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La confrérie de la Sainte-Famille à Québec, 1663-1763

Cliche, Marie-Aimée 11 April 2018 (has links)
Le XVIIe siècle français connut un renouveau remarquable dans le domaine de la vie religieuse. Le rôle grandissant des laïcs à l'intérieur de l'Eglise, la place plus importante accordée aux femmes, la création de nombreuses associations de dévots comme la Compagnie au Saint-Sacrement et les congrégations de la Vierge en furent quelques-unes des principales manifestations. Cet essor religieux consécutif au Concile de Trente devait faire sentir ses effets jusqu'au Canada. Terre d’évangélisation, la Nouvelle-France attira l'attention des communautés missionnaires comme les jésuites, les sulpiciens, les ursulines. Les laïcs dévots de cette époque, hommes et femmes, fournirent généreusement des subsides pour seconder l'action des missionnaires. Dans la Société de Notre-Dame de Montréal, notamment, on compte au moins une vingtaine de membres de la Compagnie au Très-Saint-Sacrement de l'autel. De l'Ermitage de Caën où se rassemblaient à la fois des membres de cette compagnie et de la congrégation mariale, devaient sortir plusieurs dévots appelés à jouer un rôle important dans l'histoire religieuse de la colonie: François de Laval, Jean Dudouyt, Henri de Bernières, Louis Ango Des Maizerets. Pour des gens très pieux comme Mgr de Laval, les religieux missionnaires et les fondateurs de Montréal, le Canada représentait l'endroit idéal pour se sanctifier en supportant les privations imposées par la dureté du pays et en travaillant à la conversion des Indiens. Lors de la dissolution de la Société de Notre-Dame de Montréal, en 1663, les ex-membres de cette société, décidés à rester au Canada, manifestèrent le désir de fonder une nouvelle association de dévots dans le genre de celles qu'ils avaient connues en France. Barbe de Boullonge, femme de Louis d'Ailleboust (tous deux membres de la Société de Notre-Dame de Montréal) exposa cette idée à son confesseur, le jésuite Joseph-Marie-Pierre Chaumonot. En accord avec le père Gabriel Souart, sulpicien, Marguerite Bourgeois, Jeanne Mance et Judith Moreau de Brésoles, supérieure de l'Hôtel-Dieu de Ville-Marie, ils fondèrent une confrérie dédiée à la sainte Famille. Le choix de la sainte Famille pour patronner la nouvelle confrérie s'explique par le fait que les membres de la Société de Notre-Dame de Montréal lui avaient toujours manifesté une dévotion particulière. En 1632, Jérôme Le Royer de La Dauversière, l'un des membres fondateurs de la Société, avait fondé une confrérie de la Sainte-Famille à Laflèche. Dix ans plus tard, lors de la fondation de la Société de Notre-Dame de Montréal, c'est à la sainte Famille que la future ville fut dédiée. Les Montréalais répondirent si bien à l'appel au père Chaumonot, que lors au fameux tremblement de terre de 1663, tandis que tous les prédicateurs interprétaient le séisme comme un châtiment du Ciel, le père Chaumonot était le seul à rassurer ses ouailles en leur affirmant que "c'était le diable qui enrageait de ce que Dieu était bien servi". Pour assurer un succès durable à leur entreprise, le père Chaumonot et Mme d'Ailleboust demandèrent à Mgr de Laval de bien vouloir approuver leur projet de confrérie. Ce dernier, non seulement donna son approbation, mais il invita les deux innovateurs à venir fonder la même confrérie à Québec. C'est à la suite d'une collaboration étroite entre ces deux dévots de Montréal, le père Chaumonot de Mme d'Ailleboust, Mgr de Laval et un prêtre de son Séminaire, l'abbé Louis Ango Des Maizerets, que devait s'élaborer sous sa forme définitive la confrérie de la Sainte-Famille que Mgr de Laval érigea solennellement par son mandement au 14 mars 1664. Les règlements longs et détaillés rédigés par Mgr de Laval attestent l'importance qu'il attachait à cette confrérie. La lecture de son mandement et des autres écrits de M. Des Maizerets nous permet de reconstituer l'esprit de la confrérie de la Sainte-Famille et, d'une façon plus large, le climat religieux que l'évêque voulait faire régner en Nouvelle-France. Les registre s de la confrérie de la Sainte-Famille (et des confréries au Rosaire et au Scapulaire) nous aident à suivre et comparer l'évolution au recrutement des trois confréries depuis leur fondation jusqu'en 1760. Les témoignages des contemporains, enfin, nous éclairent sur les sentiments de la population envers la confrérie de la Sainte-Famille, l'influence qu'elle a pu exercer sur la société canadienne. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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L'Islam au Sénégal, le poids des confréries ou l'émiettement de l'autorité spirituelle. / Islam in Senegal, the weight of brotherhoods or crumbling of the spiritual authority

Wane, Birane 18 October 2010 (has links)
Résumé français manquant / Résumé en anglais manquant
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Enseignement religieux et éducation spirituelle à la zāwiya de Tamgroute à l’époque du soufi Muḥammad Ibn Nāṣir (m.1085 / 1674) / Religious education and spiritual education at the Zawiya of Tamgroute at the time of the Sufi Muḥammad Ibn Nāṣir (m.1085 / 1674)

Choukri, Ahmed 25 September 2012 (has links)
Depuis la création de la zawiya de Tamgroute au sud du Maroc en 1575 ‘Amrū Ibn Aḥmad Al-Anṣārī, ses premiers maîtres se sont rendus compte que pour assurer la continuité, la pérennité et la crédibilité de leur institution religieuse, il est indispensable de mettre en place une école pour l’enseignement et l’apprentissage des sciences religieuses (‘ilm). C’est dans cette optique qu’Aḥmad Ibn Ibrāhīm, qui était à la tête de la zawiya à partir de 1634 a tout de suite pensé à faire venir un savant et faqīh, du nom de Muḥammad Ibn Nāṣir afin d’assurer l’enseignement du ‘ilm et donner, ainsi, un nouvel élan à Tamgroute. Aujourd’hui encore, des étudiants « ṭolba » ou « msāfrīn » y affluèrent de différentes régions du Maroc pour apprendre la langue arabe, la littérature et le ‘ilm. Le choix de ce sujet est dicté par le peu d’intérêt porté par des recherches aux écrits qui traitent l’enseignement traditionnel au Maroc. Depuis l’époque du protectorat où a débuté l’intérêt à ce type d’enseignement, qui était d’ailleurs le seul connu, ces dites recherches étaient succinctes et ne traitaient que brièvement ce type d’enseignement dans la zone urbaine surtout et dans un de ses aspects seulement qu’est le msīd ou école coranique. Alors que cet enseignement n’est pas évoqué dans le milieu rural, comme à Tamgroute où il était d’une grande envergure. / Since the establishment of the Zawiya of Tamgroute in the south of Morocco in 1575 by ‘Amrū Ibn Aḥmad Al-Anṣārī, its first masters were aware of the importance of a school of religious sciences (‘ilm) in order to ensure the continuity and the credibility of their religious institution. Therefore, Aḥmad Ibn Ibrāhīm, who was at the helm of the zawiya starting from1634, recruited Muḥammad Ibn Nāṣir, a religious scholar and faqīh, to teach ‘ilm and give a new momentum toTamgroute. Even today, students, both ṭolba and msāfrīn, flock from the the four corners of Morocco to learn Arabic, literature and ‘ilm in Tamgroute.The limited scholarly interest in the literature of traditional education kindled my interest in this topic. Ever since the French Protectorate, during which interest in this type of education was started, scholarly works were very succint and their treatment of this type of education was very brief and mostly interested in urban areas. The msid or the Koranic school received much more attention. However, despite its large scale, traditional education in places like Tamgroute received scant attention.
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L'Islam au Sénégal, le poids des confréries ou l'émiettement de l'autorité spirituelle.

Wane, Birane 18 October 2010 (has links) (PDF)
Résumé français manquant
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Le changement de politique algérienne à l'égard des confréries religieuses musulmanes : de la persécution à la réhabilitation, le cas particulier de la confrérie 'Alawiyya, 1909-2009 / The change in Algerian policies toward Muslim religious brotherhoods : from persecution to rehabilitation, the case of the 'Alawiyya Brotherhood from 1909 to 2009

Khatir, Foad 27 June 2016 (has links)
Cette étude tente de démontrer la place des zâwiyas et plus particulièrement celle de la ‘Alawiyya dans l’Algérie contemporaine et leur rôle pendant la montée du nationalisme et la lutte de libération. Parler de la persécution et de la réhabilitation de la confrérie ‘Alawiyya (et d’autres) en Algérie durant la période contemporaine, nous amène à traiter des rapports de celle-ci avec : (1) L’administration coloniale : la confrérie était étroitement surveillée par les services de la police des renseignements généraux. La stratégie de la confrérie consistait à rester neutre autant que possible mais elle n’hésitait pas à défendre la préservation de l’identité arabo-musulmane. (2) Le mouvement du réformisme : avec la parution en 1926 de la revue ach-Chihab et l’Association des Oulémas Musulmans Algériens (AOMA) fondée le 5 mai 1931 avec à sa tête le Président Ibn Badis qui contribua à la montée du sentiment nationaliste algérien. (3) Les milieux nationalistes algériens : avec lesquels la confrérie ‘Alawiyya entretenait des relations étroites notamment sous la période du Parti du Peuple Algérien (PPA). Les événements du 8 mai 1945 à Sétif précipitèrent la préparation de la Révolution algérienne pendant laquelle le cheikh Mehdi Bentounes joua un rôle actif. (4) Les gouvernements algériens successifs : La confrérie ‘Alawiyya entendait lutter contre la nationalisation des biens habous. Le gouvernement Boumediene mena une vaste campagne de persécution contre le cheikh Mehdi Bentounes et procéda à son arrestation en 1970. La confrérie agissait dorénavant sur le terrain Européen avec le cheikh Khaled Bentounes qui procéda à la création de nombreux projets culturels et de jeunesse et à la reconnaissance de nombreux projets par les instances officielles nationales et internationales. Les persécutions finirent progressivement par marginaliser un courant religieux- soufisme qui était présent en Algérie depuis le début du millénaire. Il eut fallu l’avènement de la montée du fondamentalisme religieux qui aboutit à la guerre civile dite « les années noires » pour que le Gouvernement algérien procède à la réhabilitation des confréries religieuses en Algérie. / This study will attempt to demonstrate the status of zawiyyas, and in particular that of the 'Alawiyya in contemporary Algeria, and their role during the rise of nationalism and the liberation struggle. In our discussion of the persecution and rehabilitation of the 'Alawiyya Brotherhood (and others) in Algeria during the contemporary period we will deal with the links between the 'Alawiyya and: (1) The colonial administration: the Brotherhood was closely watched by the police and intelligence agencies. The strategy of the Brotherhood was to remain neutral insofar as possible, but it did not hesitate to defend the preservation of Arab-Muslim identity. (2) The reform movement, with the appearance in 1926 of the journal ach-Chihab and the Association of Muslim Algerian Ulemas (AOMA) founded the 5th of May 1931 with at its head President Ibn Badis, who contributed to the rise of Algerian nationalist sentiment. (3)Algerian nationalist groups, with which the 'Alawiyya Brotherhood maintained close relations, notably during the period of the Party of the Algerian People (PPA) founded in 1937 by Messali Hadj. The events of 8 May 1945 in Sétif triggered the preparation of the Algerian Revolution during which the Sheikh Mehdi Bentounes played an important role. (4) Successive Algerian governments: the 'Alawiyya Brotherhood decided to come out against the nationalization of « habous » holdings. The Boumedienne government carried out a vast campaign of persecution against Sheikh Mehdi Bentounes and had him arrested in 1970. From that time the Brotherhood became active in Europe with Sheikh Khaled Bentounes, who fostered the creation of numerous cultural and youth-oriented projects which enjoyed official recognition. These waves of persecution little by little marginalized a religious current -Sufism (tasawuf)- which had been present in Algeria from the beginning of the millennium, and which was part of an essential immaterial cultural heritage in Algeria. It took the arrival and the development of religious fundamentalism, resulting in the civil war known as the « Dark Years », for the Algerian government to promote the rehabilitation of the religious Brotherhoods in Algeria.
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Les Zaouïas Darqâwiyyas au Maroc : Zaouïa d’al-Basîr comme exemple / The Zaouïas Darqâwiyyas in Morocco : Zawiya al-Basir as an example

Bassir, Abdelmoghite 17 November 2015 (has links)
Cette thèse s’intitule : « Les Zaouïas Darqâwiyyas au Maroc ; Zaouïa d’al-Basîr comme exemple ». Elle présente une confrérie marocaine active basée sur une méthode d’éducation spirituelle d’origine Darqâwiyya. Cette Zaouïa joue un rôle important dans la société marocaine à plusieurs niveaux : le savoir et la culture religieux, le social et la politique, illustrant ainsi la pratique des anciens soufis. A travers les chapitres de cette thèse, je donnerai une vue d’ensemble sur l’histoire du soufisme marocain et des différentes étapes qu’il a franchies ainsi que les raisons de la permanence ou de la disparition de certains courants soufis. La Tariqa Darqâwiyya ainsi que son origine la Shâdhiliyya vont être abordées dans un second temps. Je présenterai la genèse de la tariqa Darqâwiyya ainsi que son fondateur le Shaykh Mulay al-‘Arabi al-Darqâwi. La Tariqa Darqawiyya a donné naissance à différentes voies soufies. Les modalités de son expansion en Orient et en Europe, ainsi que les principes employés dans l’éducation spirituelle seront abordés aussi. Enfin, je traiterai en détail un exemple vivant de l’enseignement issu de la Darqâwiyya : la «Zaouia Basîriyya», son origine, son fondateur le Shaykh Ibrâhîm al-Basîr et les caractéristiques de cette Tariqa. / This thesis is entitled "The Zaouïas Darqâwiyyas in Morocco; Zawiya al-Basir as an example." It has an active Moroccan Tariqa based on an original method Darqawiyya spiritual education. This Zaouïa plays an important role in Moroccan society on several levels: Knowledge and religious culture, social and political, reflecting the practice of early Sufis. Through the chapters of this thesis, I will give an overview on the history of Moroccan Sufism and the various stages it has crossed and the reasons of permanence or disappearance of some Sufi currents. Tariqa Darqawiyya as well as its origin the Shadhiliyya will be addressed in a second time. I will present the genesis of Darqawiyya tariqa and its founder Shaykh al-Arabi Mulay al-Darqawi. Tariqa Darqawiyya gave birth to various Sufi paths. The terms of its expansion in the East and in Europe, and the principles used in spiritual education will be addressed too. Finally, I will discuss in detail about "Zaouia Basîriyya", its origin, its founder, Shaykh Ibrahim al-Basir and characteristics of this Tariqa.
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Les « ibadou » du Sénégal. Logiques religieuses, logiques identitaires / The ‘‘Ibadou ’’ of Senegal. Religious logics, identical logics

Mané, Idrissa 19 December 2018 (has links)
Au Sénégal, l’essentiel de la population musulmane est affilié au soufisme. Quatre principales confréries soufi, dont la tajaniyya, la mouridiyya, la qadiriyya et la layiniyya, organisent la vie islamique et définissent, en partie, l’identité du musulman sénégalais. Mais, depuis la fin des années 1970, des sénégalais revendiquent d’autres façons d’être musulman hors du soufisme et de ces confréries tout en restant sunnites (il existe une petite minorité de chiites). Ils se constituent en associations et mouvements islamiques très dynamiques. Leur rigorisme les mène à catégoriser les croyances et pratiques d’islam au Sénégal en orthodoxes (les leurs) et hétérodoxes (celles des soufi). Ainsi, ils se coupent de toute filiation confrérique soufi, critiquent des croyances et pratiques soufi et affichent leur différence par des codes vestimentaires, des pratiques islamiques, des comportements sociaux, etc. Ces logiques religieuses et identitaires les font appeler d’abord « arabisants » (par opposition aux sortants de l’école français, européenne) puis « ibadou », en référence au nom choisi, pour leurs membres, par les fondateurs de l’association Jama’atou Ibadou Rahmane (JIR).Dans cette thèse, nous avons essayé de montrer en quoi les « ibadou du Sénégal » nous renseignent sur les croyances et pratiques actuelles d’islam puis en quoi ils rendent compte des crises de l’islam dans ce contexte de globalisation marqué, depuis le 11 septembre 2001, par la médiatisation de l’islamisme radical et du terrorisme. / This doctoral dissertation investigates, and aims at highlighting, the ways in which the «ibadou of Senegal» account for the current Islamic practices and beliefs in Senegal and how they cope with the predicaments of Islam in the context of a globalizing world, mainstreamed ideas of radical Islam and terrorism, of which 11th of September 2001 has been a historical landmark. In Senegal, the majority of the Muslim population is affiliated to Sufism. Four main Sufi groups, namely the tajaniyya, the mouridiyya, the qadirriya and the layiniyya, organize the Islamic life and define the identity of the Muslim population in the country. However, since the late 1970s, some Senegalese people pursued other ways of practicing their religion, outside of Sufism while remaining Sunnis (with a minority of Chia Muslims). They organize themselves in communities with highly dynamic Islamic movements. Their religious rigorism mas made them categorize their Islamic faith and practices as Orthodox, and that of others as Heterodox (The Sufi Muslims). Furthermore, with an outright different dress code, they segregate themselves from the Sufi group by criticizing their beliefs and practices and promoting Islamic practices and social conduct of their own. They were, first, called “Arabist” by training and by their very religious and identity logics, (in opposition to those affiliated with the French schooling system) then now are known as « ibadou », in reference to Jama’atou Ibadou Rahmane, a name chosen for the members, but by the founders, of the Association.
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(Intorno a) Leonardo Corona (1552-1596) : documenti, fonti e indagini storico-contestuali / (Autour de) Leornardo Corona (1552-1596) : documents, sources et recherches historiques et contextuelles

Sapienza, Valentina 06 July 2011 (has links)
Malgré son indéniable talent, le peintre vénitien Leonardo Corona est négligé : la seule étude systématique qui lui ait été consacrée remonte à une quarantaine d’années (E. Manzato, « Leonardo Corona da Murano », Arte veneta, XXIV, 1970, p. 128-150). Grâce aux nombreux documents inédits que nous avons découverts dans les archives vénitiennes, nous sommes parvenue à reconstituer au moins en partie sa « vraie vie », fixant la date de mort de Corona à 1596.L’exploration des fonds d’archives nous a permis également de mettre en lumière l’une des caractéristiques les plus fascinantes des chantiers vénitiens de la fin du XVIe siècle : leur « esprit choral », les intervenants étant toujours très nombreux, tant du côté des commanditaires que du côté des artistes. Dans ce travail, nous nous sommes intéressée tout particulièrement à quatre chantiers (les églises de San Zulian, Santo Stefano, Santa Maria Formosa et San Bartolomeo), à fin de reconstituer le contexte historique et social de chacun d’entre eux / Despite his undeniable talent, the Venetian painter Leonardo Corona, has been strongly neglected in recent studies: the only contribution dedicated to him goes back to forty years ago (E. Manzato, “Leonardo Corona da Murano”, Arte veneta, XXIV, 1970, pp. 128-150). Thanks to numerous unknown and unpublished documents discovered in Venetian archives, it was possible to reconstruct the ‘real life’ of Corona, died in 1596.After long and exthensive archival researches it was possible, as well, to highlight one of the most fascinating aspect in Venetian ‘cantieri’ at the end of Sixteenth century: the choral spirit which involved a variety of patrons and artists in several artistic adventures. The research focused on four main Venetian ‘Cantieri’ (the Church of San Zulian, Santo Stefano, Santa Maria Formosa and San Bartolomeo). The intent was to reconstruct the social and historical context that charaterized each of them / Nonostante l’innegabile talento, il pittore veneziano Leonardo Corona è stato fortemente trascurato dalla storia degli studi: l’unico contributo a lui dedicato risale ormai a una quarantina d’anni fa ((E. Manzato, “Leonardo Corona da Murano”, Arte veneta, XXIV, 1970, pp. 128-150). Grazie a numerosi documenti inediti ritrovati negli archivi veneziani, è stato possibile ricostruire almeno in parte la “vera vita” di Corona, morto in realtà nel 1596. L’esplorazione dei fondi d’archivio ha permesso ugualmente di far luce su uno degli aspetti più affascinanti di cantieri veneziani della fine del XVI secolo: lo spirito corale, che vuole coinvolti una molteplicità di attori, tanto fra i committenti che fra gli artisti chiamati ad intervenire. In lavoro si è concentarto su quattro cantieri veneziani (le chiese di San Zulian, Santo Stefano, Santa Maria Formosa e San Bartolomeo), con l’obiettivo di ricostruire il contesto storico-sociale caratteristico di ciascuno di essi
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La confrérie des Dames de la Sainte-Famille de la paroisse Notre-Dame de Montréal (1724-1760) : un lieu élitaire au féminin ?

Bergeron, Evelyne 12 1900 (has links)
Les historiens ont eu tendance à effacer les femmes de leurs écrits lorsqu’il était question des élites de la Nouvelle-France ; ce concept a longtemps été associé au monde masculin. Le choix d’exclure la gent féminine n’est pas surprenant lorsque l’on sait que les définitions rattachées à l’élite proviennent principalement de la profession, ainsi que de la place occupée par les gens dans les institutions ou dans les structures de pouvoir. À cette époque, la majorité des femmes n’occupaient aucune fonction décisionnelle ; elles étaient maintenues, ‘’grâce’’ au patriarcat, dans la sphère domestique. Malgré ces constats, ce mémoire s’intéresse tout de même à la pertinence d’une définition de l’élite au féminin. Nous essayons donc de démontrer que les femmes en Nouvelle-France avaient aussi des lieux de rassemblement élitaire. Pour y parvenir, nous étudions le parcours des principales officières de la confrérie des Dames de la Sainte-Famille (Montréal) entre 1724 et 1760. Afin de connaître leur statut socio-économique, ce mémoire s’emploie à relever divers éléments caractéristiques : statut socio-professionnel de leur père et de leurs maris, les montants des douaires et des préciputs dans leurs contrats de mariage, l’âge au premier mariage, le nombre de naissances ainsi que la mortalité infantile. Ces divers indicateurs révèlent que la majorité de ces dames provenaient effectivement d’un milieu élitaire. Pour consolider cette conclusion, ce mémoire analyse ensuite le comportement de ces femmes en lien avec une des caractéristiques propres aux élites soit le réseautage. Il s’intéresse particulièrement à la pratique du marrainage ; qui sont les parrains et marraines des officières, qui sont les marraines de leurs enfants et de qui elles sont les marraines. Cette dernière partie du mémoire vient à son tour confirmer la dimension élitaire des officières de la Sainte-Famille. / When it was about of New France's elitism, historians have tended to erase the women from their writings; this concept has long been associated with the male world. The decision to exclude the feminine gent is not surprising when we know that the definitions attached to the elitism, primarily come from the profession as well as the places of people in the institutions or in the structures of power. At that time, most of women haven't held a decisional function; they were maintained, ''thanks'' to patriarchy in the domestic sphere. Despite these findings, the memory is still interested in the relevance of a feminine elite definition. So, we try to show that women in New France also had elite gathering places. To achieve this, we study the journey of the main Officers of the Holy Family Ladies’s brotherhood (Montreal) between 1724 and 1760. In order to know their socio-economic status, this memory is used to know some characteristic elements: the socio-professional status of their fathers and husbands, the amounts of dowries and préciputs in their marriage contracts, the age at first marriage, the births and the infant mortality. These varied indicators show that actually the majority of these ladies came from an elitist environment. To consolidate this conclusion, the memory analyzes the behavior of these women in connection with the distinct characteristic of elites : the networking. Networking is particularly interested in the practice of godmothering ; who are the Officers' sponsors, who are the godmother of their children and from whom are they the godmothers. This last part of memory come to confirm the elitist dimension of Officers of the Holy Family.
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Articulation de l'éducation coranique et de l'économie sociale et solidaire au Sénégal / Articulation of koranic education and social economy in Senegal

Kane, Mouhamadou Fadil 01 December 2014 (has links)
Cette thèse a pour objectif d'analyser l'impact des daaras ou écoles coraniques dans le développement de l'économie sociale et solidaire au Sénégal. Elle examine la problématique d'adaptation de leurs sortants dans le milieu professionnel et les politiques éducatives actuelles de l'état. Nos travaux de recherche ont essentiellement porté sur le rapport de la dynamique économique et l'offre de formation des jeunes dans un système éducatif dual (écoles française et daaras). Il s'agit d'une étude méticuleuse conjuguée à la prise en compte effective des réalités socioéducatives et socioéconomiques et la demande locale. / The objective of this thesis is to analyze the impact of Koranic schools or "daaras" in the social and solidary economy development in Senegal. It examines the problematic of the adaptability of their outgoing in the professional community and the current educational policies of Senegal. Our research focused essentially on the relationships of the economic dynamics and the offered formation to the youth in a dual educative system (French and Koranic schools). This is a meticulous study combined with the effective taking into account of socio-economic and socio-educational reality and the local needs.

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