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Traduction et adaptation culturelle du questionnaire "Tampa Scale for Kinesiophobia for Temporomandibular Disorders (TSK-TMD)"

Badri, Oualid 02 February 2021 (has links)
Il y a de plus en plus d’évidences indiquant que la peur du mouvement, qu’on appelle aussi la kinésiophobie, joue un rôle clé dans le développement et la persistance des douleurs chroniques. La question de son implication dans les désordres temporo-mandibulaires (DTM) chroniques a fait l’objet de plusieurs études. Son rôle prédictif serait supérieur à d’autres facteurs tels que l’intensité de la douleur. L’outil le plus largement utilisé pour en faire la mesure est le Tampa Scale for Kinesiophobia for Temporomandibular Disorders (TSK-TMD). L’objectif de l’étude est de faire une traduction, adaptation et validation du TSK-TMD à 18 items pour une population québécoise francophone. Ce travail a été fait en accord avec les recommandations du Guidelines for Establishing Cultural Equivalency of Instruments. Deux phases cliniques ainsi que 39 patients ont été nécessaires pour aboutir à ce travail. La première phase visait à traduire et adapter culturellement le questionnaire. La deuxième phase consistait à administrer le questionnaire à une population présentant des DTM chroniques. Les propriétés psychométriques du questionnaire ont été évaluées à l’aide d’un coefficient alpha de Cronbach, des coefficients de corrélation pour chaque item et d’un test de Kolmogorov-Smirnov. Le coefficient alpha de Cronbach calculé est de 0,87, démontrant ainsi une bonne consistance interne. Sur l’ensemble des items, 16 ont obtenu un coefficient de corrélation favorable. Cependant, deux items ont présenté un coefficient de corrélation inférieur à 0,2, mettant en doute leur importance dans la puissance globale du questionnaire. Au test de Kolmogorov-Smirnov, les échantillons du test /retest suivent une loi de distribution similaire. Cela concorde avec de bonnes stabilité et fiabilité. Le questionnaire produit est donc prêt à être utilisé en clinique. Une version plus courte pourrait éventuellement être développée. / There is growing evidence that kinesiophobia, the fear of movement, plays a key role in the development of chronic pain. Its role in chronic temporomandibular disorders (TMD) has been the subject of several studies. It may serve as a better predictor than other factors, such as pain levels. The most widely used tool to measure it is the Tampa Scale for Kinesiophobia for Temporomandibular Disorders (TSK-TMD). The study aims to translate, adapt and validate the 18-item TSK-TMD for French-speaking people in Quebec. The method followed the recommendations of the Guidelines for Establishing Cultural Equivalency of Instruments. It comprised two clinical phases. The first phase involved the translation and cultural adaptation of the questionnaire. The second phase consisted of administering the questionnaire to a sample of 39 patients with chronic TMD pain. We evaluated the questionnaire’s psychometric properties with the Cronbach’s alpha coefficient, correlation coefficients for each item, and a Kolmogorov-Smirnov test. The results show a Cronbach’s alpha coefficient of 0,87, which indicates good internal consistency. For sixteen out of eighteen items, the correlation coefficient is acceptable. However, for two items, the correlation coefficient is less than 0,2, calling into question their contribution to the questionnaire’s overall strength. The Kolmogorov-Smirnov test shows that the test/retest with the translated version of the TSK-TMD follows a similar distribution pattern. It is consistent with good stability and reliability. The questionnaire produced is ready for clinical use. Nonetheless, developing a shorter version of the questionnaire could be useful.
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La modulation conditionnée de la douleur, la kinésiophobie et la dramatisation de la douleur comme facteurs pronostiques de chronicité chez des personnes atteintes de lombalgie aiguë : une étude prospective

Meilleur-Durand, Melody 28 March 2022 (has links)
INTRODUCTION : La douleur lombaire (Low Back Pain - LBP) est la principale cause d'invalidité mondiale, et ce, majoritairement en raison de son taux de récurrence et de chronicité élevé. Les facteurs psychologiques (dramatisation de la douleur, kinésiophobie, dépression) ainsi qu'une altération de la fonction sensorimotrice ont été associé au développement de douleur chronique. Il est suggéré qu'une diminution de la capacité du système nerveux centrale (SNC) à moduler la douleur pourrait contribuer à la chronicisation de la douleur. L'objectif de cette étude longitudinale prospective est d'évaluer la capacité de la modulation de la douleur conditionnée (MDC), des symptômes et des limitations fonctionnelles, de la kinésiophobie et de la dramatisation de la douleur à prédire le développement de douleur lombaire chronique (CLBP) chez des personnes souffrant de LBP en phase aiguë. MÉTHODOLOGIE : Cinquante participants présentant une lombalgie aiguë (< 6 semaines) ont participé à trois sessions d'évaluation (initiale, 3 et 6 mois). Au cours de l'évaluation initiale et à 3 mois, tous les participants ont rempli des questionnaires auto-administrés (indice d'invalidité d'Oswestry [ODI], Brief Pain Inventory [BPI], échelle de kinésiophobie de Tampa [TSK] et échelle de dramatisation face à la douleur [PCS]) et la MDC a été évalué. À 6 mois, les questionnaires ont été réadministrés et les participants ont été dichotomisés en fonction de leur niveau de chronicité (LBP non chronique ou CLBP). Ensuite, des tests univariés ont été utilisés pour comparer les variables initiales entre les participants qui étaient chroniques à 6 mois et les participants qui ne l'étaient pas. Les variables qui étaient significativement différentes ont été entrées dans une régression logistique afin de déterminer l'ensemble de variables le plus efficace pour prédire la chronicité. RÉSULTAT : Aucune différence significative n'a été trouvée entre ceux qui ont développé une CLBP à 6 mois et ceux qui ne l'ont pas fait, que ce soit sur les scores initiaux du TSK (p = 0,48), du PCS (p = 0,78) ou de la MDC (p = 0,82). En ce qui concerne les symptômes et les limitations fonctionnelles, il n'y avait pas non plus de différence significative entre les sous-groupes au départ pour l'ODI (p = 0,78) et le BPI (sévérité : p = 0,500 ; interférence (p = 0,54)). CONCLUSION : Cette étude exploratoire ne soutient pas l'hypothèse selon laquelle des mécanismes de MDC inefficaces et la présence de facteurs psychologiques prédisent la chronicité chez les personnes souffrant de lombalgie aiguë. / BACKGROUND: Low back pain (LBP) is a leading cause of disability mainly due to the significant activity limitations associated with it during its chronic phase. Psychosocial factors (pain catastrophizing, kinesiophobia, depression) and alteration of the somatosensory functions have both been associated with the persistence of LBP. It has been suggested that a decreased capacity of the central nervous system (CNS) to modulate pain could contribute to pain chronicisation. The aim of this exploratory prospective study was to investigate whether conditioned pain modulation (CPM), initial symptoms/functional disability, kinesiophobia and pain catastrophizing can predict the development of chronic pain in individuals with acute LBP. METHODS: Fifty participants presenting with acute LBP (< 6 weeks) took part in three evaluation sessions (baseline, 3- and 6-month). During the baseline session and at 3-month, all participants completed self-administered questionnaires (Oswestry disability index [ODI], Short form of Brief Pain Inventory [BPI], Tampa Scale for Kinesiophobia [TSK] and Pain Catastrophizing Scale [PCS]) and the CPM. CPM was assessed using immersion of the hand in cold water (10 °C; 120 s) as the conditioning stimulus and tonic heat pain applied to the contralateral forearm as the test stimulus (60 s). At 6-month, the questionnaires were re-administered and participants were dichotomized according to their level of chronicity (Non-chronic LBP or CLBP). Thereafter, univariate tests were used to compare baseline variables between participants who were chronic at 6-month and participants who were not. Variables that were significantly different were entered in a logistic regression to determine the most accurate set of variables for predicting chronicity. RESULTS: No significant difference was found between those who developed CLBP at 6 months and those who did not, on either the baseline scores for TSK (p = 0.48), PCS (p = 0.78) or CPM (p = 0.82). Concerning symptoms/functional disability, there was also no significant difference between the subgroups at baseline for ODI (p = 0.78), BPI severity (p = 0.500) and BPI interference (p = 0.54). CONCLUSION: This exploratory study does not support the hypothesis that inefficient CPM mechanisms and the presence of psychological factors predict chronicity in individuals with acute LBP.
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Prise en charge spécifique de patients lombalgiques chroniques, avec ou sans radiculalgie, à l'hôpital rhumatologique d'Uriage

Beuchon, Laetitia Grosclaude, Sylvie January 2009 (has links)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine : Grenoble 1 : 2009. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. 83 réf.
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Mise au point d'un modèle rongeur d'anxiété causée par une douleur chronique d'origine inflammatoire

Parent, Alexandre January 2010 (has links)
Selon l'Association canadienne de la douleur chronique (ACDC), plus de 18 % de la population souffre de douleur chronique, produisant un fardeau financier qui excède les 10 milliards de dollars. En plus d'avoir un impact néfaste sur la qualité de vie générale de la population, la douleur contribue largement à l'élévation du taux d'absentéisme au travail, créant ainsi une perte d'efficacité considérable. Environ 55 % des patients souffrant de douleur chronique ont aussi des troubles d'anxiété, contribuant davantage à la diminution de la qualité de vie. Bien que la douleur et l'anxiété semblent co-occurrentes, un analgésique ou un composé anxiolytique (ou antidépresseur) utilisé seul s'avère souvent inefficace pour entraver l'ensemble des symptômes. En combinaison, une telle polythérapie induit des effets secondaires additifs sévères. Pour ces raisons, le développement de composés analgésiques (opioïdergiques ou non) ayant des propriétés anxiolytiques pourrait s'avérer très intéressant pour le traitement de la douleur chronique. Afin de bien connaître les propriétés spécifiques des composés ciblés, il est essentiel de mettre au point un modèle animal de comportements anxieux associés à la douleur chronique. Le but du projet était donc de mettre en place un modèle de douleur inflammatoire chronique chez les rats Sprague-Dawley pour ( i ) caractériser l'apparition temporelle des comportements anxieux, (ii ) caractériser l'influence et les effets de composés analgésiques et anxiolytiques et ( iii ) déterminer les niveaux plasmatiques de corticostérone chez les rats au cours du développement de la douleur chronique. Dans notre modèle, l'allodynie mécanique causée par la douleur inflammatoire (mesurée avec le test du filament de von Frey) est présente sur une période de 2 mois. À des moments précis pendant cette période, les niveaux d'anxiété ont été évalués à l'aide de tests comportementaux (labyrinthe en croix surélevé, boîte sombre/éclairée, champ ouvert et interaction sociale). L'efficacité analgésique et/ou anxiolytique de la morphine, du diazépam et du kétorolac a aussi été caractérisée. Le contenu plasmatique en corticostérone a été mesuré pendant toute la durée du protocole expérimental. Considérant les résultats de l'étude, le modèle animal développé mime partiellement ce qui peut être observé cliniquement chez les patients souffrant de troubles d'anxiété co-morbides à la douleur chronique.
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Propriétés analgésiques de la duloxétine dans la fibromyalgie : effets sur l’inhibition de la douleur

Girard-Tremblay, Lydia January 2015 (has links)
La duloxétine est un inhibiteur de recapture de sérotonine et de noradrénaline (IRSN) développé comme antidépresseur qui est fréquemment utilisé pour soulager les symptômes de douleur associés à la fibromyalgie. Toutefois, le traitement ne semble être efficace que pour une partie des patients. Même si les mécanismes d’action neurophysiologiques de la duloxétine sont incertains, il est suggéré que ce médicament pourrait réduire la douleur en améliorant l’efficacité de la modulation de la douleur, qui est reconnue pour être déficitaire chez plusieurs patients. L’objectif de la présente étude vise ainsi à vérifier les effets d’un traitement de quatre semaines avec la duloxétine sur l’efficacité des mécanismes endogènes d’inhibition de la douleur auprès de patients atteints de fibromyalgie, et de vérifier si ces effets sont influencés par la force de ces mécanismes au commencement de l’étude. Afin d’atteindre cet objectif, 11 patients ont été recrutés pour prendre part à l’étude suite à l’obtention d’une prescription de duloxétine par un médecin spécialiste. L’efficacité des mécanismes inhibiteurs de la douleur a été évaluée avant le début du traitement et après 4 semaines de duloxétine à 60 mg/jour en mesurant l’efficacité de la modulation de la douleur par conditionnement (MDC). La douleur ressentie lors d’un stimulus-test (stimulation thermique de 180 secondes sur le bras gauche) a été comparée avant et après un stimulus conditionnant (immersion du bras droit dans un bassin d’eau à 12°C durant 2 minutes). Les symptômes de la fibromyalgie ont aussi été mesurés avant et après le traitement à l’aide de différents questionnaires. Nous avons trouvé qu’il y a deux catégories de patients : ceux pour qui la MDC est tout à fait fonctionnelle avant le traitement (n=4), et ceux pour qui la MDC est complètement inefficace (n=7). Chez ces derniers, le traitement avec la duloxétine a permis de réactiver la MDC, tandis que pour les autres, c’est le contraire qui s’est produit, avec l’effondrement des capacités inhibitrices. Ces revirements de situation se sont tout de même accompagnés d’améliorations dans la sévérité des symptômes et leur impact sur la vie quotidienne pour les deux groupes de patients. Plus de recherche est donc nécessaire pour vérifier si d’autres mécanismes sont impliqués. Les résultats de cette étude laissent croire que les différences d’efficacité d’un traitement avec la duloxétine peuvent être influencées par les caractéristiques individuelles des patients, et soulignent l’importance d’en tenir compte pour assurer une meilleure prise en charge des patients atteints de fibromyalgie.
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La prescription de cannabinoïdes pour le traitement de la douleur chronique non cancéreuse : tendances de prescription, degré de confort, barrières et besoins en matière de formation des médecins de la région de l’Abitibi-Témiscamingue

St-Amant, Huguette January 2014 (has links)
La douleur chronique touche environ un adulte sur cinq et a des impacts importants sur toutes les sphères de la vie des personnes qui en souffrent. À ce jour, on constate cependant que la prise en charge de la douleur chronique est sous-optimale au Canada. Parmi les modalités thérapeutiques disponibles, il a été démontré que les cannabinoïdes sont efficaces et sécuritaires pour certains syndromes de douleur chronique. Ces produits pharmacologiques comprennent la nabilone (comprimé), le nabiximols (vaporisateur) et la marihuana à des fins médicales (cannabis séché). À ce jour, la prévalence d’utilisation de ces produits demeure faible et il semble exister plusieurs barrières à cette utilisation. La présente étude transversale s'est donc penchée sur les pratiques et attitudes des médecins de la région administrative de l’Abitibi-Témiscamingue, Québec, et ce, tout particulièrement dans le contexte du traitement de la douleur chronique non cancéreuse (DCNC). Les objectifs spécifiques de cette étude étaient de : 1) Mesurer la prévalence de prescription de cannabinoïdes pour le traitement de la DCNC, 2) Décrire le degré de confort, les barrières et les besoins en matière de formation quant à la prescription de cannabinoïdes pour le traitement de la DCNC, et 3) Identifier les prédicteurs de la prescription de cannabinoïdes pour le traitement de la DCNC. Pour répondre à ces objectifs, un questionnaire postal a été envoyé aux 318 médecins pratiquant dans la région de l’Abitibi-Témiscamingue (taux de participation = 52 %). La prévalence de prescription de cannabinoïdes (tous types confondus) pour le traitement de la DCNC au cours de la dernière année était de 23 %, mais soulignons que ces produits ont été prescrits à peu de patients. Les données suggèrent qu’un meilleur degré de confort à prescrire des cannabinoïdes pour le traitement de la DCNC est le seul prédicteur de cette prescription. Plusieurs barrières telles que le manque de formation des professionnels de la santé et le manque de lignes directrices pour la prescription de cette classe médicamenteuse ont été exprimées. Les participants ont souligné un besoin de formation continue, notamment à propos des risques de l’utilisation des cannabinoïdes à long terme, de la DCNC et son traitement et de la synergie d’action entre les cannabinoïdes et les opioïdes. En somme, les résultats de cette étude permettront de mieux orienter les activités de formation continue des médecins de la région.
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L'observance à une thérapeutique médicamenteuse au long cours exemple des patients douloureux chroniques pris en charge au centre d'évaluation et de traitement de la douleur de Nantes /

Chartier, Céline Grimaud, Nicole January 2008 (has links)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Pharmacie : Nantes : 2008. / Bibliogr.
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Intérêt de la quantification de la consommation de médicaments dans la prise en charge globale du patient douloureux chronique

Mercadier Chauvigny de Blot, Edwige Meas, Yunsan. January 2007 (has links)
Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Nantes : 2007. / Bibliogr.
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Une étude comparative de la douleur chronique de la personne âgée institutionnalisée telle que perçue par l'intervenant ainsi que par la personne âgée elle-même

Paulin-Power, Sylvie. January 1997 (has links)
Thèses (M.A.)--Université de Sherbrooke (Canada), 1997. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.
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La psychopathologie et les cognitions dans la douleur chronique / Psychopathology and cognitions in chronic pain

O'Reilly, Aminata 05 July 2012 (has links)
La douleur chronique est souvent associée à la dépression et l’anxiété. Ces pathologies entretiennent des liens complexes qui ont été largement étudiés. Cependant en France, nous manquons d’informations permettant d’améliorer la prise en charge psychothérapeutique de ces patients. Le but de ce travail est d’améliorer la compréhension de l’influence des facteurs psychopathologiques et cognitifs dans la douleur chronique.Étude 1 : Une étude quantitative a été réalisée auprès d’un échantillon de 228 étudiants. L’analyse des croyances associées à la douleur a permis de mettre en lumière une perception positive du vécu de la sensation douloureuse. Ainsi, ils ne perçoivent pas la douleur comme étant un phénomène stable dans le temps ou mystérieux ; de plus, ils ne manifestent pas de sentiment de culpabilité lié à la douleur. Les résultats indiquent également que les participants ont des perceptions rationnelles des médicaments. Ils considèrent cependant qu’il y a une surconsommation des médicaments. Étude 2 : Une étude quantitative a été réalisée auprès d’un échantillon de 247 personnes atteintes de fibromyalgie. Dans cette étude, 93 % des participants présentaient des symptômes dépressifs, et 94 % présentaient des symptômes anxieux. En outre, des symptômes dépressifs sévères sont retrouvés dans 25 % des cas et 43 % des participants présentent une anxiété sévère. Les différentes analyses de régression réalisées ont montré que la relation entre la symptomatologie anxio-dépressive et la douleur est partiellement médiatisée par les croyances associées à la douleur.Étude 3 : Une étude quantitative a été menée auprès de 247 personnes atteintes de fibromyalgie. Les analyses de corrélation ont montré un lien entre la symptomatologie anxio-dépressive, les mesures relatives à la douleur, les croyances associées à la douleur, la dramatisation, la flexibilité psychologique et l’optimisme. L’analyse de régression multiple indique que les croyances associées à la douleur, l’optimisme et la flexibilité psychologique prédisent 58 % de la variance des scores de dramatisation. Une analyse en cluster a permis de mettre en évidence trois profils cognitifs : les catastrophistes, les modérés et les flexibles optimistes. Des analyses de variance ont montré que ces clusters se différenciaient au niveau des scores de dépression, d’anxiété, d’intensité et d’impact de la douleur. Le profil catastrophiste obtenait les scores les plus élevés à ces différentes mesures. / Chronic pain is often associated with depression and anxiety. These pathologies have complex links that have been widely studied. In France, however, there are few studies that provide information on psychotherapeutic treatment of these patients. The overall objective of this work is to improve understanding of psychopathological and cognitive factors linked to chronic pain. Study 1: A quantitative study was carried out on a sample of 228 students. An analysis of beliefs associated to pain provided insight into the concept of pain sensation. The participants perceived pain as an instable phenomenon over time, were not likely to associate pain with mysterious origins, and did not link pain to feelings of guilt. The results also showed that the participants had rational beliefs about medication, although they tended to believe that medication was overused. Study 2: A quantitative study was conducted on a sample of 247 fibromyalgia sufferers. In this study, 93 % of participants presented depressive symptoms, and 94 % presented anxiety symptoms. Severe depressive symptoms were found in 25 % of cases, and 43 % of participants reported severe anxiety. Regressions analyses showed that the relationship between depressive symptoms, anxiety and pain is partially mediated by beliefs associated with pain.Study 3: A quantitative study was conducted on a sample of 247 people suffering from fibromyalgia. Correlation analyses showed a link between anxio-depressive symptoms, measures related to pain, pain-related beliefs, dramatization, psychological flexibility, and optimism. A multiple regression analysis indicated that beliefs associated with pain, optimism and psychological flexibility predicted 58 % of the variance in scores of dramatization. A cluster analysis highlighted three cognitive profiles in these patients: ‘catastrophics’, ‘moderates’ and ‘flexible optimistics’. Analyses of variance showed that cluster groups differed in levels of depression, anxiety, intensity, and impact of pain. ‘Catastrophics’ had higher scores on these measures.

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