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Étude des déficits sensori-moteurs associés aux douleurs lombaires

Descarreaux, Martin 11 April 2018 (has links)
Au cours des dix dernières années, on a pu observer l'émergence de nouvelles problématiques de recherche portant sur les dysfonctions et les syndromes douloureux de la région lombaire. En effet, de nombreux chercheurs s'intéressent maintenant aux liens possibles entre le contrôle moteur, l'utilisation des informations proprioceptives en provenance du tronc et le développement de douleurs lombaires chroniques et aiguës. Dans cette thèse, trois articles permettant d'approfondir la question des déficits sensori-moteurs associés aux douleurs lombaires sont présentés. Les effets de la douleur chronique et de la douleur expérimentale dans des tâches de forces isométriques et de repositionnement du tronc sont, entre autres, abordés. Un quatrième article aux portées cliniques présente les résultats d'une étude sur les effets préventifs de la manipulation vertébrale. L'évaluation du statut sensori-moteur des patients atteints de douleurs lombaires permettra éventuellement de développer de nouveaux indices cliniques qui faciliteront le suivi et les interventions cliniques.
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Corrélats comportementaux et neuronaux de l'exposition répétée à la douleur d'autrui dans une perspective de douleur chronique

Grégoire, Mathieu 24 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2016-2017 / L’estimation de la douleur chez autrui peut être influencée par différents facteurs liés à la personne en douleur, à l’observateur ou bien à l’interaction entre ces derniers. Parmi ces facteurs, l’exposition répétée à la douleur d’autrui, dans les milieux de soins ou dans une relation dans laquelle un des deux conjoints souffre de douleur chronique, a souvent été liée à une sous-estimation de la douleur d’autrui. L’objectif de cette thèse visait à mesurer les impacts de l’exposition répétée à la douleur d’autrui sur l’estimation subséquente de la douleur des autres, mais aussi sur l’activité cérébrale lors de l’observation de la douleur d’autrui et finalement, sur l’estimation de la douleur chez les conjoints de patients atteints de douleur chronique. La première étude expérimentale a permis d’isoler le facteur d’exposition répétée à la douleur d’autrui des autres facteurs confondants pouvant moduler l’estimation de la douleur d’autrui. Ainsi, il a été démontré que l’exposition répétée à la douleur d’autrui diminuait l’évaluation subséquente de la douleur des autres. Dans la seconde étude, il a été démontré en imagerie par résonance magnétique fonctionnelle que l’exposition répétée à la douleur d’autrui entrainait des changements dans l’activité cérébrale de certaines régions associées au traitement affectif (l’insula bilatérale), mais aussi cognitif de la douleur (sulcus temporal supérieur ; précunéus), lors de l’observation de la douleur d’autrui. Finalement, la troisième étude expérimentale, celle-ci proposant une visée plus clinique, a permis de démontrer que les conjoints de patients atteints de douleur chronique ne surestiment pas la douleur de leur conjoint, mais qu’ils perçoivent de la douleur même dans des expressions faciales neutres. L’ensemble de ces résultats suggère que chez les sujets sains, l’exposition répétée à la douleur d’autrui entraine une sous-estimation de la douleur chez l’autre et des changements dans le réseau de la matrice de la douleur lors de l’observation de la douleur des autres. En définitive, ces résultats démontrent que l’exposition répétée à la douleur d’autrui, dans un contexte expérimental, a des impacts majeurs sur l’observateur et son jugement de l’intensité de la douleur. / The estimation of pain in others can be influenced by various factors related to the person in pain, to the observer or the interaction between them. Of these factors, the repeated exposure to the pain of others has often been suggested as one of the factors that could lead to the underestimation of others’ pain, for example in healthcare settings. This thesis aimed to measure the impacts of repeated exposure to the pain of others on the subsequent estimation of others’ pain, but also on the brain activity when observing the pain of others and finally, on the estimation of pain by spouses of chronic pain patients, daily exposed to others pain. The first experimental study isolated the factor of repeated exposure to others’ pain from other confounding factors that may modulate the estimation of the pain in others. Thus, it has been shown that repeated exposure to other people's pain decreased the subsequent estimation of the pain in others. In the second study, it was demonstrated by functional magnetic resonance imaging that repeated exposure to the pain of others led to changes in brain activity in certain regions associated with affective processing (namely the bilateral insula), but also cognitive dimensions of pain (Superior temporal sulcus; precuneus) during the observation of another's pain. Finally, the third experimental study, this one with a more clinical objective, has demonstrated that spouses of chronic pain patients do not underestimate the pain of their spouse, but they do estimate pain when exposed to neutral facial expressions of their loved one. Taken together, these results suggest that repeated exposure to the pain of others leads to an underestimation of others’ pain and changes in the pain matrix network during observation of pain in others. Ultimately, these results demonstrate that repeated exposure to other people's pain, in an experimental setting, has a major impact on the observer and his judgment of the intensity of pain.
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Détection de la simulation de l'invalidité découlant de la douleur (SIDD) à l'aide de quatre échelles de validité de la forme révisée du Minnesota Multiphasic Personnality Inventory-2 (MMPI-2-RF)

Fournier, Jacques January 2015 (has links)
À l’aide du modèle de recherche de la simulation connu sous le nom de « comparaison de groupes connus » (known-groups studies / criterion- groups validation studies), la présente étude visait à vérifier l’efficacité de quatre échelles de validité du MMPI-2-RF (Fs, FBS-r, RBS et HHI-r) à détecter la simulation de l’invalidité découlant de la douleur (SIDD) auprès d’une population rapportant de la douleur chronique ayant subi une évaluation psychologique. Les données provenant de patients rapportant une condition de douleur chronique (n=111) ont été recueillies à partir de dossiers archivés d’une clinique indépendante spécialisée dans l’évaluation et le traitement de cas de douleur chronique et de troubles somatoformes. Une fois sélectionnés, les sujets ont été répartis dans l’un des deux groupes connus à l’aide de critères externes prédisant la simulation de l’invalidité découlant de la douleur : les simulateurs (SIDD Probable et Certaine) et les non-simulateurs (Non SIDD). Tel que stipulé dans la littérature actuelle existant sur l’évaluation de la simulation de l’invalidité de la douleur, les résultats indiquent que les quatre échelles à l’étude sont efficaces lorsqu’on cherche à différentier les sujets simulateurs des non- simulateurs. Dans la présente étude, l’échelle RBS a été la plus efficace à différencier les deux groupes, suivie de près par l’échelle HHI-r. Les implications de ces résultats sont discutées dans la perceptive de leur utilité clinique et psycho-légale.
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Gestion de la douleur chronique par les infirmières des Groupes de médecine de famille

Bergeron, Dave A January 2011 (has links)
Selon la Société québécoise de la douleur (2005), des milliers de Québécois souffrent actuellement d'un problème de douleur chronique (DC) pour laquelle le traitement et la prise en charge sont souvent inadéquats. L'introduction des Groupes de médecine de famille (GMF) où les infirmières jouent un rôle clé dans le suivi des problèmes de santé chroniques représente un contexte favorable pour un meilleur suivi des personnes aux prises avec de la DC (MSSS, 2002). Objectifs: Cette étude a pour objectifs de décrire les activités réalisées par les infirmières oeuvrant en GMF en rapport avec la gestion de la douleur chez la clientèle souffrant de DC, de décrire leurs connaissances et croyances à ce sujet, les barrières et les facteurs associés aux activités qu'elles effectuent en gestion de la douleur. Méthode: Un dispositif descriptif corrélationnel transversal de type enquête a été utilisé. La population accessible provient d'une liste de l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec recensant les infirmières en GMF ayant donné leur autorisation à être rejointes pour des fins de recherche. Deux questionnaires postaux auto-administrés ont été envoyés à 195 infirmières. De ce nombre, 53 ont répondu aux questionnaires. Pour répondre aux trois premiers objectifs, une analyse descriptive des deux questionnaires utilisés a été réalisée. Des corrélations de Spearman ont été effectuées afin de vérifier la présence d'association entre les activités en gestion de la douleur et les autres variables. Résultats : Les trois activités qui ont été le plus souvent réalisées par les infirmières sont d'établir une relation thérapeutique avec le client; de réaliser des discussions avec le médecin sur l'efficacité des mesures thérapeutiques et de faire un enseignement personnalisé au client. Pour le niveau des connaissances et les croyances des infirmières, leur résultat moyen pondéré est de 61,5%. Le nombre moyen de personnes rencontrées par les infirmières qui souffrent de douleur chronique est de 2,68 personnes par semaine. Douze activités infirmières sont aussi corrélées avec le nombre de personnes rencontrées souffrant de la douleur chronique. Les principales barrières que les infirmières en GMF perçoivent sont la méconnaissance des interventions possibles en douleur (71,7%) et la non-disponibilité de l'information sur la gestion de la douleur (52,8%). Conclusion : Les infirmières au sein des GMF font peu d'activités en gestion de la DC, mais elles sont ouvertes à jouer un rôle plus important. Néanmoins, pour cela, il serait nécessaire de mettre en place des mécanismes de formation continue et de soutien pour ces infirmières.
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Rôle de la glie dans la douleur chronique d'origine cancéreuse chez le rat / Role of glia in chronic cancer pain in rats

Lefevre, Yan 04 December 2013 (has links)
Dans le présent travail, le rôle de la glie dans l’expression de la douleur cancéreuse et de la douleur neuropathique a été étudié de façon comparative. Le modèle animal de douleur cancéreuse a été obtenu par injection osseuse dans le tibia, chez la rate Sprague-Dawley, de cellules de carcinome mammaire de type MRMT-1. Le modèle de douleur neuropathique a été obtenu chez le rat Wistar par ligature des nerfs spinaux L5 et L6. Les données obtenues par l’analyse du comportement douloureux en réponse à la stimulation par des filaments de von Frey ont permis de quantifier l’allodynie et l’hyperalgésie mécaniques statiques. La douleur chronique, hors stimulation nociceptive, a été mesurée à l’aide d’un test d’impotence. Les agents pharmacologiques ont été administrés par voie intrapéritonéale ou par voie intrathécale, à l’aide d’un cathéter implanté de façon chronique. L’analyse des comportements nociceptifs après stimulation par filaments de von Frey montre que l’inhibition fonctionnelle transitoire de la glie spinale par le fluorocitrate est sans effet sur la douleur dans les deux modèles. Dans les deux modèles, l’expression des réponses douloureuses dépend de l’activation des récepteurs NMDA spinaux. L’administration par voie intrathécale d’une seule dose de D-aminoacide oxydase, qui dégrade la D-sérine, co-agoniste endogène du récepteur NMDA, réduit l’allodynie et l’hyperalgésie chez les rats neuropathiques et l’allodynie chez les rats cancéreux. Les effets d’un traitement chronique par le fluoroacétate chez les rats neuropathiques sont réversés par l’administration intrathécale de D-sérine. La D-sérine altère légèrement le seuil nociceptif chez les rats cancéreux. Aucun des agents pharmacologiques utilisés ne réverse la réduction d’appui du membre lésé chez les rats cancéreux ou neuropathiques. Ces résultats montrent que, chez le rat, la douleur neuropathique comme la douleur osseuse cancéreuse dépend de la co-activation des récepteurs NMDA spinaux par un de ses ligands endogènes, la D-sérine, mais que seule la douleur neuropathique requiert une glie spinale fonctionnelle. Ils suggèrent donc un rôle différentiel de la glie dans la physiopathologie de ces deux types de douleur chronique / The present work has investigated the role of glia upon pain symptoms in a well established peripheral neuropathic pain model and a bone cancer pain model. The neuropathic pain model was obtained by right L5-L6 spinal nerve ligation in male Wistar rats. Bone cancer pain was induced by injecting MRMT-1 rat mammary gland carcinoma cells into the right tibia of Sprague-Dawley female rats. Mechanical allodynia and hyperalgesia were quantified using von Frey hairs and ambulatory incapacitance using dynamic weight bearing. Drugs were administered either acutely or chronically using osmotic pumps, through intrathecal catheters chronically implanted in experimental animals. Using von Frey hair stimuli, we found that transient inhibition of glia metabolism by intrathecal injection of fluorocitrate was ineffective in both models. In both models, pain symptoms required spinal NMDA receptor activation. Intrathecal administration of a single dose of D-aminoacid oxidase, which degrades D-serine, a co-agonist of NMDA receptors, reduced mechanical allodynia and hyperalgesia in neuropathic rats and allodynia in cancer rats. The effect of chronic fluoroacetate in neuropathic rats was reversed by acutely administered intrathecal D-serine, which had only a slight effect in cancer rats. None of these compounds altered the functional disability shown by neuropathic or cancer animals and measured by the dynamic weight bearing apparatus. These results show that neuropathic pain and cancer pains depend upon D-serine co-activation of spinal NMDA receptors but only neuropathic pain requires functional spinal cord glia in the rat. Glia may thus play different roles in the development and maintenance of chronic pain in these two situations.
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Angústia, corpo e dor : particularidades nas escolhas amorosas / Angoisse, corps et douleur : particularités dans les choix amoureux / Anguish, body and pain : the particularities loving choices

Dupim da Silva, Gabriella Valle 25 February 2014 (has links)
L´existence d´état douloureux, chronique et sans substrat organique, de maladies de la douleur, sont signalés depuis le XIX siècle. La douleur, comme perception, est une expérience subjective qui intègre des sensations variées. Les différents syndromes de douleur chronique ont la douleur comme symptôme principal et se caractérisent par un ensemble de signes qui ne correspondent pas à un modèle de cause organiques non localisées. Alors que la douleur aigüe est un indicateur précieux dans l´établissement d´un diagnostic, la douleur chronique, pour avoir perdu son caractère de signald´alarme, nous renvoie à une multiplicité de déterminations d´ordre somatique, psychologique et/ou ambiant. L´apport de la psychanalyse, en partenariat avec la médecine se révèle utile dans l´appréhension du sens des symptômes dans laparticularité du cas et en relation avec la singularité du sujet. À la place de soutenir l´idée qu´il est nécessaire, à tout prix, d´éradiquer définitivement un syndrome douloureux quel qu´il soit et la souffrance psychique qui y est associée, il nous semble utile de prendre en considération ce qui est en jeu en termes structurel et inconscient. En d´autres mots, faire « parler » le corps, d´une douleur (psychique) impossible à symboliser. Possiblement, une douleur d´amour, c´est la supposition de base de notre hypothèse / The existence of painful condition, chronic and without organic substrate, disease of pain, are reported from the nineteenth century. Pain, such as perception, which is a subjective experience includes various sensations. Different chronic pain syndromes have pain as the main symptom and is characterized by a set of signs that do not correspond to a modelof organic causes unlocated. While acute pain is a valuable indicator in establishing a diagnosis, chronic pain, to have lost its character as a warning, we refer to a multiplicity of determinations order somatic, psychological and / or ambient. The contribution of psychoanalysis, in partnership with the medicine is useful in understanding the meaning of symptoms in the particularity of the case and in relation to the singularity of the subject. Instead of supporting the idea that it is necessary, at any cost, permanently eradicate a painful syndrome whatsoever and mental suffering associated with it, it is useful to consider what is involved in structural terms and unconscious. In other words, to "speak" the body, pain (psychic) Unable to symbolize. Possibly pain of love is the basic assumption of our hypothesis / A existência de condição dolorosa crônica e sem substrato orgânico , a doença de dor, são relatados a partir do século XIX. Dor, tais como percepção, que é uma experiência subjetiva inclui várias sensações . Diferentes síndromes de dor crônica tem a dor como o principal sintoma e é caracterizada por um conjunto de sinais que não correspondem a um modelo de causas orgânicas não localizados. Enquanto a dor aguda é um indicador valioso para estabelecer um diagnóstico, dor crônica, ter perdido seu caráter de advertência, nos referimos a uma multiplicidade de determinações ordem somática ,psicológica e / ou ambiente . A contribuição da psicanálise, em parceria com o medicamento é útil na compreensão do significado dos sintomas na particularidade do caso e em relação à singularidade do sujeito. Em vez de apoiar a ideia de que é necessário , a qualquer custo, eliminar permanentemente uma síndrome dolorosa que seja e sofrimento mental associado a ele, é útil considerar o que é envolvido em termos estruturais e inconsciente. Em outras palavras, para "falar" do corpo, dor ( psíquica ) Não é possível simbolizar . Possivelmente dor do amor é o pressuposto básico da nossahipótese
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Les expériences précoces de douleur chez le patient douloureux chronique : place et rôle de l’objet / Early pain experiences for chronic pain patient : place and role of the object

Perrin, Anne-marie 12 July 2011 (has links)
A partir d’une pratique clinique auprès de patients douloureux chroniques dans un centre de la douleur il s’agira de mettre en évidence le rôle joué par des expériences précoces de douleur et leur éventuelle participation au processus de chronicisation de douleurs actuelles pour une catégorie de ces patients. Plus précisément il nous faudra examiner de quelle manière les relations premières de ces sujets avec leurs objets de soin pourraient s’être nouées en partie autour de la perception de douleur. Nous voulons montrer que cette population de patients s’est probablement trouvée très tôt confrontée de différentes manières à des vécus de douleur Pour ce faire nous nous proposons de faire appel de façon préférentielle à un ensemble de travaux et de réflexions développés ces dernières années dans les deux champs que sont d’une part les neurosciences et d’autre part la psychanalyse. Nous terminons par un retour à travers une monographie clinique sur les implications thérapeutiques que peut avoir la prise en compte d’un tel regard sur les avatars de la construction psychique du sujet et ces relations à des expériences ultérieures de douleur. / The subject of this thesis is to show the particular role played by early pain experiences and their possible link to present pain chronicising process for a part of these patients. More precisely, we will review how the first relationships of these subjects to their caregivers could have been partly tied up with pain perception.We want to show how this patients population has been probably very early confronted to pain experiences in different ways.To do so, we will bring up preferentially a set of work and reflection developed throughout these years in both psychoanalysis and neurosciences fields.We end up this work by a return through a clinical monography on therapeutic implications that such an approach can have on the subject psychic construction misadventures and his relationships to further pain experiences.
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L'influence des attributions de la douleur sur le fonctionnement psychosexuel des femmes atteintes de vestibulodynie et leurs partenaires

Jodoin, Mélanie January 2008 (has links) (PDF)
La présente thèse porte sur les facteurs psychosociaux impliqués dans l'expérience de la douleur vulvo-vaginale chez les femmes atteintes de vestibulodynie provoquée- la cause la plus fréquente de dyspareunie chez les femmes pré-ménopausées. Précisément, il est question d'une investigation des attributions causales de la vestibulodynie chez les femmes et leurs partenaires afin d'examiner jusqu'à quel point elles prédisent les variations de la douleur des femmes, ainsi que celles du fonctionnement psychosexuel et de l'ajustement dyadique de chacun des membres du couple. Les attributions causales sont des variables cognitives qui consistent en une explication personnelle de la source et de la nature d'une situation négative (p. ex., la maladie physique/mentale, la douleur chronique). Ces explications peuvent prédire l'ajustement physique et psychologique d'une personne envers cet événement négatif. Cet ouvrage comporte quatre chapitres: l'introduction théorique et les objectifs, deux articles scientifiques qui constituent la première et la deuxième étude de la thèse, ainsi qu'une discussion générale. Le premier article scientifique s'intitule: « Attributions as predictors of psychosexual and dyadic adjustment in women with vestibulodynia ». Le but de cette étude était de déterminer si les attributions causales de la douleur vulvo-vaginale permettent de prédire l'intensité de la douleur de même que la détresse psychologique, le fonctionnement sexuel et l'ajustement dyadique des femmes souffrant de vestibulodynie. Un échantillon de 77 participantes a complété un examen gynécologique et des questionnaires mesurant les attributions de la douleur, l'intensité de la douleur, la détresse psychologique, le fonctionnement sexuel et l'ajustement dyadique. Les résultats indiquent qu'en contrôlant pour l'intensité de la douleur et la durée de la relation de couple, les attributions internes prédisent un ajustement dyadique élevé. De plus, les attributions globales et stables prédisent un faible ajustement dyadique et une détresse psychologique élevée. Seules les attributions globales prédisent une détérioration du fonctionnement sexuel. Cependant, les attributions ne corrèlent significativement avec aucune mesure de douleur chez la femme. Le deuxième article scientifique se nomme: « Male partners of women with provoked vestibulodynia: Attributions for pain and their implications for dyadic adjustment, sexual satisfaction and psychological distress ». L'objectif de cette deuxième étude était d'examiner jusqu'à quel point les attributions des hommes envers la vestibulodynie prédisent leur ajustement dyadique, leur fonctionnement sexuel, leur satisfaction sexuelle et leur détresse psychologique, ainsi que la douleur et le fonctionnement sexuel de la femme. Un groupe de 38 hommes partenaires de femmes souffrant de vestibulodynie a répondu à des questionnaires évaluant leurs attributions de la douleur vulvo-vaginale et leur adaptation psychosexuelle. Les résultats démontrent que les quatre dimensions négatives des attributions (interne, globale, stable, responsabilité de la partenaire) ne prédisent pas de façon significative une augmentation de la détresse psychologique chez les partenaires masculins. Cependant, il semblerait que cette détresse soit reliée à une intensité de douleur élevée chez la femme. De plus, des degrés élevés d'attributions internes et globales sont associés à un ajustement dyadique plus faible. Enfin, les attributions globales et stables sont reliées à une faible satisfaction sexuelle. Aucune dimension des attributions n'a permis de prédire le fonctionnement sexuel des partenaires hommes, ni l'intensité de la douleur et le fonctionnement sexuel de la femme. Le dernier chapitre comporte une discussion générale qui résume les différents objectifs des études présentées ainsi que les résultats associés. Les limites méthodologiques des deux études scientifiques sont soulignées et des pistes de recherches futures sont proposées. Ce chapitre soulève également la contribution relative de cette thèse aux domaines de recherche de la dyspareunie et de la sexualité humaine. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Vestibulodynie, Douleur chronique, Couple, Sexualité, Attributions.
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Portrait biopsychosocial des différences de sexe et de genre dans la douleur expérimentale et chronique

Racine, Mélanie 11 1900 (has links) (PDF)
L'objectif de cette thèse était de mieux comprendre les différences hommes/femmes chez les sujets sains qui avaient été soumis à des tâches de douleur expérimentale (DE) en laboratoire et chez les patients souffrant de douleur chronique (DC). Le premier volet de cette thèse a consisté en une revue systématique de la littérature afin de répertorier les études sur les différences de sexe et de genre en réponse à la DE en utilisant une méthodologie systématique rigoureuse. Une stratégie de recherche dans des bases de données électroniques a été élaborée. Un total de 172 articles publiés entre 1998-2008 a été sélectionné, analysé et synthétisé. Les résultats ont été soumis pour publication dans deux articles consécutifs dans un même journal (Pain). Le premier article visait à vérifier l'hypothèse que les femmes étaient plus sensibles à la DE que les hommes. Les résultats obtenus montrent que les deux sexes avaient des seuils de détection de la douleur comparables pour les stimuli au froid et ischémique. Cependant, les femmes détectaient plus rapidement la douleur à la pression. Pour ce qui est de la tolérance à la DE, un grand nombre d'études montrent que les femmes tolèrent significativement moins longtemps la douleur au froid, à la chaleur et à la pression que les hommes. La majorité des études ayant mesuré l'intensité ou le caractère désagréable de la DE ne montraient pas un profil distinctif en fonction du sexe peu importe le type de modalité douloureuse employée. Le deuxième article de revue examinait les facteurs biopsychosociaux qui peuvent contribuer à la relation entre le sexe/genre et la DE. Les résultats obtenus suggèrent que l'implication des facteurs génétiques, hormonaux et physiologiques dans la relation entre le sexe et la DE est soit absente, soit discordante. En revanche, la sommation temporelle, l'allodynie et l'hyperalgésie secondaire seraient plus prononcées chez les femmes que chez les hommes. Les évidences suggérant que les femmes auraient un système endogène inhibiteur moins efficace que les hommes sont mitigées. Concernant les facteurs psychologiques, la dépression ne semblait pas contribuer aux différences de sexe associées à la DE alors que le rôle du stress, de l'anxiété et de la sensibilité à l'anxiété demeure ambigu. Les facteurs cognitifs et sociaux semblaient expliquer certaines différences de sexe qui pourraient venir influencer la perception de la DE. Toutefois, ces résultats doivent être traités avec prudence pour diverses raisons d'ordre méthodologique. En résumé, la revue systématique effectuée dans le premier volet de ce projet doctoral n'a pas permis de dégager un portrait clair et consistant des différences de sexe/genre dans la perception de la DE et des facteurs/mécanismes qui contribuent à ces différences. Considérant par ailleurs l'impact limité des résultats obtenus au plan clinique, la question se pose si les études en laboratoire auprès de sujets sains constituent le paradigme idéal pour identifier et comprendre les éléments qui différencient la réalité clinique des hommes et des femmes qui souffrent de DC. Cette question est débatable et elle devrait se situer autour de la pertinence clinique de ces expérimentations et de l'élaboration de nouvelles avenues de recherche qui devrait viser une amélioration de la validité écologique des études en laboratoire chez les sujets sains où un changement de paradigme devrait également être envisagé. Le deuxième grand volet du présent projet doctoral avait comme premier objectif d'examiner chez les patients en attente de recevoir des soins dans une clinique de traitement multidisciplinaire de la douleur (CTMDs) quelles sont les caractéristiques de leur douleur et les facteurs biopsychosociaux qui contribuent le mieux à différencier le sexe. Le deuxième objectif était d'investiguer si les hommes et les femmes présentaient un profil distinctif en ce qui a trait au fardeau économique de leur douleur en termes de coûts publics et privés. Au total, 728 patients éligibles (441 femmes et 287 hommes) ont accepté de participer à l'étude. La collecte des données a été effectuée à l'aide d'une série de questionnaires dûment validés qui leur était auto-administrés de même que dans le cadre d'une entrevue structurée menée par des infirmières de recherche. Un sous-échantillon de 370 patients (233 femmes et 137 hommes) ont été invités à compléter quotidiennement un journal exhaustif des coûts privés et publics reliés à leur douleur pour une période de trois mois. Une première série d'analyses statistiques a été réalisée sur les variables colligées qui ont été croisées avec la variable sexe. Les résultats obtenus montrent que le fardeau de la maladie associée à la DC était comparable pour les deux sexes pour ce qui est de l'intensité de la douleur (moyenne ou pire), l'interférence de la DC sur les activités de la vie quotidienne, la qualité de vie et le bien-être psychologique. Une régression logistique hiérarchique (RLH) a ensuite été effectuée sur les variables statistiquement significatives dans le but de vérifier leurs associations respectives avec le sexe. Les résultats de la RLH montrent que certains facteurs différenciaient significativement les hommes des femmes incluant : le statut d'emploi, les circonstances d'apparition de la DC, l'intensité de la douleur ressentie au moment présent, le type de médication utilisée pour contrer la douleur, l'emploi de stratégies particulières de gestion de la douleur, certaines croyances envers cette dernière et le type de ressources de santé utilisées à ce jour pour la DC. Les résultats des analyses de coûts ne montrent, quant à eux, aucune différence en fonction du sexe. Cette étude nous offre des pistes intéressantes concernant certaines variables qui peuvent être modifiables chez les patients et les patientes référées en CTMDs. Ces informations peuvent aussi aider le clinicien à mieux diriger ses interventions en tenant compte du sexe. En conclusion, les résultats de ce projet doctoral n'ont pas révélé de différences majeures selon le sexe/genre dans la perception et la sévérité de la douleur. Cependant, il apparaît que l'étude de populations cliniques est peut-être plus à même d'aider à comprendre certains aspects de la différentielle des sexes dans le domaine de la douleur que ne le font les études en laboratoire auprès de sujets sains. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : douleur expérimentale, douleur chronique, sexe, genre, hommes, femmes
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Enquête d'évaluation de la formation et des connaissances des internes en médecine sur la prise en charge de la douleur chronique chez l'adulte

Piffer, Isabelle Lonchamp, Philippe January 2006 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine : Nancy 1 : 2006. / Titre provenant de l'écran-titre.

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