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Max Horkheimer et le tournant de 1942-1949 de la Théorie critiqueGauthier, Marc January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le poids des mots : étude du thème de la souveraineté chez Georges BatailleGuibord, Bertrand January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Transition, espace médiatVogel, Jérôme January 2006 (has links) (PDF)
Les zones de transition sont les espaces intermédiaires où tout se joue, car elles sont au seuil de l'action, l'ultime hésitation avant que tout arrive. Elles posent donc encore question, et se faisant, ouvrent l'espace du commentaire. Prendre en considération cet écart transitoire, c'est envisager la frontière non plus comme une limite, mais comme un passage, le lieu temporaire et suspendu d'une interaction. À travers l'étude de scènes filmiques qui permettent d'en discerner plus clairement le mécanisme (Mar Adentro d'Alejandro Amenábar, 2004, Der Himmel über Berlin de Wim Wenders, 1987), la transition apparaît alors comme le lieu propice pour interroger le procès communicationnel, en tant qu'elle manifeste l'espace du tiers: si la transition pose en général la question du passage d'un état à un autre, dans le contexte communicationnel, son trajet s'altère et devient passage par un autre. Cependant la structure horizontale de la communication, en s'ouvrant ainsi par le milieu, découvre sa verticalité, et le passage devient médiation. Le paradoxe de la transition tient au fait qu'elle révèle un tiers qui est à la fois le garant extérieur de la communication, et son corps interne, l'agent de sa transitivité. Pour le faire surgir, elle le met en scène, et c'est du reste son seul pouvoir, car elle est un tour du discours. Ainsi la pratiquer au niveau social, c'est la changer en rituel de passage, mouvement dialectique où la communauté s'engendre. La transition constitue en fait l'interstice dans lequel se pense une société, l'endroit propre de sa fabulation: pour « concilier des puissances qui nous échappent », il faut, curieusement, commencer par disposer d'un espace et d'un moment liminaires, qui échappent justement à la structure sociale. Au terme de l'analyse, les vides de l'entre-deux apparaissent comme des plages vacantes, repères libres prêts à accueillir les constructions symboliques. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Transition, Médiation, Rituel, Passage, Processus, Dialectique.
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Karl Barth versus Emil Brunner : the formation and dissolution of a theological alliance : 1916-1936 /Hart, John W., January 1900 (has links)
Diss.--Oxford--Oxford University. / Bibliogr. p. 231-254. Index.
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Le Paradigme dans la dialectique platonicienne.Goldschmidt, Victor. January 1947 (has links)
Thèse. Lettres compl. Paris. 1947.
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Hegel en het Madhyamika : dialectische filosofie als anti-systeem /Vliet, Joep van der, January 1900 (has links)
Proefschrift--Wijsbegeerte--Rijksuniversiteit te Leiden, 1992. / Résumé en anglais. Bibliogr. p. 409-414.
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Force et résistance dans la philosophie politique de Hegel / Force and resistance in Hegel's political philosophyBurgess, James Peter 26 March 2010 (has links)
L’objet de la recherche est de développer une interprétation du couple conceptuel de « force » et de « résistance » comme déterminant de l’unité entre les deux grands domaines du Système de la Science de Hegel, celui de la logique et celui de l’histoire. Le point de départ du travail est l’ambition du projet hégélien qui vise à mettre en évidence la nécessité systématique et la cohérence historique de toute la réalité empirique. A travers tout le Système de la Science Hegel trace la montée d’un même esprit à travers les étapes d’un unique parcours dialectique. Le présupposé du projet est donc l’homogénéité conceptuelle des termes et la continuité du champ de l’objet. Le défi de Hegel consiste à relier, sous la même égide, tout ce qui est. L’hypothèse centrale de la recherche est que la dialectique hégélienne ne se laisse réduire ni à une logique purement métaphorique de « force » et de « résistance », ni à une logique purement physique ou mécanique de ce même couple. Cette hypothèse est conforme au projet de Hegel. / The aim of the research is to develop an interpretation of the conceptual pair ‘force’ and ‘resistance’ as a determinant of the unity between to major areas of Hegel’s System of Science, namely, logic and history. The point of departure for the work is the ambition of the Hegelian project, which seeks to clarify the systematic necessity and historical coherence of all empirical reality. Hegel traces, across the entire System of Science, the ascension of a single spirit following all the stage of the dialectical progress. The presupposition of the Hegel project is the conceptual homogeneity of the terms and the continuity of the of object’s field. Hegel’s challenge consists of uniting under the egis, everything that exists. The central hypothesis of the research is that the Hegelian dialectic can neither be reduced to a purely metaphorical logic of ‘force’ and ‘resistance’, nor to a purely physical or mechanical logic of this pair. This hypothesis stands in conformity with Hegel’s project.
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Esquisse pour une critique de la raison structuralisteVerstraeten, Pierre January 1964 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le raisonnement dialectique : préparation à la philosophieGodin-Tremblay, Laurence 24 April 2018 (has links)
Dans les Topiques, Aristote soutient que son traité, et par extension la dialectique, sert à la saisie des principes et des conclusions des différentes disciplines philosophiques. Mais cela surprend, puisque le raisonnement dialectique tire sa matière d'opinions admises, tient sa forme des lieux et dépend d'un répondeur et d'un demandeur, d'agents dialogiques. Or, l'opinion semble par nature trop déficiente pour mener à la vérité, le lieu, trop lâche pour respecter les règles du syllogisme valide et le dialogue tourne visiblement le plus souvent à la dispute. Cela a conduit de nombreux commentateurs à déconsidérer grandement le rôle de la dialectique chez Aristote : celle-ci, loin de constituer l'activité à laquelle se livrerait naturellement la raison aux prises avec un problème, s'assimilerait plutôt à un simple jeu, dont les règles auraient été déterminées arbitrairement. À l'encontre de ces différents commentateurs, ce mémoire entend montrer que, malgré leurs fragilités, la matière, la forme et les agents du raisonnement dialectique possèdent les puissances nécessaires pour préparer le travail du philosophe. Plus encore : la dialectique est le seul chemin pour progresser vers la philosophie. Qui rejette les opinions d'autrui, n'accepte que les démonstrations et refuse de dialoguer se condamne à errer d'idée en idée, incapable de trouver le point de départ de sa recherche et de résoudre les problèmes qui occupent son esprit. Celui qui vit en dehors de toute société, affirme Aristote dans les Politiques, n'est pas un homme, mais une bête. De même en va-t-il pour celui qui se prive de dialectique, car elle est en quelque sorte la cité de notre intelligence.
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Plotin et le problème de la méthode : traduction et commentaire du Traité 20 (I, 3) "Au sujet de la dialectique"Lapointe, Éric 12 April 2018 (has links)
Le traité 20 (I, 3) de Plotin, intitulé « au sujet de la dialectique », porte sur la méthode qui permet à l'homme d'atteindre le bien suprême ou le premier des principes. Selon Plotin, le chemin qui mène vers le bien se divise en deux. Il faudrait, tout d'abord, se rendre du monde sensible jusqu'au monde intelligible, puis du monde intelligible jusqu'au sommet de celui-ci. Le premier trajet serait parcouru grâce aux techniques des musiciens et des amants. Le second parcours, par les techniques des philosophes. Celles-ci regroupent un apprentissage des mathématiques, une application des vertus et une connaissance des arguments de la dialectique. Cette dialectique de Plotin serait très particulière. Elle serait une critique des dialectiques aristotélicienne et stoïcienne, mais elle appuierait la dialectique platonicienne, cela, dans le but refaire de la dialectique une science, elle qui avait été réduite à un savoir fondé sur des opinions.
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