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Étude de la 15-hydroxyprostaglandine déshydrogénase : expression et régulation dans l'utérus bovin pendant le cycle oestral /

Parent, Marianne. January 2004 (has links)
Thèse (M.Sc.)--Université Laval, 2004. / Bibliogr. Publié aussi en version électronique.
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Le rôle des hormones sexuelles dans la douleur chez des femmes saines

Tousignant-Laflamme, Yannick January 2008 (has links)
La littérature scientifique démontre clairement que les femmes perçoivent davantage de douleur que les hommes que la douleur soit clinique ou expérimentale. De plus, les femmes diffèrent des hommes quant aux réactions autonomiques à la douleur. Cependant, les mécanismes exacts engendrant ces différences restent méconnus. Plusieurs mécanismes peuvent expliquer ces différences, mais ce sont les hormones sexuelles (HS), qui selon plusieurs auteurs, joueraient un rôle de premier plan. L'objectif principal de ce projet était donc de vérifier si les HS affectent la perception de la douleur expérimentale (mécanismes excitateurs) et les mécanismes endogènes de contrôles de la douleur (les contrôles inhibiteurs diffus nociceptifs - CIDN) chez des femmes saines. Dans un deuxième temps, nous voulions également déterminer si la réactivité du système nerveux autonome à la douleur est influencée par les HS. Méthodologie. 32 femmes ayant un cycle menstruel régulier (RMW) ont été rencontrées à trois reprises au cours de leur cycle menstruel (CM), soit entre les jours 1-3, les jours 12-14 et les jours 19-23. Aussi, 20 femmes ménopausées (PMW) ont été rencontrées à une fois. À chaque rencontre, celles-ci ont reçu les mêmes procédures douloureuses qui consistaient en deux applications d'une douleur thermique (thermode) à l'avant-bras durant deux minutes (à une température engendrant une douleur de 50/100), séparées par une immersion douloureuse du bras opposé dans l'eau froide (12[degrés]C). Le test d'immersion nous a permis de déclencher les CIDN (mécanisme analgésique endogène) et de mesurer la perception d'un différent type de douleur tonique. La perception de la douleur a été mesurée avec une échelle visuelle analogue afin de mesurer les seuils de douleur et de tolérance, et la [sic] l'intensité moyenne de la douleur. L'efficacité analgésique des CIDN a été quantifiée en calculant la différence entre la douleur thermique avant et après l'immersion. Les niveaux plasmatiques d'HS ont été obtenus lors de chaque visite. Un électrocardiogramme nous a permis d'obtenir la fréquence cardiaque pendant le test d'immersion où nous avons mesuré la réactivité autonomique par le biais de l'analyse de la variabilité cardiaque. Résultats. Aucune différence ne fut observée pour les seuils de douleur et de tolérance ainsi que pour la perception de la douleur durant le test d'immersion et le test de douleur thermique lors des trois visites (p>0.05). Cependant, nous avons observé que l'efficacité analgésique des CIDN (analgésie endogène) était significativement plus forte lors de la phase ovulatoire, comparativement aux phases menstruelle et lutéale (p=0.04). Chez les PMW, l'efficacité des CIDN est comparable aux RMW durant leur phase menstruelle, mais le pic de douleur normalement observé durant le test de la thermode était absent. Finalement, nous n'avons pas observé de différence dans la réactivité autonomique à la douleur au cours des trois phases du cycle menstruel. Conclusion. Les résultats démontrent donc une implication certaine des HS (via le CM) dans la perception de la douleur, mais seulement au niveau des mécanismes inhibiteurs de la douleur (CIDN), ce qu'aucune étude n'avait examiné auparavant. Cette modulation de l'efficacité des CIDN au cours du cycle menstruel pourrait donc fournir une explication partielle des différences hommes/femmes dans la douleur. Finalement, nous avons noté que le CM ne semble pas affecter les mécanismes excitateurs de douleur ainsi que la réactivité autonomique à la douleur.
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La biopsie d'endomètre : phosphatase alcaline, lactate déshydrogénase, ses izoenzymes, au cours du cycle menstruel

Feige, Claude 25 June 1971 (has links) (PDF)
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Devenir métabolique des glucides en période de récupération post-exercice

Folch, Nathalie January 2003 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Pollution atmosphérique et reproduction humaine. / Atmospheric pollution and Human reproduction.

Giorgis-Allemand, Lise 03 February 2017 (has links)
Une fraction importante de la population est exposée à la pollution atmosphérique ; ses effets sur la mortalité et la morbidité cardiovasculaire et respiratoire sont connus, et un effet de l'exposition au cours de la grossesse sur le poids de naissance et la croissance fœtale est probable ; un effet sur le risque de naissance prématurée a aussi été suggéré par de nombreuses études, essentiellement en Amérique. En revanche, la capacité des couples à concevoir -fertilité- et les paramètres de la fertilité féminine ont été très peu étudiés en lien avec cette exposition.L’objectif de ce doctorat était de documenter un effet éventuel de la pollution atmosphérique sur la fonction de reproduction humaine et tout particulièrement sur les caractéristiques du cycle menstruel, la probabilité de survenue d’une grossesse (fertilité) et le risque de naissance prématurée.Nous nous sommes appuyés sur une cohorte de couples n’utilisant pas de méthode contraceptive (l’Observatoire de la fertilité en France) et sur treize cohortes de naissances européennes participant au projet ESCAPE (European Study of Cohorts for Air Pollution Effects).Nous avons observé un allongement de la durée de la phase folliculaire du cycle menstruel (période du cycle entre le début des règles et l’ovulation) avec l’exposition de la femme aux particules en suspension dans l’atmosphère (n=158, β=1,6 jour pour une augmentation de la concentration des particules de diamètre aérodynamique inférieur à 10 µm -PM10- de 10 µg/m3 dans le mois précédant le cycle, intervalle de confiance, IC à 95%, 0,3; 2,9). En utilisant deux designs d’étude en parallèle sur la même population, l’approche des durées en cours et l’approche de cohorte prévalente, nous avons mis en évidence une tendance à une diminution de la probabilité de grossesse en association avec l’exposition à la pollution atmosphérique pour la première approche (cohorte prévalente : n=468, risque relatif de grossesse, HR : 0,69 pour une augmentation des PM10 de 10 µg/m3 dans les 70 jours précédant l’inclusion, IC à 95%, 0,43;1,12) ; la tendance était similaire avec l’approche des durées en cours (n=516, durée médiane sans contraception multipliée par 1,29 pour une augmentation des PM10 de 10 µg/m3 dans les 70 jours précédant l’arrêt de la contraception, IC à 95%, 0,97;1,70).Le risque de naissance prématurée, analysé avec un modèle de survie en prenant en compte l’exposition comme une variable dépendant du temps, n’était pas associé à divers polluants atmosphériques dans les cohortes du projet ESCAPE (n=46 791, OR=0,97 pour une augmentation du niveau moyen de PM10 de 10 µg/m3 pendant la grossesse, IC à 95%, 0,87 ;1,07). Nous avons par ailleurs mis en évidence une augmentation du risque de naissance prématurée avec la pression atmosphérique pendant le premier trimestre de grossesse et avec la température moyenne pendant le premier trimestre, au moins dans l’intervalle entre -5°C et 10°C. Nous avons montré qu’une partie de la littérature en faveur d’une association entre particules fines et risque de naissance prématurée pourrait être sujette à un biais causé par des durées de fenêtres d’exposition différentes entre les enfants nés avant terme et ceux nés à terme.Dans l’ensemble, ce travail confirme la nécessité d’utiliser un modèle de survie avec variables dépendant du temps pour étudier le risque de naissance prématurité et appelle à poursuivre les recherches concernant des effets possibles des polluants atmosphériques sur le cycle menstruel et la fertilité, pour lesquels nos travaux font partie des premiers réalisés en population générale. / A large fraction of the population is exposed to atmospheric pollution, which has known effects on cardiovascular and respiratory mortality and morbidity and probable effect on birthweight and fetal growth. So far, the biological aptitude to conceive for couples -fecundity- and the female markers of fecundity have been seldom studied in relation with this environmental exposure.The aim of this PhD was to quantify the possible association between atmospheric pollution and specific health outcomes related to human reproduction: menstrual cycle characteristics, probability of pregnancy and preterm birth risk. We relied on a population of couples not using any contraceptive method (Observatory of Fecundity in France) and on 13 birth cohorts participating in the European Study of Cohorts for Air Pollution Effects.We observed that higher levels of atmospheric pollutants during the 30 days before the start of a menstrual cycle were associated with longer follicular phase (n=158, β=1.6 days per each increase by 10 µg/m3 in particulate matters with an aerodynamical diameter of less than 10 µm -PM10; 95% confidence interval: 0.3;2.9). In the population recruited in OBSEFF study, we observed a trend for an increased time to pregnancy with short-term NO2 and PM10 levels in an original approach relying on two seldom used study designs focusing on a marker of fecundity in parallel: the prevalent cohort approach (n=468, hazard ratio of pregnancy, HR: 0.69 per each increase by 10 µg/m3 in PM10 during the 70 days before the inclusion, with a 95% CI of 0.43;1.12) and the current duration approach (n=516, median current duration of unprotected intercourse multiplied by 1.29 per each increase by 10 µg/m3 in PM10 during the 70 days before the contraception stop, 95% CI: 0.97;1.70). In the cohorts included in ESCAPE, preterm delivery risk studied by a survival model with time-dependent exposures was not associated with atmospheric pollutants levels during pregnancy (n=46,791, OR=0.97 per each increase by 10 µg/m3 in PM10 during the whole pregnancy, 95% CI 0.87;1.7). We observed an increased risk of preterm birth with higher atmospheric pressure during the first trimester of pregnancy and to some extent with temperature between -5°C and 10°C during the first trimester of pregnancy. We additionally showed that using exposure windows with different durations between cases and non-cases is a source of a bias in preterm birth studies that may impact several studies in the literature.This work demonstrated that using a survival model with time-dependent exposures is crucial to study preterm delivery risk. It appeals for additional research on the possible adverse effects of atmospheric pollution on menstrual cycle and fecundity, as our studies are among the first ones conducted in a general population on those topics.
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Effets des variations œstrogéniques féminines sur les potentiels évoqués cognitifs durant une tâche de rotation mentale

Germain, Martine 12 1900 (has links)
Il apparaît, suite aux résultats de plusieurs études comportementales et d’imagerie cérébrale, que les hormones gonadiques peuvent moduler le fonctionnement cérébral chez la femme. Les asymétries cérébrales fonctionnelles (ACFs), en particulier, changeraient en fonction du niveau de progestérone et d’œstrogène. On a également observé que lorsque le taux d’œstrogène est bas, les performances aux tâches impliquant l’hémisphère droit sont améliorées. Par contre, les preuves de l’action physiologique de ces deux hormones sur le cerveau ne sont pas très nombreuses. Le peu d’études d’électrophysiologie cognitive qui ont porté sur les effets du cycle menstruel ont rapporté que la composante P300 y serait sensible. Aucune n’a cependant utilisé une tâche d’habileté spatiale ou de rotation mentale qui sont connues pour impliquer davantage l’hémisphère droit. Le but de la présente étude est de documenter les changements électrocorticaux reliés aux variations hormonales lors d’une tâche de rotation mentale. Notre hypothèse de départ est que le taux d’œstrogène influencera l’activité électrocorticale et la latéralisation. Les potentiels évoqués cognitifs ont été comparés chez les mêmes femmes (n=12) lors d’une tâche de rotation mentale, répétée à deux périodes du cycle menstruel. Nos résultats démontrent que la condition de rotation induit une latéralisation de l’activité pariétale, vers l’hémisphère gauche, quand le niveau d’œstrogène est bas. Par contre, lorsque le niveau d’œstrogène est élevé, il n’y a aucune latéralisation. Par ailleurs, nous avons observé une augmentation de l’amplitude de la P300 lors du niveau oestrogénique élevé. En conclusion, les fluctuations oestrogéniques du cycle menstruel ont un impact sur la latéralisation de l’activité électrocorticale, lors d’un effort de rotation mentale. / After many behavioral and some neuroimaging studies, it appears that the gonadic hormones can modulate the neuronal function of women's brain. In particular, the functional cerebral asymmetries can be affected by the level of progesterone and estrogens. It has been observed that when the level of estrogen is low, the performance at task that engages more the right hemisphere is enhanced. However, there is a lack of evidence for the physiological actions of these two hormones on the brain. The few event-related potential studies taking into account the menstrual cycle effects, had noticed that the component P300 can be affected. No electrophysiological study has used a mental rotation task or spatial ability tests which are known for their right hemisphere dominance. The aim of the present research is to document the effect of hormonal variations on the electrocortical activity, using a mental rotation task. Our hypothesis is that estrogen levels affect electrocortical activity and lateralization. The ERPs were compared in the same women (n = 12) during a mental rotation task, repeated over two periods of the menstrual cycle. Our results show a lateralization of the left parietal activity when estrogen levels are low and during the rotation. Whereas when the estrogen level is high, there is no lateralization. In addition, we observed an increase in the amplitude of P300 for this same high level. In conclusion, estrogens fluctuations associated with the menstrual cycle have an impact on the lateralization of electrocortical activity, when a mental rotation is needed.
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Effets des variations œstrogéniques féminines sur les potentiels évoqués cognitifs durant une tâche de rotation mentale

Germain, Martine 12 1900 (has links)
Il apparaît, suite aux résultats de plusieurs études comportementales et d’imagerie cérébrale, que les hormones gonadiques peuvent moduler le fonctionnement cérébral chez la femme. Les asymétries cérébrales fonctionnelles (ACFs), en particulier, changeraient en fonction du niveau de progestérone et d’œstrogène. On a également observé que lorsque le taux d’œstrogène est bas, les performances aux tâches impliquant l’hémisphère droit sont améliorées. Par contre, les preuves de l’action physiologique de ces deux hormones sur le cerveau ne sont pas très nombreuses. Le peu d’études d’électrophysiologie cognitive qui ont porté sur les effets du cycle menstruel ont rapporté que la composante P300 y serait sensible. Aucune n’a cependant utilisé une tâche d’habileté spatiale ou de rotation mentale qui sont connues pour impliquer davantage l’hémisphère droit. Le but de la présente étude est de documenter les changements électrocorticaux reliés aux variations hormonales lors d’une tâche de rotation mentale. Notre hypothèse de départ est que le taux d’œstrogène influencera l’activité électrocorticale et la latéralisation. Les potentiels évoqués cognitifs ont été comparés chez les mêmes femmes (n=12) lors d’une tâche de rotation mentale, répétée à deux périodes du cycle menstruel. Nos résultats démontrent que la condition de rotation induit une latéralisation de l’activité pariétale, vers l’hémisphère gauche, quand le niveau d’œstrogène est bas. Par contre, lorsque le niveau d’œstrogène est élevé, il n’y a aucune latéralisation. Par ailleurs, nous avons observé une augmentation de l’amplitude de la P300 lors du niveau oestrogénique élevé. En conclusion, les fluctuations oestrogéniques du cycle menstruel ont un impact sur la latéralisation de l’activité électrocorticale, lors d’un effort de rotation mentale. / After many behavioral and some neuroimaging studies, it appears that the gonadic hormones can modulate the neuronal function of women's brain. In particular, the functional cerebral asymmetries can be affected by the level of progesterone and estrogens. It has been observed that when the level of estrogen is low, the performance at task that engages more the right hemisphere is enhanced. However, there is a lack of evidence for the physiological actions of these two hormones on the brain. The few event-related potential studies taking into account the menstrual cycle effects, had noticed that the component P300 can be affected. No electrophysiological study has used a mental rotation task or spatial ability tests which are known for their right hemisphere dominance. The aim of the present research is to document the effect of hormonal variations on the electrocortical activity, using a mental rotation task. Our hypothesis is that estrogen levels affect electrocortical activity and lateralization. The ERPs were compared in the same women (n = 12) during a mental rotation task, repeated over two periods of the menstrual cycle. Our results show a lateralization of the left parietal activity when estrogen levels are low and during the rotation. Whereas when the estrogen level is high, there is no lateralization. In addition, we observed an increase in the amplitude of P300 for this same high level. In conclusion, estrogens fluctuations associated with the menstrual cycle have an impact on the lateralization of electrocortical activity, when a mental rotation is needed.
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Analysis of individual feminine cycle hormone profiles for assessment of luteal defect / Analyse des profils hormonaux du cycle féminin pour l’étude de la déficience lutéale

Abdullah, Saman 10 September 2018 (has links)
Les niveaux hormonaux peuvent varier grandement entre cycles menstruels et entre femmes aux cycles dits « normaux ». Outre les niveaux quotidiens, ces profils présentent une grande diversité d’amplitudes, de durées, de positions et de formes. Ces constats ont ravivé l'intérêt pour l'étude des profils individuels plutôt que généraux. En effet, les profils de la littérature sont des moyennes dont peuvent s’éloigner plusieurs profils individuels ; d’où la nécessité de descriptions plus précises.Dans cette thèse, nous explorons la diversité des profils hormonaux au cours de la phase lutéale du cycle et présentons un concept original pour caractériser la plupart des ondes hormonales avec quatre paramètres seulement. Cela a été obtenu via une distribution bêta-binomiale. De plus, nous proposons un nouveau modèle de régression où le profil hormonal est variable dépendante et une variété de variables binaires ou continues sont prédicteurs.La méthode a été appliquée pour décrire les profils hormonaux de la phase lutéale et a donné des résultats intéressants. Un continuum allant de la phase lutéale normale à la déficience lutéale serait plus approprié qu’une classification binaire (normale/anormale). Les données analysées ont montré qu’un petit follicule a un impact négatif sur la qualité de la phase lutéale et qu’un niveau élevé de PDG perivulatoire (i.e., une lutéinisation prématurée) semble préjudiciable à la phase lutéale. Un niveau de PDG lutéale normal puis faible est probablement un signe d'anomalie de la phase lutéale. De plus, au cours de la phase lutéale, divers profils de métabolites de la progestérone sont corrélés avec plusieurs caractéristiques des femmes et du cycle / Even in normally cycling women, hormone levels vary widely between cycles and between women. Beyond day-by-day levels, hormone profiles do display a great variety of heights, durations, locations, and shapes. These observations have renewed the interest in the assessment of individual rather than general hormone profiles. Actually, as reported by the literature, cycle hormone profiles are averages of many individual profiles but individual profiles may be far from matching these averages. This raises the need for sharper descriptions.In this thesis, we explore the diversity of hormonal profiles observed during the luteal phase of the menstrual cycle and present an original concept to characterize most hormone waves using only four parameters. This was obtained via a beta-binomial distribution. Moreover, we propose a new regression model that considers the hormonal profile as dependent variable and a variety of binary or continuous variables as predictors.We applied the method to describe hormone profiles during the luteal phase and obtained interesting results. Instead of a binary classification (normal/abnormal), it would be more appropriate to consider a continuum from normal luteal phase to luteal deficiency. In the analyzed dataset, a small follicle had a negative impact on the quality of the luteal phase and a high periovulatory PDG level (i.e., a premature luteinization) seemed detrimental to the luteal phase. The occurrence of a normal then low luteal PDG level is probably a potential sign of luteal phase abnormality. Furthermore, distinct progesterone metabolite profiles during the luteal phase were found correlated with several women and cycle characteristics
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Oublier le corps : les dynamiques du corps féminin et de la pilule anovulante : une étude ethnographique avec des femmes montréalaises

Saylors, Karen 09 1900 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / Tout au long de cette thèse, nous examinons la gérance du corps féminin au travers du mécanisme des hormones sexuelles féminines. La question abordée ici concerne la pilule anovulante, qui est directement liée à la sexualité et à la contraception, et qui constitue une fonction réglante du corps féminin. La pilule anovulante soulève des questions chargées de sens, surtout celles qui touchent à la sexualité et l'image du corps et de soi-même. Les bases sur lesquelles les choix contraceptifs se font sont lourdement chargées de sens et dans notre culture, la responsabilité reste largement celle de la femme. Pourtant, la pilule anovulante constitue une fonction régulante du corps féminin, et cette fonction change souvent le cycle et la familiarité avec laquelle la femme se connaît. En plus, les effets secondaires de la pilule présentent un problème sérieux pour un certain nombre de femmes. Dans cette optique, examinons les récits des femmes montréalaises et des médecins pour mettre en place la question complexe de la consommation des hormones sexuelles sous forme de la pilule anovulante. J'ai travaillé avec des femmes montréalaises, âgées entre 23 et 33 ans, sur la question de la pilule. Il s'agit d'une enquête sur la problématique de pourquoi certaines femmes décident de ne pas utiliser d'hormones sexuelles et comment elles sont arrivées à ces décisions. Entre les femmes qui prennent la pilule, j'ai abordé les variances d'orientations du corps et des perceptions envers la pilule. J'ai aussi exploré les mythologies et les craintes qui accompagnent l'usage ou le non-usage des hormones, ainsi que les croyances sociales et les opinions du monde médical autour de ces drogues réglantes. Certaines femmes se mettent à questionner le processus de consommation de ces hormones, et en considèrent les effets secondaires potentiels, tels que l'infertilité ou le cancer. Mon travail considère la façon dont une compréhension médicale du corps de la femme construit celui-ci comme étant largement contrôlé par des hormones. En outre, j'ai fait des entrevues complémentaires avec des médecins montréalais, pour apercevoir leur point de vue sur la prescription de la pilule anovulante. J'examine comment l'institution médicale situe la femme dans le contexte de sa sexualité et de son identité, une orientation incorporée dans le cadre médical.
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Étude sur l’oxygénation des lits capillaires du disque optique au cours du cycle menstruel chez les femmes

Hilal, Jessy 12 1900 (has links)
Il est connu qu’on retrouve chez les femmes en post-ménopause un risque plus important de développer des maladies oculaires comparativement aux hommes du même groupe d’âge. Il semble que les changements hormonaux, et en particulier la baisse importante des niveaux d’estradiol, secondaires à la sénescence folliculaire constituent un facteur étiologique à long terme. Cela étant, il est légitime de se demander si les variations des niveaux d’hormones sexuelles endogènes peuvent également occasionner des effets à court terme sur les tissus de l’œil. Cette interrogation constitue d’ailleurs le motif principal de l’élaboration de la présente étude. Sachant qu’il se produit chez les femmes non ménopausées des variations continuelles des niveaux d’hormones sexuelles stéroïdiennes au cours de leur cycle menstruel, des femmes en âge de procréer ont été recrutées comme sujets d’étude. Dans un deuxième temps, afin de trouver le paramètre d’intérêt, on a effectué une revue de la documentation scientifique qui révèle un fait bien établi : les estrogènes favorisent la vasodilatation des vaisseaux sanguins par l’intermédiaire du monoxyde d’azote, et permettent, par le fait même, l’accroissement du débit sanguin tissulaire. Or, comment mesurer des variations de débit sanguin dans des tissus oculaires? Comme il est expliqué dans la discussion du présent mémoire, les variations d’oxygénation dans un organe dont le métabolisme est relativement stable sont le reflet de variations de débit sanguin. Grâce à une technique de mesure basée sur la spectroréflectométrie, il est possible de mesurer le taux d’oxyhémoglobine (HbO2) des lits capillaires du disque optique. En observant les variations du taux d’oxyhémoglobine au cours du cycle menstruel chez les sujets, on peut ainsi mesurer l’effet des variations hormonales cycliques sur l’irrigation des tissus oculaires. En somme, l’objectif de cette recherche est de mieux comprendre, en suivant le cycle menstruel des femmes, l’effet des hormones sexuelles endogènes sur l’oxygénation des lits capillaires du disque optique. Étant à la base du métabolisme de l’œil, l’apport en oxygène et en divers substrat véhiculés par la circulation sanguine est important au maintien de la santé oculaire. L’éclaircissement du lien entre les hormones et l’oxygénation de la rétine constituerait un avancement important, puisqu’il permettrait de comprendre pourquoi certaines atteintes oculaires, comme la cécité, touchent davantage les femmes. Les résultats de cette étude ont démontré que le taux d’oxyhémoglobine mesuré dans les lits capillaires du disque optique de l’œil ne subit pratiquement pas de variations significatives durant le cycle menstruel lorsqu’on considère les incertitudes des valeurs mesurées. Également, on observe une variabilité similaire des taux d’oxyhémoglobine mesurés chez les femmes en âge de procréation et chez les hommes du même groupe d’âge. Cela suggère que les changements hormonaux cycliques, qui ne se produisent que chez les femmes, n’occasionnent probablement pas de variation significative mesurable du taux d’oxyhémoglobine. Bref, malgré les effets possibles des estrogènes sur le diamètre artériolaire, il semble que les mécanismes locaux de régulation du débit sanguin tissulaire maintiennent un état d’équilibre propre au tissu irrigué et adapté aux besoins métaboliques locaux. / Postmenopausal women, when compared to men from the same age group, are more prone to develop ocular disease. It is thought that long term hormonal changes caused by ovarian senescence, and especially the drop in estradiol, are the etiological mechanism by which this phenomenon occurs. Whether variations in the levels of endogenous sexual hormones can produce short term effects in the tissues of the eye is less understood and, therefore, constitutes the main reason for carrying out the present study. Given that non menopausal women have repeated short term changes in the levels of sex steroid hormones during their menstrual cycle, we have recruited such women as study subjects. We also reviewed the scientific literature to establish what would be the parameter of interest and found a well characterised phenomenon: estrogens promote vasodilation by increasing nitrogen oxide production and thus promote a rise in blood flow. As to measuring variations in blood flow within the eye, it was explained in the discussion of the present memoir that changes in the oxygenation of an organ with a constant metabolism are induced by changes in the blood flow irrigating that organ. Using a method based on spectroreflectometry, it is possible to measure oxyhaemoglobin levels (HbO2) in the capillaries of the optic disc. By studying the variation of the HbO2 levels during the menstrual cycle, we can appreciate the effect of the cyclic hormonal changes on the ocular blood flow. The supply in oxygen and nutrients brought to an organ by its blood flow is essential for its metabolism. Therefore, the discovery of a correlation between sex hormone levels and the oxygenation of the retina would prove to be an important step towards understanding the higher frequency of certain ocular diseases in postmenopausal women, as compared to men of the same age group. The results of our study show that HbO2 levels in the capillary beds of the optic disc do not undergo statistically significant variations during the menstrual cycle. The same results were found, during a similar observational period, for male subjects used in the study as controls. These results suggest that cyclic variations in the levels of sex hormones, which occur only in nonmenaopausal women, do not induce significant changes in the oxygenation of the optic disc. In short, despite the possible effect of estrogens on the arteriolar diameter, it seems that local regulatory mechanisms of the blood flow maintain a tissue in a state of equilibrium that is adapted to its specific metabolic demand.

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