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Entre chocs pétroliers et conflit israélo-arabe : la France et l’institutionnalisation de la politique proche-orientale de la Communauté Européenne : de la création de la Coopération Politique Européenne en 1969/70 à la déclaration de Venise de 1980 / Between oil price shocks and the arab-israeli conflict : France and the institutionalisation of a European Near-Eastern Policy : from the launching of European Political Cooperation in 1969/70 to the Venice declaration of 1980

Sattler, Verena 08 July 2015 (has links)
C’est avec le lancement de la Coopération Politique Européenne (CPE) en 1969/70 que les six États membres de la Communaute européenne (CE) ont tourné une page dans l’histoire de l’intégration européenne. À partir de cette date les membres de la CE se sont consultés sur des questions de politique étrangère afin d’harmoniser leurs vues et d’élaborer des positions communes. Dès le début la France avait le plus grand intérêt à mettre le Proche-Orient sur l’agenda des Six. Comme les deux chocs pétroliers de 1973/74 et de 1979 risquaient de peser lourd sur les relations euro-arabes, les autres États membres de la Communauté ont consenti en principe à développer une position commune envers le Proche-Orient. Ainsi une politique proche-orientale des Six, et àpartir de 1973 des Neuf, s’est institutionnalisée au cours des années 1970 qui était basée d’une part sur des déclarations communes sur la situation au Proche-Orient et d’autre part sur une coopération économique interrégionale plus étroite, notamment dans le cadre du dialogue euro-arabe. Sous la présidence de Georges Pompidou tout comme sous la présidence de Valéry Giscard d’Estaing la France a été le moteur dans le développement des relations euro-arabes des années 1970. Même si l’action française qui visait à faire adopter sa propre politique proche-orientale par ses partenaires européens n’était pas toujours couronnée de succès la déclaration commune du 6 novembre 1973 et surtout la déclaration commune de Venise du 13 juin 1980reflètent nettement position pro-palestinienne de la France. / By launching European Political Cooperation (EPC) in 1969/70 the six member states of the European Community (EC) openend a new chapter in the history of European Integration. Henceforward the six member states consulted each other in foreign policy issues in order to develop commun positions where possible. From the beginning France showed the greatest interest in putting the Middle East on the European agenda. As the two oil price shocks of 1973/74 and 1979 put a strain on the euro-arab relations the other member states of the EC supported the French request to develop a commun European Near-Eastern policy. Consequently, the 1970ies were marked by a process of institutionalisation of commun policy towards that region that was, on theone side, based on common European declarations, and, on the other side, on a more intense euro-arab cooperation in the field of economics, and this especially within the framework of the euro-arab dialogue. Both under the presidency of Georges Pompidou and under the presidency of Valéry Giscard d’Estaing France can be described as motor of the development and the extension of euro-arab relations. Even if the French diplomacy that tried to make her Near-Eastern policy a common European policy has not always been crowned with succes the common Brussels declaration of November 1973 and especially the common Venicedeclaration of June 1980 reflect clearly the pro-Palestinian stance of France.
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Les affrontements idéologiques nationalistes et stratégiques au Proche-Orient vus à travers le prisme de la Société des Nations et de l'Organisation des Nations Unies

Benfredj, Esther 12 1900 (has links)
L’effondrement et le démantèlement de l’Empire ottoman à la suite de la Première Guerre mondiale ont conduit les Grandes puissances européennes à opérer un partage territorial du Proche-Orient, légitimé par le système des mandats de la Société des Nations (SDN). Sans précédent, cette administration internationale marqua le point de départ de l’internationalisation de la question de la Palestine, dont le droit international allait servir de socle à une nouvelle forme de colonialisme. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l’Organisation des Nations Unies (ONU) continua l’action entreprise par la SDN en s’occupant également de cette question sur la demande des Britanniques. En novembre 1947, l’ONU décida du partage de la Palestine en deux Etats pour résoudre les conflits entre sionistes et nationalistes arabes. Si ce partage fut accepté par les sionistes, il fut rejeté par les Etats arabes voisins et de nombreux Arabes palestiniens. Les affrontements opposant nationalistes arabes et sionistes de Palestine laissèrent place au conflit israélo-arabe après la proclamation d’Indépendance de l’Etat d’Israël en mai 1948. Au commencement de la guerre froide, les Etats-Unis et l’URSS prirent conscience de l’intérêt géostratégique de cette région, progressivement désinvestie par la France et la Grande-Bretagne. Dans cette étude, nous verrons comment la scène interétatique et la communauté internationale, successivement composée de la SDN puis de l’ONU, ont en partie scellé le sort du Proche et Moyen-Orient. Nous consacrerons également une analyse au rôle joué par les idéologies nationalistes arabes et sionistes, qui tiennent une place centrale au sein de ce conflit. / The collapse and dismantling of the Ottoman Empire following World War I, led the great European powers to engage in a territorial division of the Middle East, legitimized by the mandates system of the League of Nations. Without any precedents, that international administration marked the beginning of the internationalization of Palestine’s thorny issue. The international law would serve as the pillar for a new form of colonialism. The day after World War II, the United Nations continued the action taken by the League of Nations, as well as for the demand of the British. In November 1947, the UN decided to divide Palestine into two States. If the Zionists had accepted that split, their neighbors, Arab States and Palestinian Arabs, would have rejected it. The clashes opposing the Arab Nationalists and the Palestine Zionists gave space to the Arab-Israeli conflict after the independence of Israel, on May 14, 1948. At the beginning of the Cold War, the United States and the Soviet Union became aware of the geo-strategic interest in this region, gradually divested by France and Great Britain. In this study, we will see how the interstate scene and the international community, successively composed by the League of Nations and the United Nations, have partially sealed the fate of the Near and the Middle East. We will also devote a preliminary analysis related to the role played by the Arabs and Zionists nationalist ideologies, which are central in this conflict.
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Colonies juives et mémoire sociale : vers une compréhension de l'appropriation du territoire

Boucher Boudreau, Geneviève 19 April 2018 (has links)
"La Guerre des Six Jours de juin 1967 changea véritablement le visage du Moyen-Orient ainsi que celui des territoires juif et palestinien. Une des conséquences de cette guerre fut notamment de permettre aux Israéliens de s'établir à Jérusalem-Est, auparavant territoire palestinien, marquant ainsi le début du mouvement des colonies juives en Cisjordanie. Suite à ces événements, comment expliquer et comprendre la légitimité que revendiquent les colons juifs pour occuper ces terres? En fait, comment le lien entre la mémoire sociale juive et l’identité nationale joue-t-il un rôle dans l’appropriation du territoire par la Communauté juive de Hébron après les accords d’Oslo de 1993? En utilisant l’approche intersubjective et herméneutique, ce mémoire répond à la problématique en utilisant les concepts de mémoire sociale et d’identité nationale. Nous observons, à travers une ethnographie exhaustive, que cette approche prend compte que sur un terrain aussi chargé politiquement, si marqué par un contexte de violence, il est impossible de prétendre ignorer les préjugés de chacun, et que par conséquent l'approche herméneutique s'impose. Cette approche nous aide à mettre en évidence l’importance de la terre, de la mémoire sociale et de la violence commise, transmise et vécue par ces colons juifs. La convergence de la mémoire sociale et de l’identité nationale nous permit de comprendre leur rôle au sein du plan d’appropriation du territoire. Le discours collectif sur l’importance de la terre et la légitimation des communautés juives d’Hébron et Kiryat Arba, en Cisjordanie, est donc transmis et défendu, et ce malgré leur illégalité selon la loi internationale concernant les territoires occupés."
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La résilience islamique au Liban: contribution à l'étude de l'évolution idéologique et structurelle du Hezbollah

Leroy, Didier 11 October 2010 (has links)
Depuis les attentats du 11 septembre 2001, le galvaudage intensif du concept d’« islamisme » par les sphères médiatiques et politiques a eu pour effet de catégoriser de manière simpliste et illusoire des phénomènes sociaux très différents de par le monde, dans le registre du terrorisme. Dans ce contexte, le Hezbollah libanais -pourtant chiite et farouchement opposé à Al-Qaïda- a acquis un statut particulier dans la mesure où le Secrétariat d’Etat américain l’a désigné comme la principale menace terroriste dès 2002. Nous proposons ici une recherche casuistique sur le « Parti de Dieu ». Etude longitudinale retraçant l’évolution de ce mouvement milicien devenu parti politique, notre travail vise à mieux cerner ce « fait social » et à situer celui-ci au sein du vaste spectre des islams politiques. Nous synthétisons ici les phases de maturation idéologique que celui-ci a connues depuis son émergence et retraçons l’évolution structurelle de ce parti politique avant tout caractérisé par son projet de « société résistante ». Chacun de ces deux volets (idéologique et structurel) laisse entrevoir les interactions bilatérales qui se sont créées, dans la diachronie, entre le religieux et le politique au sein du Hezbollah, mais illustre surtout la soumission polymorphe de l’un comme de l’autre à la cause inébranlable de la résistance face à Israël. L’élément fondamentalement nouveau que nous apportons à la littérature scientifique spécialisée est une grille d’interprétation du cheminement global d’une grande partie de la communauté chiite du Liban. Celle-ci a pour point de départ le concept -initialement psychologique- de « résilience », et propose la transposition de ce dernier dans le champ sociopolitique. L’analyse qui en découle met en perspective l’« idéologie résiliente » et la « structure résiliente » que le Hezbollah a progressivement développées dans une optique stratégique. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Sécurité et stabilité : quelles sont les conditions qui ont poussé l’Égypte, la Syrie et Israël à entrer en guerre en 1967?

Allenet-Moulin, Tiffany 04 1900 (has links)
Ce mémoire s’intéresse aux conditions qui ont mené à la guerre de six jours de 1967 au Moyen-Orient. Tout particulièrement, mon mémoire investiguera les dynamiques domestiques qui influent sur la prise de décision politique. L’hypothèse principale suppose que le mode de gestion de la société, choisi par le gouvernement au pouvoir, influe et contraint les options de politique étrangère disponibles à celui-ci. . Un régime peut recourir à deux modes de gestion de la société : l’exclusion et l’inclusion, à plusieurs degrés. En fonction du mode de gestion choisi, le gouvernement aura besoin de plus ou moins de ressources pour le mettre en place et pour le préserver. La quantité et la nature des ressources utilisées au niveau domestique contraindront les options de politique étrangère disponibles au régime Les guerres du Moyen-Orient, et la politique étrangère des pays de la région sont souvent interprétées selon des principes réalistes : la recherche du pouvoir et de sécurité guide la politique étrangère. Ce mémoire cherche à souligner l’importance de dynamiques domestiques sur le processus de prise de décision politique, mais également l’influence qu’a le conflit israélo-arabe sur la structure, le fonctionnement et la société des pays concernés. / This thesis looks at the conditions that led to the outbreak of the 1967 Six Day War in the Middle East. Specifically, my thesis investigates the domestic dynamics that influence the political decision-making process. The main hypothesis suggests that the type of societal management chosen by the government in power will influence and determine the foreign policy options available. A regime may choose between two types of societal management: exclusion and inclusion, which can be applied to greater or lesser degrees. Depending on the type of societal management chosen, the government will need more or less resources to implement and maintain it. The quantity and nature of resources used domestically will determine the foreign policy options available to the regime. In the Middle East, wars and foreign policy are often interpreted according to realist principles: the quest for power and safety are said to be the main determinants of foreign policy. This thesis seeks to highlight the importance of domestic dynamics in the process of political decision-making, but also the influence of the Arab-Israeli conflict on the structure, development and society in the countries involved.
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La FINUL et les conflits israélo-libanais (1978-2010) : enjeux et leçons d'une opération de maintien de la paix de l'Organisation des Nations Unies

Khoury Elsaifi, Salam 05 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire de maitrise porte sur la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL). Nous nous intéressons à la période qui va de 1978 à 2010. Cependant, nous ne pourrons négliger certains éléments importants relatifs à notre objet d'étude qui remontent aux années 1920. La FINUL est l'une des plus « anciennes » Opérations de maintien de la paix (OMP). Son mandat est défi ni par les résolutions 425 et 426 (en 1978) et redéfini par la résolution 1701 (en 2006) du Conseil de sécurité de l'Organisation des Nations Unies (ONU). Elle fut conçue initialement comme une OMP traditionnelle, reposant sur la « doctrine classique » des Nations Unies. La guerre qui opposa les forces israéliennes et le Hezbollah en juillet 2006, força l'ONU à repenser son action et à mettre en place la FINUL renforcée (FINUL II), témoignant ainsi de la volonté des Nations Unies de définir de nouvelles conditions d'engagement. Compte tenu de l'enchevêtrement des dimensions multiples de cette situation aux plans national, régional et international, nous ne pouvons étudier la FINUL uniquement en référence à son mandat au Liban-Sud. Aussi, nous nous sommes intéressés aux dimensions diverses de la crise, notamment aux rapports israélo-libanais, et israélo-arabes, dimensions centrales et importantes de la crise. Avec en toile de fond des questions touchant à la crédibilité des Nations Unies en matière de maintien de la paix. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : FINUL, FINUL II, Israël, Liban, OMP, ONU.

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