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Le problème de l'Education Morale en France au XXe siècle dans l'enseignement élémentaire

Lheureux, Guy 06 December 2012 (has links) (PDF)
Face au consumérisme et à l'individualisme ambiants, à l'érosion de l'autorité éducative et à des manifestations de violence dans certains établissements scolaires, et parfois d'intolérance religieuse et ethnique, cette thèse propose plusieurs pistes de réflexion et des propositions en lien avec un besoin social d'éthique et la demande de clarification des valeurs pour l'école aujourd'hui. D'abord, la thèse propose une historiographie des principes moraux enseignés entre les années Ferry et Mitterrand à l'école primaire ; ensuite elle interroge les philosophes et chercheurs afin de proposer une assise théorique sur l'éducation morale et l'éthique scolaire. Enfin, à l'aide de cet arrière-plan conceptuel et d'un questionnaire national instruit par 120 enseignants, elle développe une réflexion sur les pratiques pour concrétiser dans l'école française deux défiséducatifs :-La proposition d'une éthique minimale, tissée de démocratie et de laïcité, avec l'apprentissage du respect mutuel, de la nature, des règles sociales ; l'éveil à la communication non-violente, le respect des principes moraux indispensables au vivre ensemble.-Un éveil à une spiritualité laïque exempte de tout lien avec la religion, permettant l'éveil aux valeurs humanistes et l'organisation d'activités pédagogiques développant un climat de paix et de tolérance, de non-violence et de solidarité. Redonner du sens à notre existence partagée, dans une école où les savoir-être sont aussi importants que les connaissances à acquérir. OEuvrer pour une " vie scolaire bonne " utile et agréable, où l'attention aux autres et lacoopération sont promues, où le respect de valeurs morales est accepté et appliqué par tous les acteurs de l'école
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La politique de la liberté selon Hannah Arendt et la démocratie à vocation giaminisante / The politics of liberty according to Hannah Arendt and the giaminising of democracy

Sumey Bongesa, Jean-Paul 30 March 2017 (has links)
Cet essai a pour objectif de s'interroger sur l'approche philosophique de la liberté développée au travers des travaux d'Hannah Arendt. Selon cette auteure, la liberté est la raison d’être du politique. L’analyse arendtienne dénonce, à la fois l’aveuglement traditionnel de la philosophie à l’égard de la liberté et les impasses des sciences politiques et juridiques modernes dans leur tentative de définir la liberté comme souveraineté. En saisissant la condition humaine par la parole et l'action qui mettent en rapport les hommes, Hannah Arendt découvre, l’espace public de la pluralité agissante, exigence d’une compréhension du sens politique et de la convivance. Cette analyse des conditions du pouvoir nous a amené à mettre en évidence les failles du pouvoir politique en Afrique, les contradictions entre l'esprit fondateur des révolutions et la démesure de l'action politique des dirigeants africains. En bafouant le statut du citoyen en tant qu'acteur politique majeur, les dirigeants africains trahissent le fondement même de tout pouvoir démocratique. Dans l'espoir de restituer au citoyen africain son pouvoir d'acteur politique majeur, nous proposons une nouvelle approche démocratique que nous nommons giaminisante. Cette théorie recherche et établit les conditions et stratégies d’une démocratie à pouvoir fort, capable de rendre effective la prééminence du citoyen comme acteur politique, avant de le qualifier comme sujet de droits. / The objective of this essay is to examine the philosophical approach to freedom as developed in the works of Hannah Arendt. According to that writer, freedom is the purpose of politics. The Arendt analysis exposes both the traditional blindness of philosophy concerning freedom, and the blockages facing modern political science and law in their attempt to define freedom as sovereignty. In considering the human condition through the words and actions which bring people together, Hannah Arendt reveals the public space of the active majority, demanding an understanding of political sense and social interaction. This analysis of the conditions of power has led us to bring out the flaws in political power in Africa, the contradictions between the founding revolutionary spirit and the political excesses of African leaders. By making a mockery of the status of African citizens, African leaders betray the very foundation of democratic power. In the hope of restoring to African citizens their power as major political actors, we propose a new democratic approach which we have called giaminising. This theory looks for and establishes the conditions and strategies of a democracy capable of affirming the pre-eminence of the citizen as political actor, and this before making him or her the subject of rights.
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Redistribution du pouvoir et foi démocratique : John Dewey contre le réalisme politique

Silva de Souza, Carlos Alexandre 03 January 2019 (has links)
Le retour de John Dewey au centre de l’attention du monde intellectuel est le point de départ de cette thèse qui se penche sur la pensée politique de l’auteur américain. Afin d’identifier les raisons qui expliquent la redécouverte du philosophe pragmatiste, l’étude fait appel à la théorie des réseaux intellectuels élaborée par Randall Collins. En tenant compte de cette perspective sociologique, nous affirmons que la rivalité entre Dewey et les partisans du réalisme démocratique aux années 1920 et 1930 déclenche chez Dewey le développement d’une théorie démocratique innovatrice, à la fois réaliste et éthique, qui se révèle d’une remarquable pertinence de nos jours. La revanche du penseur libéral contre les réalistes se traduit par sa vision singulière et progressiste de la démocratie, dont la redistribution du pouvoir et la foi démocratique demeurent les éléments essentiels. La créativité et la pertinence des idées politiques de Dewey expliquent l’intérêt renouvelé des théoriciens contemporains à propos de son libéralisme radical.
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Les principes démocratiques de l’autorité : fondements et modalités de l’exercice du pouvoir dans les sociétés contemporaines / The Democratic Principles of Authority : a study of the foundations and modalities of the exercise of power in contemporary societies

Boccon-Gibod, Thomas 22 November 2011 (has links)
L’objet de cette étude consiste à rendre raison du phénomène de l’autorité, dans les deux sens du terme : en définir la nature et en examiner la justification. Ainsi est-ce seulement par un examen critique des usages de la raison qu’il paraît possible d’en déterminer les principes. Dans une première partie, nous nous attachons à dégager pour lui-même un usage critique et réflexif de la raison par opposition aux usages visant la production de connaissances objectives. Nous dégageons de ce fait l’espace dévolu à la philosophie politique dans la configuration moderne des savoirs, entre sciences de la nature et sciences humaines. Dans un second temps, nous examinons les fondements modernes de l’autorité sous sa forme étatique, à savoir la notion de volonté individuelle, sous ses deux modes de théorisations positives que sont, sur son versant épistémologique, l’anthropologie politique, et sur son versant pratico-légal, la théorie de la représentation. Nous nous attachons ainsi, en particulier, à analyser ce qu’on peut entendre par le terme d’institution, et ce qu’il y a de démocratique dans la notion de gouvernement représentatif. Dans un troisième temps, nous nous tournons vers les modalités concrètes de l’autorité à travers l’esquisse d’une généalogie des institutions gouvernementales. Prenant appui notamment sur les origines doctrinales du droit administratif français, nous sommes ainsi conduits à identifier deux modalités essentielles du gouvernement moderne : « l’Etat social », défini par les médiations collectives de la liberté individuelle, et « l’Etat régulateur », défini par l’assomption individuelle des mythes caractéristiques de la modernité. / The aim of this study is to give an account of the phenomenon of authority, so as to define its nature as well as to examine its justifications. Hence, it seems that it is only by a critical study of the ways of using reason that it is possible to determine such principles. First of all, we try to identify as such a critical and reflexive use of reason, as opposed to those aiming at the production of some objective knowledge. Thereby we define the proper place of political philosophy among the diverse forms of knowledge characteristic of modernity, especially natural and human sciences. Second, we examine the modern foundations of authority in its statist form, namely individual will, through its two main theoretical expressions, political anthropology on the epistemic side, and the theory of representation on the legal-practical one. In particular, we examine the meaning of the notion of institution, and the democratic character of representative government. Thirdly, we look at the concrete modalities of authority through the sketch of a genealogy of governmental institutions. Drawing on the doctrinal origins of the French administrative law, we are thus led to identify two essential modalities of modern government: the “Social State”, defined by the collective mediations of individual liberty, and the “Regulatory State”, defined by the individual assumption of the myths characteristic of modernity.
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Pouvoir et empathie : philosophie sociale, psychologie et théorie politique / Power and empathy : social philosophy, psychology and political theory

Cukier, Alexis 05 December 2014 (has links)
Cette étude questionne les catégories d’aliénation et de réification et les concepts de pouvoir et d’empathie pour fonder la critique des institutions du travail et de l’État dans les sociétés capitalistes contemporaines. L’aliénation est considérée en tant qu’elle consiste dans des effets d’instrumentalisation de l’empathie et de la coopération, qui résultent de processus de réification ancrés dans des formes d’organisation institutionnelle – notamment managériales, bureaucratiques et financières – qui rendent difficile ou impossible l’exercice démocratique du pouvoir. En interrogeant les concepts psycho-sociologiques qui permettent de fonder l’interprétation de ces catégories, nous montrons que l’empathie – la capacité de compréhension antéprédicative des affects, intentions et actions des autres individus – constitue le fondement de la coopération et l’objet de l’organisation du pouvoir, qui en détermine les mécanismes, en dirige les usages et ainsi contrôle, de manière aliénante ou démocratique, la coopération des individus. Cette conception du contrôle social de l’empathie permet de critiquer certaines expériences psycho-sociales négatives liées à la « forme entreprise » des rapports sociaux capitalistes, et de leur opposer la possibilité d’une participation de tous les individus à l’activité de réorganisation et de contrôle social des formes institutionnelles de leur coopération. Ce travail propose finalement d’allier certains apports du marxisme et du pragmatisme pour appuyer la critique de l’aliénation et de la réification sur une théorie, psychologiquement fondée, du contrôle social et de l’exercice démocratique du pouvoir. / This study questions the categories of alienation and reification, and the concepts of power and empathy, in order to ground the criticism of contemporary capitalist institutions of labor and the State. In our view, alienation results from instrumentalizing empathy and cooperation; which is, itself, an effect of reification processes. Such processes occur within specific forms of institutional organization (especially management, bureaucracy, and finance) which impede or disenable the democratic exercise of power. We survey the psycho-sociological concepts underlying such an interpretation of these critical categories, and point out that empathy – the antepredicative understanding of the affects, intentions and actions of other individuals – constitutes the ground of cooperation and the object of power. Power itself determines the mechanisms and conducts the practical uses of empathy, thereby controlling, either in an alienating or in a democratic way, the cooperation of individuals. This theory of the social control of empathy enables the criticism of specific psycho-social negative experiences that are connected with the « corporateness » of capitaliste social relations, but also enables social philosophy to promote the possible participation of all individuals against the activity of reorganizing and controlling the institutional forms of their cooperation. Our study finally attempts to combine the contributions of marxism and pragmatism to social philosophy, in order to ground the criticism of alienation and reification on a psychologically consistent theory of the social control and the democratic exercise of power.
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Pragmatisme : une philosophie anarchiste ? : une généalogie : Proudhon, Bakounine, James, Dewey / Pragmatism : an anarchist philosophy ? : a genealogy : Proudhon, Bakunin, James, Dewey

Maroupas, Nikolaos 03 November 2015 (has links)
Le pragmatisme, en tant que courant philosophique, et l'anarchisme, en tant que courant politique, semblent être reliés par deux approches d'apparence complémentaire : le premier est souvent considéré comme politiquement neutre alors que le second comme philosophiquement indifférent. Notre étude consiste à examiner cette double neutralité et, suivant notre interrogation, à savoir « le pragmatisme, est-il une philosophie anarchiste ? », valoriser et évaluer la possibilité d'une réponse positive, car les conséquences politiques de l'un et les conséquences philosophiques de l'autre, ainsi que les causes de leur prétendue indifférence complémentaire, nous inspirent l'idée d'une architecture commune. Dans un premier temps, nous tentons de situer cette architecture dans la philosophie de James et de Dewey se focalisant sur le rapport du pragmatisme à la démocratie. Nous dégageons ainsi les traits principaux d'une philosophie de l'expérience conforme aux exigences que les philosophes pragmatistes prêtent à la démocratie, car c'est l'expérience qui permet à la démocratie de voir sa dimension éthique, très présente chez les pragmatistes, devenir politique. Dans un deuxième temps, nous examinons l'articulation de ce que l'on peut appeler doxa anarchiste avec les thèses philosophiques que James et Dewey voient composer la philosophie de l'expérience. Nous nous focalisons notamment sur la pensée de Proudhon et de Bakounine, dont la filiation nous semble porteuse du même esprit anti-absolutiste qui correspond à la dimension critique de la philosophie de l'expérience. / Pragmatism, as a philosophical movement, and anarchism, as a political one, seem to be connected by two seemingly complementary approaches: pragmatism is often considered as politically neutral, while anarchism as philosophically indifferent. The aim of our study is to examine this double neutrality and, following our interrogation, namely « is pragmatism an anarchist philosophy? », to evaluate the possibility of a positive answer, the political consequences of the one and the philosophical consequences of the other, and also the causes of their alleged complementary indifference, inspiring us the idea of a commun architecture. First, we try to locate this architecture in the philosophy of James and Dewey, focusing on the relationship of pragmatism to democracy. Thus, we point out the main features of a philosophy of experience fitting the demands - in a pragmatic perspective - of democracy. For it is only experience that allows democracy to see its ethical dimension - very present among pragmatists - become political. Second, we examine the articulation of what we can call anarchist doxa with the philosophical assertions that form, according to James and Dewey, the philosophy of experience. We focus, in particular, on the thought of Proudhon and Bakunin, whose kinship seems to carry the same anti-absolutist spirit that forms the critical dimension of the philosophy of experience.
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Coopérer à l’école, l’espoir d’une éducation par l’action collective : le cas d’un collège en région parisienne / Cooperative Learning at school : one example of a school in the Paris area

Baillon, Alexis 20 November 2015 (has links)
Cette thèse se propose d’évaluer les possibilités coopératives en classe de collège à partir d’une étude de terrain portant sur un établissement de région parisienne. Partant du constat que l’école française, et plus précisément le collège, ne parvient pas à organiser une action éducative efficace, nous posons l’hypothèse que c’est du fait d’un manque de structures coopératives de base dans la pratique de la classe. Pour répondre à cela, nous soutenons la thèse que la pratique de la classe est déjà imprégnée d’un idéal qui substitue à la forme scolaire traditionnelle, des pratiques polymorphes qui ont pour assises l’interaction et la communication, ce qui permet d’envisager une transformation des pratiques vers plus de coopération. Pour étayer celle-ci, nous avons étudié un établissement de région parisienne pendant plus de deux ans, ce qui nous amené à analyser le point de vue des enseignants par des entretiens semi-directifs, puis nous avons observé la dynamique entre enseignants et groupe d’élèves dans deux ateliers périscolaires se déroulant au sein de l’établissement. Pour pouvoir étudier de manière pertinente des pratiques coopératives nous avons construit le concept de coopération à partir des écrits de John Dewey que nous confrontons à la forme scolaire française tout au long de cette thèse. / This thesis intends to assess the cooperative possibilities in middle school class from a field study on a school in the Paris region. Considering that the French school, specifically middle school, does not manage to organize an effective educational action, we hypothesize that it comes from a lack of basic cooperative structures in classroom practice. To answer this issue, we support the thesis that classroom practice is already impregnated with an ideal that substitutes polymorphic practices to the traditional school form. These practices rely on communication and interaction, this is why it allows us to consider a transformation towards more cooperation. To support this view, we studied a school in the Paris region for over two years, which led us to analyze the teachers’ point of view through semi-directive interviews. We then observed the dynamic between a teacher and a group of students in two extra-curricular workshops being held within the school. To be able to study in a relevant way these cooperative practices, we have built the cooperation concept from the writings of John Dewey which we confront with the French school form throughout this thesis.
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Le musée national entre principe républicain et question démocratique / National Museum between Republican Principle and Democratic Question

Bordier, Julien 23 January 2012 (has links)
Invention révolutionnaire, le musée d'art ouvert au public est une institution qui offre un espace contradictoire, cela à plusieurs niveaux : dans les origines conflictuelles du musée, dans la validation de ses relations avec un pouvoir institutionnalisé, dans la conceptualisation de sa dimension publique. Une approche croisée de l'histoire de l'institution et de l'évolution de la question politique nous fera relever précisément ces contradictions et mettra en évidence une tension entre deux pôles antagonistes, en dialogue constant, le principe républicain et la question démocratique. Cette tension s'avère pertinente pour évoquer les musées nationaux et les politiques culturelles de la Cinquième République. On voit alors en quoi le musée national est une institution républicaine et dans quelle mesure la « démocratisation culturelle » s'articule avec la question démocratique. C'est à partir de ces réflexions que l'on peut questionner l'évolution des musées nationaux à partir des années 2000 et leur vaste mouvement de réforme. La réforme des musées nationaux se présente comme la modernisation de leur mode de gestion. Nous en analysons les effets dans deux cas significatifs que sont les musées du Louvre et d'Orsay, à partir de la dimension législative de ces mutations, de déclarations publiques des directions des établissements et d'entretiens réalisés avec des personnels de ces musées. Après avoir contextualisé/caractérisé ce mouvement de réforme, celui-ci est interrogé à partir de la tension définie plus haut entre principe républicain et question démocratique. On verra comment cette tension se reconfigure et se déplace dans un nouveau type de musée, le musée-entreprise. / As a revolutionary invention, art museum opened to the public in France is an institution that offers a contradictory space, in different levels: in the conflicts of the origins of the museum, in the validation of its relation of an institutionalized power, in the conceptualization of its public dimension. Mixing the particular history of this institution with an evolution of political issue, is a way to name these contradictions. This highlights a tension between two antagonistic poles, but in a constant dialogue, republican principle and democratic question. This conflictual dialogue has to be understood as an identification process and its crisis. This tension appears relevant to analyze national museums and cultural Policy during the french Fifth Republic. Therefore, national museum seems to be a republican institution and how “cultural democratization” enunciate itself with democratic question. From these reflexions, evolution of national museums and cultural Policy since 2000, and, the large amendments they know, are analyzable. Amendment of national museums presents itself as a modernization of their management and administration, by alleviating their ministerial tutelage. We analyze these amendments effects from two examples, Louvre and Orsay museums, by studying legislative dispositions, public statements of their directorate and interviews with employees in the museums. After this amendment movement has been contextualized and defined, it is analyzed from the tension between republican principle and democratic question. It is reconfigured and shifted in a new kind of museum appearing: company-museum.
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Etat et politique dans la pensée islamique moderne (19ème et 20ème siècles) / State and politics in 19th and 20th century modern Islamic thought

Dilmi, Messaoud 17 February 2012 (has links)
Notre recherche aborde la question de l'État dans la pensée islamique moderne chez les réformateurs du 19ème siècle et les islamistes du 20ème siècle selon une approche pluridisciplinaire. Le réformisme musulman a mené le combat entre le despotisme, contre l'ignorance des populations et contre les ingérences européennes. Il était plus ouvert au constitutionnalisme qui ne diffère pas de la shûra et des finalités de la charî'a.C'est dans ce sillage que se forme la pensée des théoriciens islamistes, du moins au début avant de s'en détacher car par la suite les islamistes entreront en conflit avec le nationalisme arabe ainsi qu'avec la pensée libérale, voire avec l'État-nation. Par conséquent deux logiques s'affrontent sur la nature de l'État, les limites des pouvoirs, la légitimité, et concernant essentiellement la relation entre État national et la religion, point de la discorde. Cette relations est restée ambiguë depuis un siècle. Il en est né un État national ni religieux ni laïque mais qui a modernisé le droit des emprunts à la juridiction occidentale, sans appliquer toutefois une vraie démocratie qui respecterait les droits de l'homme et de la citoyenneté. Il y a une laïcité et une sécularisation de fait au niveau individuel comme au niveau sociétal en pays arabo-musulmans sans que cela touche le dogme, malgré les tentatives de modernisation. Mais à partir des années quatre-vingt-dix un courant émerge appelé les néo-réformateurs, qui acceptent le jeu démocratique et la souveraineté populaire. Cela constituera un grand tournant dans la pensée politique islamique. / Our research deals with the subject of the State in 19th and 20th century Islamic modern reformist thought in accordance with a multidisciplinary approach. Islamic reformism has fought against despotism, ignorance of the populace and European interference. It was open to constitutionalism which is not different from the Shura system and goals of the Shariia. The thinking of Muslim theorists took shape within this framework, at least for a while before Islamists decided to break with it. Later, Islamists relations with both Arabic nationalism and liberal thinking, indeed with the Nation-State as a whole, became conflictual.Thus, two points of view concerning the nature of the State, the limits of power, legitimacy, and essentially the very controversial relationship between the Nation State and religion confronted each other. This relationship remained ambiguous for a century. The product has been a Nation State that is neither religious nor secular, but which has modernized the law by borrowing from the Western judicial system, without, however, applying real democracy able to respect human rights and citizenship. A de facto, secularism does exist on an individual and social level in Arab-Muslim countries without influencing the dogma, despite attempts at modernization. But from the 1990s on, a neo-reformist current of thought has emerged, which accepts democracy and sovereignty of the people. This will constitute a big turning point in Arab-Muslim political thought.
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Titrailles, interactions et construction d'un espace public autour de la presse écrite : une analyse ethnosociologique du kiosque à journaux au Cameroun / Titles, interactions and construction of a public space around the printing press : An ethno sociological analysis of the newspaper stalls in Cameroun.

Bitond, Adrien 16 September 2016 (has links)
Les points de vente de la presse écrite, encore appelés kiosques à journaux, sont le théâtre d’activités humaines au quotidien. Le passant qui traverse les grands carrefours de Yaoundé ou de Douala est attiré par les nombreuses personnes attroupées devant les kiosques à journaux où elles tiennent des discussions « interminables ». Pour les populations urbaines, il s’agit d’un passe-temps pour ceux qui s’y adonnent. Pourtant, la pratique est renouvelée au quotidien devant ces espaces de commerce. La présence de personnes devant les kiosques à journaux à longueur de journée traduit-elle une certaine oisiveté de leur part ou alors l’expression d’un réel intérêt pour les journaux ? Cette thèse analyse les logiques qui structurent le phénomène d’attroupement devant les kiosques à journaux et interroge la place des discussions qui y émergent. Les pratiques observées, ainsi que les entretiens menés au cours de l’enquête, montrent que la recherche des informations contenues dans la presse écrite est fondamentalement l’objet d’attraction des populations vers ces points d’approvisionnement. Les différents acteurs déploient des stratégies variées pour accéder à l’information. En effet, la vente directe des journaux comme seule source de revenus des kiosquiers relèverait d’une utopie. Face à la conjoncture qui sévit dans le secteur de la presse, les commerçants de journaux ne sont pas épargnés. La chute des ventes suscite le besoin de réajustements, dont le but est de combler le manque à gagner. Dans un contexte global dominé par la précarité, le consommateur n’est pas en reste. Désormais, parcourir les titres de journaux suffit pour se faire une idée de l’actualité. De cette exploration approximative émergent de manière instantanée des débats sur les sujets relayés dans les médias. Pour les protagonistes de ces échanges, la possibilité d’exprimer leur point de vue représente une forme de liberté d’expression, symbole de la démocratie, laquelle apparaît comme un élément structurant majeur dans la construction de l’espace public. / The newspaper stall constitutes an environment for daily human interactions. As one passes by the Yaounde and Douala major crossroads, it’s impressive to see the crowds gathered around the newspaper stalls. For many people, it has become a daily appointment for endless debates.The question is: Why do people spend so much of their time around those newspaper stalls? Is it because they are idlers? Or is it because they are truly interested in newspapers?Our thesis dissertation is aimed at analyzing the logics that structure the phenomenon of crowds around the newspaper stalls, and questioning the nature and content of the discussions resulting from peoples’ interactions in those places.From our observations on the field, and from the interviews carried out, it appears that the main reason why people gather around the newspapers stall is their search for information. Because of the economic crisis many people can’t afford to buy a newspaper. Therefore, they are often contempted with reading the titles on the front pages and when possible, gathering supplementary information from those who may have had the privilege to read the articles. Within this framework, spontaneous discussions and debates merge, which give the protagonists the opportunity to say their mind, and thus feel as if they are expressing their right to free speech, which symbolizes democracy and as such stands as a fundamental element in the public space.

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