• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 27
  • 2
  • 2
  • 1
  • Tagged with
  • 34
  • 34
  • 26
  • 26
  • 13
  • 13
  • 12
  • 10
  • 10
  • 8
  • 8
  • 7
  • 7
  • 6
  • 6
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

La participation des défenseurs du territoire dans le contexte post-autoritaire et post-conflit du Guatemala

Bacher, Stéphanie January 2016 (has links)
Plus de deux décennies après la fin de l’autoritarisme et du conflit armé au Guatemala, la participation des citoyens à la prise de décision continue de se heurter à de nombreux obstacles. Alors que l’investissement direct étranger dans le secteur minier a été promu par les différents gouvernements s’étant succédé au pouvoir depuis 1996, cette politique de développement est au cœur de conflits sociaux et de l’émergence de mouvements de défense du territoire dans plusieurs régions du pays. Cette recherche vise à examiner la réponse de l’État face aux revendications des défenseurs du territoire qui sont opposés à la présence de l’activité minière sur leur territoire. À partir d’une perspective historique, il sera émis que la réponse de l’État se caractérise par l’usage de pratiques héritées de l’époque précédente, une époque marquée par un conflit armé interne et la dictature, à l’endroit des défenseurs du territoire. Cette intuition de recherche sera toutefois nuancée par la suite grâce à l’étude de deux cas qui dressent un portrait plus complexe de la situation, où l’héritage de l’époque précédente s’entremêle au nouveau contexte politique dans lequel participent les défenseurs du territoire.
2

L'implication des femmes au sein des groupes armés contestataires : les cas du Pérou et de l'Irlande

Felices-Luna, Maritza January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
3

Déplacements forcés et contre-réforme agraire en Colombie : territoires, agro-industrie de la palme africaine et résistance civiles afro-colombienne au Choco

Hallé, Tania January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
4

Les déplacements forcés intra-urbains dans les comunas 4 et 6 de Soacha (Colombie) : entre violences urbaines et urbanisation de la guerre : Enquête ethnologique d'une mobilité sous contrainte politisée / The intra-urbans forced displacement of population in the 4th and the 6th Comunas of Soacha (Colombia) : between urban violences and war urbanization processes : between urban violences and war urbanization processes : Ethnological research on a politicized mobitility caused by threatening

Duriez, Tiphaine 26 November 2014 (has links)
Si la situation armée que traverse la Colombie n'est pas inconnue du grand public, tel n'est pas le cas pour les cohortes de réfugiés qui se sont formées dans son sillage. Relativement peu médiatisés sur la scène internationale, ces mouvements de populations représentent une constance dans l'histoire de ce conflit armé. Aujourd'hui, ce pays comptabilise le plus de réfugiés internes au monde. Renvoyant tout à la fois à une typologie migratoire et à une catégorie institutionnelle, ce travail de recherche en anthropologie politique revient sur ces mobilités contraintes « par la guerre ». Désignés et regroupés sous l'appellation « desplazamientos forzados por la violencia », ces mouvements sont de l'ordre du multiple et font localement l'objet d'une veille scientifique, politique et humanitaire importante. Cependant, il existe de grandes disparités dans les discours et dans les analyses le concernant, notamment lorsque se pose la question de la nature du territoire de départ des migrants. Ainsi, l'imaginaire veut que la situation armée qui impulse ces mobilités soit circonscrite au milieu rural et absent des milieux urbains.Or, les données recueillies et présentées dans cette thèse viennent bousculer ce postulat. Menées auprès de différents acteurs dans les villes de Bogotá et de Soacha entre 2010 et 2012, ces enquêtes de terrains témoignent de l'efficience de ces pratiques, tout en soulignant la pluralité de trajectoires qu'elles recoupent et la complexité des situations auxquelles elles répondent. Ainsi, ce travail de recherche fait resurgir l'importance des thèmes de la mémoire, de l'informalité, de l'appartenance ou encore de la distribution des richesses. / If the armed conflict affecting Colombia is known from the public, it is not the case of the numerous refugees it has created. Movements of population are constant across the history of this armed conflict although it did not attract the media’s attention. Nowadays this country has the largest number of internal refugees in the world. The present document is the result of a research in political anthropology on the migration patterns of populations caused by the threatening « of the war ». Identified and grouped under the denomination of « desplazamientos forzados por la violencia », these movements are plural. Locally this « total social fact » is closely monitored by scientific, political and humanitarian institutions. However significant disparities exist on both the analysis and the reasons of these migrations, especially regarding the condition of the migrant’s departure territory. It is often a statement in people’s mind that the conflicts at the origin of these motilities are limited to the countryside, and thus absent from the urban zones. However the data presented in this PhD thesis goes against this postulate. It was collected between 2010 and 2012 among various Colombian actors and institutions based in the cities of Bogotá and Soacha. By combining this data, the fieldwork demonstrates the reality of a transfer of the old conflicts into urban areas, stressing the existence of a plurality of trajectories and testifying about the complexity of situations to which they respond. This research emphasis the importance of themes such as memory, territory, informality, membership, distribution of wealth and knowledge transmission.
5

Étude de l’effet d’interaction de la température et du potentiel agricole sur l’incidence des conflits armés

Smaoui, Maroua January 2018 (has links)
Un nombre croissant de conflits armés dans le monde est relié à une origine climatique. Les études sur les causes du conflit tiennent le climat, et plus spécifiquement le réchauffement, pour un multiplicateur de menaces. Mais, de par leurs résultats divergents, ces études répondent peu au défi posé par les perspectives alarmantes du réchauffement. Dans ce sillage, l’objectif de ce mémoire est d’étudier l’effet de la hausse de la température sur les conflits armés. Pour ce faire, le prisme de l’agriculture a d’emblée été privilégié, en raison de la dépendance des économies en proie aux conflits au secteur agricole. Suivant une approche de panel, et dans le cadre d’un modèle à effets fixes, un potentiel agricole a été défini pour chaque pays par sa capacité à cultiver des céréales d’une part et par une mesure de la rareté de l’eau dans les bassins versants, d’autre part. Les résultats des estimations confirment l’hypothèse d’un impact plus grand de la hausse des températures sur les pays à faible potentiel agricole. Ces résultats démontrent qu’un bon potentiel agricole, et notamment une bonne mesure de la rareté de l’eau, peuvent agir comme rempart contre l’incidence des conflits. Parmi les chiffres phares, il est à indiquer par exemple qu’un bon indice d’aptitude à la culture céréalière inhibe de plus de 4 % la probabilité d’incidence d’un conflit armé dans un pays donné. Inversement, un niveau très élevé de la rareté des ressources en eau, cette fois, exacerbe les conflits à hauteur de 21,53 %. Cette étude invite dès lors à prendre plus en compte le rôle de l’agriculture comme rempart contre l’incidence des conflits. Une meilleure gestion des ressources hydriques est tenue pour primordiale dans l’anticipation des hausses de température. Par ailleurs, il serait tout aussi approprié d’intégrer les mesures d’atténuation des crises alimentaires dans la réflexion sur les conséquences du changement climatique, surtout pour les pays les plus vulnérables. Cette estimation de l’effet de l’interaction du climat et de l’agriculture sur les conflits au niveau étatique est une première étape dans l’élaboration de modèles plus précis, intégrant des estimations davantage géo-localisées, à la fois de la violence armée et des variables agro-climatiques.
6

Le droit à la santé mentale dans le cadre des conflits armés

Gradinariu, Laura 28 April 2012 (has links) (PDF)
La thèse identifie les lacunes et les défauts de mise en œuvre des instruments juridiques internationaux applicables dans le contexte des conflits armés (les Conventions de Genève de 1949 et le Statut de la Cour Pénale Internationale) en ce qui concerne la question de la protection du droit à la sante mentale. Une solution pour une meilleure protection de ce droit est proposée, visant à amender les instruments juridiques internationaux en la matière par une nouvelle disposition qui incrimine distinctement les violations du droit à la sante mentale pendant la guerre. La recherche met en évidence la gravite des conséquences de la violation du droit à la sante mentale dans le cadre des conflits armés, en montrant le lien de causalité entre les traumas produits par ces conflits, l'apparition de troubles psychiques, la modification des standards de la normalité dans une collectivité et la prédisposition accrue à des comportements antisociaux. La thèse avance une hypothèse qui explique l'augmentation des taux de criminalité après la guerre par le rôle des traumas psychiques de la population suite aux conflits armes.
7

Les effets de l'évolution des conflits armés sur la protection des populations civiles / The effects of the evolution of armed conflicts on the protection of civilian populations

Lefeuvre, Cyprien 26 January 2015 (has links)
Les conflits armés ont toujours été émaillés de nombreuses exactions commises contre les populations civiles, notamment lorsque la guerre présentait une dimension identitaire ou politique relativement affirmée. C'est encore le cas dans de nombreux conflits contemporains. Le droit international n'a pourtant cessé de se renforcer pour garantir à ces populations une meilleure protection contre les effets des hostilités, notamment par la signature de plusieurs conventions internationales à La Haye ou Genève qui constituent aujourd'hui le socle du droit international humanitaire. Il existe donc un contraste flagrant entre l'état du droit et la protection effective des populations sur le terrain. Pourquoi ? Recentré sur l'analyse de la conflictualité contemporaine, ce travail s'efforce d'en rechercher la cause dans l'évolution des cadres de référence des combattants et dans la manière dont ils influent sur leur définition de l'ennemi et sur leur conception de la place des civils dans la guerre. Il démontre comment l'évolution des causes de conflit comme de la pratique des combattants dans les guerres asymétriques ou déstructurées tend à replacer toujours plus les civils au coeur de la guerre. Cela ne signifie pas pour autant que le droit international humanitaire, adopté pour l'essentiel à l'issue des deux Guerres mondiales et au cours des années 1970, soit obsolète. De fait, au contraire, ses principales règles relatives à la protection des populations civiles sont assez souples pour s'adapter aux défis que posent les conflits contemporains, pour peu que les combattants veuillent les appliquer et en faire une interprétation raisonnable et de bonne foi / Armed conflicts have always been interspersed with numerous abuses committed against the civilian populations, notably when the war was of identity or political nature. This is also the case in number of modern conflicts. International law has however continued to strengthen in order to guarantee better protection to civilians against the effect of hostilities, notably by the signing of several conventions at the Hague and Geneva, which today constitute the basis of international humanitarian law. There is, therefore, a sharp contrast between the state of the law and the effective protection of civilians on the field. Why ? Refocusing on the analysis of modern conflicts, this work attempts to look for the cause in the development of soldier's references and in the way they influence their definition of the enemy and their conception of the role of civilians in war. It demonstrates how the evolution of the causes of conflict and the practices of soldiers in asymmetric and deconstructed conflicts tend to place more and more civilians at the heart of the war. This does not mean that international humanitarian law, adopted for the main part after the two World wars and during the seventies, is obsolete. On the contrary, its principal rules relative to the protection of the civilians are flexible enough to adapt to the challenges of modern conflicts, as long as the soldiers are willing to apply them and interpret them reasonably and honestly
8

Le droit à la santé mentale dans le cadre des conflits armés / The right to mental health in the framework of armed conflicts

Grădinariu, Laura 28 April 2012 (has links)
La thèse identifie les lacunes et les défauts de mise en œuvre des instruments juridiques internationaux applicables dans le contexte des conflits armés (les Conventions de Genève de 1949 et le Statut de la Cour Pénale Internationale) en ce qui concerne la question de la protection du droit à la sante mentale. Une solution pour une meilleure protection de ce droit est proposée, visant à amender les instruments juridiques internationaux en la matière par une nouvelle disposition qui incrimine distinctement les violations du droit à la sante mentale pendant la guerre. La recherche met en évidence la gravite des conséquences de la violation du droit à la sante mentale dans le cadre des conflits armés, en montrant le lien de causalité entre les traumas produits par ces conflits, l'apparition de troubles psychiques, la modification des standards de la normalité dans une collectivité et la prédisposition accrue à des comportements antisociaux. La thèse avance une hypothèse qui explique l'augmentation des taux de criminalité après la guerre par le rôle des traumas psychiques de la population suite aux conflits armes. / The thesis identifies the gaps and shortcomings regarding the implementation of international legal instruments applicable in the context of armed conflict (the Geneva Conventions of 1949 and the Statute of the International Criminal Court) in what concerns the protection of the right to mental health. A solution for a better protection of this right is proposed, consisting in amending the relevan international legal instruments with a distinct new provision criminalizing the violations of the rightto mental health during armed conflicts.The research highlights the serious consequences of violating the right to mental health during wartime, showing the causal link between the trauma produced by the conflict, the development of mental disorders, the changes of the "normality" standards of communities and the increased occurrence of antisocial behavior. The thesis proposes a hypothesis that explains the amplification of crime rates after the war by the influence of the psychological trauma suffered by the respective population as a consequence of armed conflict.
9

Extreme atrocity in armed conflict

Brzezinski, Marek 12 1900 (has links)
La violence en temps de guerre prend parfois des formes extrêmes. Non seulement les belligé-rants tuent fréquemment un grand nombre de civils, mais leurs atrocités vont parfois au-delà du seul meurtre pour inclure des actes de cruauté tels que la mutilation, le viol, la torture publique ou encore les abus des corps humains. Si des cas individuels de ce type de violence se produisent probablement dans presque tous les conflits et peuvent s’expliquer par la psychopathie, le sa-disme, ou un processus de « barbarisation » inhérent à la guerre, ni la psychologie individuelle ni les conditions propres à la lutte armée ne peuvent expliquer pourquoi l’ampleur de ce type d’actes spécifiques varie d’une organisation sociale à une autre. Dans certains groupes armés, les atrocités extrêmes demeurent des cas isolés. Dans d’autres, cependant, nombre de combattants font de telles pratiques une part intégrante de leur « répertoire de violence ». Comment expliquer cette variation ? Dans cette thèse, je propose une série d’arguments théoriques permettant d’expliquer, au moins en partie, pourquoi la violence en temps de guerre prend parfois la forme d’atrocités extrêmes. Je définis les « atrocités extrêmes » comme des actes de violence caractérisés par une cruauté manifeste et publique. Je soutiens que ces types d’actes émergent souvent dans un contexte de guerre irrégulière ; des conflits caractérisés par une impor-tante asymétrie des capacités militaires, l’utilisation de tactique de guérilla, et, par voie de consé-quence, un contrôle territorial hautement fragmenté. Dans ce contexte, je montre que les atrocités extrêmes découlent souvent de deux proces-sus alternatifs. Le premier processus implique un modèle de prise de décision « du haut vers le bas, » via lequel des dirigeants organisationnels adoptent des tactiques centrées sur la violence extrême à des fins stratégiques. L’objectif premier est souvent de dissuader les civils de collabo-rer avec l’ennemi dans les territoires contestés. Le deuxième processus implique l’émergence d’atrocités extrêmes en tant que « pratique de guerre ». Ici, les techniques de cruauté émergent au niveau des unités militaires, sans découler d’ordres venus d’en haut. Je soutiens qu’une telle émergence est plus probable dans les unités militaires présentant tant un niveau élevé de cohésion sociale qu’une faible discipline. Dans des conditions de guerre irrégulière, ces unités peuvent dé-velopper des normes informelles légitimant la violence extrême comme moyen de venger les pertes au combat. Ces arguments sont développés et testés dans ma thèse à l’aide d’une variété de matériaux empiriques disséminés dans trois articles qui ont été ou seront bientôt soumis pour publication. Le premier article (chapitre 2) définit le concept d’atrocité extrême et utilise des données venant de quatre guerres civiles pour vérifier la plausibilité d’une série d’explications tirées de la littérature sur la violence envers les civils. Le deuxième article (chapitre 3) analyse l’utilisation des décapita-tions par les groupes djihadistes. Je montre que seule une minorité de ces groupes utilise ce type de violence de manière récurrente et que la variation peut être expliquée par le contexte straté-gique dans lequel les organisations mènent leurs opérations et par la nature de leurs liens transna-tionaux. Le troisième article (chapitre 4) se concentre sur l’émergence des atrocités extrêmes en tant que « pratique » au sein des forces de sécurité étatiques, en utilisant l’exemple des mutila-tions commises par les soldats américains au cours de la guerre du Vietnam. Ce cas démontre spécifiquement comment les atrocités extrêmes peuvent se généraliser malgré leur interdiction au niveau du commandement. Enfin, le chapitre 5 montre que les idées théoriques développées dans mes articles ont une application plus large, en utilisant une base de données originale sur les atro-cités extrêmes perpétrées dans les guerres civiles entre 1980 et 2011. / Wartime violence sometimes takes particularly extreme forms. Not only do belligerents frequent-ly kill large numbers of civilians, but violent atrocities sometimes go beyond killing to include acts of overt cruelty such as mutilation, rape, public torture, and the abuse of human remains. While individual instances of such violence likely occur in almost all wars, and might be ex-plained by a certain prevalence of psychopathy or sadism among combatants, or by a process of “barbarization” inherent in war, neither individual psychology nor universal wartime conditions can explain why armed actors seem to vary in the extent to which they perpetrate such violence. In some armed groups, episodes of extreme atrocity remain isolated cases. In others, in contrast, large numbers of combatants appear to adopt such practices as an established part of their “reper-toire of violence.” What explains such variation? In this dissertation, I develop and test a series of explana-tions that help account for variation in the occurrence of “extreme atrocities” within and across conflicts. I define extreme atrocities as acts of physical violence characterized by the public dis-play of overt cruelty, and argue that the occurrence of such violence is closely connected to the context of irregular warfare, that is, of warfare characterized by pronounced asymmetry in mili-tary capabilities and fragmented territorial control. Within this context, I show that there are two common pathways towards extreme atrocity. The first involves a process of “top down” decision making, whereby organizational leaders adopt extreme forms of violence for strategic ends. Among the most important of these is the imperative to deter civilian collaboration with the ene-my in contested territories. Because of the terror they inspire, extreme atrocities can usefully serve this purpose, at least under certain conditions. A second pathway involves the “bottom up” emergence of extreme atrocities among rank-and-file combatants as an unordered “practice of war.” Such emergence, I argue, is more likely in military units with high levels of social cohesion but low levels of discipline. Under conditions of irregular warfare, such units can develop infor-mal norms that endorse extreme violence as a means of avenging combat losses. These arguments are developed and tested in my dissertation using a variety of different empirical material, most of which is presented in three articles that have been or are soon to be submitted for publication. The first article (Chapter 2) defines the concept of “extreme atrocity” and uses violence data from four civil wars to probe the plausibility of a series of explanations of such violence derived from the literature on civilian victimization. The second article (Chapter 3) further develops the idea that irregular warfare creates strategic incentives for the top-down adoption of extreme violence, focusing specifically on the use beheadings by jihadist groups. I show that variation in the use of beheadings among jihadist groups can be explained by a combi-nation of local strategic context and transnational ties. The third article (Chapter 4) focuses on the emergence of extreme atrocity as a “practice” among state security forces, using the example of mutilations perpetrated by American soldiers during the Vietnam war to show how extreme forms of violence can become widespread despite being unambiguously prohibited by military policy. Finally, Chapter 5 shows that the theoretical ideas developed in my articles have broader application. Using original data on extreme atrocities perpetrated in civil wars between 1980 and 2011, I show that the patterns in perpetration of such violence by state security forces and rebel groups are consistent with the theories of top-down adoption and bottom-up emergence of ex-treme atrocity described above. This thesis contributes to our understanding of wartime violence by explicitly theorizing a hitherto neglected dimension of violence, and developing and testing explanations that can ac-count for variation in its occurrence at multiple different levels.
10

Organisations internationales, démilitarisation de la vie politique et construction de la démocratie en Afrique de l’ouest (Côte d’Ivoire, Libéria, Sierra Léone) : 1990-2011 / International organizations, demilitarization of politics and democracy building in west Africa (Liberia, Côte d’Ivoire and Sierra Leone) : 1990-2011.

Kaboré, Daouda 03 January 2017 (has links)
Depuis 1990, l’Afrique de l’ouest connait une phase complexe dans sa sécurisation et dans la lutte contre les conflits armés. Constamment déstabilisés par des tentatives de coups d’Etat militaires, les pays de l’Afrique de l’ouest, notamment la Côte d’Ivoire, le Libéria et la Sierra Léone ont bénéficié d’une aide de la communauté internationale pour le règlement des sources de conflit et le redressement de leurs institutions dans le cadre d’une démocratisation globale des pays africains. Malgré cette ingérence dans les affaires internes des Etats, les stratégies adoptées par organisations internationales pour sortir la sous-région ouest africaine de l’instabilité et l’insécurité continuent de poser problèmes. Les Etats restent encore fragiles. Dans l’aide apportée, les différentes agences spécialisées des Nations unies construisent plutôt un ensemble de réseaux avec les organisations non gouvernementales internationales (ONGI) pour la gestion des conséquences des conflits armés. Ces ONGI, tout en participant à la stratégie globale de sortie de crise renforcent leur position au niveau national tout en s’ouvrant à de nouvelles missions d’assistance. Malgré les différentes dispositions prises par la CEDEAO, l’Organisation de l’Unité africaine et de l’Union africaine pour prévenir les conflits et trouver des mécanismes pour leurs gestions et leur règlement, les pays étudiés ne parviennent pas à consolider durablement la paix. Les Etats membres profitent du chaos généré, luttant plus pour leurs propres intérêts que ceux de la sécurité et le retour à la paix. Face à ce manque de cohérence dans les actions et aux limites des stratégies adoptées jusque-là, la résolution des conflits armés en Afrique de l’ouest continue de suscité interrogations, amenant à proposer une nouvelle approche de la résolution des crises armées en Afrique. Cette thèse vise donc à comprendre les stratégies des organisations internationales, leur efficacité et leur faiblesse dans le retour à la paix et le renforcement des institutions démocratiques. / Since 1990, the West African states face insecurity and the struggle for armed conflict resolution. They are mostly destabilized by military coup. International community support Côte d’Ivoire, Liberia and Sierra Leone in the research of conflict solutions and the building of democratic institutions in the African states. Instead of the interference of the international organization in the African’s internal affairs and the strategies adopted, the insecurity continues to be a real problem for the stability of the sub-region. The states continue to be fragile. According to the assistance of UNO specialized agencies, an international Non-Government Organization (INGO) network is built around the assistance activities, to support the consequences of the armed conflicts. The INGO make the most of the opportunities to reinforce their position in the state and to create others activities to improve their business. Despite all positions of ECOWAS, African unity organization, and African Union to prevent conflicts and to find mechanisms of the management and peaceful solution, the states are not able to build a long term peace. The member states make the most opportunity of the insecurity of the sub region. Theirs strategies are to protect their own interests instead of finding solutions for peace. This behavior and the incoherence in theirs peace-actions continue to be subjects of discussion. This makes think another approach of conflict resolution in Africa. My research is to analyze the strategies of the international organizations, their strength and their weakness in peacekeeping and the capacity-building of African democratic institutions.

Page generated in 0.06 seconds