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Political realignment in England and Wales, c. 1906-1922

Tanner, Duncan January 1985 (has links)
No description available.
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Les deux corps du Front national : Étude contextualisée du vote Front national dans quatre communes ouvrières du Pas-de-Calais et des Bouches-du-Rhône / The Front National’s two bodies : Comparative study of the vote for the "Front National" in four cities of the Pas-de-Calais and the Bouches-du-Rhône

Huc, Arnaud 13 December 2017 (has links)
Régulièrement considérés comme le terreau du Front national, les espaces périurbains sont en France passés de la lumière à l’ombre. Voulant dépasser cette labellisation ordinaire et stigmatisante, cette thèse se propose d’étudier dans le détail le vote Front national dans le monde périurbain. À partir de quatre villes situées dans le Pas-de-Calais et les Bouches-du-Rhône et par un travail comparatif sont étudiées les sociologies des électeurs du Front national. À cette étude sociologique s’adjoint la volonté d’expliquer pourquoi certains espaces périurbains semblent créer un vote que certains qualifient de repli. Les différentes méthodes utilisées permettent de montrer que dans les espaces périurbains comme ailleurs, le vote Front national n’est pas une évidence, mais le résultat de trajectoires sociales, résidentielles et idéologiques particulières. Le vote FN présente par ailleurs un visage différent, voire contradictoire, dans le département du Pas-de-Calais ainsi que dans celui des Bouches-du-Rhône, et s’oppose ainsi un électorat populaire septentrional à un électorat plus aisé dans les départements méditerranéens. / Generally considered as a fertile ground for the Front national, the suburbs have moved in France from light to shadow. Wishing to overcome this ordinary and stigmatising labelling, this thesis intends to study in detail the Front national’s vote in the suburban space. This thesis offers to examine the sociology of the FN electorate in four cities located in Pas-de-Calais and Bouches-du-Rhône by a comparative methodology. Within this study is associated the will to explain why some suburbs seem to create a vote which some qualify as inward looking. The various methods we use allow us to show that in suburbs as elsewhere, voting for the Front national is not an obvious fact, but is the result of particular social, residential and ideological trajectories. Moreover, this voting shows a different - if not contradictory - face in the department of Pas-de-Calais than in the Bouches-du-Rhône. Therefore, are opposed a northern popular electorate and a wealthier one in the south.
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Les fabriques territoriales du raisonnement politique : analyse contextualisée dans quatre territoires de l'Isère / Territorial makings of political reasoning : contextual analysis of four territories in Isère

Sainty, Jessica 03 July 2012 (has links)
Le territoire a-t-il une influence sur le raisonnement politique des individus ? C'est à cette question, en apparence classique, de la science politique que cette thèse entend répondre. A partir d'une enquête menée dans le contexte de l'élection présidentielle française de 2007, nous proposons d'aborder les voies théoriques et méthodologiques d'une étude de l'effet du « territoire » sur les raisonnements et les arguments mobilisés par les individus lorsqu'ils « parlent » de politique. En prenant successivement en compte le territoire comme agrégat de données quantitatives (territoire objectif) puis comme construction sociale opérée par les individus (territoire subjectif), nous proposons de revenir sur les apports d'une approche « écologique » et « processuelle » du raisonnement politique, permettant de comprendre les rouages et l'ampleur de la mobilisation du « territoire vécu » par les individus. La « politique » apparait à la fois comme le résultat d'un repérage des problèmes territoriaux et comme une série de thèmes définis a priori (l'Union Européenne, la mondialisation, le vote lors de l'élection présidentielle), donnant à voir deux aspects distincts de l'influence du territoire sur la politisation des individus. Nos résultats plaident pour le prolongement d'une analyse qualitative et contextualisée des compétences et des raisonnements politiques individuels. / Does the territory influence the way individual reasons about politics? This dissertation aims to answer to this apparently classical question of political science. Based on a survey which was conducted in the context of the French presidential election of 2007, we propose to deal with theoretical and methodological issues about the understanding of the « territory effect » on the way people argue and reason when they « talk about" politics. We successively define the territory as an aggregation of quantitative data (objective territory) and then as a social construction made by individual (subjective territory), in order to argue that an « ecological » analysis of the process that underpin political reasoning is a fruitful way of understanding how and in what extend people use elements from their own territory. Politics appears both as the result of the construction of territorial issues and as a set of public issues (European Union, globalization, presidential election) which gives two different aspects of the way territory can influence the politicization of people. Our results argue that a qualitative and contextualized approach of competences and political reasoning must be deepened.
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La circonscription législative de Vire sous la Vème République : d'un bastion de la droite à une terre d'alternances. 1958-2012 / The legislative division of Vire during the 5th Republic : from a conservative stronghold to a land of alternations. 1958-2012.

Pagnon, Clemence 14 December 2018 (has links)
La circonscription législative de Vire est une circonscription complexe de par la diversité des territoires qui la compose et donc par la diversité de son électorat. C’est une circonscription historiquement de droite, pourtant, entre 1958 et 2012, elle choisit par deux fois un député de gauche. Cette recherche vise donc à cerner et comprendre le comportement électoral des électeurs de la circonscription de Vire, ainsi que les facteurs qui déterminent leur choix une fois dans l’isoloir. Ces derniers sont multiples et ne pèsent pas tous de la même façon dans le choix du vote. Le contexte politique national, le contexte économique, l’électeur lui-même ou encore le candidat, tous ces facteurs y participent.Cette recherche se base avant tout sur des données quantitatives : résultats électoraux lors des élections législatives depuis 1958, mais aussi résultats électoraux lors des élections présidentielles. Il faut aussi étudier l’électorat par le biais des listes électorales, et des données publiées par l’INSEE. La composition de l’électorat de chaque commune, ainsi que les résultats électoraux associés sont donc répertoriés afin de permettre des comparaisons dans le temps, et entre communes. Ces relevés précis permettent également d’établir des cartes et de rendre l’évolution politique et sociologique de la circonscription plus lisible. Une fois mises en parallèle, ces données dressent le portrait de la circonscription de Vire à chaque scrutin législatif. Il convient également d’y ajouter ce que nous appelons la réalité du territoire. Nous nous reposons alors sur la mémoire vive ainsi que sur la presse locale pour rendre compte du contexte et des campagnes électorales.L’ensemble de ces facteurs : CSP, contextes etc., jouent sur le choix des électeurs de la circonscription étudiée. Il est pourtant un facteur qui caractérise la circonscription : la personnalité du candidat lui-même joue un un rôle dans le choix de l’électeur. Il aime connaître le candidat pour lequel il vote. La longévité d’Olivier Stirn en est une preuve, tout comme celle des députés suivants. C’est ainsi que la circonscription de Vire choisit par deux fois Alain Tourret, son seul député de gauche entre 1958 et 2012. / The french legislative division of Vire, in Normandy, is a complex division. It’s composed of different territories with specific electors. Historically, it’s a conservative division. However, the division chose a « left » (labour) deputy, twice, between 1958 and 1952.The goal of our research is to identify and explain the political behaviour of its electors, and reasons why they choose a candidate and not another. All reasons have a different importance between two electors. For example, the national political context, the economic context, or the elector and candidate personalities have different importance if the elector is a minor or a farmer.Quantitative datas are our first source. We use legislative elections results in the division since 1958, and presidential elections results too. We also study electors themselves by means of electoral lists and INSEE sources. Electors identities, and results of each common, written in tables and maps allow us to compare them. Thanks to this, we can draw a political and sociological portrait, during the 5th Republic, of the Vire division, and look at its evolutions. Our second source is less quantitative. We use local press et tracts to study legislative campaign. We use memories too. It shows how electors live in this territory.All these factors have a different importance, however, there is one which seems to be characteristic of Vire division. It appears that the elector likes to know the candidate he has chosen. Its personality is one of the most important factor. It explains Olivier Stirn’s carrier, and other deputies after him. We think it’s one of the reason why the Vire division elected Alain Tourret, twice, its only left (socialist) deputy.
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Étude des partis politiques depuis la tentative d’ouverture démocratique en Algérie (1989-2014) / Sudy of Political Parties since the Attempt of Political Opening in Algeria (1989-2014)

Sami, Abdelhakim 06 March 2018 (has links)
Cette thèse s’intéresse au phénomène partisan depuis la tentative d’ouverture du champ politique en 1989 en Algérie. Elle tente de comprendre comment fonctionnent les partis politiques algériens, leur organisation structurelle, leur mission et leur rôle dans la compétition politique pour conquérir le pouvoir à travers les élections. Bien que l’ouverture au pluralisme (1989-1992) ait produit des opportunités politiques profitées notamment aux islamistes du FIS, l’interruption du processus électoral en 1992 a conduit à la refermeture du champ politique, et à une crise politique (après la dissolution du FIS) tournant au conflit armé (entre l’État et le FIS). L’échec de la transition démocratique s’explique par la nature du système politique algérien, qui est incompatible avec les partis. Cela réduit les partis à des appareils au profit du système politique notamment depuis l’arrivée d’Abdelaziz Bouteflika à la présidence (1999). Cette étude propose donc une analyse socio-politique des élections depuis 1989 en Algérie, qui a permis d’expliquer les comportements électoraux, l’engagement politique, les trajectoires des militants, et de saisir les représentations liées notamment à l’histoire de l’Algérie, la nature de son système politique, la socialisation, la famille, la région d’habitation, etc. L’étude des partis algériens combine trois niveaux d’analyse, d’abord au niveau macro, l’environnement des partis (culture politique, administration, mode de scrutin, enjeux politiques, etc.) constitue un obstacle à leur évolution démocratique. Au niveau micro et méso, l’analyse se situe au niveau de l’attitude et de comportement des citoyen, militants et électeurs, tout en s’intéressant à leur entourage familial, amical, et le rôle ambivalent (mobilisateur et démobilisateur) des partis. / This thesis deals with the partisan phenomenon since the attempt of opening the political field in 1989 in Algeria. It tries to understand the functioning of the Algerian political parties, their structural organization, their mission and their role in political competition in order to conquer power through elections. Although the openness to pluralism (1989-1992) produced political opportunities benefited particular by the FIS Islamists, the interruption of the electoral process in 1992 led to the re-closure of the political field and to a political crisis (after the dissolution of the FIS) leading to armed conflict (between the State and the FIS). The failure of the democratic transition is explained by the nature of the Algerian political system, which is incompatible with the parties. This reduces the parties to devices to the benefit of the political system, in particular since the arrival of Abdelaziz Bouteflika to the presidency (1999). This study therefore proposes a socio-political analysis of the elections since 1989 in Algeria, which made it possible to explain the electoral behavior, the political commitment, and the trajectories of the militants. It also permitted to grasp the representations linked in particular to the history of Algeria, the nature of its political system, socialization, the family, the region of residence, and so on. The study of the Algerian parties combines three levels of analysis: first at the macro level, the parties’ environment (including political culture, administration, electoral system, political stakes, etc.) constitutes an obstacle to their democratic evolution. At the micro- and meso-level, the analysis focuses on the attitudes and behavior of citizens, activists and voters, while taking into consideration their family, friends, and the ambivalent (mobilizing and demobilizing) role of parties.
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Le déclin du Bayernpartei et ses déterminants causaux (1949-1969) : plaidoyer pour une analyse plurifactorielle et anti-retrospectiviste / The decline of the Bavaria Party and its causal factors (1949-1969) : plea for a multifactorial and non-retrospective analysis

Landwehrlen, Thomas 09 December 2011 (has links)
Fondé à Munich en octobre 1946 suite à la réorganisation d’un proto-parti mariant rejet de l’unitarisme autoritaire et provincialisme anti-prussien, le Bayernpartei (BP) se fit après la guerre le courtier des revendications autonomistes bavaroises et le médiateur de l’hostilité populaire à l’égard des réfugiés allemands originaires d’Europe centrale et orientale. Couronné de succès lors des élections fédérales post-dictatoriales de 1949 – à l’occasion desquelles il recueillit 20,9% des voix en Bavière –, il présente la particularité d’avoir subi pendant vingt ans un déclin électoral régulier, et d’avoir totalement cessé d’être « relevant » au sens de Sartori au moment même où l’on assistait à l’échelle européenne, et même occidentale, à un nouvel essor des partis et formations régionalistes procédant du clivage centre/périphérie.Quels sont les déterminants causaux du progressif déclin du Bayernpartei ? Quels facteurs explicatifs apparaissent susceptibles de rendre compte de sa graduelle transformation en ce que Manfred Rowold estime être une simple association folklorique sans importance ? Tel est le questionnement sous-tendant le présent travail de thèse, et auquel l’auteur propose de répondre en se dégageant du rétrospectivisme monocausal, linéariste et exogénéisant dont firent preuve les (rares) politistes ayant tenté de rendre compte de l’étiolement politique passé du parti régionaliste bavarois. / Founded in Munich in October 1946 after the reorganisation of a proto-party combining rejection of authoritarian unitarism and anti-Prussian provincialism, the Bavaria Party (Bayernpartei) appeared after the Second World War as the spreader of the Bavarian claims for autonomy, and as the echo box of popular hostility against German refugees from Central and Eastern Europe. After having been crowned with success at the German federal election of 1949 – on which it collected 20,9% of the votes in Bavaria –, he was affected during two decades by a steady electoral decline, so much so that it completely ceased to be “relevant” in the sense of Sartori at the very time when political scientists were witnessing at European (and even Western) level a new upsurge of regionalist parties and organisations.What are the causal determinants of the progressive decline of the Bavaria Party? What explanatory factors can be advanced to account for its gradual transformation into what Manfred Rowold considers to be a simple and irrelevant folk association? This is the question underlying the present work and to which the author proposes to respond by working on the assumption that it is necessary to break with the monocausal, linearist and exogenousing retrospectivism characterizing the analyses of the (rare) political scientists who have already attempted to explain the withering away of the Bavarian regionalist party.

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