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Impacts de la participation aux activités organisées sur la détresse psychologique d’élèves-athlètes au secondaire

Sabourin, Camille 04 October 2023 (has links)
Malgré les preuves empiriques soulignant l’augmentation de la détresse psychologique à l’adolescence, s’engager dans des activités organisées (c.-à-d., les sports scolaires, les sports communautaires et les activités non sportives) pourrait exercer une influence protectrice. Cependant, les mesures de confinement à domicile mises en place durant la pandémie de COVID-19 ont entraîné des changements soudains dans la vie de tous. Pour les élèves-athlètes du secondaire, ces changements ont signifié passer à l’enseignement en ligne, réduisant considérablement leurs activités sociales. Les chercheurs ont exprimé des inquiétudes quant aux conséquences potentielles de ces changements drastiques sur la détresse psychologique des adolescents. La présente thèse doctorale vise à explorer les impacts de la participation aux activités organisées sur la détresse psychologique d’élèves-athlètes au secondaire à l’aide de trois études. Des élèves-athlètes canadiens (n = 930) de la 11e et 12e année ont été recrutés à l’année 1 (T1 ; année scolaire 2019-2020) en répondant à un questionnaire annuel en ligne qui mesurait : (a) la participation à des sports scolaires au secondaire, (b) la participation à des sports communautaires, (c) la participation à des activités parascolaires non sportives et (d) la détresse psychologique (études 1 et 3). Un sous-échantillon de participants ayant rempli le questionnaire à l’année 1 ont aussi pris part à des entretiens individuels semi-structurés (étude 2). Trois types d’analyse de données ont été employés : l’analyse de classe latente (étude 1), l’analyse thématique déductive (étude 2) et l’analyse de covariance à mesures répétées (étude 3). L’analyse des classes latentes de l’étude 1 a indiqué qu’un modèle à deux classes (c.-à-d., classe 1 = étendue de participation étroite, détresse psychologique faible ; classe 2 = étendue de participation large, détresse psychologique modérée) était le plus approprié. Les résultats ont indiqué que malgré la probabilité divergente de participation à des activités organisées, les participants des deux classes latentes avaient une probabilité faible à modérée de présenter des niveaux élevés de détresse psychologique à l’année 1 (T1 ; année scolaire 2019-2020). L’analyse thématique déductive de l’étude 2 (année scolaire 2020-2021) a illustré les expériences des élèves-athlètes du secondaire en temps de COVID-19. Les résultats ont indiqué que le sport, avant l’arrivée du COVID-19, faisait partie intégrante de l’identité des participants. L’apparition de la pandémie de COVID-19 et la suspension des activités organisées auront induit des sentiments de confusion identitaire et de détresse psychologique. Néanmoins, beaucoup ont su faire preuve d’introspection et de résilience durant la pandémie de COVID-19. Finalement, l’analyse de covariance à mesures répétées de l’étude 3 n’a montré aucune relation statistiquement significative entre les trajectoires de participation aux activités organisées sur trois ans (c.-à-d., entre la poursuite, l’arrêt et la reprise du sport suite à la transition du secondaire) et les niveaux de détresse psychologique. Les résultats auront permis une perspective longitudinale de l’impact de la pandémie (T1, T2 et T3 ; années scolaires 2019-2020, 2020-2021 et 2021-2022) sur la détresse psychologique des élèves-athlètes, indiquant des scores de détresse psychologique modérée à chaque temps de mesure. Pris ensemble, les résultats de cette thèse apportent des contributions empiriques et pratiques à la littérature en permettant d’élucider la prémisse selon laquelle la participation au sport et aux activités parascolaires non sportives peut avoir un impact durable sur le développement des jeunes.
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Effets des contraintes psychosociales au travail sur la détresse psychologique et les absences médicalement certifiées pour problèmes de santé mentale : une étude prospective de 5 ans

Ndjaboue, Ruth 24 April 2018 (has links)
Contexte : Les effets cumulés des contraintes psychosociales du modèle déséquilibre efforts-reconnaissance (DER) sur la santé mentale sont peu connus. Aussi, peu d’études ont évalué les effets du DER sur des indicateurs objectifs de problèmes de santé mentale (PSM). Enfin, aucune étude prospective antérieure n’a évalué l’effet combiné des contraintes psychosociales du DER et du modèle demande-latitude (DL) et sur les PSM médicalement certifiés. La présente thèse vise à combler ces limites. Objectifs : 1) Mesurer l’effet de l’exposition cumulée au déséquilibre efforts-reconnaissance sur la prévalence de la détresse psychologique sur une période de cinq ans; 2) Mesurer l’effet du déséquilibre efforts-reconnaissance sur l’incidence des absences médicalement certifiées pour PSM sur une période de cinq ans; 3) Évaluer l’effet indépendant et l’effet combiné des contraintes psychosociales des modèles Demande-Latitude et Déséquilibre Efforts-Reconnaissance sur l’incidence des absences médicalement certifiées pour PSM sur une période de cinq ans. Méthodes : La cohorte était constituée de plus de 2000 hommes et femmes occupant des emplois de cols blancs. La collecte des données a été réalisée à trois reprises avec une moyenne de suivi de cinq ans. À chaque temps, les contraintes psychosociales et la détresse psychologique ont été mesurées à l’aide d’instruments validés. Les absences médicalement certifiées pour PSM ont été récoltées à partir des fichiers administratifs des employeurs. Les PSM ont été modélisés à l’aide des régressions log-binomiale et de Cox. Les analyses ont été réalisées séparément chez les hommes et les femmes, en ajustant pour les principaux facteurs de confusion. Résultats : Chez les hommes et les femmes, une exposition chronique au DER sur trois ans était associée à une prévalence plus élevée de la détresse psychologique. Les effets observés à trois ans ont persisté à cinq ans chez les hommes (Rapport de prévalence (RP)=1,91 (1,20–3,04)) et les femmes (RP=2,48 (1,97–3,11)). Ces effets étaient de plus grande amplitude que ceux observés en utilisant l’exposition initiale à l’entrée dans l’étude (de +0,30 à +0,94). Par ailleurs, les hommes et les femmes exposés au DER présentaient un risque plus élevé d’absences médicalement certifiées pour PSM (Risque relatif (RR)=1,38 (1,08–1,76)), comparés aux travailleurs non-exposés. La faible reconnaissance au travail était associée à un risque important d’absences pour PSM chez les hommes (RR=3,04 (1,46–6,33)) mais pas chez les femmes (RR=1,24 (0,90–1,72)). Chez les femmes uniquement, un effet indépendant du « job strain » (RR=1,50 (1,12–2,07)) et du DER (RR=1,34 (0,98–1,84)), ainsi qu’un effet de l’exposition combinée au « job strain » (demande psychologique élevée et faible latitude décisionnelle) et au DER (RR=1,97 (1,40–2,78)) sur le risque d’absences médicalement certifiées pour PSM ont également été observés. Conclusion : Les résultats de cette thèse supportent l’effet délétère de l’exposition au DER sur la prévalence de la détresse psychologique et sur le risque d’absences médicalement certifiées pour PSM chez les hommes et les femmes. Chez les hommes et les femmes, l’exposition cumulée au DER était associée à une prévalence élevée de la détresse psychologique à trois ans et à cinq ans. De plus, les contraintes psychosociales du DER ont été associées aux absences médicalement certifiés pour PSM. Chez les femmes particulièrement, un effet combiné du « job strain » et du DER était associé à un risque plus élevé d’absences médicalement certifiées pour PSM, que l’exposition à un seul des deux facteurs. Ces résultats suggèrent que la réduction des contraintes psychosociales au travail pourrait contribuer à réduire l’incidence des PSM, incluant les absences médicalement certifiées pour PSM. / Context: There is a lack of scientific evidence concerning the cumulative effects of adverse psychosocial work factors from the Efforts-Reward Imbalance (ERI) model on mental health. Also, previous studies mainly used self-reported mental health problems (MHP). There is a lack of studies investigating the effect of cumulative exposure to ERI. Finally, no previous prospective study has evaluated the effect of combined exposure to adverse psychosocial work factors from the Demand-Control (DC) and ERI models. The current dissertation aimed to address this gap in knowledge. Objectives: 1) Evaluate the effect of cumulative exposure to ERI on the prevalence of psychological distress and the persistence of this effect over a 5-year period. 2) Evaluate the effect of ERI on the 5-year incidence of medically certified sickness absence for MHP. 3) Examine the independent and combined effect of adverse work factors from the DC and ERI models on the 5-year incidence of medically certified sickness absence for MHP. Methods: This study was a prospective cohort study. More than 2,000 white-collar workers (63.3% women) from three public organizations were followed over a mean duration of five years. Psychosocial work factors and psychological distress were measured using validated self-administrated questionnaires at baseline, and at 3- and 5-year follow-ups. Medical absences from work were collected from employers’ files. Multivariate analyses were performed using the log-binomial and the Cox regression models. Analyses were performed separately for men and women, while controlling for confounders. Results: Compared to unexposed workers, men and women with repeated exposure to ERI at 3-year follow-up had a higher prevalence of high psychological distress. The deleterious effects observed at 3-year persisted at 5-year follow-up among women (PR=2.48 95% confidence interval (CI) 1.97–3.11) and men (PR=1.91 95% CI 1.20–3.04). These effects were stronger than those found when considering a single baseline measurement (+0.30 to +0.94). Also, men and women exposed to ERI had a higher risk of medically certified sickness absence for MHP, compared to unexposed (Hazards ratio (HR) =1.38, 95% CI 1.08–1.76) workers. Low reward was significantly associated with a high risk of medically certified sickness absence among men (HR=2.80, 95% CI 1.34–5.89) but not in women. (HR=1.24, 95% CI 0.90–1.73). Among women, high strain (1.50 95% CI 1.12–2.07) and ERI (1.34 95% CI 0.98–1.84) were each independently associated with medically certified sickness absence for MHP. Women having a combined exposure to high strain and ERI also had a higher risk of medically certified sickness absence for MHP than unexposed women (1.97 95% CI 1.40–2.78). The results provide no support for either the independent or the combined effect of high strain and ERI among men. Conclusion: The results from this dissertation provide support for the deleterious effect of ERI on the prevalence of psychological distress and the risk of medically certified sickness absence among both men and women. Among women, independent and combined effects of high strain and ERI on the risk of medically certified sickness absence for MHP were also observed. These results suggest that reducing adverse psychosocial work factors can help to reduce MHP, including medically certified sickness absence for mental health problems.
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Détresse psychologique et embêtements suivant la perte du conjoint chez des femmes âgées

Voyer, Louis 23 February 2022 (has links)
Le principal objectif de cette recherche est de vérifier la détresse psychologique et les embêtements suivant la perte du conjoint chez les femmes âgées. Pour ce faire, 99 femmes âgées mariées (M=68,73 ans) et 108 femmes en deuil (M=69,17 ans) depuis moins de trois ans (M=19,54 mois) ont été comparées. Tel que prévu, les résultats démontrent que les endeuillées vivent significativement plus de détresse psychologique. Elles présentent davantage de symptômes d'obsession-compulsion, de dépression et d'anxiété que les femmes mariées. Cependant, aucune différence significative n'a été observée entre les veuves âgées et les femmes mariées âgées sur la fréquence, l'intensité et la sévérité des embêtements. Les résultats révèlent néanmoins un lien entre la détresse psychologique et les embêtements. Ce résultat confirme qu'il existe une interaction entre les embêtements et la détresse psychologique mais que cette relation est indépendante du statut matrimonial. Des suggestions pour d'éventuelles recherches sont aussi abordées.
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Le rôle du sexe fœtal dans la réponse aux glucocorticoïdes anténataux en prévention du syndrome de détresse respiratoire : méta-analyse et revue systématique

Roberge, Stéphanie 17 April 2018 (has links)
Objectif : Déterminer le rôle du sexe en réponse aux glucocorticoïdes anténataux (GCA) pour la prévention du syndrome de détresse respiratoire (SDR). Méthode : Une revue systématique et une méta-analyse des essais randomisés contrôlés ont été réalisées afin de comparer les risques relatifs entre les garçons et les filles pour le risque de SDR, et secondairement, les hémorragies intraventriculaires (HIV) et la mortalité néonatale. Les risques relatifs globaux ont été calculés à l'aide du modèle à effets aléatoire avec des intervalles de confiance à 95 %. Résultats : Huit études ont rencontré les critères d'inclusion et ont été analysées. Nous n'avons pas démontré de différence significative entre mâles et femelles pour la diminution du risque de RDS (mâles RR: 0.50 [0.33, 0.77], femelles RR: 0.57 [0.43, 0.75], p=0.99), de l'HIV ou de la mortalité néonatale. Conclusion : L'évidence provenant de la littérature ne nous a pas permis d'observer de différences sexuelles dans la réponse aux GCA en prévention du SDR.
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Analyse intégrative des corrélats attributionnels et personnologiques de la détresse conjugale

Lafontaine, Marie-France 18 December 2021 (has links)
La présente étude vise à démontrer l'importance de modèles théoriques intégrateurs qui tiennent compte à la fois des processus attributionnels et des rôles sexuels pour expliquer la détresse conjugale. L'échantillon se compose de 256 couples francophones qui ont complété l'inventaire des rôles sexuels (Bern, 1976), l'Échelle d'attribution des conflits conjugaux (Lussier, 1993), de même que l'Échelle d'ajustement dyadique (Spanier, 1976). Les analyses d'équations structurales, conduites à l'aide du logiciel EQS, supportent généralement la valeur du modèle emboîté des attributions à soi et au partenaire, chez l'homme et chez la femme. Ainsi, le jugement de causalité, détermine l'attribution de la responsabilité qui à son tour influence le jugement du blâme. De plus, lorsque l'adaptation conjugale est ajoutée au modèle emboîté des attributions, des résultats significatifs sont obtenus; l'attribution du blâme constitue alors la variable qui détermine directement l'ajustement dyadique des participants. Les résultats permettent aussi de certifier la présence d'une relation de dépendance entre les rôles sexuels, mais surtout la féminité et l'ajustement dyadique. Les processus attributionnels ne jouent toutefois pas le rôle de médiateur entre les rôles sexuels et l'adaptation conjugale. L'effet de cumul de ces variables cognitives et personnologiques est démontré: les rôles sexuels et les attributions influencent de manière indépendante, mais simultanée l'ajustement conjugal des participants.
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Effets d'une exposition cumulée aux contraintes psychosociales du travail sur la prévalence de la douleur lombaire : une étude prospective de 24 ans

Matta Dias, Andréia 17 May 2024 (has links)
**Problématique et objectifs :** De nombreux facteurs contribuent au développement de la douleur lombaire, notamment les contraintes psychosociales au travail. De plus, les évidences suggèrent que des facteurs psychologiques, comme la détresse psychologique, contribuent à la relation entre les contraintes psychosociales au travail et la douleur lombaire. Toutefois, les données probantes sur ces associations proviennent principalement d'études transversales effectuées sur des populations hétérogènes. Cette étude visait à 1) évaluer l'association entre l'exposition cumulative à long terme aux contraintes psychosociales au travail et la prévalence de la douleur lombaire, et à 2) examiner si la détresse psychologique est un facteur de médiation entre l'exposition aux contraintes psychosociales au travail et la douleur lombaire. **Méthodes :** Les données de cette étude sont tirées de l'Étude prospective québécoise sur le travail et la santé, une cohorte de 9 188 travailleurs cols blancs de la ville de Québec, Canada, recrutés en 1991-1993 (T1) avec des suivis 8 (T2) et 24 (T3) ans plus tard. 6 662 travailleurs ont été inclus (participation : 72 % des éligibles à T1). Les contraintes psychosociales au travail (exigences psychologiques élevées, faible latitude décisionnelle et stress au travail ('*job strain*') ont été mesurées à T1 et T2 avec un instrument validé. La douleur lombaire (suffisamment sévère pour limiter les activités quotidiennes pendant plus d'une journée) a été évaluée à T3 avec un questionnaire standardisé (DOLBaPP-F). La détresse psychologique à T2 a été mesurée à l'aide d'une version validée de 14 items du *Psychiatric Symptom Index* (PSI). Des modèles de régression multivariés ont été utilisés pour évaluer si l'exposition ponctuelle et cumulative aux contraintes psychosociales au travail est associée à la prévalence de la douleur lombaire. De plus, le rôle potentiel de la détresse psychologique comme médiateur de la relation entre les contraintes psychosociales au travail et la douleur lombaire a été examiné à l'aide d'une décomposition à quatre facteurs. **Résultats :** La prévalence de la douleur lombaire à T3 était de 10 % (9,3 % chez les hommes et 10,7 % chez les femmes). L'exposition cumulée au '*job strain*' n'était pas associée à une prévalence plus élevée de douleur lombaire à T3 que l'exposition ponctuelle, mais il y avait une association entre l'exposition cumulée aux exigences psychologiques élevées et la douleur lombaire (rapport de prévalence - RP - et intervalle de confiance à 95% - IC95%: 1.81 (1.16 - 2.83) p<0.01). L'effet de la détresse psychologique sur la douleur lombaire par médiation trouvé dans cet échantillon était de 15,5 % de l'effet total, p=0,06. **Conclusions :** L'effet d'une exposition cumulée à des exigences psychologiques élevées au travail est supérieur à l'effet d'une exposition ponctuelle, ce qui n'est pas le cas pour le '*jobstrain*'. L'association entre l'exposition aux contraintes psychosociales au travail et la douleur lombaire n'est que marginalement attribuable à un rôle de médiation joué par la détresse psychologique. / **Background and objectives:** Many factors contribute to the development of low back pain,including psychosocial constraints experienced at work. Also, one of the ways by which psychological factors have been proposed to contribute to the relationship between psychosocial work factors like job *strain*, and low back pain, is mediation. Evidence,however, are mostly derived from cross-sectional studies conducted on heterogeneouspopulations. The aims of this study were to 1) assess the association between long-term cumulative exposure to psychosocial stressors in white-collar workers and the prevalence oflow back pain, and to 2) verify if psychological distress mediates the association between exposure to psychosocial stressors at work and low back pain. **Methods:** Data for this study were drawn from the *Prospective Quebec Study on Work and Health*, a cohort of 9 188 white-collar workers of Quebec City, Canada, recruited in 1991-1993 (T1) with follow-ups 8 (T2) and 24 (T3) years later. After excluding deaths and lossesto follow-up, 6 662 workers were included (participation: 72% of baseline). Psychosocial stressors at work (high psychological demands, low job control, and '*job strain*') were measured at T1 and T2 with the Karasek's questionnaire. Low back pain (severe enough tolimit daily activities for more than one day) was assessed at T3 with a standardized questionnaire (DOLBaPP-F). Psychological distress at T2 was measured using a validated14-item version of the Psychiatric Symptom Index (PSI). Multivariate regression models were used to assess whether one-point and cumulative exposure to psychosocial stressors atwork are associated with the prevalence of low back pain. Furthermore, the potential mediating role of psychological distress on the association between psychosocial stressors atwork and low back pain was examined with a four-factor decomposition. **Results:** The prevalence of low back pain at T3 was 10% (9.3% in men and 10.7% in women). The effect of cumulative exposure to '*job strain*' on low back pain was not more important than that of a one-point exposure, but cumulative exposure to high psychological demands was associated with higher prevalence of low back pain at T3 (Prevalence Ratio -PR - and 95% Confidence Interval - 95%CI: 1.81 (1.16 - 2.83) p<0.01). The effect ofpsychological distress on low back pain by mediation in this sample was 15.5%, P = 0.06. **Conclusions:** The effect of cumulative exposure to high psychological demands at work isgreater than the effect of a one-point exposure, which is not the case for '*job strain*'. The association between exposure to psychosocial constraints at work and low back pain is only marginally attributable to a mediating role played by psychological distress.
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Anxiété, tolérance à la détresse et sensibilité à l'anxiété : une intégration du modèle de Zvolensky

De Lafontaine, Marie-France 14 February 2020 (has links)
Ce mémoire a pour objectif de valider un modèle de tolérance à la détresse à cinq composantes et de déterminer si ces composantes sont associées à l’anxiété de participants adultes. Il cherche aussi à établir si la sensibilité à l’anxiété explique en partie l’association entre ces composantes et l’anxiété. Trois cents trente étudiants et employés de l’Université Laval ont été recrutés par courriel en utilisant une liste de distribution. Ceux-ci ont répondu à une série de questionnaires en ligne qui recueillaient des renseignements démographiques de même que des informations sur leur tolérance à la détresse, leur sensibilité à l’anxiété et leur niveau d’anxiété. Les résultats appuient la validité du modèle à cinq composantes et montrent que, bien que ce modèle soit significativement associé à l’anxiété, seules les composantes de tolérance aux états émotionnels négatifs et de tolérance à l’incertitude contribuent à cette association indépendamment des autres composantes du modèle. De plus, la sensibilité à l’anxiété est un médiateur partiel de l’association entre ces deux composantes et l’anxiété. Ce projet soutient l’importance de la tolérance aux états émotionnels négatifs et de la tolérance à l’incertitude comme facteurs transdiagnostiques de l’anxiété, et suggèrent que la sensibilité à l’anxiété serait un mécanisme explicatif de l’association entre ces composantes et l’anxiété.
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Fardeau des aidants dans le trouble cognitif léger amnésique

Mavounza, Céline 09 March 2019 (has links)
La présente thèse vise la caractérisation de la détresse émotionnelle et du fardeau des aidants de personnes se trouvant possiblement dans la phase prodromique de la maladie d’Alzheimer (MA), à savoir le trouble cognitif léger amnésique (TCLa). Dans la première étude (Chapitre 2), l’impact émotionnel perçu de plusieurs symptômes neuropsychiatriques (SNP) sur la détresse émotionnelle des conjoints et des enfants de personnes avec un TCLa est comparé à celui des enfants et conjoints de ceux qui ont la MA. La relation entre les SNP et la détresse émotionnelle est aussi examinée, de même que l’effet modérateur du sexe et de l’âge des aidants sur la détresse émotionnelle. Les analyses mettent en évidence l’absence de différence significative de détresse émotionnelle entre les aidants de personnes ayant un TCLa et ceux ayant la MA pour l’ensemble des SNP considérés. Les résultats rapportent un profil de détresse émotionnelle similaire entre les deux groupes de conjoints, de la MA et du TCLa, avec en tête de file la dépression, l’anxiété, l’apathie et l’irritabilité. Par contre, pour les aidants enfants, la détresse émotionnelle est significativement plus élevée pour ceux ayant un proche atteint de la MA. Par ailleurs, indépendamment de la relation de l’aidant avec le patient ou du diagnostic (TCLa vs MA) de ce dernier, il y a une relation positive entre la fréquence / gravité des SNP et la détresse émotionnelle des aidants de l’échantillon. L’effet du sexe et de l’âge des aidants sur la détresse émotionnelle due aux SNP n’a pas été démontré. Dans la seconde étude (Chapitre 3), la nature du fardeau (objectif et subjectif) et les symptômes anxieux et dépressifs sont caractérisés chez les époux aidants. Sont aussi explorées la morbidité psychologique et ses relations avec le fardeau, les caractéristiques sociodémographiques (c’est-à-dire le sexe et le niveau de scolarité) et la santé de physique de l’aidant. Les résultats suggèrent que les aidants présentent à la fois des niveaux élevés de fardeau subjectif et objectif et de morbidité psychologique (anxiété et dépression). Ils fournissent de nouveaux soins de santé, du soutien affectif et du transport à leur proche qui a un TCLa et près de la moitié d’entre eux vit un fardeau subjectif lié au stress. Dans l’échantillon, le fardeau subjectif des aidants prédit la sévérité de la dépression et de l’anxiété des aidants. De plus, lorsque l’on prend en considération les variables sociodémographiques et la santé physique de l’aidant, le niveau de scolarité est négativement associé à la dépression. Dans l’ensemble, cette thèse suggère que les aidants des personnes avec un TCLa pourraient avoir besoin d’interventions visant à réduire leur fardeau émotionnel. / The present thesis aims to characterize emotional distress and burden among caregivers of persons in amnestic mild cognitive impairment (aMCI), which is a probable prodromal stage of Alzheimer’s disease (AD). In the first study (Chapter II), the perceived emotional impact of a wide range of neuropsychiatric symptoms (NPS) was compared between children and spousal caregivers of patients with aMCI or AD. The association between the frequency and severity of NPS and caregivers’ emotional distress was also explored, as well as the relationship between age, sex, and caregivers’ emotional distress. The analyses revealed no significant difference in emotional distress between caregivers of persons with aMCI and with AD for all symptoms. The results indicate a similar emotional distress profile in both aMCI and AD spousal caregivers, with depression, anxiety, apathy, and irritability as the prominent symptoms. However, for children caregivers, emotional distress was significantly higher in caregivers of the AD group than those of the aMCI group. Furthermore, regardless of caregivers’ relationship to the patient or the latter’s condition (aMCI vs AD), there was a positive relationship between the frequency/severity of NPS and caregivers’ emotional distress. There was no effect of sex nor age of caregivers on the emotional distress due to NPS. In the second study (Chapter III), objective and subjective burden along with depressive and anxiety symptoms were investigated in spouses of persons with aMCI. The relationships between psychological morbidity, burden, background and context variables (e.g., sex, education, and health problems of caregivers) were also explored. Results suggested that caregivers have both high levels of subjective and objective burden as well as psychological morbidity (anxiety and depression). They provide new health-related care, emotional support and transportation to the care-recipient. Almost half of them experienced subjective burden associated to stress. In the sample, subjective burden of the caregivers predicted the severity of their depressive and anxious symptoms. Furthermore, when considering the background and context variables, the level of education was negatively associated with depression. As a whole, the results of this thesis indicate that children and spousal caregivers of person with aMCI may need or benefit from targeted interventions in order to reduce the emotional burden related to their role.
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Impact de l'homophobie sur la détresse psychologique et l'adaptation conjugale de couples de mères lesbiennes biologiques et non biologiques vivant au Canada et en France

Marcil-Denault, Florence January 2012 (has links)
Malgré les avancées sociales et juridiques considérables des personnes de minorités sexuelles, l'homophobie dont elles sont encore victimes nuit à leur bien-être (p. ex., Cochran & Mays, 2009; Hatzenbuehler, Nolen-Hoeksema, & Dovidio, 2009; Meyer, 2003). Cette thèse porte sur les expériences d'homophobie spécifiques auxquelles les femmes lesbiennes sont exposées dans l'accès à la maternité et leur rôle de parent. Les deux premiers objectifs consistaient à évaluer l'impact de l'homophobie vécue par des mères lesbiennes dans différents milieux (clinique de fertilité, avec le personnel de santé, en garderie et dans le voisinage) sur leur niveau de bien-être, soit 1) la détresse psychologique et, 2) l'adaptation conjugale. Le troisième objectif visait à évaluer si le soutien de la famille d'origine pouvait protéger les mères de l'impact néfaste anticipé de l'homophobie sur leur bien-être. Les quatrième et cinquième objectifs de cette thèse examinaient si le lien biologique de la mère à son enfant (biologique versus non biologique) et le pays de résidence des mères (Canada versus France) avaient une incidence sur la fréquence des expériences d'homophobie rapportées. Recrutées par le biais d'organismes de soutien aux familles homoparentales, 138 familles de mères lesbiennes en couple ayant eu au moins un enfant par insémination artificielle ont été retenues pour cette étude, dont 75 canadiennes et 63 françaises. Les données ont été recueillies au moyen de questionnaires autorapportés. Comme le soutenaient nos hypothèses, les analyses des résultats ont montré que les expériences d'homophobie vécues en milieu de garderie avaient un impact négatif sur le bien-être des mères. De plus, le soutien par la famille atténuait l'impact négatif de l'homophobie vécue avec le personnel de santé. Toutefois, le statut biologique et le pays de résidence n'étaient pas liés à la fréquence des expériences d'homophobie rapportées par les mères de notre échantillon. Les implications sociales et politiques ainsi que les limitations des résultats sont discutées. En conclusion, les résultats de cette thèse confirment, d'une part, l'impact négatif de l'homophobie sur le bien-être de mères lesbiennes favorisées, éduquées et soutenues par leur famille, et invitent d'autre part, à poursuivre la recherche auprès d'une population plus vulnérable. Enfin, le soutien par la famille d'origine étant apparu important comme facteur de protection, il serait intéressant de développer un instrument de mesure du soutien plus spécifique aux expériences d'homophobie.
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Effet d’une psychothérapie psychodynamique interpersonnelle sur les symptômes dépressifs d’une clientèle atteinte d’un trouble neurocognitif dû à la maladie d’Alzheimer

Bourassa, Stéphanie January 2016 (has links)
Le trouble neurocognitif dû à la maladie d’Alzheimer (TNMA) constitue un enjeu de santé publique incontournable en raison de son incidence et de ses conséquences désastreuses. En plus des atteintes cognitives et fonctionnelles qu'il engendre chez la personne qui en est atteinte, la TNMA implique la présence de symptômes psychologiques et comportementaux comme la dépression. Les quelques études qui ont tenté une intervention non pharmacologique ont essentiellement mesuré les changements comportementaux ou cognitifs, laissant peu de place au vécu émotionnel. De plus, les rares études qui ont inclus l’exploration des affects ont obtenu des résultats peu concluants, mais possiblement explicables par des lacunes méthodologiques. Le premier article de cette thèse comprend un survol de la littérature et la proposition d’un nouveau modèle de psychothérapie afin de traiter les symptômes dépressifs chez les personnes atteintes d’un TNMA. Inspiré de l’adaptation de Brierley et al. (2003) de la psychothérapie psychodynamique interpersonnelle pour les personnes atteintes d’un TNMA et de symptômes dépressifs, notre modèle tient compte des nouvelles connaissances sur la mémoire implicite, relativement préservée chez la personne atteinte d’un TNMA, et inclus un nombre de séances plus élevé (15 semaines) que dans la plupart des études documentées jusqu’à maintenant. Un devis expérimental à cas uniques (n = 4) combiné à un dispositif par lignes de base multiple a été adopté pour évaluer l’efficacité de ce modèle. L’évaluation des effets de l’intervention comprenait la Dementia Mood Assessment Scale (DMAS), la Cornell Scale for Depression in Dementia (CSDD) et le Dementia Quality Of Life (DQOL). Aussi, dans le but d’obtenir une mesure continue, les participantes ont évalué leur humeur et leur intérêt chaque semaine pendant l’étude. La DMAS et la CSDD ont aussi été complétées par un proche. Le deuxième article présente une étude exploratoire visant à mesurer le potentiel clinique du modèle proposé pour une participante. Le profil des trois autres participantes sont présentés dans la transition de cette thèse pour compléter le travail de recherche visant à mesurer les effets cliniques du modèle proposé. Bien que les résultats des différents suivis aient démontré une variabilité importante, il est possible de conclure qu’une amélioration significative à au moins une mesure clinique des symptômes de la dépression a été observée pour la majorité des participantes. Cette amélioration clinique a aussi été confirmée par les proches aidants. Enfin, malgré les limites de l’étude, celle-ci suggère que le modèle de psychothérapie psychodynamique interpersonnelle que nous proposons présente un certain potentiel d’efficacité thérapeutique avec une clientèle atteinte d’un TNMA et de symptômes dépressifs. La discussion générale de la thèse s’inspire des résultats de celle-ci afin de proposer de nouvelles adaptations, ainsi que des pistes de recherche futures devant permettre d’en mesurer l’efficacité.

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