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L'être humain atopique. Implications éthiques de l'écologie

Voisine, Jimmy 20 December 2021 (has links)
Cette recherche a pour objectif d'éclairer au plan éthique la crise écologique anthropogénique actuelle. Celle-ci peut être définie comme la diminution de la capacité de la Terre à fournir un habitat aux êtres vivants et qui découle des activités ou perturbations écologiques humaines. Cette crise se manifeste notamment par une perte d'habitats à grande échelle, une diminution vertigineuse des populations de nombreuses espèces d'êtres vivants et un taux d'extinction exceptionnel à l'échelle des temps géologiques. Cette réflexion est orientée sur trois axes. Dans un premier temps, un cadre conceptuel s'appuyant sur le concept de culture sera développé pour mettre en évidence la spécificité de l'action écologique humaine. Dans un contexte de changement de paradigme en écologie, cet enjeu de la spécificité écologique humaine a des implications pour l'éthique de l'environnement. La culture comme mode de détermination principal du comportement humain sera analysée comme produisant une instabilité fondamentale dans les rapports de coévolution qui structurent les écosystèmes. Faute de pouvoir analyser en détail l'ensemble des perturbations écologiques multiformes engendrées par Homo sapiens, les implications écologiques de l'exploitation et de la production délibérée de biomasse pour l'alimentation constitueront un fil conducteur pour l'ensemble de cette réflexion. Le second axe de cette recherche concernera la réflexion en éthique de l'environnement par rapport à la crise écologique. Il s'agira d'abord de voir si cette crise écologique constitue bel et bien un problème moral. Ensuite, trois familles de discours en éthique de l'environnement seront analysées de manière critique par rapport à leur pouvoir explicatif respectif quant au problème de la crise écologique. L'anthropocentrisme, le biocentrisme tel que formulé par Paul Taylor, et l'écocentrisme formalisé par J. B. Callicott seront tour à tour considérés. Chacune de ces formulations possédant des implications problématiques, des éléments de réinterprétation de l'écocentrisme seront proposés en s'appuyant sur les acquis de la science écologique afin de fournir de meilleures assises conceptuelles pour faire face à cette crise écologique. La troisième partie de cette recherche portera cette réflexion sur le terrain du politique. D'une part, les intérêts du vivant non-humain et ceux de l'être humain semblent s'opposer dans bien des cas, et d'autre part la relation entre une société et son environnement est aussi influencée par les rapports de pouvoir en son sein et par rapport à d'autres organisations du même ordre. Cette partie visera à réfléchir aux conditions d'organisation sociale qui pourraient favoriser une cohabitation entre l'être humain et le vivant non-humain dans le but de contribuer à l'enraiement de la crise écologique actuelle, tout en maintenant autant que faire se peut une haute qualité de vie pour le premier. Pour ce faire, le rapport à l'espace, tant des êtres humains que du vivant non-humain, sera analysé, entre autres à travers la perspective de la théorie de la biogéographie insulaire. Les implications de cette perspective pour les sociétés humaines seront développées, ce qui permettra en dernier lieu de réfléchir à la façon dont l'être humain conçoit son avenir et sa place sur Terre. / The goal of this inquiry is to shed some light from an ethical point of view on the ongoing anthropogenic ecological crisis. This phenomenon can be defined as the diminishing ability of Earth's habitat, through human ecological disturbance, to supply adequate conditions for living beings. This crisis is manifested through massive habitat fragmentation and loss, dwindling populations of many living beings, and outright extinctions, whose rate now seems to be many times higher than in the geological past. This inquiry is three-pronged. First, a conceptual framework developed around the notion of culture will enable a better understanding of the human being's ecological specificity. As there has been a paradigm shift in ecology in the last decades, the status of the human ecological disturbance has implications for environmental ethics. Culture as the main behavioral determination mechanism in humans will be analysed as producing a fundamentally unstable relationship with coevolutionary processes structuring ecosystems. Human disturbances have many forms, and all could not be properly analysed in the research. This research will thus narrow focus on human exploitation and production of biomass as food and other resources. The second part of this inquiry will analyse the current crisis through the lens of environmental ethics. We will first try to see if this crisis is actually a moral problem. Then, the explanatory power of three common theoretical outlooks in environmental ethics (anthropocentrism, Paul Taylors's biocentrism and the ecocentrism of Leopold and Callicott) will be considered with regard to the current crisis. Because these three outlooks all have problematic implications, elements for a reinterpretation of ecocentrism resting on the recent developments of ecology will be put forward in order to supply a better ethical framework to think this crisis. The third part of this inquiry will bring these issues in environmental ethics in the political realm. On the one hand, human and non-human interest often seems to oppose each other, and, on the other hand, the way a relationship between a society and its ecological background is shaped is also influenced by political power struggle within society and with similar organizations. This last part will focus on how societies could further cohabitation between humans and non-humans in order to halt the anthropogenic ecological crisis, while maintaining as far as possible high standards of quality of life for humans. In order to achieve this, the way human and non-human living beings occupy space will be analysed, mainly through the lens of the theory of island biogeography in ecology. The implications of this theoretical outlook for human societies will be developed, which will enable in the last stretch of this inquiry a reflection on the place of Man on Earth and its future.
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Penser la crise écologique à partir de Nietzsche

Boulanger-Côté, Francis 20 December 2021 (has links)
Pour Nietzsche, le déclin de la croyance en Dieu est le symptôme du déclin de la croyance au suprasensible, laquelle a modelé plus de deux milles ans d'histoire occidentale. Puisque nous avions jusqu'alors justifié la façon dont nous menions nos vies sur le fondement de cette croyance, la mort de Dieu sera désignée par Nietzsche comme étant l'événement inaugural d'une crise culturelle sans précédent. Toute sa philosophie vise ainsi à préparer une nouvelle institution de valeurs qui puisse surmonter cette crise. Puisque la prise de conscience de l'importance des changements climatiques annoncés rend difficile de justifier nos modes de vie, la crise environnementale peut et doit être comprise comme une crise culturelle de l'ordre de celle identifiée par Nietzsche. Cependant, tandis que le philosophe prévenait son époque de l'effondrement d'un monde, le monde platonico-chrétien, la crise environnementale, quant à elle, renvoie plutôt à la fin du monde, de tous les mondes possibles. Parce qu'elle remet en question notre façon d'habiter la planète, la menace d'une crise environnementale initie, plus profondément, une crise écologique. Le premier chapitre du présent mémoire cherche à démasquer la croyance au suprasensible derrière l'institution responsable de la destruction massive de notre environnement, le technocapitalisme. Le second chapitre, quant à lui, identifie la distinction sujet-objet comme ce qui structure ultimement notre relation à la nature. Le dernier chapitre montre enfin comment la pensée du surhomme ouvre notre relation avec la nature entre deux possibilités opposées, parce qu'elle pourrait à la fois rendre le problème plus aigu et mener à un renouvèlement de notre relation avec la nature. En guise d'ouverture conclusive, nous pointons vers ce qui commence à être pensé chez Heidegger avec le Dasein comme étant une radicalisation de la pensée nietzschéenne du surhomme qui puisse dépasser la crise écologique dans la mesure où elle prépare une relation libre à la technique. / For Nietzsche, the decline of the belief in God is a symptom of a decline in the belief in any supra-sensible principle, a belief which had guided western history for more than two millennia. Because we had been, until then, justifying our ways of life on the basis of this belief, Nietzsche designates the death of God as the inaugural event of an unprecedented cultural crisis. Therefore, his philosophy sought to prepare a new institution of values in order to overcome this crisis. Since the severity of the predicted climate changes makes it difficult to justify our lifestyles, the environmental crisis can and must be understood as a cultural crisis of the same order of magnitude as the one identified by Nietzsche, if not greater. Indeed, while Nietzsche warned his epoch of the collapse of a world, the Platonic-Christian world, the environmental crisis, meanwhile, rather refers to the end of the world, of all possible worlds. Because it calls into question the way we inhabit our planet, the environmental crisis is, more profoundly, an ecological crisis. The first chapter of this master's thesis seeks to retrace the belief in a supra-sensible world behind the institution responsible for the massive destruction of the environment: technocapitalism. The second chapter then identifies the subject-object dichotomy as that which ultimately structures our relationship with nature. The last chapter finally shows that Nietzsche's thought of the overman opens the discourse between two opposite possibilities, because it could as much contribute to making the problem more acute as it could lead a renewal of our relationship with nature. The closing discussion points towards what Heidegger begins to think with the Dasein as a keener thought of the overhuman, which could overcome the ecological crisis if it manages to achieve a free relationship with technology.
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Les domaines privés : un marché pour habiter le monde contre la nature : la persistance des modes consuméristes d'habiter l'espace en contexte de crise écologique, ou, Le crédit à la démesure de l'agir pour soi

Vézina, Alain 07 1900 (has links) (PDF)
À peine sommes-nous sortis de l'histoire subie pour découvrir avec la modernité l'histoire conçue, que celle-ci prend une voie tout aussi imposante, celle d'une économie posée en extériorité sur le monde, recouvrant l'invention politique de sa dynamique de la neutralité d'une découverte. La modernité en devient opportuniste et marchande. Dès l'origine puis pour sa systématisation, encore persistante, le capitalisme a pu compter sur le cadre de la nation pour se déployer et sortir l'économie de son localisme, posant la frontière politique de ce qui est une importation ou une exportation. Initialement, sous l'angle de l'échelle territoriale, le cadre politique légitime est alors plus vaste que le cadre entretenu par les échanges. Les sciences sociales naissent de ce contexte, celui où un État-nation s'efforce de réguler et d'aménager la modernisation et la productivité du capitalisme. Se faisant, science et production s'entendent sur le devoir d'approvisionner un socio-territoire, pour générer et redistribuer à cette échelle les ressources prélevées ou produites au sein de ce que le système terrestre a très antérieurement organisé comme des bio-territoires. Les socio-territoires se surimposent aux bio-territoires alors que les échelles d'échanges de leur métabolisme respectif ne se correspondent pas. La conception et l'organisation du système social se font dans l'isolement de ses déterminations naturelles, considérées pérennes, stables, voire unilatéralement améliorables par l'industrie. Se compose politiquement une large alliance sociale sur la productivité du capitalisme. Cette alliance en est la bénéficiaire alors que se conserve la contrainte de disposer de cette productivité débordante au regard des paramètres antérieurs. Puis, à leur tour, les socio-territoires économiques surpassent en étendue les socio-territoires politiques, accentuant en pratique l'inattention aux bio-territoires. Ce productivisme, fait système, a bénéficié d'importantes conditions favorables; des terres peu habitées, des biocapacités sédimentées et enrichies pendant des dizaines de millénaires et des énergies fossiles d'une densité et d'une flexibilité considérable, abondante et presque gratuite, toutes conditions offertes à l'opportunisme marchand. Il y avait dans les bio-territoires des stocks accumulés que l'organisation des socio-territoires s'est alloué de redisposer. En presque chacune de ses formes, ces conditions disparaissent et les stocks bioproductifs montrent maintenant de redoutables signes d'épuisement alors que nous avons amené le système terrestre au bord d'un déséquilibre global. Ce mémoire refait théoriquement le parcours du processus dynamique qui nous a conduits à l'illusion historique commune amenant à une certaine organisation des socio-territoires qui, par delà certaines mitigations dominées par des arbitrages industrialistes et avec tout le poids des vastes inerties résultantes, cette organisation a été rendue concrète à distance d'un juste rapport aux bio-territoires, c'est-à-dire en sous-estimant l'exigence posée par la reproduction des métabolismes territoriaux. Nous tentons, aussi, de poser les jalons essentiels à la réduction de ces écarts et où s'entremêlent politiques globales et politiques locales. Nous révélerons que ces dernières recèlent un champ d'interventions publiques et d'investissement social légitime grandement sous-estimé, compte tenu de la grandeur des défis écologiques et de la célérité scientifiquement reconnue et requise pour les relever. Ce nouveau localisme relatif importe comme espace politique articulant un cadre de responsabilisation quant à la part publique de nos affaires et initiatives privées et comme régime d'évolution collective des normes et des intérêts. Ce qui peut s'interpréter comme la recherche, devenue urgence, des innovations et des performances systémiques qui font les sociétés résilientes, revalorisant les dimensions concrètes et vécues façonnant l'être là, c'est-à-dire le polymorphisme de la présence et de l'attention comme compétences individuelles et institutionnelles dans les formes d'habiter. ______________________________________________________________________________
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Quels droits à un environnement sain? : le problème de la justice inter-générationnelle

Desbiens-Lamarre, Charles 03 1900 (has links) (PDF)
Le but de ce mémoire est de démontrer que la dégradation environnementale causera des nuisances aux générations futures en affectant leur capacité à satisfaire leurs intérêts fondamentaux, et que nous devrions avoir l'obligation légale d'y mettre fin. La prémisse de départ est que nous ne pouvons faire cesser la cause de ces nuisances qu'en adoptant une série de solutions s'inscrivant dans un modèle économique soutenable. Or nous croyons que ces solutions ne seront pas implantées par la volonté populaire actuelle, car la génération d'aujourd'hui n'aura pas la motivation de les adopter. De plus, trop peu de personnes modifieront leur mode de vie de manière volontaire et individuelle, car l'intérêt d'adopter la soutenabilité ne devient évident que si tout le monde l'adopte. Il y a donc un problème de motivation doublé d'un problème d'action collective. Nous croyons que pour régler ces problèmes, nous devons utiliser des mesures contraignantes. Il faut donc utiliser le pouvoir de contrainte de l'État. Cependant, les politiques de la plupart des États sont implantées selon le principe majoritaire. Nous devons donc défendre les intérêts des générations futures au sein des démocraties, mais très peu de mécanismes sont en place pour permettre une telle défense. Il est cependant possible de proposer des modèles de représentation politique des générations futures, mais aucun n'a la capacité de contourner le principe majoritaire. C'est pourquoi nous proposons de représenter juridiquement les générations futures, puisque ce type de représentation, par l'importance qu'il donne au langage des droits, mais aussi parce qu'il est un peu moins soumis aux dictats de la majorité, apparaît comme le mécanisme le plus important dans la lutte contre la « tyrannie du présent ». Par contre, la représentation juridique des générations futures dépend de la reconnaissance de droits fondamentaux à ces dernières. Il faudrait donc réussir à démontrer que ces personnes peuvent être reconnues comme sujet de droit, malgré le fait qu'elles n'existent pas, que les conséquences des nuisances n'ont pas lieu aujourd'hui, et qu'il est impossible de prouver que ces nuisances empireront leur sort. Pour régler ces problèmes, nous utiliserons le concept de droits conditionnels, de risques déraisonnables et de nuisances objectives. La conclusion est que les générations futures existeront, qu'elles auront des droits, et que nous pouvons aujourd'hui défendre ces droits conditionnels à leur future existence en vertu du fait que nous leur faisons courir des risques déraisonnables de subir des nuisances objectives. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Générations futures, droits, justice inter-générationnelle, environnement, intérêts fondamentaux, Écolocauste, tyrannie du présent.
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La dimension apocalyptique de l'écologisme : Al Gore et la crise de l'environnement

Blanchet-Gravel, Jérôme 24 April 2018 (has links)
Dans un article publié en 1982, Danièle Hervieu-Léger établissait un rapprochement significatif entre l’idéologie apocalyptique née dans l’Antiquité avec l’apparition de la pensée juive et l’idéologie écologiste née dans les années 1970 en réaction à la crise environne-mentale. Selon cette auteure, il existerait une affinité élective entre l’idéologie apocalyptique religieuse, judéo-chrétienne, et l’idéologie apocalyptique sécularisée incorporée à l’idéologie écologiste. Bien plus qu’à un simple « catastrophisme » ambiant, l’idéologie écologiste obéirait donc à des schémas eschatologiques issus de l’imaginaire religieux occidental. Nous avons voulu vérifier si cette piste d’analyse était encore féconde. Pour ce faire, nous avons d’abord construit un idéal-type de l’idéologie apocalyptique nous permettant d’identifier les similitudes, mais aussi les différences fondamentales distinguant l’idéologie apocalyptique religieuse de l’idéologie apocalyptique sécularisée. En nous basant sur la littérature spécialisée, nous avons découvert que les quatre caractéristiques centrales de cet idéal-type peuvent être : (1) l’idée de la fin du monde imminente, (2) la croyance en la détermination suprahumaine de l’histoire, (3) la conviction de l’urgence d’agir et (4) la division du monde en deux camps opposés (les bons et les mauvais). Ensuite, pour vérifier la présence cette hypothétique « apocalypse verte » dans l’imaginaire collectif, nous avons choisi un échantillon de la pensée écologiste nous permettant de noter l’influence de l’idéologie apocalyptique. Nous avons enfin procédé à une analyse de contenu de la dernière version du bestseller écologiste Earth in the balance d’Al Gore, initialement paru en 1993 et réédité en français en 2007 sous le titre d’Urgence Planète Terre. Mots-clés : écologisme, apocalypse, idéologie, religion séculière, environnement.
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Agriculture éco-spirituelle pour un développement durable en Afrique à l'ère de la crise écologique : le projet agro-pastoral "Songhaï" du Bénin / Eco-spiritual agriculture for Africa’s sustainable development in the era of ecological crisis : the agricultural and pastoral project “Songhai” of Benin Republic

Mekpo, Goh Damien 07 November 2014 (has links)
Une agriculture éco-spirituelle peut-elle développer l’Afrique en cette ère de crise écologique ? Telle est la question à laquelle cette thèse répond à travers l’étude d’un projet de développement dont l’objectif est d’être pour le Bénin, un «vivier» de développement socio-économique, à partir de l’homme dont le profil est celui d’un «entrepreneur de type nouveau», «moralement équipé» et doté d’un important capital humain. Ce type d’homme est à «monter» de toutes les pièces du «savoir-être», du «savoir-faire» et du «savoir tout court» par une formation pratico-pratique, suivant le double principe pédagogique : «Apprends en faisant» et «Utilise ce que tu as pour avoir ce que tu veux». Apprendre à faire quoi ? Faire de l’agriculture un levier du décollage économique. Une agriculture écologique et entrepreneuriale, dont la méthode de production et de gestion, met en synergie la culture, l'élevage et la pisciculture d'une part, la production, la transformation et la commercialisation d’autre part et enfin, le social, l’économique et l’écologique, le tout dans une perspective plutôt théocentrique que cosmocentrique ou anthropocentrique. / Can eco-spiritual agriculture develop Africa in this era of ecological crisis ? This present thesis tries to answer the above question through the study of Songhaï development Project whose objective is to be for Benin Republic a breeding ground for socio-economic development from the man which profile is “a new type of entrepreneur”, “morally equipped” endowed with an important human resources. This type of man is to be fully assembled with the “behavioural skills”, the “know-how”, and simply the “knowledge” by an in-depth practical training based on the double pedagogical principle : “Learn by doing” and “Use what you have to get what you need”. Learning to do what ? Transforming agriculture into the gear lever of economic progress. An ecological and entrepreneurial agriculture of which the productive and management methods take into account culture, breeding and fish farming in one hand, and production, transformation and marketing on the other, and finally its spiritual, social and economical dimensions.
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Condamnation et procession : la migration d'une pensée anthropocentrique

Bourbeau, Charles 21 April 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 11 avril 2023) / Ce mémoire reflète mon parcours des dernières années qui a abouti à la présentation de l'exposition À travers les sempiternelles déplorations. Ce projet de création se développe autour d'une reprise du récit du chemin de croix de la tradition chrétienne : la Passion du Christ. J'ai décidé de le déployer en 2 parties distinctes, mais également liées. La première est une série de 14 tableaux de paysages désertiques, montagneux et rocailleux où l'action est en attente ou, à l'inverse, déjà passée. La contemplation du vide et l'absence du vivant priment sur l'analyse symbolique d'une action ou alors d'une dimension grandiose que l'on retrouve souvent dans les peintures de paysages. C'est une vision apocalyptique d'un territoire en désolation, appauvri et inquiétant; un territoire qui serait en dormance. Cet ensemble de tableaux forme un corpus pictural dont la cohésion tient à l'absence de personnages et au côté désertique. De cet ensemble se dégage une certaine ambiance d'interrelation et d'anticipation qui annonce l'orientation de ces tableaux, sous forme d'arrière-plans, dans un récit vidéographique qui met en scène la procession de la condamnation. On retrouve dans la vidéo 14 stations qui mettent en scène différentes actions durant la mise à mort d'un condamné. Ce texte fait état de mes questionnements concernant l'avenir de notre humanité, de la relation que l'on entretient avec le non-humain ainsi qu'entre-nous. Évidemment, ces questionnements sont liés à mon interprétation personnelle et sensible de ce qui me semble refléter une destruction. La condamnation et la procession, thèmes centraux de ma recherche, se déploient ici pour naviguer à travers le paysage; dans un univers symbolique et allégorique teinté de cynisme.
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Sociedade e inovação : energias alternativas no Brasil e Canadá

Raizer, Leandro January 2011 (has links)
Cette étude analyse l’évolution actuelle des énergies alternatives et renouvelables et ses implications sociétales. La relation entre les hommes et, entre l’homme et la nature, a été historiquement imprégnée par la manière par lequel les premières on produit, reproduire, alloués et distribués l’énergie. Actuellement, le phénomène de société du risque et de la crise écologique constituent une preuve nouvelle provoquant un impact quasi instantané sur les différentes sociétés. Ajouté à cela, le phénomène de la crise énergétique, marquée soit par la finitude annoncée des combustibles fossiles, soit par l’incapacité actuelle de répondre à la demande croissante d’énergie à partir d’énergies renouvelables et alternatives, pose un problème impératif pour la survie et la reproduction de l’humanité. Compte tenu de ce scénario et en s’appuyant sur la sociologie de l’environnement et de la science, cette étude discute la situation du développement énergétique et ses défis actuels. Les données empiriques de l’étude sont basées sur une étude comparative internationale, développée au Brésil et au Canadá, qui comprenait la collecte des données et des entrevues avec des laboratoires, entreprises, institutions et associations de la société civile. Parmi les principales conclusions soulignent l’émergence du phénomène que nous appelons la transition énergétique, marquée par des contradictions et des hétérogénéités résultant de la recherche pour l’approvisionnement durable de l’énergie dans un contexte de demande croissante de l’économie mondiale capitaliste. Il faut également signaler que les institutions internationales, gouvernements et des entreprises, laboratoires et société civileconstituant des réseaux sociotéchniques, associés aux mécanismes de chaîne et tradution- sont des acteurs clés dans le développement national et international de l’énergie alternative. / Este estudo analisa o desenvolvimento atual das energias alternativas e suas implicações sociais. A relação entre homens e, entre os homens e a natureza, foi historicamente perpassada pela forma como esses produziam, reproduziam, se apropriavam e distribuíam a energia. Na atualidade, a emergência da sociedade do risco e a crise ecológica constituem elementos novos que provocam impactos globais sobre as diferentes sociedades. Somado a isso, a crise energética, marcada tanto pela finitude dos combustíveis fósseis, quanto pela incapacidade de responder a demanda crescente de energia a partir de fontes renováveis e alternativas, constitui-se num gravíssimo problema que afeta o conjunto da humanidade. Tendo em vista esse cenário, e se apoiando sobre a sociologia da ciência e do meio ambiente, esse estudo discute a situação do desenvolvimento energético e seus desafios atuais. Os resultados empíricos se baseiam num estudo comparativo desenvolvido no Brasil e no Canadá que contou com a realização de coleta de dados e entrevistas junto a laboratórios, empresas, instituições e associações da sociedade civil. Entre as principais constatações destaca-se a emergência do fenômeno denominado de transição energética, marcado pelas contradições e heterogeneidade resultantes da busca de produção renovável de energia diante do crescimento constante da economia capitalista. Também destaca-se que as instituições internacionais, governos e empresas, laboratórios e a sociedade civil – constituindo uma rede sócio-técnica associada aos mecanismos de tradução e encadeamento – são agentes-chave no desenvolvimento nacional e internacional das energias alternativas.
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Sociedade e inovação : energias alternativas no Brasil e Canadá

Raizer, Leandro January 2011 (has links)
Cette étude analyse l’évolution actuelle des énergies alternatives et renouvelables et ses implications sociétales. La relation entre les hommes et, entre l’homme et la nature, a été historiquement imprégnée par la manière par lequel les premières on produit, reproduire, alloués et distribués l’énergie. Actuellement, le phénomène de société du risque et de la crise écologique constituent une preuve nouvelle provoquant un impact quasi instantané sur les différentes sociétés. Ajouté à cela, le phénomène de la crise énergétique, marquée soit par la finitude annoncée des combustibles fossiles, soit par l’incapacité actuelle de répondre à la demande croissante d’énergie à partir d’énergies renouvelables et alternatives, pose un problème impératif pour la survie et la reproduction de l’humanité. Compte tenu de ce scénario et en s’appuyant sur la sociologie de l’environnement et de la science, cette étude discute la situation du développement énergétique et ses défis actuels. Les données empiriques de l’étude sont basées sur une étude comparative internationale, développée au Brésil et au Canadá, qui comprenait la collecte des données et des entrevues avec des laboratoires, entreprises, institutions et associations de la société civile. Parmi les principales conclusions soulignent l’émergence du phénomène que nous appelons la transition énergétique, marquée par des contradictions et des hétérogénéités résultant de la recherche pour l’approvisionnement durable de l’énergie dans un contexte de demande croissante de l’économie mondiale capitaliste. Il faut également signaler que les institutions internationales, gouvernements et des entreprises, laboratoires et société civileconstituant des réseaux sociotéchniques, associés aux mécanismes de chaîne et tradution- sont des acteurs clés dans le développement national et international de l’énergie alternative. / Este estudo analisa o desenvolvimento atual das energias alternativas e suas implicações sociais. A relação entre homens e, entre os homens e a natureza, foi historicamente perpassada pela forma como esses produziam, reproduziam, se apropriavam e distribuíam a energia. Na atualidade, a emergência da sociedade do risco e a crise ecológica constituem elementos novos que provocam impactos globais sobre as diferentes sociedades. Somado a isso, a crise energética, marcada tanto pela finitude dos combustíveis fósseis, quanto pela incapacidade de responder a demanda crescente de energia a partir de fontes renováveis e alternativas, constitui-se num gravíssimo problema que afeta o conjunto da humanidade. Tendo em vista esse cenário, e se apoiando sobre a sociologia da ciência e do meio ambiente, esse estudo discute a situação do desenvolvimento energético e seus desafios atuais. Os resultados empíricos se baseiam num estudo comparativo desenvolvido no Brasil e no Canadá que contou com a realização de coleta de dados e entrevistas junto a laboratórios, empresas, instituições e associações da sociedade civil. Entre as principais constatações destaca-se a emergência do fenômeno denominado de transição energética, marcado pelas contradições e heterogeneidade resultantes da busca de produção renovável de energia diante do crescimento constante da economia capitalista. Também destaca-se que as instituições internacionais, governos e empresas, laboratórios e a sociedade civil – constituindo uma rede sócio-técnica associada aos mecanismos de tradução e encadeamento – são agentes-chave no desenvolvimento nacional e internacional das energias alternativas.
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Sociedade e inovação : energias alternativas no Brasil e Canadá

Raizer, Leandro January 2011 (has links)
Cette étude analyse l’évolution actuelle des énergies alternatives et renouvelables et ses implications sociétales. La relation entre les hommes et, entre l’homme et la nature, a été historiquement imprégnée par la manière par lequel les premières on produit, reproduire, alloués et distribués l’énergie. Actuellement, le phénomène de société du risque et de la crise écologique constituent une preuve nouvelle provoquant un impact quasi instantané sur les différentes sociétés. Ajouté à cela, le phénomène de la crise énergétique, marquée soit par la finitude annoncée des combustibles fossiles, soit par l’incapacité actuelle de répondre à la demande croissante d’énergie à partir d’énergies renouvelables et alternatives, pose un problème impératif pour la survie et la reproduction de l’humanité. Compte tenu de ce scénario et en s’appuyant sur la sociologie de l’environnement et de la science, cette étude discute la situation du développement énergétique et ses défis actuels. Les données empiriques de l’étude sont basées sur une étude comparative internationale, développée au Brésil et au Canadá, qui comprenait la collecte des données et des entrevues avec des laboratoires, entreprises, institutions et associations de la société civile. Parmi les principales conclusions soulignent l’émergence du phénomène que nous appelons la transition énergétique, marquée par des contradictions et des hétérogénéités résultant de la recherche pour l’approvisionnement durable de l’énergie dans un contexte de demande croissante de l’économie mondiale capitaliste. Il faut également signaler que les institutions internationales, gouvernements et des entreprises, laboratoires et société civileconstituant des réseaux sociotéchniques, associés aux mécanismes de chaîne et tradution- sont des acteurs clés dans le développement national et international de l’énergie alternative. / Este estudo analisa o desenvolvimento atual das energias alternativas e suas implicações sociais. A relação entre homens e, entre os homens e a natureza, foi historicamente perpassada pela forma como esses produziam, reproduziam, se apropriavam e distribuíam a energia. Na atualidade, a emergência da sociedade do risco e a crise ecológica constituem elementos novos que provocam impactos globais sobre as diferentes sociedades. Somado a isso, a crise energética, marcada tanto pela finitude dos combustíveis fósseis, quanto pela incapacidade de responder a demanda crescente de energia a partir de fontes renováveis e alternativas, constitui-se num gravíssimo problema que afeta o conjunto da humanidade. Tendo em vista esse cenário, e se apoiando sobre a sociologia da ciência e do meio ambiente, esse estudo discute a situação do desenvolvimento energético e seus desafios atuais. Os resultados empíricos se baseiam num estudo comparativo desenvolvido no Brasil e no Canadá que contou com a realização de coleta de dados e entrevistas junto a laboratórios, empresas, instituições e associações da sociedade civil. Entre as principais constatações destaca-se a emergência do fenômeno denominado de transição energética, marcado pelas contradições e heterogeneidade resultantes da busca de produção renovável de energia diante do crescimento constante da economia capitalista. Também destaca-se que as instituições internacionais, governos e empresas, laboratórios e a sociedade civil – constituindo uma rede sócio-técnica associada aos mecanismos de tradução e encadeamento – são agentes-chave no desenvolvimento nacional e internacional das energias alternativas.

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