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Une étude expérimentale de deux réformes électorales

Bégin, Thomas 18 April 2018 (has links)
L'intérêt de ce mémoire est de vérifier si l'explication de la dépendance temporelle peut être utilisée afin d'expliquer que des pays avec des systèmes électoraux similaires se retrouvent dans des contextes gouvernementaux très différents. Deux réformes ont été étudiées. La première consistait au remplacement du vote de pluralité par le vote d'approbation et la deuxième, au remplacement de vote de pluralité par le vote unique transférable. Les résultats montrent que la dépendance temporelle peut être utilisée pour expliquer les différences dans les résultats d'élections suivant une réforme électorale. Les résultats obtenus avant la réforme ont de l'influence lorsque la réforme consiste en la mise en place du vote d'approbation. Ce n'est pas le cas sous le vote unique transférable où les résultats obtenus avant la réforme n'ont aucune influence. Ce résultat est très important car on remarque dans la littérature expérimentale s'intéressant aux diverses règles de votes que la composante de dépendance temporelle n'est pas prise en compte. Nos résultats nous permettent aussi de voir que les modes de scrutins étudiés ont leurs caractéristiques. Le vote d'approbation favorise l'émergence de plusieurs partis tout en amenant un bien-être social plus élevé que les autres modes de scrutin étudiés. On remarque aussi que le vote transférable unique favorise la modération chez les électeurs ; on entend par modération que les candidats situés plus près du centre sont avantagés.
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Des Portugais en Europe du Nord : une comparaison France, Belgique, Luxembourg. Contribution à une sociologie électorale de la citoyenneté de l'Union européenne.

Ghemmaz, Malika 04 July 2008 (has links) (PDF)
La recherche vise à définir la relation au vote des ressortissants portugais résidant dans des Etats membres de l'Europe du Nord. La mise en place de la citoyenneté de l'Union européenne nous a donné l'opportunité d'interroger les pratiques électorales, les représentations politiques et les appartenances identitaires des Portugais. Après avoir présenté les recherches relatives à l'immigration portugaise en Europe du Nord, nous avons exposé le choix méthodologique de la monographie et de la comparaison internationale (France, Belgique, Luxembourg). A partir de notre étude de terrain, nous avons montré que le comportement électoral des Portugais repose sur des déterminants contextuels et individuels. Plusieurs modèles de participation ont été construits pour rendre compte de la diversité et de la complexité des rapports des Portugais à la politique.
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Les Québécois sont-ils souverainistes? : étude sur le comportement électoral des Québécois de 1970 à 1994

Roy, François January 2012 (has links)
En 1970, les Québécois se retrouvent pour la première fois dans des élections où se présente un parti souverainiste. Durant les années 1970, l'option souverainiste accroît sa popularité dans l'électorat. Au même moment, le Parti libéral du Canada reste le favori des Québécois. Sur cette base, on peut dire que ces derniers ont une attitude assez ambiguë relativement à leur choix - si ce n'est à leur avenir - politique. En effet, ils appuient un parti fédéraliste réputé centralisateur sur la scène fédérale et un parti souverainiste prônant la sécession sur la scène provinciale ! Dans le présent travail, on observe le comportement électoral des Québécois durant la période 1970 et 1994. La question suivante, simplement énoncée mais on ne peut plus difficile à résoudre, est au centre de nos préoccupations : les Québécois sont-ils souverainistes ? Pour avancer dans notre compréhension des choses, nous avons analysé plusieurs campagnes électorales en fouillant les résultats de sondages et en nous appuyant sur une documentation composée principalement d'articles de journaux, mais aussi de monographies et d'études.
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The populist voter: explaining electoral support for populist parties in The Netherlands, Belgium and Germany

Pauwels, Teun 28 February 2012 (has links)
Since the 1980s a growing number of populist parties have made a breakthrough in European party systems. Examples of these are the Belgian Vlaams Belang (VB), the Lijst Pim Fortuyn (LPF) in the Netherlands or the German Die Linke (DL). All of these parties can considered to be populist because they share a thin centred ideology “that considers society ultimately separated into two homogeneous and antagonistic groups, ‘the pure people’ versus ‘the corrupt elite’, and which argues that politics should be an expression of the volonté générale (general will) of the people” (Mudde, 2004: 543). This thin centred ideology can be combined with other full ideologies such as the radical right but also democratic socialism. The main objective of this study is to explain why people vote for populist parties. Such a question is difficult to answer, however, because populism is mostly attached to other ideologies. To address this problem, this study draws on a comparative research design. By studying the electorates of a wide range of different populist parties, it is disentangled what is exactly the populist element, rather than elements related to the host ideology, that drives voters towards these parties.<p>The study begins with a careful investigation of all parties in Belgium, The Netherlands and Germany by means of both qualitative and quantitative methods to explore which of them could be labelled populist. Support was found for at least the following cases: LPF, the Belgian Lijst Dedecker (LDD), the Dutch Partij Voor de Vrijheid (PVV), VB, the Dutch Socialistische Partij (SP) and DL. In a next step, the voters of these parties were analyzed by means of election survey data (Dutch Parliamentary Election Study, Partirep Survey and German Longitudinal Election Study). <p>The main finding of is that dissatisfaction with the functioning of democracy and a desire for more decision making through referendums are important and unique drivers for populist voting in general. On the demand side it is argued that a process of cartelization, i.e. increased reliance of parties on state subventions, more cooperation between government and opposition, and ideological moderation, combined with the growth of critical citizens has led to the questioning of political authority. On the supply side, an increasing group of well-organized populist parties have begun challenging mainstream parties by depicting them as a group of self-serving elites depriving the ordinary people of their sovereignty. Moreover, populist parties claim to restore the voice of the people through the introduction of direct democracy. Accordingly, a growing group of voters who share these concerns are attracted to the populist appeal.<p>Another important finding of this study is that populist parties generally attract social groups that feel themselves deprived. In Eastern Germany of the 1990s these were the ‘losers of unification’, i.e. highly educated civil servants who had lost the social prestige that they enjoyed during the heydays of the DDR. Yet in contemporary ‘diploma democracies’ it appears that populist parties, regardless of their host ideology, are increasingly attracting the ‘losers of globalization’, which are the lower educated and lower social classes. While populism has mostly been considered a threat for democracy, the ability of populist parties to integrate excluded social groups into the political system certainly deserves notice. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le pavillon et l'isoloir. Géographie sociale et électorale des espaces périurbains français (1968-2008). À travers les cas de trois aires urbaines moyennes (Caen, Metz et Perpignan).

Rivière, Jean 30 November 2009 (has links) (PDF)
Dans les discours dominants, habiter dans les espaces périurbains semble de plus en plus assimilé à un acte à la fois anti-esthétique, anti-écologique et anti-social. Avec les évolutions électorales des années 1990, s'est progressivement développée une tendance à la stigmatisation des mondes périurbains en raison des pratiques électorales supposées illégitimes de leurs habitants. Il apparaît donc nécessaire d'explorer les rapports entre le processus de périurbanisation, les changements sociaux qu'il entraîne aux lieux d'arrivée et les comportements électoraux que ces mutations participent à produire au sein des aires urbaines françaises depuis la fin des années soixante. Pour cela, sont multipliés les regards en faisant varier l'échelle d'observation et la nature des matériaux empiriques. En partant du cadre national appréhendé via des données sociales et électorales agrégées à plusieurs niveaux, sont d'abord étudiés les cas de trois aires urbaines moyennes (Caen, Metz et Perpignan). Au sein de ces trois espaces, plusieurs communes choisies pour l'exemplarité de leurs évolutions sont ensuite enquêtées grâce à des questionnaires « sortie des urnes » collectés lors de l'élection présidentielle de 2007. Enfin, deux terrains communaux sont investis sur un mode qualitatif (entretien, observation) à l'occasion des campagnes électorales municipales de 2008. Les avantages cumulatifs tirés de ces méthodes et techniques permettent de souligner qu'en contexte(s) périurbain(s) comme ailleurs, les positions et trajectoires socio-résidentielles des habitants pèsent lourd sur la formation de leurs opinions politiques et sur leurs choix électoraux.
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Les fabriques territoriales du raisonnement politique : analyse contextualisée dans quatre territoires de l'Isère

Sainty, Jessica 03 July 2012 (has links) (PDF)
Le territoire a-t-il une influence sur le raisonnement politique des individus ? C'est à cette question, en apparence classique, de la science politique que cette thèse entend répondre. A partir d'une enquête menée dans le contexte de l'élection présidentielle française de 2007, nous proposons d'aborder les voies théoriques et méthodologiques d'une étude de l'effet du " territoire " sur les raisonnements et les arguments mobilisés par les individus lorsqu'ils " parlent " de politique. En prenant successivement en compte le territoire comme agrégat de données quantitatives (territoire objectif) puis comme construction sociale opérée par les individus (territoire subjectif), nous proposons de revenir sur les apports d'une approche " écologique " et " processuelle " du raisonnement politique, permettant de comprendre les rouages et l'ampleur de la mobilisation du " territoire vécu " par les individus. La " politique " apparait à la fois comme le résultat d'un repérage des problèmes territoriaux et comme une série de thèmes définis a priori (l'Union Européenne, la mondialisation, le vote lors de l'élection présidentielle), donnant à voir deux aspects distincts de l'influence du territoire sur la politisation des individus. Nos résultats plaident pour le prolongement d'une analyse qualitative et contextualisée des compétences et des raisonnements politiques individuels.
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Les fabriques territoriales du raisonnement politique : analyse contextualisée dans quatre territoires de l'Isère / Territorial makings of political reasoning : contextual analysis of four territories in Isère

Sainty, Jessica 03 July 2012 (has links)
Le territoire a-t-il une influence sur le raisonnement politique des individus ? C'est à cette question, en apparence classique, de la science politique que cette thèse entend répondre. A partir d'une enquête menée dans le contexte de l'élection présidentielle française de 2007, nous proposons d'aborder les voies théoriques et méthodologiques d'une étude de l'effet du « territoire » sur les raisonnements et les arguments mobilisés par les individus lorsqu'ils « parlent » de politique. En prenant successivement en compte le territoire comme agrégat de données quantitatives (territoire objectif) puis comme construction sociale opérée par les individus (territoire subjectif), nous proposons de revenir sur les apports d'une approche « écologique » et « processuelle » du raisonnement politique, permettant de comprendre les rouages et l'ampleur de la mobilisation du « territoire vécu » par les individus. La « politique » apparait à la fois comme le résultat d'un repérage des problèmes territoriaux et comme une série de thèmes définis a priori (l'Union Européenne, la mondialisation, le vote lors de l'élection présidentielle), donnant à voir deux aspects distincts de l'influence du territoire sur la politisation des individus. Nos résultats plaident pour le prolongement d'une analyse qualitative et contextualisée des compétences et des raisonnements politiques individuels. / Does the territory influence the way individual reasons about politics? This dissertation aims to answer to this apparently classical question of political science. Based on a survey which was conducted in the context of the French presidential election of 2007, we propose to deal with theoretical and methodological issues about the understanding of the « territory effect » on the way people argue and reason when they « talk about" politics. We successively define the territory as an aggregation of quantitative data (objective territory) and then as a social construction made by individual (subjective territory), in order to argue that an « ecological » analysis of the process that underpin political reasoning is a fruitful way of understanding how and in what extend people use elements from their own territory. Politics appears both as the result of the construction of territorial issues and as a set of public issues (European Union, globalization, presidential election) which gives two different aspects of the way territory can influence the politicization of people. Our results argue that a qualitative and contextualized approach of competences and political reasoning must be deepened.
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Le comportement électoral dans les communautés mixtes / Voting behaviour in mixed communities

Zamfira, Andreea-Roxana 16 April 2010 (has links)
Le comportement électoral dans les communautés mixtes (Résumé)<p><p>Andreea ZAMFIRA<p><p><p>\ / Doctorat en sciences politiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Essays on Economics of political Behavior

Noury, Abdul Ghafar January 2001 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Essays on strategic voting and the speed of transition

Castanheira De Moura, Micael January 1997 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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