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The pathway of achieving the universal health coverage in Ghana : the role of social determinants of health and “health in all policies” / La voie à suivre pour atteindre la couverture sanitaire universelle au Ghana : le rôle des déterminants sociaux de la santé et de "la santé dans toutes les politiques"

Asomaning Antwi, Abena 29 March 2019 (has links)
Le concept de Couverture Santé Universelle (CSU) est désormais mondialement accepté comme un moyen de fournir équitablement des soins de santé aux populations. Découlant du troisième Objectif de développement durable des Nations Unies (ODD). Le Ghana, a lancé en 2003 sa propre forme de couverture sanitaire universelle en créant un Régime national d’assurance maladie et la mise en œuvre de services de santé extrahospitaliers de proximité (community-based). Cependant, après plus d'une décennie de mise en œuvre, la CSU ghanéenne a stagné. Afin de comprendre et d’expliquer ce phénomène, cette recherche examine la mise en œuvre du Régime national d’assurance maladie ghanéen du point de vue des déterminants sociaux de la santé. Il étudie ses implications pour la croissance (en termes d’inscription et de renouvellement) dans le cas où le principe complémentaire de promotion de la santé dans toutes les politiques publiques, pour prendre en compte le rôle des déterminants sociaux de santé. L’étude repose sur une méthode essentiellement qualitative, complétée par des données quantitatives. L’analyse permet de soutenir empiriquement l’argument d’une meilleure prise en compte des déterminants sociaux de santé au Ghana. La recherche montre également que l’existence d’une tension entre une approche purement volontaire de la mise en œuvre de la Couverture Santé Universelle et l’approche quasi obligatoire adoptée au Ghana. En conclusion, la recherche montre que la stratégie actuelle adoptée par le Ghana, n’est pas financièrement soutenable. / The Universal Health Coverage (UHC) has become a globally accepted concept and medium of providing healthcare to populations equitably and it’s a goal from the third Sustainable Development Goals (SDG), to be achieved by 2030. It has been described as one of the most progressive concepts to transform lives. Ghana in 2003 initiated its own form of the UHC through the establishment of the National Health Insurance Scheme (NHIS) and the continuation of the Community Health-Based Planning and Services (CHPS) implementation. It was a political decision which brought together different interest groups. The implementation of this decision saw healthcare expenditure shoot up to 10.6 percent as a share of Gross Domestic Product (GDP) in 2007. After more than a decade, the UHC (NHIS) has stagnated in growth. This study looks at the NHIS’ implementation from the point of view of the Social Determinants of Health (SDH) and what it could mean for growth if the Health in All Policies (HiAP) concept was applied. Through the use of Kingdon’s theoretical framework in terms of multiple-streams framework and agendas, alternatives and public policies, the policy process and environment are assessed. The research method used was qualitative case study. Some of the research outcomes were that there are undercurrents of tensions existing between a purely voluntary approach to the implementation of the UHC policy and the quasi-compulsory approach adopted by the country. In conclusion, the research finds that financially, it is not feasible to continue with the current strategy. There is the need to seek better institutional complementarities in pursuant of the UHC and adoption of the SDH.
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Les facteurs d'apparition et de maintien de la vulnérabilité sociale : parcours de vie d'individus en situation de vulnérabilité à Sherbrooke

Charette, Maxime January 2017 (has links)
La question de recherche du présent mémoire : « Quels sont les facteurs d’apparition et de maintien de la vulnérabilité sociale associés aux parcours de vie d’individus en situation de vulnérabilité à Sherbrooke? » s’intéresse au concept de vulnérabilité sociale. Plus spécifiquement, nous cherchons à circonscrire ce concept en le différenciant des concepts de pauvreté et d’exclusion sociale tout en le liant à du contenu expérientiel à l’aide d’une posture inductive et constructiviste. Pour y parvenir, nous analysons les parcours de vie de cinq individus vulnérables résidant à Sherbrooke et qui font appel à des services d’organismes communautaires. Afin de bien baliser l’étendu des parcours analysés, la recherche se base sur un cadre conceptuel riche incluant la théorie de la structuration de Giddens (1997), la théorie des parcours de vie de Bernard (2006), la théorie des capitaux de Bourdieu (1997) et une conceptualisation des facteurs basée sur les déterminants sociaux de la santé de l’Organisation mondiale de la santé (2013) insérée dans un système écologique simplifié en 3 niveaux (individuel, social et macrosocial). La présente étude dresse donc un portrait rigoureux et holistique des différents facteurs entourant l’individu, son environnement social et l’interaction entre les deux de façon à approfondir les éléments clés associés à la vulnérabilité sociale. Nous avons ensuite réalisé une analyse de codification émergente liée directement aux parcours de vie retenus et une deuxième analyse basée plus spécifiquement sur la théorie de la structuration afin de bien identifier les facteurs de vulnérabilité sociale présents. Par le fait même, nous nous sommes également intéressés à l’interinfluence entre les facteurs individuels, sociaux et macrosociaux en dressant un portrait du processus d’apparition et de maintien de la vulnérabilité sociale en lien avec les dynamiques d’action des participants. Nous avons finalement proposé des pistes de réalisations concrètes visant la prévention et le rétablissement chez des personnes pouvant vivant un épisode. Parmi les constats présentés, nommons un paradoxe observé au sein de plusieurs services gouvernementaux où les réponses offertes risquent continuellement de porter préjudice aux requérants. En effet, nous observons un glissement entre les messages d’humanité portés par les politiques publiques et leur opérationnalisation souvent négligente auprès des populations vulnérables. Nous remettons ainsi en question certaines tendances néolibérales « à la mode » visant à individualiser les problèmes sociaux ou encore à responsabiliser l’individu face à des enjeux sociaux. Il apparaît clair qu’un système d’aide particulariste (non universaliste) alimente les stigmates entourant les bénéficiaires et complique bien souvent inutilement les expériences souffrantes vécues tôt ou tard par la population.
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L'abus d'alcool chez les travailleurs canadiens : le rôle de la profession, du secteur économique et du genre

Charbonneau, Martin January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Épidémiologie de la croissance infantile : étude de déterminants sociaux et biologiques auprès d'enfants âgés de 6 à 18 mois en Colombie

Alvarado Llano, Beatriz Eugenia January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Occupational Exposures as Social Determinants of Aging / Expositions de Travail : Déterminants Sociaux de la Vieillissement

Sabbath, Erika 16 April 2012 (has links)
Cette thèse s’intéresse à la contribution des expositions professionnelles —chimiques, biomécaniques, et psychosociaux—tout au long de la vie dans les inégalités sociales de santé liés au vieillissement. Les trois papiers de la thèse essaient de combler les lacunes dans les connaissances sur les effets à long terme des expositions professionnelles et la contribution des expositions individuelles et conjointes dans ces inégalités. Le premier papier cherche à savoir si le niveau d’éducation atteint dans l’enfance modifie l’effet de l’exposition professionnelle aux solvants au cours de la carrière sur la fonction cognitive après 55 ans.. Nous avons trouvé que l’effet de l’exposition aux solvants sur la fonction cognitive était différent selon le niveau d’éducation.. Le deuxième papier discute les effets combinés des expositions biomécaniques et psychosociaux au cours de la vie professionnelle sur la santé physique et fonctionnelle après la retraite. Nous avons trouvé qu’une forte exposition à la fois aux risques physiques et psychosociaux au cours de la vie active est associée à une capacité fonctionnelle bien plus faible après la retraite que l’exposition à un seul type de risques. Aussi, l’effet était différent chez les hommes et chez les femmes. Le troisième papier est un papier méthodologique qui discute des alternatives aux formes longues des échelles généralement utilisées pour évaluer les expositions biomécaniques au travail. Nous avons cherché à vérifier si la question « Trouvez-vous votre travail fatiguant physiquement?» pourrait être une mesure de substitution acceptable pour évaluer des expositions détaillées.. Nous avons comparé la mesure à un item à une mesure plus complète de 38 expositions spécifiques dans huit domaines. Nous avons trouvé que la mesure à un item était plus valide chez les participants fortement exposés à des contraintes biomécaniques de travail. En somme, cette thèse a montré que les expositions professionnelles peuvent à la fois exacerber les disparités existantes en matière de santé et les perpétuer au delà de la retraite. / This dissertation focuses on how occupational exposures throughout the lifecourse—chemical, physical, and psychosocial—contribute to social patterns in aging outcomes, addressing the gap in knowledge about lasting effects of occupational exposures and the contribution of individual and combined exposures to social patterns in aging. The first paper explores whether childhood educational attainment modifies effects of occupational solvent exposure during the career on cognitive function after age 55. We found differential effects of solvent exposure on cognition by educational attainment. The second paper looks at combined physical and psychosocial exposures during working life and effects on physical health and functioning after retirement. This paper finds that high exposure to both physical and psychosocial hazards at work is associated with worse functional capacity in retirement than exposure to either one separately; the pattern of this relationship differs for men and women. The third paper is a methodology paper exploring alternatives to extensive testing batteries often used to evaluate physical workplace exposures. We tested whether the question “Do you find your work physically strenuous?” was an acceptable proxy measure for more detailed exposure assessments by comparing the measure to a comprehensive self-report measure of 38 specific biomechanical strains across eight domains. We found that the measure was most valid in the populations that were most highly exposed to physical strains at work. In general, this dissertation found that occupational exposures can exacerbate existing disparities in health and perpetuate disparities into and beyond retirement.
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Déterminants sociaux des consommations d'alcool dans la cohorte gazel

Zins, Marie 22 June 2011 (has links) (PDF)
Les travaux présentés concernent essentiellement l'étude de certains déterminants sociaux des consommations d'alcool. Il s'agit d'analyser comment certains aspects des circonstances de vie, de travail et l'environnement social peuvent influencer ce comportement et modifier les consommations d'alcool au cours du temps.Ces analyses ont été menées dans la cohorte Gazel, composée de plus de 20 000 sujets(15 000 hommes et 5 000 femmes) employés d'EDF‐GDF et âgés de 35 à 50 ans à l'inclusion en 1989. Les déterminants étudiés sont les conditions de travail, le statut marital des femmes et les changements de statut au cours de la vie, ainsi que le passage à la retraite.Globalement, on observe que l'environnement professionnel, familial et social sont desdéterminants de l'évolution des habitudes de consommation, et jouent un rôle souvent socialement différencié, les différentes catégories sociales ne se comportant habituellement pas de la même façon dans des situations comparables.
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L'abus d'alcool chez les travailleurs canadiens : le rôle de la profession, du secteur économique et du genre

Charbonneau, Martin January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Santé mentale des femmes enceintes et développement de l'enfant / Maternal mental health in pregnancy and child development

Lochard, Gladys 09 December 2014 (has links)
Les objectifs ont été de décrire le bien-être psychologique des femmes enceintes en France et le recours à un professionnel de santé en cas de problème. Puis, d'étudier les relations entre la dépression, l'anxiété des femmes enceintes d'une part et le devenir néonatal et le développement précoce de l'enfant d'autre part.Les données se sont basées sur l'Enquête nationale périnatale de 2010 qui comprend un échantillon représentatif des femmes enceintes en France, et sur l'étude EDEN, qui comprend une cohorte de femmes enceintes recrutées pendant la grossesse et suivies avec leur conjoint et leur enfant jusqu'à l'âge de 3 ansEn France, la prévalence d'un mal-être psychologique des femmes au cours de la grossesse a été estimée à environ 9% en 2010. Ces troubles étaient le plus souvent non dépistés et non traités. Des caractéristiques sociales différentes étaient associées à ces troubles et au recours à un professionnel de santé pour ces difficultés psychologiques. Cette étude a également apporté des arguments en faveur d'un lien entre la présence de symptômes dépressifs et anxieux modérés chez les femmes enceintes et la survenue d'une prématurité spontanée d'une part, et d'un lien entre une anxiété maternelle prénatale et des retards de développement cognitif précoce de l'enfant d'autre part.Les femmes enceintes pourraient probablement bénéficier d'une approche globale associant une évaluation médicale, psychosociale et environnementale dès le début de la grossesse. Un soutien approprié aux femmes enceintes pourrait permettre un meilleur vécu de la grossesse et possiblement une réduction des complications néonatales et postnatales.. / Objectives : The primary objective of this study was to describe the psychological well-being of women during pregnancy in France and the access to a health professional's consultation for psychological problems. The other objectives were to investigate the relation between antenatal maternal depression, anxiety and neonatal outcome, as well the relation between these maternal conditions and their children’s early cognitive development. Methods : The study was based on the 2010 French National Perinatal Survey, which included all births in French maternity units during a one-week period (N=14 326 women) and from the EDEN study, which is a French cohort of prenatal and early postnatal determinants of child health and development. After birth, children were followed-up until 3 years old. Results : In France in 2010, 9% of women reported poor self-rated mental health during pregnancy. Most of these women were not diagnosed and not treated. Sociodemographic characteristics indicative of social disadvantage were associated with a higher risk of poor self-rated mental health. However, more favorable social characteristics were associated with a consultation of health professional for these psychological difficulties. Significant associations were found between maternal antenatal anxiety and depression and spontaneous preterm birth. After birth, significant associations were found between mothers’ antenatal anxiety and their children’s cognitive impairment. Discussion : All pregnant women should benefit from an evaluation of their psychosocial and medical environment. Appropriate psychological screening and support of pregnant women could probably improve pregnancy experience and reduce neonatal and post-natal complications.
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Evolution de l’activité professionnelle des femmes pendant la grossesse en France : Enquêtes nationales périnatales de 1972 à 2016 / Evolution of Occupational Activity of Women during Pregnancy in France : French National Perinatal Survey from 1972 to 2016.

Vigoureux, Solène 27 June 2018 (has links)
Contexte et objectifs : Le taux d’activité des femmes a augmenté régulièrement depuis les années 1970 et les femmes sont de plus en plus souvent en emploi au moment où elles vont avoir une grossesse. Ce travail a pour principal objectif de décrire et comprendre les liens entre l’activité professionnelle et la grossesse. Tout d’abord, en comparant les taux d’activité professionnelle selon que les femmes sont enceintes ou appartiennent à la population féminine générale. Dans un second temps, en observant comment le groupe professionnel et le statut de l’emploi occupé influencent le moment de l’arrêt de travail pendant la grossesse. Enfin la troisième partie analyse l’impact de la position sociale, définie d’abord par le statut d’emploi des femmes et prenant en compte leur situation de couple et l’emploi du partenaire, sur la surveillance pendant la grossesse et les issues périnatales.Méthodes et population : Les données ont été extraites des Enquêtes Périnatales Nationales (ENP) en 1972, 1981, 1995, 1998, 2003, 2010 et 2016 et des données du recensement Une comparaison de l’activité professionnelle des femmes enceintes et de la population générale des femmes en France métropolitaine en fonction de l’âge et du niveau d’études, a été effectuée. Une modélisation de l’activité professionnelle pendant la grossesse en fonction des caractéristiques sociodémographiques, de la période entre 1972 et 2016 et de la génération de naissance, a été réalisée. Une analyse des femmes qui travaillaient pendant la grossesse en 2010 et en 2016 a été menée pour déterminer les moments de l’arrêt de l’activité professionnelle au cours de la grossesse, selon la situation médicale et la position sociale des femmes, en s’intéressant à l’arrêt précoce, avant 24 semaines d’aménorrhée (SA), et à l’arrêt tardif, après 36 SA révolues. Une analyse entre 1995 et 2016 a permis de décrire la surveillance prénatale et les issues périnatales en fonction du statut d'emploi des femmes et de leur partenaire pendant la grossesse.Résultats : Comme dans la population générale, le taux d’emploi des femmes enceintes a augmenté régulièrement entre 1972 et 2016, de 53 à 74 %. En 2016, 32 % des femmes qui travaillent pendant la grossesse se sont arrêtées avant 24 SA, et 2 % après 37 SA. Il existe des inégalités sociales autour des arrêts de l’activité professionnelle: les femmes ayant les situations sociales les plus défavorables s’arrêtent précocement pendant leur grossesse, alors que les femmes qui s’arrêtent tardivement ont des situations socioprofessionnelles plus favorisées, quelle que soit leur situation médicale. Entre 1995 et 2016, les différences selon la position sociale des femmes enceintes observées pour la surveillance prénatale et les issues périnatales se réduisent mais persistent.Conclusion : Les transformations majeures du rapport à l’emploi des femmes au cours des dernières décennies peuvent modifier les pratiques des soignants prenant en charge les femmes enceintes. La majorité des femmes enceintes sont des femmes en emploi rémunéré et la discussion de l’arrêt de l’activité professionnelle au cours de la grossesse doit s’évaluer au regard de la situation médicale mais aussi de la situation sociale et professionnelle. Une attention particulière doit être portée aux femmes plus défavorisées, soit au chômage ou sans activité professionnelle déclarée, soit ayant une situation précaire dans l’emploi, car ces femmes ont une initiation des soins plus tardive et des issues périnatales plus défavorables que les femmes qui travaillent avec une position sociale plus favorisée. / Background and objectives: The occupational activity rate of women is steadily increasing since the 1970s, and women are more and more often in employment when they are in childbearing age. The main purpose of this work is to describe and understand the links between occupational activity and pregnancy. First, by comparing employment rates according to whether women are pregnant or belong to the female general population. In a second step, by observing how their occupational group and status is linked to the timing of prenatal leave. Finally, the third part analyzes the impact of the social position, defined by the employment status of women and taking into account their couple status and the employment of the partner, on the antenatal care and perinatal outcomes.Methods and population: The data were extracted from the French National Perinatal Surveys of 1972, 1981, 1995, 1998, 2003, 2010 and 2016 and the Census. A comparison of the employment rate of pregnant women and the general population of women in continental France, by age and level of education, was carried out. A modelization of the employment rate of women during pregnancy was realized according to the socio-demographic characteristics, the survey period from 1972 to 2016, and the birth generation. An analysis of women working during pregnancy in 2010 and 2016 was conducted to determine the time of prenatal leave, according to the medical situation and the social position of women, focused on early leave, before 24 weeks of gestation (WG), and late leave, after 36 WG. For the period 1995 to 2016, prenatal care and perinatal outcomes were analyzed according to the employment status of women, taking into account their couple situation and partner’s employment.Results: As in the general population, rate of occupational activity of pregnant women shown a steadily increasing, between 1972 and 2016, from 53% to 74%. In 2016, 32% of women working during pregnancy leave their job before 24 WG, and 2% after 37 WG. Social inequalities exists around maternity leave: women with the most unfavorable social situations stop early, while self-employed women and those with more favorable social and occupational situations leave late, even after stratification for the medical situation. From 1995 to 2016, the differences in antenatal care and perinatal outcomes according to the social position of pregnant women are always observed despite a reduction.Conclusion: The major changes in the relationship to women's occupational activity in recent decades may change the practices of caregivers for pregnant women. A majority of pregnant women had a paid job and the date of prenatal leave should be discussed in relation to the medical situation but also considering the social and occupational status. Special attention should be given to the most disadvantaged women, either unemployed or without a legal job, or having a precarious occupational situation, since these women have a later initiation of care and more unfavorable perinatal outcomes.
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Inégalités socioéconomiques, contraintes psychosociales au travail et données administratives sur la dépression : résultats du PROspective Québec

Bruno Pena Gralle, Ana Paula 13 December 2023 (has links)
Contexte : On estime à plus de 300 millions le nombre de personnes atteintes de troubles dépressifs dans le monde, ce qui en fait la principale source d'années vécues avec un trouble mental. Les mécanismes sous-jacents de la dépression sont mal compris, mais l'importance des facteurs socioéconomiques et psychosociaux est de plus en plus reconnue. Des études antérieures ont observé des risques plus élevés de dépression chez les personnes ayant un faible statut socioéconomique et chez celles exposées aux contraintes psychosociales au travail. Cependant, il y a plusieurs lacunes dans les connaissances sur : 1. la validité des données administratives pour mesurer la dépression chez les travailleurs; 2. les voies causales liant les inégalités socioéconomiques et les contraintes psychosociales au travail à l'incidence de la dépression; et 3. des études prospectives sur la proportion de cas de dépression attribuables à l'exposition à des contraintes psychosociales au travail. Objectifs :1. Évaluer la validité des mesures de dépression à partir des données administratives de la Régie d'assurance maladie du Québec. 2. Estimer les effets des indicateurs socioéconomiques (éducation, revenu familial et type d'occupation) et des contraintes psychosociales au travail (job strain et déséquilibre effort-reconnaissance) sur l'incidence de la dépression et la contribution de ces contraintes au gradient socioéconomique de la dépression. 3. Estimer les fractions populationnelles de cas de dépression attribuables à l'exposition aux contraintes psychosociales au travail. Les objectifs ont été investigués séparément chez les hommes et chez les femmes. Méthodes : Une étude prospective comportant initialement 9 188 cols blanc de Québec a été réalisée. La validité des données administratives a été évaluée par sa sensibilité, spécificité et concordance avec le Composite International Diagnostic Interview - Short Form (CIDI-SF). On a estimé des analogues interventionnels randomisés des effets directs des indicateurs socioéconomiques et des effets indirects médiés par les contraintes psychosociales au travail. Des fractions attribuables populationnelles ont été estimées à partir d'une méthode Kaplan-Meier pondérée. Résultats 1. Les données administratives de dépression ont une spécificité ≥ 96%, sensibilité de 19-32% et concordance (κ de Cohen) de 0,21-0,25 avec les données du questionnaire CIDI-SF. En analyse de groupes connus, les cas administratifs de dépression étaient comparables aux cas du CIDI-SF (risque relatif pour les femmes : 1,80 vs. 2,03 respectivement; âge < 58 ans: 1,53 vs 1,40; absence de formation universitaire : 1,52 vs 1,28; détresse psychologique : 2,21 vs 2,65). 2. L'incidence de la dépression chez les femmes était de 33,1 par 1000 personnes-années et de 16,8 chez les hommes. Parmi eux, un faible statut socioéconomique était un facteur de risque pour la dépression [faible éducation : rapport de taux 1,72, (intervalle de confiance à 95% 1,08-2,73); faible revenu familial : 1,67 (1,04-2,67); type d'occupation moins prestigieuse: 2,13 (1,08-4,19). Pour la population entière, l'exposition aux contraintes psychosociales au travail était associée à un risque accru de dépression [job strain : 1,42 (1,14-1,78); déséquilibre effort-reconnaissance (DER) : 1,73 (1,41-2,12)]. Les effets indirects estimés des indicateurs socioéconomiques sur la dépression médiée par le job strain variaient de 1,01 (0,99-1,03) à 1,04 (0,98 - 1,10). 3. La fraction populationnelle estimée de cas de dépression attribuables au job strain était de 15,9% (3,8-28,0%) et au DER de 21,9% (9,5-34,3%). Conclusion 1. Bien que les algorithmes de cas administratifs saisissent une dimension différente de la dépression que les cas CIDI-SF, aucune des deux sources de données est supérieure à l'autre pour identifier et quantifier les facteurs de risque de dépression dans de grandes études épidémiologiques. 2. Chez les hommes, un faible niveau de scolarité, un faible revenu familial et une occupation moins prestigieuse étaient des facteurs de risque notables pour l'incidence de la dépression. Les contraintes psychosociales au travail étaient aussi associées à une incidence plus élevée de dépression chez les hommes et les femmes. Cependant, les indicateurs de statut socioéconomique et les contraintes psychosociales au travail ne semblent pas fonctionner sur une voie causale commune vers la dépression, ce qui suggère plutôt une indépendance de leurs effets. Seul le job strain a montré une légère tendance à médier le gradient socio-économiquede la dépression. 3. Les contraintes psychosociales au travail, principalement le DER, pourraient être responsables de plus de 20 % de tous les cas de dépression survenus dans notre cohorte au cours d'un suivi de 3 ans. / Background: The number of people afflicted with depressive disorders is estimated to be over 300 million people worldwide, which makes them the largest contributor to years lived with a mental disorder. The underlying mechanisms of depression are poorly understood, but recognition of the importance of socioeconomic and psychosocial factors is growing. Previous studies have observed higher risks of depression in people with low socioeconomic status and in those exposed to psychosocial stressors at work. However, there are several knowledge gaps regarding: 1. the validity of administrative data to measure depression in working populations; 2. the causal pathways linking socioeconomic inequality and psychosocial stressors at work to the incidence of depression; and 3. prospective studies on the proportion of cases of depression due to exposure to psychosocial stressors at work. Objectives: 1. Assess the validity of depression measures based on administrative data from the Régie d'Assurance Maladie du Québec. 2. Estimate the effects of socioeconomic indicators (education, family income and type of occupation) and psychosocial stressors at work (job strain and effort-reward imbalance) on the incidence of depression, and the contribution of the stressors to the socioeconomic gradient of depression. 3. Estimate the population fractions of cases of depression attributable to exposure to psychosocial stressors at work. The objectives were investigated separately for men and women. Methods: A prospective study was realized with initially 9 188 white-collar workers from Quebec. The validity of the administrative data was assessed by its sensitivity, specificity, and concordance with data from the Composite International Diagnostic Interview - Short Form. Randomized interventional analogues of the direct effects of socioeconomic indicators and of their indirect effects mediated by psychosocial stressors at work were estimated. Population attributable fractions were estimated using a weighted Kaplan-Meier method. Results: 1. Administrative depression data have specificity ≥ 96%, sensitivity of 19-32%, and concordance (Cohen's κ) of 0.21-0.25 with CIDI-SF questionnaire data. In known groups analysis, administrative cases of depression were comparable to CIDI-SF cases (relative risk for women: 1.80 vs. 2.03, respectively; age < 58 years: 1.53 vs. 1.40; no university degree: 1.52 vs 1.28, psychological distress: 2.21 vs 2.65). 2. The incidence of depression in women was 33.1 per 1000 person-years, and in men, 16.8. In men, [low education: hazard ratio 1.72, (95% confidence interval: 1.08-2.73); low family income: 1.67 (1.04-2.67); less prestigious occupation: 2.13 (1.08-4.19)]. In the entire population, exposure to psychosocial stressors at work was associated with increased risk of depression [job strain: 1.42 (1.14-1.78); effort-reward imbalance (ERI) 1.73 (1.41-2.12)]. The estimated indirect effects of socioeconomic indicators on depression mediated through job strain ranged from 1.01 (0.99-1.03) to 1.04 (0.98-1.10). 3. The estimated population fraction of cases of depression attributable to job strain was 15.9% (3.8-28.0%) and to ERI 21.9% (9.5-34.3%). Conclusion 1. Although administrative case algorithms capture a different dimension of depression than do CIDI-SF cases, neither of these data sources is superior to the other in the context of large epidemiological studies aiming to identify and quantify risk factors for depression. 2. Among men, low education, low family income and less prestigious occupation were notable risk factors for the incidence of depression. Psychosocial stressors at work were also associated with a higher incidence of depression in both men and women. However, indicators of socioeconomic status and psychosocial stressors at work do not seem to lie on a common causal path towards depression, which suggests rather that their effects are independent. Only job strain showed a slight tendency to mediate the socioeconomic gradient of depression. 3. Psychosocial stressors at work, mainly ERI, may be responsible for more than 20% of all cases of depression occurring in our cohort during a 3-year follow-up.

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