériatrie, y compris pour les patients atteints de maladie d'Alzheimer. Plusieurs enquêtes par questionnaires et entretiens et une recherche-action ont été réalisés auprès des différents acteurs du soin gériatrique : patients, aidants, gériatres, médecins traitants et associations de patients, pour appréhender comment les professionnels de gériatrie se sont approprié la notion juridique de personne de confiance et ont modifié leurs pratique Les résultats montrent que les acteurs ne connaissent pas bien la loi et n'ont rien fait pour la mettre en œuvre, même s'ils en attendent beaucoup. Les équipes de soin peuvent cependant s'approprier le sujet et donner à la personne de confiance la place prévue par la loi. Des risques de dérives sont décrits : prise de pouvoir de la personne de confiance sur le patient, décharge de la responsabilité médicale, écartement des proches au profit de la seule personne de confiance, poids extrême pouvant peser sur cette dernière. Les professionnels trouvent que la procédure prend beaucoup de temps, qu'un document écrit n'est pas toujours adapté, que cela représente une charge supplémentaire, alors qu'ils sont déjà surchargés. Le manque de pratique entraine le manque d'utilisation. Les patients présentent parfois des difficultés de communication, limitant la possibilité de désigner. L'information sur la personne de confiance et sa désignation provoquent souvent une angoisse supplémentaire du patient face à sa possible mort prochaine. Il lui est parfois difficile de choisir entre ses enfants. Les professionnels pressentent que la personne de confiance n'a pas la même utilité pour tous. Elle est intéressante en soins d'urgence et de réanimation, mais les patients n'ont souvent pas le temps de la désigner avant d'en avoir besoin. Elle prend tout son sens dans les maladies chroniques, dont la maladie d'Alzheimer, pour lesquelles la désignation de la personne de confiance pourrait être anticipée par rapport à l'arrivée à l'hôpital. Il ne semble pas y avoir de limite, autre que celle de l'a priori moral des professionnels, à la possibilité de désigner une personne de confiance, même pour un patient atteint de maladie d'Alzheimer, la personne de confiance permettant alors au patient d'exprimer ses volontés au-delà de son handicap, en prenant au mieux en compte son ancienne personnalité et ses désirs actuels. Cette réflexion amène à certaines réserves éthiques. Le patient, sa personne de confiance et le médecin peuvent-ils conclure une alliance thérapeutique en médecine aiguë, alors que la patient est dépendant du médecin, par le fait même de sa maladie et de la proximité de la mort ? La logique des droits des patients a-t-elle une limite, puisque tous les patients n'ont pas accès à la désignation de leur personne de confiance ? Le risque de routinisation de la procédure est majeur, si le sens même de cette désignation n'est pas perçu par les différents acteurs. La réflexion autour de la prise de décision montre que le patient en semble souvent absent et pas toujours représenté par la personne de confiance. Le tuteur ne semble pas être le représentant idéal du patient, qui ne peut légalement plus désigner sa personne de confiance. Une amélioration du processus par le biais de bonnes pratiques de la désignation de la personne de confiance sont proposées : améliorer l'information de la population et des patients, former les professionnels aux conditions de désignation optimale pour le patient, informer la personne de confiance sur son rôle et sur sa responsabilité vis-à-vis du patient, de l'aidant familial et de la famille, extension de la procédure de désignation partout où il y a du soin.
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Estimation de la moyenne et de la variance de l'abondance de populations en écologie à partir d'échantillons de petite taille

Vaudor, Lise 25 January 2011 (has links) (PDF)
En écologie comme dans bien d'autres domaines, les échantillons de données de comptage comprennent souvent de nombreux zéros et quelques abondances fortes. Leur distribution est particulièrement surdispersée et asymétrique. Les méthodes les plus classiques d'inférence sont souvent mal adaptées à ces distributions, à moins de disposer d'échantillons de très grande taille. Il est donc nécessaire de s'interroger sur la validité des méthodes d'inférence, et de quantifier les erreurs d'estimation pour de telles données. Ce travail de thèse a ainsi été motivé par un jeu de données d'abondance de poissons, correspondant à un échantillonnage ponctuel par pêche électrique. Ce jeu de données comprend plus de 2000 échantillons, dont chacun correspond aux abondances ponctuelles (considérées indépendantes et identiquement distribuées) d'une espèce pour une campagne de pêche donnée. Ces échantillons sont de petite taille (en général, 20 _ n _ 50) et comprennent de nombreux zéros (en tout, 80% de zéros). Les ajustements de plusieurs modèles de distribution classiques pour les données de comptage ont été comparés sur ces échantillons, et la distribution binomiale négative a été sélectionnée. Nous nous sommes donc intéressés à l'estimation des deux paramètres de cette distribution : le paramètre de moyenne m, et le paramètre de dispersion, q. Dans un premier temps, nous avons étudié les problèmes d'estimation de la dispersion. L'erreur d'estimation est d'autant plus importante que le nombre d'individus observés est faible, et l'on peut, pour une population donnée, quantifier le gain en précision résultant de l'exclusion d'échantillons comprenant très peu d'individus. Nous avons ensuite comparé plusieurs méthodes de calcul d'intervalles de confiance pour la moyenne. Les intervalles de confiance basés sur la vraisemblance du modèle binomial négatif sont, de loin, préférables à des méthodes plus classiques comme la méthode de Student. Par ailleurs, ces deux études ont révélé que certains problèmes d'estimation étaient prévisibles, à travers l'observation de statistiques simples des échantillons comme le nombre total d'individus, ou le nombre de comptages non-nuls. En conséquence, nous avons comparé la méthode d'échantillonnage à taille fixe, à une méthode séquentielle, où l'on échantillonne jusqu'à observer un nombre minimum d'individus ou un nombre minimum de comptages non-nuls. Nous avons ainsi montré que l'échantillonnage séquentiel améliore l'estimation du paramètre de dispersion mais induit un biais dans l'estimation de la moyenne ; néanmoins, il représente une amélioration des intervalles de confiance estimés pour la moyenne. Ainsi, ce travail quantifie les erreurs d'estimation de la moyenne et de la dispersion dans le cas de données de comptage surdispersées, compare certaines méthodes d'estimations, et aboutit à des recommandations pratiques en termes de méthodes d'échantillonnage et d'estimation.
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Les facteurs associés à l'émergence et à la consolidation de la confiance de l'employé envers son supérieur immédiat dans un centre hospitalier québécois

Deschênes, Émilie January 2009 (has links) (PDF)
La confiance en organisation se veut indispensable pour des relations de travail saines, efficaces et riches et pour des échanges équitables entre les employés et leur supérieur. De plus, elle est essentielle pour assurer la qualité de ces relations et de la communication entre les individus et contribue à créer un climat propice au travail. Le présent mémoire, parce que nous croyons à l'importance d'un climat de confiance chez les différents personnels de toute organisation, cherche à comprendre comment créer ou consolider un tel climat. Quels facteurs peuvent être associés à l'émergence de la confiance entre un employé et son supérieur? Existe-t-il plusieurs dimensions à la confiance en organisation? Laquelle doit-on préconiser pour l'instauration de relations de confiance stables? Afin de répondre à ces interrogations, nous avons composé un questionnaire sur les dimensions de la confiance et sur les facteurs qui, selon la littérature, permettent l'émergence et/ou facilitent la consolidation d'un climat de confiance dans l'organisation. Nous avons concentré nos efforts sur l'investigation des facteurs individuels liés aux caractéristiques de la personne qui accorde sa confiance, en l'occurrence l'employé, des facteurs liés aux caractéristiques de son supérieur, aux caractéristiques de leurs relations et, finalement, aux caractéristiques de l'organisation dans laqueIle ils travaillent. Après avoir évalué la confiance dans l'organisation où nous avons collecté nos données, nous avons établi des liens entre les quatre groupes de facteurs ci-haut mentionnés et la confiance, de façon à déterminer quel groupe avait le plus d'influence sur quelle dimension de la confiance. Nos résultats nous ont permis de constater que le contexte de l'organisation dans laquelle les données ont été recueillies, un centre hospitalier, influençait l'accord de la confiance dans cette organisation. Ainsi, nos résultats ne corroborent pas l'ensemble des recherches qui nous ont servi de point de départ, aucune n'ayant été effectuée dans un milieu similaire. Nos principaux résultats concernent les facteurs liés aux caractéristiques du supérieur. Ceux-ci semblent jouer le rôle le plus significatif chez l'employé lorsqu'il prend la décision d'accorder sa confiance. Au contraire, les facteurs liés aux caractéristiques de l'organisation, tel que sa mission ou ses politiques générales, tendent plutôt à n'influencer que très peu l'employé. Les conclusions qui ressortent de la recherche concernent donc ces ensembles de comportements du supérieur, notamment, ses compétences, son ouverture, etc. Nous confirmons en effet leur importance, mais questionnons la manière dont ils peuvent être suscités, intérêt qui trouverait sa place dans une nouvelle recherche. Enfin, nous avons constaté la difficulté de mesure d'un concept qui reste malgré tout abstrait: la confiance en organisation. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Confiance, Employé, Supérieur immédiat, Confiance affective.

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