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The administration of the Ptolemaic possessions outside Egypt /

Bagnall, Roger Shaler, January 1976 (has links)
Texte remanié de: Thesis--University of Toronto, 1972. / Notes bibliogr. Index.
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Les mystères de l'Egypte ancienne dans la bande dessinée : essai d'anthropologie iconographique / Non communiqué

Marie, Vincent 11 June 2010 (has links)
Comment l’Egypte ancienne s’inscrit-elle dans la mémoire collective ? La constitution d’un imaginaire de l’Egypte ancienne est à inclure dans un courant culturel et artistique parfois fait d’emprunts sélectifs au répertoire antique, tout en étant simultanément redevables à d’autres traditions artistiques et notamment à l’égyptomanie. L’égyptomanie acquiert alors dans la bande dessinée une dimension propre, caractérisée par des codes et un vocabulaire tout à fait spécifiques, favorisant l’invention narrative et graphique. Saisir les mystères de l’Egypte ancienne dans la bande dessinée revient à composer une « grammaire de la civilisation » des pharaons. Ainsi, la construction d’un cadre signifiant permet de dresser les lieux de mémoires (signifiants, significatifs, moins évocateurs ou carrément absents), le topos exotique (mytho-géographie, image de l’autre, références bibliques comme marqueur d’une distinction), l’image d’une société hiérarchisée (prédominance de Pharaon et des puissants sur le peuple de la vallée) et le tableau d’une religion et de croyances fascinantes (attraction du polythéisme et de l’univers des mythes égyptiens, illustration des rites funéraires, de la mort et de l’au-delà) comme autant de rouages structurels dans l’agencement d’une mémoire de l’Egypte ancienne. Cependant, il convient de ne pas négliger l’intégration dans la fabrique de l’imaginaire de l’Egypte ancienne des processus dynamiques qui s’opèrent dans la constitution d’un laboratoire d’imageries plus ou moins stéréotypées. Réfléchir sur la généalogie des images et distinguer les sources d’influences sur lesquels s’appuient les auteurs (sources héritées de l’Egypte ancienne et/ou sources puisées dans l’histoire des arts) démontre que les représentations qui nourrissent l’imagination des artistes ne naissent pas ex-nihilo mais sont le fait d’un long cheminement historique. Les auteurs recréent et réinterprètent l’Histoire avec des référents et des attitudes mentales qui leur appartiennent tout en laissant libre cours à des fantasmes parfois difficiles à décrypter. / How does ancient Egypt remain etched on the collective memory ? The construction of an imagination of ancient Egypt is to be included in an artistic and cultural trend which is sometimes made of selective borrowings from the repertoire of antiquity as well as being indebted simultaneously to other artistic traditions, in particular egyptomania. Egyptomania acquires, then, in comics, a dimension of its own which is characterized by codes and very specific vocabulary, favouring narrative and graphic inventiveness. Grasping the mysteries of ancient Egypt in comics comes down to working out a “ grammar of the civilization” of Pharaohs. Thus, the construction of a signifying framework allows us to list places of memories (which are signifying, significant, less evocative or altogether lacking ), exotic topos (mytho-geography, image of otherness, biblical references as marker of distinction), the image of a society organized into a hierarchy ( the predominance of the Pharaohs and the mighty over the people in the valley) and the depiction of a religion as well as fascinating beliefs ( attraction to polytheism and to the universe of Egyptian myths, illustrations of funerary rituals, death and the beyond), all these structuring the construction of a memory of ancient Egypt. However, one must not neglect the integration of dynamic processes in the construction of the imagination of ancient Egypt. Those dynamic processes are at work in the building up of more or less stereotyped imagery. Reflecting on the genealogy of images and distinguishing the sources of influence on which the authors rely (sources inherited from ancient Egypt and / or sources out of the history of the arts) demonstrate that the representations that nurture the artists’ imagination are not born out of nothing but are the result of long historic development. Authors re-create and reinterpret History with reference points and mental attitudes of their own while giving free rein to a fantasy world which is sometimes difficult to decipher.
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Etude des contextes historiques et architecturaux de la statuaire royale de Sésostris Ier/Study of the historical and architectural contexts of the royal statuary of Senwosret I

Lorand, David 24 March 2010 (has links)
Kheperkarê Sésostris Ier est le deuxième souverain de la 12ème dynastie (vers 1958 – 1913 avant notre ère). Son règne, globalement bien documenté, a vu la (re)construction de plusieurs des principaux sanctuaires divins d’Égypte, dont ceux d’Amon-Rê à Karnak et d’Atoum à Héliopolis, et est à l’origine d’œuvres littéraires de première importance – certaines étant par ailleurs analysées en tant que pièces de propagande en faveur du roi après l’assassinat de son père, le pharaon Amenemhat Ier. Enfin, cette période est marquée par de nombreuses expéditions, militaires ou non, à destination de la Nubie ou des gisements de pierre et de minerais. Si la bibliographie relative à Sésostris Ier est loin d’être négligeable, tant en qualité qu’en quantité, force est de constater que certains aspects de son règne ont été négligés dans les études précédentes, non sans influencer notre perception de celui-ci et tout particulièrement notre connaissance de la chronologie et des différentes réalisations statuaires du souverain. La première partie de la présente thèse de doctorat ambitionne donc de préciser l’historique du règne de Sésostris Ier dans une perspective diachronique, et met en œuvre des ressources documentaires appartenant tant à la sphère royale qu’à celle des particuliers. Elle vise à établir le continuum temporel des diverses entreprises royales, et leur synchronisme éventuel, qu’il s’agisse du parachèvement de la conquête de la Nubie dans la deuxième décennie de son règne, de la construction de son complexe funéraire à Licht Sud dans la première moitié de celui-ci ou des multiples (re)fondations de sanctuaire, voir des expéditions vers les carrières du désert oriental durant les 45 années passées par Sésostris Ier sur le trône du Double Pays. C’est enfin l’occasion de définir une trame chronologique – malheureusement partielle – pour les œuvres statuaires du pharaon. La deuxième partie de cette étude est en effet consacrée à la statuaire royale de Sésostris Ier, et constitue un catalogue raisonné et critique inédit de quelques 87 pièces, complètes ou fragmentaires. Le catalogue tâche de sérier les statues suivant que leur appartenance au règne de Sésostris Ier me semble certifiée (C), que je les attribue personnellement à celui-ci (A), que leur datation de ce règne soit problématique (P), ou que les pièces se réduisent à des fragments iconographiquement peu signifiants (Fr). une étude typologique des regalia et des attitudes du souverain prolonge le catalogue, de même qu’une évocation de la polychromie des œuvres. La troisième et dernière partie est consacrée à l’étude critique des réalisations architecturales de Sésostris Ier et à l’insertion des œuvres statuaires dans ces espaces construits. Elle distingue les contextes proprement égyptiens, répartis entre Éléphantine et Bubastis, et les sites extérieurs à l’Égypte stricto sensu, à savoir la Basse Nubie et le Sinaï. Bien que reposant le plus souvent sur les seules sources publiées, qu’elles soient le résultat de fouilles archéologiques ou de documents contemporains du règne, l’interprétation de ces vestiges permet néanmoins d’apporter un éclairage nouveau sur plusieurs sanctuaires ou parties d’édifices, voire de proposer des solutions alternatives quant aux restitutions des bâtiments, en ce compris la localisation des statues du roi. Cette étude de la statuaire de Sésostris Ier et de ses contextes historiques et architecturaux offre un regard neuf sur une documentation régulièrement utilisée mais peu étudiée et peu analysée. Les principaux apports inédits concernent le canevas événementiel diachronique du règne et la réalisation d’un corpus statuaire critique du deuxième souverain de la 12ème dynastie.
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La dissimilation graphique dans les textes égyptiens de l'Ancien Empire : essai de grammatologie cognitive / Dissimilation graphique" in Old Kingdom Egyptian texts : essai de grammatologie cognitive

Thuault, Simon 01 December 2017 (has links)
La « dissimilation graphique » est une particularité récurrente des écritures égyptiennes, en particulier à l’Ancien Empire (IIIe-VIe dynasties, env. 2700/2150 av. J. C.). À cette époque, la pluralité (aussi bien grammaticale que lexicale) était indiquée par le triplement des sémogrammes, signes investis d’une valeur sémantique et censés permettre la compréhension des lexèmes. De ce fait, si les idéogrammes et classificateurs étaient d’ordinaire répétés trois fois à l’identique, la « dissimilation » désigne les occurrences dans lesquelles ces trois signes sont distincts. Par exemple, si un mot comme bAk.w, « serviteurs », est traditionnellement accompagné de trois hommes assis, l’un d’entre eux pourra être remplacé par une femme en cas de dissimilation. De même, si mHy.t, « poissons », comprend habituellement trois poissons de même espèce, sa version dissimilée offrira trois espèces différentes. Cette thèse se donne pour objectif d’analyser de façon systématique la dissimilation graphique, majoritairement attestée dans les inscriptions hiéroglyphes des tombes royales et privées, mais également dans certains documents hiératiques. À travers cette étude, les raisons supposées de l’existence de la dissimilation graphique sont exposées. En conséquence, la classification égyptienne se voit placée sous de nouveaux éclairages. De plus, par l’examen d’un nombre important de textes égyptiens de l’Ancien Empire, de nouvelles analyses des fonctions des signes qui les composent seront proposées afin d’éclaircir certaines zones d’ombres de la linguistique égyptologique. / The peculiarity called “dissimilation graphique” is recurrent in Egyptian writing systems, particularly during Old Kingdom (Dyn. III-VI, ca. 2700-2150 BC). At this time, plurality (grammatical and lexical) is indicated by the threefold of semograms, signs that have a semantic value and allow to understand the lexemes. Thus, if ideograms and classifiers are ordinary reproduced three times identically, “dissimilation” refers to occurrences where these three signs are different. For example, if bAk.w, “servants”, is usually followed by three men, in case of dissimilation, one of them can be replaced by a woman. In the same way, if mHy.t, “fish”, habitually takes three identical fish, a dissimilated version will show three different species. This Ph.D Thesis aims to analyse in a systematic way the process of “dissimilation graphique”, mostly found in hieroglyphic inscriptions of royal and private tombs, but also in some hieratic documents. Through this study, the supposed reasons of dissimilation are exposed. Consequently, Egyptian classification is newly enlightened. Moreover, in examining a great number of Old Kingdom texts, new analysis of the signs functions are proposed to clarify some unclear elements of egyptological Linguistics.
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Enquête sur tit et djed dans le domaine funéraire, à partir de la documentation du Nouvel Empire / Investigation about tit et djed in funerary context, based on the documentation of the New Kingdom

Froppier, Elsa 08 December 2016 (has links)
Tit et djed sont les noms égyptiens de deux signes utilisés à la fois dans le système hiéroglyphique et dans le domaine iconographique, mais qui se matérialisent aussi sous forme d’objets (amulettes) intégrés aux rites funéraires ; ce triple emploi ayant longtemps empêché de définir distinctement leur nature. Leur apparition, remontant aux plus hautes époques de l’histoire de l’Égypte ancienne (Ire dynastie), montre déjà une affectation funéraire marquée des emblèmes, spécialisation qui ne cessera de progresser tout au long de cette vaste période, avec une nette transition au Nouvel Empire, justifiant le cadrage chronologique mais aussi la sélection du contexte funéraire pour notre étude. Celle-ci se propose d’examiner trois catégories principales de documents : les papyri du Livre des Morts, l’iconographie des tombes et les décors du mobilier funéraire, dans le but de comprendre les croyances et fonctions associées à l’emploi combiné des deux emblèmes, en tenant toujours compte des aspects politiques et religieux relatifs à l’institution pharaonique qui pourraient l’éclairer. / Tit and djed are the egyptian names of two signs employed at the same time in the hieroglyphic system and in the iconographic domain, but which materialize too in the form of objects (amulets) into the funerary rites ; this triple use long prevented to define their nature. Their occurrence, which dates from the first dynasty, already shows a funerary affectation of the emblems, specialization which continues to progress during this period, with a transition during the New Kingdom, justifying the chronological framing but also the selection of the funeral context for our study. This one intends to examine three main categories of documents : the Book of the Dead papyri, the iconography of the tombs and the decorations of the funeral furniture, in order to understand the beliefs and functions concerning both signs, always by taking into account political and religious aspects relative to the pharaonic institution, which could enlighten it.
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Etude des contextes historiques et architecturaux de la statuaire royale de Sésostris Ier / Study of the historical and architectural contexts of the royal statuary of Senwosret I

Lorand, David 24 March 2010 (has links)
Kheperkarê Sésostris Ier est le deuxième souverain de la 12ème dynastie (vers 1958 – 1913 avant notre ère). Son règne, globalement bien documenté, a vu la (re)construction de plusieurs des principaux sanctuaires divins d’Égypte, dont ceux d’Amon-Rê à Karnak et d’Atoum à Héliopolis, et est à l’origine d’œuvres littéraires de première importance – certaines étant par ailleurs analysées en tant que pièces de propagande en faveur du roi après l’assassinat de son père, le pharaon Amenemhat Ier. Enfin, cette période est marquée par de nombreuses expéditions, militaires ou non, à destination de la Nubie ou des gisements de pierre et de minerais.<p>Si la bibliographie relative à Sésostris Ier est loin d’être négligeable, tant en qualité qu’en quantité, force est de constater que certains aspects de son règne ont été négligés dans les études précédentes, non sans influencer notre perception de celui-ci et tout particulièrement notre connaissance de la chronologie et des différentes réalisations statuaires du souverain.<p><p>La première partie de la présente thèse de doctorat ambitionne donc de préciser l’historique du règne de Sésostris Ier dans une perspective diachronique, et met en œuvre des ressources documentaires appartenant tant à la sphère royale qu’à celle des particuliers. Elle vise à établir le continuum temporel des diverses entreprises royales, et leur synchronisme éventuel, qu’il s’agisse du parachèvement de la conquête de la Nubie dans la deuxième décennie de son règne, de la construction de son complexe funéraire à Licht Sud dans la première moitié de celui-ci ou des multiples (re)fondations de sanctuaire, voir des expéditions vers les carrières du désert oriental durant les 45 années passées par Sésostris Ier sur le trône du Double Pays. C’est enfin l’occasion de définir une trame chronologique – malheureusement partielle – pour les œuvres statuaires du pharaon.<p>La deuxième partie de cette étude est en effet consacrée à la statuaire royale de Sésostris Ier, et constitue un catalogue raisonné et critique inédit de quelques 87 pièces, complètes ou fragmentaires. Le catalogue tâche de sérier les statues suivant que leur appartenance au règne de Sésostris Ier me semble certifiée (C), que je les attribue personnellement à celui-ci (A), que leur datation de ce règne soit problématique (P), ou que les pièces se réduisent à des fragments iconographiquement peu signifiants (Fr). une étude typologique des regalia et des attitudes du souverain prolonge le catalogue, de même qu’une évocation de la polychromie des œuvres.<p>La troisième et dernière partie est consacrée à l’étude critique des réalisations architecturales de Sésostris Ier et à l’insertion des œuvres statuaires dans ces espaces construits. Elle distingue les contextes proprement égyptiens, répartis entre Éléphantine et Bubastis, et les sites extérieurs à l’Égypte stricto sensu, à savoir la Basse Nubie et le Sinaï. Bien que reposant le plus souvent sur les seules sources publiées, qu’elles soient le résultat de fouilles archéologiques ou de documents contemporains du règne, l’interprétation de ces vestiges permet néanmoins d’apporter un éclairage nouveau sur plusieurs sanctuaires ou parties d’édifices, voire de proposer des solutions alternatives quant aux restitutions des bâtiments, en ce compris la localisation des statues du roi.<p><p>Cette étude de la statuaire de Sésostris Ier et de ses contextes historiques et architecturaux offre un regard neuf sur une documentation régulièrement utilisée mais peu étudiée et peu analysée. Les principaux apports inédits concernent le canevas événementiel diachronique du règne et la réalisation d’un corpus statuaire critique du deuxième souverain de la 12ème dynastie. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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