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Il était une fois, suivi de La perspective Ajar : analyse sociopoétique de La vie devant soi de Romain GaryNorton-Poulin, Frédéric January 1999 (has links) (PDF)
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This isn't one to be told in the third person, social activism in the poetry and prose writing of Bronwen WallaceBlack, Laura January 2000 (has links) (PDF)
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La construction de l'altérité dans deux romans de Madeleine MonetteBakara, Nathalie January 2001 (has links) (PDF)
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Crise, résignation et espérance : les possibles des personnages de femmes matures et d'adolescentes dans la littérature préféministe québécoiseBeaulieu, Caroline, Beaulieu, Caroline 14 September 2022 (has links)
Ce mémoire propose une analyse des possibles fictifs des femmes matures et des adolescentes dans quatre romans préféministes québécois de la décennie 1960 : Le temps des jeux (1961) de Diane Giguère, Les remparts de Québec (1964) d’Andrée Maillet, Dis-moi que je vis (1964) de Michèle Mailhot et La saison de l’inconfort (1968) de Paule Saint-Onge. Ce corpus, qui n'a été que très peu étudié, couvre bien l’ensemble de la décennie et il présente différents personnages féminins : une adolescente illégitime, une adolescente née au sein d’un mariage bourgeois, une épouse sans enfant et une mère mariée. Ainsi, nous pouvons mieux cartographier le préféminisme, soit le moment où les femmes fictives désirent s’émanciper du système patriarcal en se posant comme sujet autonome du discours et non comme l’objet de celui-ci, tel qu’il s’exprime dans le roman des femmes. L’analyse décortique trois types de relation (à la famille, à l’homme et à soi), afin de répondre à la problématique suivante : comment, dans la littérature préféministe des années1960, les figures féminines, adultes ou adolescentes, extériorisent-elles leur mal-être sans parvenir à l’atténuer dans les relations qu’elles tissent tout au long de leur récit ? La perspective de ces romans préféministes est ainsi renouvelée, car les relations à la famille età l’homme ont déjà été étudiées dans des travaux antérieurs (Boisclair; Brown; Gaudreau; Saint-Martin), mais la relation la plus intime, celle à soi, et les figures d’adolescentes constituent les angles morts des précédentes recherches. Voici quelques thèmes liés à la condition féminine que nous étudions afin de comprendre le tracé d’une crise qui passe par la résignation et se termine dans l’espérance :la maternité, la sexualité, la violence conjugale, l’éducation, la mystique féminine et l’amitié entre femmes. Nous pouvons ainsi mieux comprendre les possibles et les écueils du préféminisme littéraire.
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Crise, résignation et espérance : les possibles des personnages de femmes matures et d'adolescentes dans la littérature préféministe québécoiseBeaulieu, Caroline 13 December 2023 (has links)
Ce mémoire propose une analyse des possibles fictifs des femmes matures et des adolescentes dans quatre romans préféministes québécois de la décennie 1960 : Le temps des jeux (1961) de Diane Giguère, Les remparts de Québec (1964) d'Andrée Maillet, Dis-moi que je vis (1964) de Michèle Mailhot et La saison de l'inconfort (1968) de Paule Saint-Onge. Ce corpus, qui n'a été que très peu étudié, couvre bien l'ensemble de la décennie et il présente différents personnages féminins : une adolescente illégitime, une adolescente née au sein d'un mariage bourgeois, une épouse sans enfant et une mère mariée. Ainsi, nous pouvons mieux cartographier le préféminisme, soit le moment où les femmes fictives désirent s'émanciper du système patriarcal en se posant comme sujet autonome du discours et non comme l'objet de celui-ci, tel qu'il s'exprime dans le roman des femmes. L'analyse décortique trois types de relation (à la famille, à l'homme et à soi), afin de répondre à la problématique suivante : comment, dans la littérature préféministe des années 1960, les figures féminines, adultes ou adolescentes, extériorisent-elles leur mal-être sans parvenir à l'atténuer dans les relations qu'elles tissent tout au long de leur récit ? La perspective de ces romans préféministes est ainsi renouvelée, car les relations à la famille et à l'homme ont déjà été étudiées dans des travaux antérieurs (Boisclair; Brown; Gaudreau; Saint-Martin), mais la relation la plus intime, celle à soi, et les figures d'adolescentes constituent les angles morts des précédentes recherches. Voici quelques thèmes liés à la condition féminine que nous étudions afin de comprendre le tracé d'une crise qui passe par la résignation et se termine dans l'espérance : la maternité, la sexualité, la violence conjugale, l'éducation, la mystique féminine et l'amitié entre femmes. Nous pouvons ainsi mieux comprendre les possibles et les écueils du préféminisme littéraire.
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De l’éclatement du noyau familial au discours sur la collectivité dans l’œuvre romanesque de Calixthe BeyalaMansiantima Nzimbu, Clémentine 20 April 2018 (has links)
Reposant sur un corpus de huit romans -C’est le soleil qui m’a brûlée (1987), Tu t’appelleras Tanga (1988), Le petit prince de Belleville (1992), Assèze l’Africaine (1994), Les honneurs perdus (1996), La petite fille du réverbère (1998), L’homme qui m’offrait le ciel (2007) et Le roman de Pauline (2009)– la recherche doctorale montre que l’éclatement du noyau familial est une constante des fictions de Calixthe Beyala. De l’éclatement du noyau familial en jeu, les romans de Beyala disent le discours sur la collectivité. Ainsi, l’hétérogénéité discursive et textuelle étant une caractéristique capitale, la problématique de l’éclatement du noyau familial est reliée aux faits énonciatifs en tant que mise en œuvre d’un discours polyphonique. Le « je-narrateur », utilisé comme une stratégie rhétorique pour parler d’un « nous », ne serait que l’allégorie ou l’emblème d’une conscience collective. On observe que ce n’est pas seulement un « je » individuel qui s’y exprime mais un «je » préoccupé par la condition de la femme ou de l’enfant. Le désir de représenter la collectivité supplante l’intensité du discours individuel de revendication ou de dénonciation qui hante l’écriture de Beyala. La fiction intègre souvent le littéraire, se construit sur un fond des textes antérieurs, favorise le dialogue avec d’autres genres. Beyala réinvestit également les stéréotypes et clichés sociaux dans sa fiction. Les discours des protagonistes explorent les rapports sociaux, les mécanismes de défense d’attitudes ou de comportements par rapport au réel sociohistorique. Les romans de notre corpus déjouent donc les discours de la doxa pour se poser comme textes multiples. Ce sont des récits de vie qui fictionnalisent les souvenirs racontés par un « je » polyvocal. L’implicite se fonde sur une adhésion à une certaine vision du monde, à un ensemble d’opinions et de croyances. Entre locuteur et interlocuteur, scripteur et lecteur s’instaure une sorte de complicité. Dans l’ensemble, le « je-narrant » est multidimensionnel : enfant, adolescente, femme, africaine, immigrée, romancière, etc. Il s’ensuit que la plupart des textes de Beyala se modulent autour de sa propre identité psychologique, de ses expériences vécues. / Based on a eight-novels corpus –C’est le soleil qui m’a brûlée (1987), Tu t’appelleras Tanga (1988), Le petit prince de Belleville (1992), Assèze l’Africaine (1994), Les honneurs perdus (1996), La petite fille du réverbère (1998), L’homme qui m’offrait le ciel (2007) et Le roman de Pauline (2009)– this doctoral research shows that the breakdown of the family unit is a constant theme in the fictions of Calixthe Beyala. From the breakup of the family unit, Beyala’s novels tell the discourse about community. Discursive and textual heterogeneity being a capital characteristic, the dilemma (the problem) of family-unit (family-nucleus) fragmentation is connected to the enunciation facts as implementing a polyphonic discourse. The "I-narrator" used as a rhetorical strategy to talk about a "We" is a mere allegory or emblem of a collective consciousness. One observes that it is not only an individual "I" that is expressed, but an "I" concerned about the status of women or children. The desire to represent community supersedes the intensity of that claim or denunciation individual speech which haunts Beyala’s writing. Often, fiction incorporates literature, is built upon a background of previous texts, and promotes dialogue with other genres. In his fiction, Beyala also reinvests social stereotypes and clichés. The speeches of protagonists explore social relationships, namely the defense mechanisms inside attitudes or behaviors compared to the socio-historical reality. Thus, the novels of our corpus thwart the doxa discourse and stand as multiple texts. These life stories fictionalize the memories told (narrated) by a polyvocal "I". What is implicit is based on adhering to a certain worldview, to a set of opinions and beliefs. Between the speaker and the interlocutor, the writer and the reader, is self-created a kind of complicity. The "narrating I" is overall multidimensional: female child, female teenager, woman, female African, female immigrant, female novelist etc.. Consequently, most of Beyala’s texts are modulated around her own psychological identity, her own experiences.
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Un mouticide : suivi de Arvida: l'écriture de la mémoire chez Samuel ArchibaldTurcotte, Anaël 29 May 2019 (has links)
Ce mémoire en recherche-création se déploie en deux parties, soit une création littéraire et un essai réflexif. En première partie se trouve Un mouticide, un roman d’anticipation rétrofuturiste. Dans l’esprit d’un conte philosophique tourné au burlesque, le récit est articulé autour de trois personnages, soit une jeune fille révoltée, un professeur d’histoire aigri et un agriculteur nostalgique, qui vivent une crise identitaire et une désillusion par rapport à leur place dans leur communauté. Dans un monde réinventé à la limite de l’utopie communiste, parodiant des aspects à la fois du roman du terroir, de fictions dystopiques et de La République de Platon, une narration moqueuse oppose un univers déterministe aux personnages et à leur quête de sens. L’essai réflexif consiste en une analyse des thèmes de la mémoire, de l’écriture et du mythe dans Arvida de Samuel Archibald, recueil de nouvelles paru en 2011.L’objectif de la réflexion est de dégager un portrait général de l’oeuvre en tant que construction partagée entre la mémoire, l’histoire et la fiction, sachant qu’Archibald se met en scène dans sa fiction en tant qu’auteur d’Arvida, et que la plupart des histoires se déroulent avant sa naissance. Les trois histoires au centre de la réflexion sont celles sous-titrées « Arvida », soit « Mon père et Proust », « Foyer des loisirs et de l’oubli » et « Madeleines ». Dans ce parcours d’idées seront abordées les questions de l’imaginaire nordique, de l’héritage, du narrateur-auteur et de la littérature fantastique pour montrer comment Archibald réussit à dépeindre une mythologie américaine nordique propre à la région du Saguenay. / This master’s thesis in research and creation is divided into two parts, a novel and an essay. First is Un mouticide, a retro-futuristic prospective novel with a humorous twist. The narrative, in the likeness of a philosophical tale, branches into three characters’ storylines: a young outraged girl, a bitter old history teacher, and a nostalgic farmer who go through an identity crisis and become disillusioned about their community. In a reimagined world at the limits of being a communist utopia, and parodying aspects of the roman du terroir and Plato’s Republic, a mocking narrator opposes a deterministic universe with the characters’ quests for meaning. The essay consists of an analysis of the themes of memory, writing and myth in Arvida, a book of short stories by Samuel Archibald published in 2011. The objective of the research is to depict the writer’s work as a construction between memory, history and fiction, knowing that Archibald stages his appearance in the stories as the author, and that most stories take place before his birth. The main three stories around which the reflection is articulated are subtitled “Arvida”: “Mon père et Proust”, “Foyer des loisirs et de l’oubli” and “Madeleines”. Throughout this journey, Nordic imaginary, heritage, fantastic literature and the author-narrator are discussed, to show how Archibald depicts a unique American and Nordic mythology specific to the Saguenay region in the province of Quebec.
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Etude comparée des thèmes majeurs dans "Allah n'est pas obligé" (A. Kourouma), "Johnny chien méchant" (E. Dongala) et "Les Petits-fils nègres de Vercingétorix" (A. Mabanckou) / Major topics in Allah n'est pas obligé of Ahmadou KOUROUMA, Johnny chien méchant of Emmanuel DONGALA, Les petits-fils nègres de Vercingétorix of ALAIN MABANCKOU.Kouengo, Armand Victorien 14 December 2010 (has links)
La présente étude revisite les thèmes récurrents portant sur la situation de l’Afrique d’aujourd’hui à travers la littérature. Notamment dans Allah n’est pas obligé d’Ahmadou Kourouma, Johnny Chien Méchant d’Emmanuel Dongala et dans Les Petits-fils nègres de Vercingétorix d’Alain Mabanckou qui constituent le corpus de base de cette thèse. Les guerres civiles à caractère tribal et les conséquences qui en découlent font l’objet d’une attention particulière desdits travaux de recherche. A cela s’ajoute la question des enfants-soldats – problématique essentielle de l’étude thématique / This study is based on themes related to Africa’s situation nowadays, particularly on « Allah n’est pas obligé » of Ahmadou Kourouma, « Johnny Chien Méchant » of Emmanuel Dongala and « Les Petits-fils nègres de Vercingétorix » of Alain Mabanckou which constitute the corner stone of this thesis. Our attention all along this work is focussed specially on tribal wars and its consequences. Futhermore, one of major problematics of this research is the issue of child-soldiers
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La construction du moi et les rituels, autobiographie et récitsBureau, Ginette. January 1998 (has links) (PDF)
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Negotiating the boundaries of gender, construction and represention of women in the work of Michael OndaatjeEmmerson, Shannon January 1998 (has links) (PDF)
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