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Le projet du Wapikoni mobile, médiation et représentation : création audiovidéo et changement socioculturel dans la communauté atikamekw de ManawanLaurent Sédillot, Catherine January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Tourisme culturel sur les traces de Pierre Perrault : étude ethnologique à l'Île aux Coudres /Huot, Pascal. January 2008 (has links) (PDF)
Thèse (M.A.) -- Université Laval, 2008. / Bibliogr.: f. 110-123. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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A community development approach to heritage tourism in small towns, a case study of Millbrook, OntarioWideman, Maureen January 1997 (has links) (PDF)
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Mise en tourisme du patrimoine culturel immatériel - Etude de la ville d'Hoi An, Viet Nam / Tourism development of intangible cultural heritage - Cas study of the city of Hoi An, Viet NamTran, Cam Thi 30 January 2017 (has links)
La ville d’Hôi An qui s’étend sur 63 km2 possède un patrimoine culturel mondial connu sous l’appellation « d’ancien quartier ». Le territoire de l’ancien quartier s’étend sur 30 ha (soit 0,3 km2) et accueille chaque jour une quantité moyenne de plus de quatre mille visiteurs. Au travers de nos enquêtes de terrain, nous avons remarqué que le soir est le moment où il accueille la plus grande densité de touristes; surtout des touristes domestiques. La reconnaissance officielle du vieux quartier par l’UNESCO lui est bénéfique dansde nombreux domaines comme l’économie, le social et la culture mais lui apporte, aussi, des effets négatifs. Dans ce contexte, la gestion du patrimoine culturel immatériel a-t-elle été orientée par les gestionnaires du tourisme pour devenir un moyen efficace d’étaler les impacts et les bénéfices vers les autres quartiers de la ville pour un développement durable du tourisme culturel? Au travers de nos méthodes qualitatives et quantitatives, nous avons étudié les différences comportementales vis-à-vis de l’usage du patrimoine culturel immatériel tant par les touristes internationaux que parles touristes domestiques. Notre recherche montre finalement que la ville s’intéresse au déploiement des ressources de ce patrimoine afin de générer des produits touristiques durables; cependant elle n’envisage pas encore la génération de produits propres à chaque type de touriste. Notre étude nous indique également qu’il existe, à la fois, convergences et divergences dans l’approche des espaces touristiques de la ville entre les touristes internationaux et ceux domestiques. / The city of Hôi An, which extends over 63 km2, has been known as the “ancient town” with its world cultural heritage". The territory of the ancient town extends over 30 ha (0.3 km2) and has greeted more than four thousand visitors each day. based on our surveys, we have noticed that evening is the time when the town receives the highest number of tourists; especially domestic tourists. The official nomination of Hôi An as the ancient town by UNESCO has brought it benefits in many fields such as economy, social and culture. However, there are several negative effects coming along with the benefits. In this context, it is concerned that whether the intangible cultural heritage has been managed by people in charge to become an effective mean which can help to spread out the effects and the benefits to other parts of the city for the sustainable development of cultural tourism? Through our methods of qualitative and quantitative analyst, we have studied the differences of behaviors in regards to the use of the intangible cultural heritage by both international tourists and domestic tourists. It finally has been shown in our research that the city has been concerned about deploying the resources of this heritage in order to generate sustainable tourist products. However, it still have not been envisaged creating particular products for each trend of tourist. Our study also have indicated that there are convergences as well as divergences in approaching tourist spaces in the city between international tourists and domestic tourists.
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L'éducation artistique dans le système scolaire français de 1968 à 2000 / Arts education in the French system school from 1968 to 2000Grabowski, Camille 14 November 2013 (has links)
Dans les années d’après-guerre entrent en ligne de compte des données démographiques et économiques nouvelles qui font évoluer la société française et lui imposent d’adapter son système éducatif, de décloisonner les disciplines et de favoriser l’interdisciplinarité. Seule l’école peut vaincre le déterminisme social lié à la naissance. C’est le colloque d’Amiens (1968) qui pose les bases d’une réflexion qui a nourri toutes les avancées sur l’éducation artistique depuis. Les années 70 sont celles de la réforme pour l’Education nationale et celles de la réflexion et des premières expérimentations pour la Culture. Les années 80 marquent une réelle ouverture de l’école, que ce soit vers les établissements culturels, à l’intervention de partenaires extérieurs au milieu scolaire ou à de nouvelles matières. Ouverture, mais aussi compromis entre les acteurs. Le protocole d’accord d’avril 1983 signé entre le ministère de la Culture et celui de l’Education nationale et la loi sur les enseignements artistiques de 1988 ont cédé aux compromis. Dans les années 90, penser l’éducation artistique de manière globale et à l’échelle d’un territoire apparaît comme le meilleur moyen de faire travailler ensemble les écoles et les équipements culturels à l’échelle d’une ville, d’un département ou d’une région, de garantir un maillage parfait du territoire et donc d’atteindre à la démocratisation culturelle. Mais finalement s’impose surtout le constat d’un empilement quelque peu désordonné des dispositifs. Le plan Lang/Tasca qui doit se réaliser sur cinq ans à partir du 14 décembre 2000 ouvre un nouveau chapitre. Mais l’exécution de ce nouveau plan n’est pas garantie par sa décision. / After the 2nd world war, the french society has to deal with new demographic and economic datas. It has to be taken into account by the french education system which should adapt, break down barriers between disciplines and promote intedisciplinary because just school can overcoming social determinism linked at birth. The Amiens’ symposium (1968) lays the foundation for reflection which fed all the thoughts about artistic education. The seventies see the amendment for School and first thinking and experimentations for Culture. Eighties tag an actual opening of school for cultural institutions, the mediation of external partners and new topics. Opening, but also agreement between all the characters. The protocole d’accord signed in April 1983 between ministry of culture and ministry of education and the law about arts education (1988) are the results of an agreement. In the nineties, thinking globally about arts education and on a territory scale seem to be the best way to make work together schools, cultural facilities and to ensure a perfect network coverage, and so to reach cultural democratisation. But actually, we observe a stack of messy contracts. The plan Lang/Tasca which should come true till december 14, 2000, opens a new chapter. But the achievement of that brand new plan is not insured by its decision.
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La notion française de trésor national / The French national treasure notionTosi, Philippe 29 January 2016 (has links)
Notre sujet de thèse a pour objectif d'éclairer le sens de la notion française de trésor national, catégorie spécifique de biens culturels qui échappent aux principes de la libre circulation des marchandises au sein de l'Union européenne / The aim of our thesis is to enlighten the sense of the French notion of national treasure, a specific category of cultural goods, which are not submit to the classical rules of the free movements of goods in the European Union
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Dispositif communicationnel, imaginaire transfrontalier et événement culturel : le cas de "Luxembourg et Grande Région Capitale européenne de la culture 2007Buzy-Christmann, Delphine 29 November 2013 (has links)
Le processus de mondialisation crée dans son sillage des territoires émergents s’affranchissant des politiques étatiques et régionales. La manière dont ces territoires se mettent en scène, se créent une image, est primordiale tant pour leur légitimité auprès des populations que pour la médiatisation de leurs actions. La Grande Région, espace de coopération d’initiative européenne, est un territoire cosmopolite en quête d’identité qui à travers l’événement «Luxembourg et Grande Région Capitale européenne de la culture 2007» a cherché à se construire, se penser, et se structurer au moyen d’une identité stratégique visant une «victoire identitaire». Cette stratégie a produit un ensemble d’actions coordonnées en vue de créer une politique culturelle commune d’un territoire émergent transfrontalier dont les enjeux, les procédures et les effets sur le long terme sont l’objet de la recherche. De l’enrôlement du réseau par les instances politiques centrales à la mobilisation différenciée des entités de la Grande Région, en passant par l’analyse des publics culturels transfrontaliers imaginés et l’externalisation de la mise en œuvre du dispositif communicationnel auprès des agences de conseil en communication, nous appréhendons l’intégration de l’altérité dans un projet commun à travers son dispositif communicationnel grâce à l’analyse des controverses nées au sein du réseau. L’étude de la pérennisation de l’événement «Luxembourg et Grande Région capitale européenne de la culture 2007», à travers la structure Espace Culturel Grande Région, permet de saisir la stabilisation des contextes d’interactions et de mener une réflexion sur les nouvelles approches d’intégration de l’altérité dans un projet commun au prisme de la notion de «coopétition». À l’heure où la conception de l’altérité et son intégration au sein d’imaginaires collectifs sont des enjeux primordiaux, cette analyse propose de comprendre les actions de co-construction identitaires au sein d’un territoire marqué par des frontières physiques et imaginées et les rapports de force qui en découlent. / The globalisation process brings about emerging territories which free themselves from the state or regional policies. The way these territories put on a performance, create themselves an image is essential as much for their legitimacy towards the populations as for the media coverage of their actions. The Greater Region, a cooperation space initiated by Europe, is a cosmopolitan territory looking for identity which, through the event called “Luxembourg and the Greater Region European culture capital 2007” tried to build itself, think itself and structure itself with a strategic identity aiming at an “identity victory”. This strategy had led to a series of coordinated actions whose aim was to create a common cultural policy of a cross-border emerging territory whose stakes, procedures and long-term effects are the object of study. From the enrolling of the network by central political authorities to the differentiated mobilizing of the entities of the Greater Region, including the analysis of the imagined cross-border cultural audiences and externalizing the settlement of the communicational package towards the communication agencies, we apprehend the integration of alterity in a common project through its communicational presence by analyzing the controversies inside this network. The study of how to make the event “Luxembourg and the Greater Region European culture capital 2007” durable through the structure called Cultural Space Greater Region enables to understand how interaction contexts stabilize and to think about the new approaches to the integration of alterity in a common project by using the notion of “coopetition”. At a time when the conception of alterity and its integration inside collective imagination are vital stakes, this analysis offers to understand the actions of identity co-building inside a territory marked by physical and imagined borders and by power struggles which derive from it.
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Le patrimoine culturel de la Libye entre identité sociale et culturelle / The cultural heritage of Lybia between social and cultural identityEl Marzoke, Halima 04 April 2016 (has links)
Dans le cadre de cette recherche, nous avons traité de la construction de l’identité sociale et culturelle à travers la notion de patrimoine culturel. Compte tenu de la richesse du patrimoine et l’importance que la population libyenne lui accorde, nous avons essayé de mettre en évidence le rôle qu’il joue dans la vie social d’un individu. Après avoir présenté le patrimoine culturel de la société libyenne, en se basant non seulement sur les édifices de l’antiquité gréco-romaine ou du monde arabe mais aussi sur les musées, le folklore et les théâtres, nous avons mené une enquête auprès du public de la ville de Tripoli afin de connaitre leurs représentations sur cette problématique. La population libyenne est fière de la richesse de son patrimoine culturelle. À travers les réponses, nous avons pu constater l’importance accordée à leur patrimoine et la crainte de voir ce passé être détruit ou pillé par la guerre. Cette recherche nous a permis de comprendre que lorsqu’un pays possède une telle tradition, son identité sociale et culturelle passe forcément par la reconnaissance de son patrimoine. / As part of this research, we worked on the construction of a social identity through cultural heritage. We have tried to highlight the importance of the role of heritage in a person’s social life. After presenting the cultural heritage in Libyan society, not only based on buildings of Greco-Roman Antiquity or the Arab world but also museums, folklore and theaters, we conducted a public survey in the city of Tripoli in order to know the people’s opinion on this issue.Through their answers, we noted the importance they give to their heritage and their fear to see their past being destroyed or plundered by war. The people of Libya are proud of this cultural heritage. This research has allowed us to understand that when a country has such a tradition, the social and cultural identity necessarily requires the recognition of its cultural and artistic heritage.
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L'identité des villes tunisiennes et leur médiation par les arts / Tunisian cities' identity and its transmission through artsMsolli, Mohamed Ali 27 June 2014 (has links)
Ces dernières années, la question de l'art dans les espaces publics enregistre une nouvelle actualité dans le domaine de la recherche appliquée. Les relations entre la création actuelle et les publics se déplacent des lieux artistiques vers l'espace public. Les mutations économiques et sociales, dans certains endroits, ont fait perdre aux villes leurs identités architecturales, culturelles ou historiques. L’action de la sauvegarde de l’identité devient nécessaire et elle nécessite l'intervention rapide pour assurer la continuité de l’histoire dans les sites anciens. En outre, l’intervention des professionnels du cadre bâti (aménageur, architecte, artiste, géographe urbain, urbaniste, …) devient indispensable pour rendre à la ville son âme et conserver son empreinte et son identité. C’est une tendance de fond de redonner sens aux espaces publics de la ville mais aussi de garantir une préservation de la mémoire commune à l’aide de sculptures publiques. Autour de cette réflexion, nous avons choisi d’étudier trois villes tunisiennes qui sont comme suit : Tunis, Sousse, et Moknine. L’action de sauvegarde de l’identité varie dans ces villes historiques puisque chaque espace définit sa propre structure urbaine et architecturale. Nous nous intéressons à l’intervention artistique comme étant un outil de communication-médiation qui facilite la transmission de l’histoire. La politique de sauvegarde tunisienne s’intéresse à la réanimation de sites anciens où l’art investit certains monuments pour assurer une réintégration du patrimoine dans le cadre contemporain / In the last few years, the relationship between art and public spaces has become one of the most important issues in the realm of applied research. The connection between contemporary creative works and publics is gradually migrating from artistic spaces to public spaces. Economic and social mutations have caused certain Tunisian cities to loose their cultural or historical identities, and thus, their originality. Consequently, saving these public sculptures in order to preserve the cultural heritage of the city has become a top priority that necessitates a quick intervention. The intervention of professionals (developer, architect, artist, urban geographer, town planner, etc…) is necessitated to bring back to the city its soul and its uniqueness to maintain its identity. It is an urge, as a matter of fact, to render to the city’s public spaces their weight to guarantee the perseverance of the country’s cultural heritage thanks to public sculptures. In the light of this reflexion, we have chosen to consider this subject taking three Tunisian cities as case studies, namely, Tunis –capital of Tunisia, Moknine and Sousse, situated in the region coast of the country. The necessitated policies to save the architectural and, thus, historical identity of historical monuments vary from one city to another since every space has got its inherent urban and architectural structure. We are interested in the artistic intervention as a means of mediation-communication that facilitates the transmission of history. In this regard, the Tunisian agenda is oriented towards the reanimation of historical monuments whereby art is deployed to modernize and update the Tunisian cultural heritage
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Les espaces protégés au titre du patrimoine urbain : analyse des conflits à l'occasion des demandes d'autorisation d'urbanisme : transmission et appropriation des politiques publiques par les différents acteurs / The protected areas as urban heritage : conflict analysis when applying for building permits : transmission and ownership of public policies by the various stakeholdersMarchand, Julie 17 April 2018 (has links)
Notre thèse, dans le champ de l’aménagement, souhaite contribuer à la compréhension des enjeux qui président à la gestion des espaces protégés au titre du patrimoine urbain. Nous abordons la question du désaccord entre conservation et renouvellement urbain par l’étude des conflits autour des demandes d’autorisation à construire dans les périmètres relevant de l’avis conforme de l’architecte des bâtiments de France (ABF). Pour trois protections (secteur sauvegardé, ZPPAUP/AVAP, PLU), et pour les trois villes de Lyon, Montpellier et Tours, les valeurs associées au principe de protection de chacun des espaces ont été comparées aux valeurs mobilisées du système d’acteurs, que nous avons défini. Nous avons recherché l’origine des verrous administratifs au sein de la procédure, de la règle ou du rapport à l’ABF. Nous avons traité la question de la responsabilité économique du coût des travaux comme frein à la réhabilitation patrimoniale. Le capital culturel se révèle une variable décisive. / Our thesis is part of the research field of territory development. Its purpose is to contribute to a better understanding of the stakes that govern the management of protected areas as urban heritage. We approach the question of the disagreement between conservation and urban renewal through the prism of the conflict studies around the requests for building permits in the perimeters due to the opinion of the architect of the buildings of France (ABF). For three protections (secteur sauvegardé, ZPPAUP / AVAP, PLU), and in three cities, Lyon, Montpellier and Tours, the values related to the principle of protection of each space have been compared to the values mobilized by our system of actors we have defined. We looked for the origin of the administrative locks within the procedure, the rule or the report with the ABF. We have addressed the issue of the economic responsibility of the cost of the works as a barrier to heritage rehabilitation. The cultural capital is a decisive variable.
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