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Le mythe de la belle et la bête ou la métamorphose amoureuse dans "Cupidon et psyché" d'Apulée et "La belle bête" de Marie-Claire Blais

Benoit, Stéphanie January 2010 (has links)
Le mémoire montre comment le mythe de la Belle et la Bête se définit et s'actualise. Dépositaire d'une obsession culturelle, ce récit sacré raconte comment un couple « amoureux » se développe à travers les difficultés rencontrées. La Belle et la Bête qui composent le couple se métamorphosent alors tout autant que leur relation commune pour arriver à résoudre les conflits. Afin de comprendre leur transformation, la mythocritique constitue un des outils d'analyse par lequel l'identification des principaux mythèmes permet d'observer comment le mythe étudié évolue. C'est donc par la construction du récit sacré, dans « Cupidon et Psyché » d'Apulée, et par la déconstruction d'un de ses avatars, la Belle Bête de Marie-Claire Blais, que les éléments structurants sont identifiés, interprétés et comparés. Dans la construction du mythe de la Belle et la Bête, une quête de la légitimation du pouvoir et un désir vital de reconnaissance amènent les protagonistes à sceller leur amour. Bien que le rituel initiatique fasse de la Belle et de la Bête des modèles exemplaires, il n'en demeure pas moins que les bouleversements tendent à ne privilégier qu'un des deux partenaires, et ce, souvent au détriment de l'autre. Ce constat est d'ailleurs flagrant dans le deuxième récit, où le mythe est déconstruit.Le renversement des valeurs, préféré à un accord artificiel entre les époux, conduit alors à des violences purgatrices par lesquelles les personnages s'éjectent de leur propre espace relationnel. Moteur de la métamorphose du mythe étudié, la différenciation sexuelle détermine les rituels amoureux.
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Spinoza et le problème de la générosité

Santerre-Crête, Renaud January 2011 (has links)
En traitant de la recherche personnelle de l'utile propre des individus, Spinoza semble s'inscrire dans une tradition philosophique égoïste, où l'intérêt pour soi empêche d'avoir un véritable souci pour l'autre. Pourtant, cette lecture de Spinoza entre en contradiction avec l'idée de générosité, generositas , telle que décrite au scolie de la proposition 59 de la troisième partie de l'Éthique. "Par générosité, j'entends un Désir par lequel un individu s'efforce en vertu du seul commandement de la raison à assister les autres hommes et à établir entre eux et lui un lien d'amitié. Je rapporte donc à la fermeté ces actions qui ont pour but l'utilité de l'agent seulement, et à la générosité celles qui ont aussi pour but l'utilité d'autrui." Cette définition nous apprend que le sage désire ce qui est utile pour l'autre. Cela pose de nombreuses questions : comment le conatus apparemment égoïste produit-il le désir qui vise l'utilité d'autrui? Comment le désir, individuel d'exister peut-il mécaniquement produire le désir d'aider les autres? Comment la générosité peut-elle venir de la Raison sans pour autant être le fruit d'un calcul égoïste? Quelle forme prendra la générosité spinoziste? Dans ce mémoire, nous avons fait une recherche systématique des occurrences du terme"générosité", recherché les sources de cet affect actif dans l'anthropologie spinoziste en l'opposant à la conception hobbesienne et expliqué comment l'homme généreux interagit avec son environnement.
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Au miroir de l'amour médecine, philosophie et représentations dans l'oeuvre d'Évrart de Conty

Laumonier, Lucie January 2008 (has links)
L'amour et le mariage sont au Moyen Âge des sujets non exempts de controverses touchant à la fois à la philosophie, à la médecine, à la littérature et à la théologie. Étudier leurs représentations au travers d'un art d'aimer et d'un traité scientifique, oeuvres du médecin et poète Évrart de Conty (mort en 1405) permet de mettre en valeur les enjeux qui les traversent. En prenant le partie de la philosophie au détriment de la théologie, en répondant aux attentes de ses jeunes lecteurs--concilier sexualité et amour, en prenant appui sur les réalités et règles sociales--mariage bien ancré dans les moeurs, poids de l'honneur--et les règles morales aristotéliciennes, Évrart de Conty propose une synthèse fondée sur la recherche de la raison et de la mesure, l'amour entrant dans le «dessein de Nature» socle de la réflexion de l'auteur. Ces différentes influences permettent de dresser un tableau nuancé des représentations d'Évrart de Conty: médecine, héritage courtois et règles sociales nourrisent l'image des femmes à la fois mères et jeunes fines pudiques, inférieures aux hommes dont les apanages sont la raison, la poursuite du savoir et la bienséance. En raison des nombreuses influences, normatives, sociales, médicales et philosophiques qui traversent ses répresentations, l'analyse des écrits d'Évrart de Conty montre des prises de position et parfois des contradictions, enjeux liés d'une part à la relation entre discours théologique et discours philosophique, d'autre part à la relation entre pratiques sociales et discours philosophie et/ou religieux. Ainsi, analyser les représentations de l'amour chez Évrart de Conty permet de mieux saisir les enjeux liés aux questions du genre, du mariage, et des relations entre théologie, philosophie, médecine et pratique.
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Perspectives féminines sur les hommes et le couple : Châtelaine, 1960-1975

Malo, Isabelle January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le jeu de l'illusion dans Axël de Villiers de L'Isle-Adam

Audet, Jean-François January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La poésie et l’art dans l’œuvre d’Angélos Sikélianos : la thématique de l’amour dionysiaque / Poetics and Art in the works of Angelos Sikelianos and the topic of Dionysian love : the topic of Dionysian love

Kostakou, Foteini 14 December 2016 (has links)
Dans la litterature international, l’ amour est sûrement un sujet privilégié, qui se exprime des façons divers. Dans mon projet de these nous examinerons une variante historique, poetique et très specifique, connue sous le nom de néohellénique dionysiasme”. Ce courant apparaît au debut de 20eme siècle, porté principalement par les poets de génération littéraire de 1910, dans le plus représentantif est Aggelos Sikelianos. Dans l’ oeuvre de ce poet l’ amour prend une valere global et religieux, exprime la tendance originelle a l’ union de tout chose et se met en rapport avec l’ esprit dionysiaque. Dans notre these nous etudierons en detail les expressions de l’ amour dionysiaque dans l’ oeuvre poetic d’ Aggelos Sikelianos, nous entreprendrons une typologie systématique des cas et nous examinerons la relation avec l’ art et la mythologie du monde grec ancient. Spécifiquemement, a partir de la typologie des expressions de l’ esprit dionysiaque dans la poésie de Sikelianos, nous examinerons les correspodances dans des oeuvres de l’ art grec ancient où le sujet de l’ amour a une dimension dionysiaque et nous montrerons des codes communs entre l’ art ancien et la poésie de Sikelianos. / The relationship between Angelos Sikelianos and the ancient spirit is well-known and has been the object of extensive research. Within the unique universe of his poetic mythology, the ancient world and its intellectual expressions (poetry, arts, religion, philosophy) constitue for Sikelianos the components of the Greek cultural diachrony. The intertextual relations between Sikelianos’ poetry and the artistic representations of the great myths of the ancient Greec religion (sculpture and painting) are crucial in order to interpret this universe. Out of these relations, we have chosen the research thematic of the Dionysiac love which represents a key-element in order to understand the Sikelianos cosmology.Indeed, in the poet’s work, love is of cosmological and religious value. It expresses the original tendency appearing in the union of all thinks and can be related to the Dionysian spirit. Reiterating the significance of the ekphrasis as practiced by the ancient Greek tradition, the expression of the Dionysiac love in the poetic work of Angelos Sikelianos has been affirmed via its links to the Greek vase-painting and the ancient Greek sculpture. We have recorded in a systematic way the texts where the poet passes throught the description of a work of art in order to express the Dionysian spirit. In the frame of an inter-semiotic approach, we attempted to highlight the eventual common codes between poetry and art, in order to assess the profound influence of the ancient Greek spirit on the personality and the work of of Sikelianos.
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Lacan avec Platon : le Socrate de Lacan / Lacan with Plato

Lucchelli, Juan Pablo 28 January 2015 (has links)
Lacan fait de Socrate l’antécédent historique du psychanalyste. Dans son séminaire sur le transfert, il prend appui sur le Banquet de Platon pour démontrer comment Socrate opère une manœuvre digne d’un analyste : quand Alcibiade lui déclare son amour, il le renvoie à Agathon. On peut ainsi dire que l’«interprétation» de Socrate lui dévoile le véritable objet de son désir, en lui prouvant aussi qu’il faut être trois pour aimer : telle serait l’éthique socratique, qui devancerait Freud quand ce dernier formule que «l’exemple est la chose même». Mais ce dialogue de Platon nous intéresse aussi parce qu’il met en relief ce que Lacan appelle la «métaphore de l’amour», à savoir le renversement à travers lequel l’aimé, celui qui se trouve être le centre et l’objet du désir des autres, devient aimant, manifestant ainsi un manque et abandonnant du coup sa position confortable. Ainsi, Lacan se sert de Platon pour comprendre la manière dont opère la psychanalyse : dans toute analyse digne de ce nom s’opère un renversement, une permutation de places, qui permet au sujet de se tourner vers l’inconscient, vers le désir de l’Autre. On peut en dire plus : il n’y a pas d’inconscient à proprement parler avant que ce changement de places énonciatives ne se produise. / Lacan makes Socrate the historical antecedent of the psychoanalyst. In his seminar about the transfer, he bases on Plato's Symposium to demonstrate how Socrate makes a maneuver worthy of an analyst: when Alcibiade declares his love to him, he send him back to Agathon. Thus, we can say that the "interpretation" of Socrates reveals the true object of Alcibiade's desire, proving to him that it takes three to love: such is the Socratic ethics. But Plato's dialogue is also interesting as it highlights what Lacan calls the "metaphor of love", namely the reversal through which the loved one, which is the center and the object of the other's desire, becomes the lover, expressing a lack and abandoning his comfortable position. Thus, Lacan uses Plato to understand how the psychoanalysis operates: in any analysis worthy of the name is effected a reversal, a permutation of places, which allows the subject to turn to the unconscious, to the desire of the Other. We can say more: there is no unconscious strictly speaking before a change of enunciative places occurs.
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La sublimation dans l'enseignement de Lacan et son rapport à la clinique psychanlytique / Sublimation in Lacan's teaching and his relation to the psychoanalytic clinic

Vazquez Chevanne, Maria Ximena 21 June 2018 (has links)
Ce travail aborde la sublimation dans l’enseignement de Lacan selon deux soucis: l’interroger à l’intérieur de la théorie et mettre celle-ci en résonance avec la clinique pour déterminer son champ d’application et sa valeur heuristique.Partant de son appartenance conceptuelle à la doctrine de la jouissance, cette recherche montre comment la sublimation participe à la détermination de deux dimensions de l’expérience psychanalytique: le surgissement du sujet au-delà du principe du plaisir et la constitution de l’objet en-deçà de celui-ci. Une topologie du transfert qui les articule devient alors visible à la lumière de sa con-ceptualisation. Sur cet axe, cet ouvrage pose que la conceptualisation lacanienne de la su-blimation met en question la réduction du transfert à sa nature imaginaire et nar-cissique. Avec le concept de sublimation, cette réduction, dé-constructive de l’amour de transfert énoncé par Freud et théorisée de la perspective du rapport de l’amant à l’aimé du banquet platonicien, est vouée à être dépassée comme né-cessité de discours par l’amour courtois. Des vignettes cliniques montrent comment la sublimation intervient dans une pratique qui vise la conversion de la jouissance au désir selon le dispositif de la lettre et structure par son agir le discours psychanalytique. Une valorisation du terme de sublimation s’impose afin de préciser sa spé-cificité face à d’autres termes qui lui sont corrélatifs comme le néologisme sin-thome ou encore l’acception que Lacan donne au terme d’escabeau. Une considé-ration épistémologique se dégage alors de sa capacité autonome de produire du savoir à l’intérieur du discours de la psychanalyse. / Concerns: to question it inside the theory and to put it in resonance with the clinic to determine its field application and its heuristic value. Starting from its conceptual belonging to the doctrine of jouissance, this research shows how sublimation contributes to the determination of two dimensions of the psychoanalytic experience: the emergence of the subject beyond the pleasure principle and the constitution of the object below this principle. A topology of the transfer that articulates them becomes visible in the light of its conceptualization. On this axis, this research posits that the Lacanian conceptualization of sublimation questions the reduction of transference to its imaginary and narcissistic nature. With the concept of sublimation, this reduction, de-constructive of the love of transfer enunciated by Freud and theorized from the perspective of the relationship of the lover to the beloved in the Platonic banquet, is doomed to be surpassed as a necessity of discourse by courteous love. Clinical vignettes show how sublimation intervenes in a practice that aims at the conversion of jouissance to desire according to the device of the letter and structures by its action the psychoanalytical discourse. A valorization of the term of sublimation is essential in order to specify its specificity in front of others which are correlative to it like the neologism sinthome or the acceptation that Lacan gives to the term of stool. An epistemological consideration emerges from its autonomous capacity to produce knowledge within the discourse of psychoanalysis
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Le Regard masculin sur l’amour féminin : Une étude historique dans la littérature française

Le Meur, Iris January 2013 (has links)
Dans la littérature, la scène était longtemps réservée aux hommes. C’étaient eux qui décidaient ce qui allait y être joué. Par exemple, quels sentiments on pouvait montrer, ceux des hommes et des femmes. Et, parfois même ils prenaient leur place, comme par exemple dans le théâtre grec. De ce fait, on peut se demander si les femmes pouvaient réellement toujours s’identifier à l’image et aux émotions que les hommes leur attribuaient. L’amour était un sujet auquel on associait souvent la femme. Pour cette raison une étude plus approfondie du regard masculin sur l’amour et l’image féminin est pertinente, c’est-à-dire sur la façon et les circonstances dont la femme exprime ses sentiments amoureux et l’image qu’elle avait dans la littérature. Une étude qui mène à la question de savoir s’il y a réellement eu des changements au fil du temps. Si oui, lesquels et en quoi ? Ou, est-ce que ce regard sur la femme est toujours pareil?                      Tout d’abord, un aperçu historique de la littérature s’impose. Quelques œuvres classiques et la présentation de leurs auteurs jusqu’au XIXe siècle donneront une idée d’où l’expression féminine dans l’amour et l’image de la femme tire ses sources. En parallèle, une recherche sur les auteurs féminins et les thèmes qu’elles ont développés, suivi par une étude plus approfondie sur l’expression de l’amour féminin et l’image de la femme dans trois œuvres : Madame Bovary (Flaubert, 1856),  La Ronde et autres fait divers (Le Clézio, 1982) ainsi que dans le roman post-moderne Les Particules élémentaires (Houellebecq, 1998). Ces trois œuvres écrites par trois hommes traitent en grande partie de la condition et de l’amour féminin. La première œuvre est considérée comme un des premiers romans de l’écriture moderne et a fait l’objet d’un procès, le deuxième écrivain a reçu le prix Nobel et le dernier a suscité un vif débat. Le choix des deux derniers auteurs contemporains a pour but d’essayer de couvrir le large spectre des différents styles et  de genres existant à l’époque moderne. Une comparaison de ces trois œuvres dans la façon d’exprimer les images, les rôles, la condition des femmes ainsi que les techniques de narration, donnera une indication de l’évolution de l’image de la femme et de ses expressions amoureuses entre Flaubert et Houellebecq.
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Autobiographies ; suivi de Les génies de la lampe

Picard Cloutier, Françoise January 2010 (has links) (PDF)
Ce mémoire, tant dans son écriture poétique que dans la réflexion qui l'accompagne, s'articule autour des questions de l'amour, de l'altérité et du miracle de l'être vivant. Il ne s'agissait pas de parler ici de l'amour ou vers l'amour, mais plutôt d'écrire à partir de lui, avec lui. L'amour, ainsi abordé, ne s'est pas présenté comme un thème ou comme une anecdote, mais comme une fréquence de fond qui module à la fois le rythme et le timbre de l'écriture. L'amour, fondamentalement approché, ne se laisse pas réduire à une rhétorique. Malgré son urgence, il ne se traduit pas en termes de séduction ou de domination. Ce n'est pas dans le pouvoir, mais dans le don de sa puissance qu'il trouve sa force. Et son unique intention est de prendre forme afin d'être partagé. L'écriture de ce mémoire fut d'abord attentive à cette puissance de partage qui anime toute vie et qui n'est ni un objet, ni un sujet, mais plutôt un courant -un flux, en termes deleuziens -qui nous rassemble. Cette pulsion fondamentale, j'en parle comme du désir. Ici, désirer est vital; tout le malheur de notre humanité vient du fait que nous vivons le désir comme un manque. Nous sommes incomplets, il ne s'agit pas de le nier, mais le manque n'est que la face négative du désir, et celui-ci représente, dans son intégrité, une volonté d'échange d'un tout autre ordre. « Nietzsche l'appelait "volonté de puissance", désir: vertu qui donne. » Dans ce contexte, la poésie se révèle comme un désir d'apparition, une échappée que nous pouvons, à chaque fois, percevoir et vivre comme un événement, comme un recommencement. Je crois, avec Novarina, que les poètes sont des prophètes, des appelants. «Les mots précèdent les choses; au commencement il y a leur appel. Au commencement, ça n'est pas l'être qui est, mais l'appel. L'être lui-même n'a jamais été que la première des choses appelées.» Puisque l'esprit du poète est constamment attiré par ses limites et hanté par l'inconçu, puisqu'il travaille à partir de sa conscience d'un silence plein, d'un envers et de tous ces creux qui lui semblent d'abord inabordables, la négativité agit dans son travail comme une force qui ne se laisse pas réprimer. Il oeuvre avec le manque, l'absence et la solitude; il ne sait pas ce qu'il va découvrir ici, il appelle, il est traversé, il s'offre. En ce sens, je crois que la poésie a à voir avec la mystique des prophètes. Et le poète est, littéralement, quelqu'un qui appelle l'être et le monde. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Amour, Altérité, Désir, Imagination, Réel, Liberté, Volonté, Manque, Création, Puissance, Pouvoir.

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