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Lion, eagle, and swastika : Bavarian monarchism in Weimar Germany, 1918-1933 /

Garnett, Robert S. January 1900 (has links)
Thesis PhD--Berkeley--University of California, 1989.
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"Faites un roi, sinon faites la guerre" : l’Action française durant la Grande Guerre (1914-1918)

Audet-Vallée, Kevin 04 1900 (has links)
L’Action française fut un mouvement idéologique et intellectuel marquant de l’histoire politique et culturelle de la Troisième république. Elle défendait, au moyen d’une rhétorique nationaliste et antirépublicaine, ainsi que d’un militantisme tapageur et d’un journal quotidien, l’idée d’une restauration de la monarchie en France sur les ruines d’une démocratie qu’elle estimait viciée et délétère. Durant la Grande Guerre, elle mit cependant en veilleuse son combat royaliste et se recentra sur son patriotisme. Cette approche la mena à appuyer pendant tout le conflit les gouvernements de défense nationale issus d’une Union sacrée résolument républicaine et à se poser comme l’un des principaux remparts contre les menaces à la nation, qu’elles soient intérieures ou extérieures. À l’issue du conflit, l’Action française était ainsi devenue un acteur politique reconnu et elle avait acquis une notoriété intellectuelle inédite. Cette volte-face notable n’a néanmoins été que très peu abordée de front dans l’historiographie du mouvement. Le présent mémoire vise à y remédier par l’examen du parcours politique et de l’évolution idéologique de l’Action française à partir de l’analyse des chroniques à saveur politique publiées dans son quotidien entre 1914 et 1918, ainsi que de rapports d’enquêtes de la Sûreté générale du ministère de l’Intérieur. Cette étude dresse un portrait plutôt bigarré de ce parcours et de cette évolution. En effet, au moment où le journal et les maîtres de l’Action française attinrent une renommée singulière grâce à leur discours et leurs campagnes guidés par l’intérêt national, son militantisme fut en contrepartie pratiquement annihilé par la mobilisation militaire. De même, malgré son adhésion de principe à la trêve politique que fut l’Union sacrée, l’Action française ne délaissa pas pour autant son procès idéologique du régime républicain et la valorisation de son projet royaliste. La façon dont l’Action française a commenté et pris part à la vie politique de la Grande Guerre révèle également cette équivoque, tout en offrant un portrait singulier des grands débats de cette période. / L’Action française was a significant ideological and intellectual movement in the French Third Republic’s political and cultural history. With its nationalist and antirepublican rhetoric, its flashy political activism and its daily newspaper, it advocated the idea of the restoration of the French monarchy to replace the democratic government, which it considered deleterious. However, it put its royalist agenda on hold during the Great War and refocused on its patriotism. L’Action française backed the governments of the firmly republican Union Sacrée throughout the war and became one of the staunchest allies against the threats to the nation, whether internal or external. At the end of the war, L’Action française had become an acknowledged political actor and had acquired intellectual notoriety. Though significant, this turnaround has nonetheless received little attention in the movement’s historiography. This thesis aims to examine L’Action française’s political journey and ideological evolution based on an analysis of politically-flavored columns published in its daily newspaper between 1914 and 1918 and reports of investigations by the French Department of the Interior (Sûreté générale). This study depicts a rather colorful portrait of the movement’s path and evolution. While L’Action française’s theoreticians and newspaper acquired a great fame thanks to their views and efforts moved by national interest, its political activism was practically destroyed by the military mobilization. Moreover, despite adhering in principle to the political truce brought by the Union Sacrée, it never gave up on its ideological criticism of the republican regime and the promotion of its royalist agenda. Studying the French political scene during the Great War and the role L’Action française reveals this ambiguity while illustrating the singularity of the period’s major debates.
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Un journal réactionnaire sous la Convention thermidorienne : La Quotidienne / A reactionary newspaper in 1795 : La Quotidienne

Eljorf, Ghazi 31 May 2017 (has links)
Nous abordons par le biais de ce journal un chapitre de la pensée réactionnaire en France après la Révolution – précisément en 1795 –, chapitre constitué par un journal favorable à la monarchie, à savoir La Quotidienne. Si le titre de notre thèse se focalise sur la Convention thermidorienne, le corpus de notre recherche comprend également le mois de décembre 1796, sous le Directoire, ce qui nous permet de mesurer l’évolution du journal entre ces deux systèmes politiques. Nous nous intéressons principalement à la littérature publiée dans La Quotidienne, sous des formes et des genres variés (poésie, dialogues, théâtre…), non sans avoir d’abord examiné le contexte de la publication : l’histoire politique de la Convention thermidorienne et la renaissance, timide et mesurée, de la liberté de la presse après le 9 Thermidor. Entre ces deux volets de notre recherche, nous proposons une description matérielle du journal (forme des articles, structuration en rubriques, souscription, etc.)Nous avons lu La Quotidienne d’un œil curieux et aussi objectif que possible ; mais surtout avec plaisir : notre intérêt pour ce journal est en effet né d’une double passion pour la littérature et pour la presse. Nous souhaitons que les lecteurs de cette recherche puissent éprouver le même intérêt pour un journal quelque peu oublié quant à sa période révolutionnaire, mais qui est un petit théâtre où se jouent en direct et de façon originale, les grands enjeux idéologiques de la période. / Our purpose throughout this research on La Quotidienne, a Parisian daily newspaper, is to deal with an aspect of reactionary thought in France at the end of the Revolution, in 1795 to be precise. Even though the title of this thesis focuses on the Thermidorian Convention, our research includes December 1796 issues, published therefore under the Directory rule. This allows us to consider the evolution of this paper between two political systems.Our thesis mostly focuses on the different genres and forms of literature published in La Quotidienne (poetry, dialogues, theatre…). It was however necessary to first consider the general context of publication: the political history of the Thermidorian Convention, as well as the timid and careful rebirth of press freedom after the 9th Thermidor. Between these two parts, we provide a material description of the newspaper (headings, articles, sections, subscription, etc.)We have read La Quotidienne with curiosity and as objectively as possible; but also with a pleasure derived from our strong attachment to literature and the press. We wish to convey some of this pleasure to our readers, when they discover this somewhat neglected newspaper – a small stage where the main ideas of the time are at play.
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"Faites un roi, sinon faites la guerre" : l’Action française durant la Grande Guerre (1914-1918)

Audet-Vallée, Kevin 04 1900 (has links)
L’Action française fut un mouvement idéologique et intellectuel marquant de l’histoire politique et culturelle de la Troisième république. Elle défendait, au moyen d’une rhétorique nationaliste et antirépublicaine, ainsi que d’un militantisme tapageur et d’un journal quotidien, l’idée d’une restauration de la monarchie en France sur les ruines d’une démocratie qu’elle estimait viciée et délétère. Durant la Grande Guerre, elle mit cependant en veilleuse son combat royaliste et se recentra sur son patriotisme. Cette approche la mena à appuyer pendant tout le conflit les gouvernements de défense nationale issus d’une Union sacrée résolument républicaine et à se poser comme l’un des principaux remparts contre les menaces à la nation, qu’elles soient intérieures ou extérieures. À l’issue du conflit, l’Action française était ainsi devenue un acteur politique reconnu et elle avait acquis une notoriété intellectuelle inédite. Cette volte-face notable n’a néanmoins été que très peu abordée de front dans l’historiographie du mouvement. Le présent mémoire vise à y remédier par l’examen du parcours politique et de l’évolution idéologique de l’Action française à partir de l’analyse des chroniques à saveur politique publiées dans son quotidien entre 1914 et 1918, ainsi que de rapports d’enquêtes de la Sûreté générale du ministère de l’Intérieur. Cette étude dresse un portrait plutôt bigarré de ce parcours et de cette évolution. En effet, au moment où le journal et les maîtres de l’Action française attinrent une renommée singulière grâce à leur discours et leurs campagnes guidés par l’intérêt national, son militantisme fut en contrepartie pratiquement annihilé par la mobilisation militaire. De même, malgré son adhésion de principe à la trêve politique que fut l’Union sacrée, l’Action française ne délaissa pas pour autant son procès idéologique du régime républicain et la valorisation de son projet royaliste. La façon dont l’Action française a commenté et pris part à la vie politique de la Grande Guerre révèle également cette équivoque, tout en offrant un portrait singulier des grands débats de cette période. / L’Action française was a significant ideological and intellectual movement in the French Third Republic’s political and cultural history. With its nationalist and antirepublican rhetoric, its flashy political activism and its daily newspaper, it advocated the idea of the restoration of the French monarchy to replace the democratic government, which it considered deleterious. However, it put its royalist agenda on hold during the Great War and refocused on its patriotism. L’Action française backed the governments of the firmly republican Union Sacrée throughout the war and became one of the staunchest allies against the threats to the nation, whether internal or external. At the end of the war, L’Action française had become an acknowledged political actor and had acquired intellectual notoriety. Though significant, this turnaround has nonetheless received little attention in the movement’s historiography. This thesis aims to examine L’Action française’s political journey and ideological evolution based on an analysis of politically-flavored columns published in its daily newspaper between 1914 and 1918 and reports of investigations by the French Department of the Interior (Sûreté générale). This study depicts a rather colorful portrait of the movement’s path and evolution. While L’Action française’s theoreticians and newspaper acquired a great fame thanks to their views and efforts moved by national interest, its political activism was practically destroyed by the military mobilization. Moreover, despite adhering in principle to the political truce brought by the Union Sacrée, it never gave up on its ideological criticism of the republican regime and the promotion of its royalist agenda. Studying the French political scene during the Great War and the role L’Action française reveals this ambiguity while illustrating the singularity of the period’s major debates.
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Luttes politiques et références contradictoires à la Révolution durant la Restauration en France, 1814-1820

Ennemiri, Zakaria 12 1900 (has links)
No description available.
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Le déclin du Bayernpartei et ses déterminants causaux (1949-1969) : plaidoyer pour une analyse plurifactorielle et anti-retrospectiviste / The decline of the Bavaria Party and its causal factors (1949-1969) : plea for a multifactorial and non-retrospective analysis

Landwehrlen, Thomas 09 December 2011 (has links)
Fondé à Munich en octobre 1946 suite à la réorganisation d’un proto-parti mariant rejet de l’unitarisme autoritaire et provincialisme anti-prussien, le Bayernpartei (BP) se fit après la guerre le courtier des revendications autonomistes bavaroises et le médiateur de l’hostilité populaire à l’égard des réfugiés allemands originaires d’Europe centrale et orientale. Couronné de succès lors des élections fédérales post-dictatoriales de 1949 – à l’occasion desquelles il recueillit 20,9% des voix en Bavière –, il présente la particularité d’avoir subi pendant vingt ans un déclin électoral régulier, et d’avoir totalement cessé d’être « relevant » au sens de Sartori au moment même où l’on assistait à l’échelle européenne, et même occidentale, à un nouvel essor des partis et formations régionalistes procédant du clivage centre/périphérie.Quels sont les déterminants causaux du progressif déclin du Bayernpartei ? Quels facteurs explicatifs apparaissent susceptibles de rendre compte de sa graduelle transformation en ce que Manfred Rowold estime être une simple association folklorique sans importance ? Tel est le questionnement sous-tendant le présent travail de thèse, et auquel l’auteur propose de répondre en se dégageant du rétrospectivisme monocausal, linéariste et exogénéisant dont firent preuve les (rares) politistes ayant tenté de rendre compte de l’étiolement politique passé du parti régionaliste bavarois. / Founded in Munich in October 1946 after the reorganisation of a proto-party combining rejection of authoritarian unitarism and anti-Prussian provincialism, the Bavaria Party (Bayernpartei) appeared after the Second World War as the spreader of the Bavarian claims for autonomy, and as the echo box of popular hostility against German refugees from Central and Eastern Europe. After having been crowned with success at the German federal election of 1949 – on which it collected 20,9% of the votes in Bavaria –, he was affected during two decades by a steady electoral decline, so much so that it completely ceased to be “relevant” in the sense of Sartori at the very time when political scientists were witnessing at European (and even Western) level a new upsurge of regionalist parties and organisations.What are the causal determinants of the progressive decline of the Bavaria Party? What explanatory factors can be advanced to account for its gradual transformation into what Manfred Rowold considers to be a simple and irrelevant folk association? This is the question underlying the present work and to which the author proposes to respond by working on the assumption that it is necessary to break with the monocausal, linearist and exogenousing retrospectivism characterizing the analyses of the (rare) political scientists who have already attempted to explain the withering away of the Bavarian regionalist party.

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